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Aujourd’hui — 14 juin 2024Flux principal

noyb attaque la Privacy Sandbox et accuse Google de mentir à ses utilisateurs

14 juin 2024 à 13:26
Don't be... non rien.

Google a mis en place sa Privacy Sandbox il y a un an, mécanisme annoncé depuis des années et censé permettre la collecte de données tout en préservant la vie privée des utilisateurs. Mais pour noyb, Google utilise un cas extrême de dark pattern en mentant à ses utilisateurs. L’association a porté plainte devant l’autorité autrichienne de protection des données.

Depuis juillet 2023, Google a ajouté à son navigateur Chrome un mécanisme censé améliorer la vie privée autour de la publicité ciblée. Le principe de cette fonctionnalité était annoncé de longue date par l’entreprise pour mettre fin aux cookies tiers.

L’idée n’est pas de supprimer le ciblage publicitaire, mais de remplacer le suivi individuel par un regroupement des utilisateurs par profils de navigation similaires avec l’utilisation par les développeurs des sites en question d’une API de chez Google.

Accusation de mensonge

Mais noyb explique dans son communiqué qu’ « alors que le « Privacy Sandbox » est présenté comme une amélioration par rapport au suivi extrêmement invasif par des tiers, le suivi est désormais simplement effectué dans le navigateur par Google lui-même ». Et l’association accuse l’entreprise de mentir dans la présentation de cette fonctionnalité dans son navigateur.

Dans sa plainte (.pdf), l’association considère que, « loin d’être un outil de « protection de la vie privée », le système derrière l’API Sandbox continue de suivre l’historique de navigation d’un utilisateur sur le web. La différence est que le navigateur Chrome lui-même suit le comportement des utilisateurs et génère une liste de « thèmes » publicitaires en fonction des sites web qu’ils visitent ».

« Cela ne reflète pas ce que les consommateurs considèrent généralement comme des « dispositifs de protection de la vie privée » (tels que les bloqueurs de cookies ou de suivi), qui visent à protéger totalement les utilisateurs plutôt qu’à les suivre à la trace par d’autres moyens installés localement et à partager des données avec les annonceurs » commente noyb.

L’association rajoute qu’« au lancement, il existait près de 500 catégories de publicités, telles que « Prêts étudiants et financement des études », « Sous-vêtements » ou « Parentalité », auxquelles les utilisateurs étaient associés en fonction de leur activité en ligne ».

noyb s’appuie notamment sur l’article 4(11) du RGPD qui définit le consentement de la personne concernée, comme « toute manifestation de volonté, libre, spécifique, éclairée et univoque par laquelle la personne concernée accepte, par une déclaration ou par un acte positif clair, que des données à caractère personnel la concernant fassent l’objet d’un traitement ».

Des darks patterns

L’association se plaint que Google utilise des dark patterns pour que les utilisateurs acceptent l’activation de la sandbox. Mais selon l’argumentaire de noyb, « il s’agit là d’un cas extrême : Google ne s’est pas contenté de modifier la couleur ou la taille d’un bouton, il a tout simplement menti à ses utilisateurs ».

Dans la plainte, noyb détaille que « plutôt que d’indiquer clairement qu’il demandait le consentement des utilisateurs pour que leur navigateur les suive, Google a vendu aux utilisateurs l’API Sandbox comme une « fonction de protection de la vie privée ». Il s’agit d’un choix délibéré visant à manipuler la compréhension des utilisateurs et à garantir un taux de consentement élevé, les utilisateurs pensant que leur navigateur les protège désormais contre le suivi à des fins publicitaires ».

L’association ajoute à sa plainte des copies d’écran de la version anglaise de ce formulaire :

Dans la version française affichée quand on a ouvert Chrome pour la première fois, le texte est encore moins clair puisqu’il parle d’ « annonces » et non de publicités.

L’entreprise a répondu à noyb que :

« Google demande le consentement des utilisateurs, conformément à l’article 6, paragraphe 1, point a), du RGPD, pour la création de rubriques publicitaires dans Chrome. Les utilisateurs peuvent donner ou refuser leur consentement en cliquant sur « Activer » ou « Non merci » … Le consentement concerne la création de sujets publicitaires dans le navigateur » »

Dans la seconde copie d’écran de l’association, on peut voir que l’utilisateur ne peut fermer le formulaire qu’en cliquant sur « Got it ».

Pour Google, « le deuxième écran informe les utilisateurs des nouveaux contrôles dans Chrome concernant deux autres API du Privacy Sandbox [« App-suggested ads » et « Ad Measurement »], qui permettent le reciblage et la mesure des publicités… Le bouton « Got it » sur le deuxième écran ferme simplement la boîte de dialogue, permettant à l’utilisateur d’accuser réception de l’avis ».

Pas encore de suppression des cookies tiers

L’association fait aussi remarquer dans le document déposé devant l’autorité autrichienne « qu’à ce jour, Google n’a pas supprimé les cookies tiers pour la plupart de ses utilisateurs, car l’autorité de marché britannique et l’autorité britannique chargée de la protection des données enquêtent sur ce changement de modèle commercial de Google en tant qu’infraction potentielle aux dispositions relatives à la protection des données et au droit de la concurrence ».

Perfide, noyb ajoute que « si l’API Sandbox a été conçue pour contrebalancer l’élimination du suivi par des tiers pour les utilisateurs de Chrome, il semble que Google ait été plus rapide à mettre en œuvre son propre outil de suivi qu’à supprimer les menaces existantes pour la vie privée des utilisateurs ».

Interrogée par Reuters, Google affirme que « cette plainte ne tient pas compte des importantes protections de la vie privée que nous avons intégrées dans les API de Privacy Sandbox, y compris l’API Topics, et de l’amélioration significative de la protection de la vie privée qu’elles apportent par rapport aux technologies actuelles, y compris les cookies de tiers ».

Le porte-parole a ajouté que « Privacy Sandbox est conçu pour améliorer la protection de la vie privée des utilisateurs et fournir à l’industrie des solutions de rechange au suivi intersite qui préservent la vie privée. Nous avons travaillé en étroite collaboration avec les autorités de régulation de la concurrence et de la protection de la vie privée dans le monde entier, et nous continuerons à le faire afin de parvenir à un résultat équilibré qui convienne aux utilisateurs et à l’ensemble de l’écosystème ».

noyb attaque la Privacy Sandbox et accuse Google de mentir à ses utilisateurs

14 juin 2024 à 13:26
Don't be... non rien.

Google a mis en place sa Privacy Sandbox il y a un an, mécanisme annoncé depuis des années et censé permettre la collecte de données tout en préservant la vie privée des utilisateurs. Mais pour noyb, Google utilise un cas extrême de dark pattern en mentant à ses utilisateurs. L’association a porté plainte devant l’autorité autrichienne de protection des données.

Depuis juillet 2023, Google a ajouté à son navigateur Chrome un mécanisme censé améliorer la vie privée autour de la publicité ciblée. Le principe de cette fonctionnalité était annoncé de longue date par l’entreprise pour mettre fin aux cookies tiers.

L’idée n’est pas de supprimer le ciblage publicitaire, mais de remplacer le suivi individuel par un regroupement des utilisateurs par profils de navigation similaires avec l’utilisation par les développeurs des sites en question d’une API de chez Google.

Accusation de mensonge

Mais noyb explique dans son communiqué qu’ « alors que le « Privacy Sandbox » est présenté comme une amélioration par rapport au suivi extrêmement invasif par des tiers, le suivi est désormais simplement effectué dans le navigateur par Google lui-même ». Et l’association accuse l’entreprise de mentir dans la présentation de cette fonctionnalité dans son navigateur.

Dans sa plainte (.pdf), l’association considère que, « loin d’être un outil de « protection de la vie privée », le système derrière l’API Sandbox continue de suivre l’historique de navigation d’un utilisateur sur le web. La différence est que le navigateur Chrome lui-même suit le comportement des utilisateurs et génère une liste de « thèmes » publicitaires en fonction des sites web qu’ils visitent ».

« Cela ne reflète pas ce que les consommateurs considèrent généralement comme des « dispositifs de protection de la vie privée » (tels que les bloqueurs de cookies ou de suivi), qui visent à protéger totalement les utilisateurs plutôt qu’à les suivre à la trace par d’autres moyens installés localement et à partager des données avec les annonceurs » commente noyb.

L’association rajoute qu’« au lancement, il existait près de 500 catégories de publicités, telles que « Prêts étudiants et financement des études », « Sous-vêtements » ou « Parentalité », auxquelles les utilisateurs étaient associés en fonction de leur activité en ligne ».

noyb s’appuie notamment sur l’article 4(11) du RGPD qui définit le consentement de la personne concernée, comme « toute manifestation de volonté, libre, spécifique, éclairée et univoque par laquelle la personne concernée accepte, par une déclaration ou par un acte positif clair, que des données à caractère personnel la concernant fassent l’objet d’un traitement ».

Des darks patterns

L’association se plaint que Google utilise des dark patterns pour que les utilisateurs acceptent l’activation de la sandbox. Mais selon l’argumentaire de noyb, « il s’agit là d’un cas extrême : Google ne s’est pas contenté de modifier la couleur ou la taille d’un bouton, il a tout simplement menti à ses utilisateurs ».

Dans la plainte, noyb détaille que « plutôt que d’indiquer clairement qu’il demandait le consentement des utilisateurs pour que leur navigateur les suive, Google a vendu aux utilisateurs l’API Sandbox comme une « fonction de protection de la vie privée ». Il s’agit d’un choix délibéré visant à manipuler la compréhension des utilisateurs et à garantir un taux de consentement élevé, les utilisateurs pensant que leur navigateur les protège désormais contre le suivi à des fins publicitaires ».

L’association ajoute à sa plainte des copies d’écran de la version anglaise de ce formulaire :

Dans la version française affichée quand on a ouvert Chrome pour la première fois, le texte est encore moins clair puisqu’il parle d’ « annonces » et non de publicités.

L’entreprise a répondu à noyb que :

« Google demande le consentement des utilisateurs, conformément à l’article 6, paragraphe 1, point a), du RGPD, pour la création de rubriques publicitaires dans Chrome. Les utilisateurs peuvent donner ou refuser leur consentement en cliquant sur « Activer » ou « Non merci » … Le consentement concerne la création de sujets publicitaires dans le navigateur » »

Dans la seconde copie d’écran de l’association, on peut voir que l’utilisateur ne peut fermer le formulaire qu’en cliquant sur « Got it ».

Pour Google, « le deuxième écran informe les utilisateurs des nouveaux contrôles dans Chrome concernant deux autres API du Privacy Sandbox [« App-suggested ads » et « Ad Measurement »], qui permettent le reciblage et la mesure des publicités… Le bouton « Got it » sur le deuxième écran ferme simplement la boîte de dialogue, permettant à l’utilisateur d’accuser réception de l’avis ».

Pas encore de suppression des cookies tiers

L’association fait aussi remarquer dans le document déposé devant l’autorité autrichienne « qu’à ce jour, Google n’a pas supprimé les cookies tiers pour la plupart de ses utilisateurs, car l’autorité de marché britannique et l’autorité britannique chargée de la protection des données enquêtent sur ce changement de modèle commercial de Google en tant qu’infraction potentielle aux dispositions relatives à la protection des données et au droit de la concurrence ».

Perfide, noyb ajoute que « si l’API Sandbox a été conçue pour contrebalancer l’élimination du suivi par des tiers pour les utilisateurs de Chrome, il semble que Google ait été plus rapide à mettre en œuvre son propre outil de suivi qu’à supprimer les menaces existantes pour la vie privée des utilisateurs ».

Interrogée par Reuters, Google affirme que « cette plainte ne tient pas compte des importantes protections de la vie privée que nous avons intégrées dans les API de Privacy Sandbox, y compris l’API Topics, et de l’amélioration significative de la protection de la vie privée qu’elles apportent par rapport aux technologies actuelles, y compris les cookies de tiers ».

Le porte-parole a ajouté que « Privacy Sandbox est conçu pour améliorer la protection de la vie privée des utilisateurs et fournir à l’industrie des solutions de rechange au suivi intersite qui préservent la vie privée. Nous avons travaillé en étroite collaboration avec les autorités de régulation de la concurrence et de la protection de la vie privée dans le monde entier, et nous continuerons à le faire afin de parvenir à un résultat équilibré qui convienne aux utilisateurs et à l’ensemble de l’écosystème ».

Le boitier O11D EVO RGB se déguise en parodie de Lamborghini en édition limitée chez Lian Li

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Je me retire de X, anciennement Twitter, en faveur de Bluesky – Annonce #1

Je me retire de X, anciennement Twitter, en faveur de Bluesky – Annonce #1

Chère abonnée, cher abonné,

J’ai pris la décision de me retirer de X, anciennement Twitter, et de faire de Bluesky ma plateforme sociale principale.

Découvrez pourquoi j’ai pris cette décision, comment j’ai prévu de me retirer, et pourquoi et comment me retrouver sur Bluesky.

Pourquoi je quitte X, anciennement Twitter

Le Twitter que nous connaissions est mort, et il ne reviendra pas. Elon Musk, son incompétence et son extrémisme l’ont tué. X, l’abomination qui l’a remplacé, n’a plus grand-chose à voir avec ce qu’a été Twitter. Ma décision de quitter X part de ce constat factuel.

Twitter a joué un rôle majeur dans ma vie professionnelle. C’est grâce à Twitter que j’ai bâti un réseau scientifique international d’excellence. C’est grâce à Twitter que j’ai trouvé des clients pour mon activité de freelance. C’est grâce à Twitter que j’ai pu bâtir, avec vous, ma newsletter de vulgarisation de la science économique et du scepticisme scientifique. C’est grâce à Twitter que j’ai pu vous rencontrer et avoir de passionnants échanges avec vous.

Or, depuis que Elon Musk a racheté la plateforme, il s’est mis en tête de la dynamiter. Elon Musk a dévasté l’écosystème d’outils qui gravitait autour de Twitter. La plateforme est devenue techniquement instable. Elle s’est remplie de bots et de spam.

X n’est plus une source d’information utile pendant les évènements majeurs. La faute aux badges bleus que la plateforme affiche en tête des flux algorithmiques et qui propagent de la désinformation. Les expertes et les experts, et notamment les scientifiques, quittent la plateforme à un rythme alarmant.

Elon Musk lui-même propage activement d’immondes idées d’extrême-droite et conspirationnistes. Il réinstalle régulièrement des comptes de néonazis auparavant bannis, comptes avec lesquels il interagit régulièrement. Les discours fondamentalement haineux de l’extrême-droite n’ont jamais autant dominé la plateforme, et la situation empire chaque jour.

Chaque « j’aime », chaque post, chaque repost, chaque réponse que nous publions participe à faire de X un produit utile, et donc à renforcer le projet mortifère d’Elon Musk. Je ne peux pas me résoudre à participer davantage à un tel projet.

Cela étant, Elon Musk n’est pas à l’origine de tous les problèmes. Twitter était depuis longtemps une fosse à purin, dominée par des extrémistes aux méthodes toxiques. La différence est que X n’a même plus l’utilité informationnelle que Twitter avait.

Pour finir, toutes les données pointent en faveur d’un délitement rapide de X. La plateforme a perdu des dizaines de millions d’utilisateurs depuis le rachat par Elon Musk. En parallèle, des réseaux alternatifs sont en train de se construire. Ils bénéficient d’une dynamique sans précédent. Le bateau X coule, alors que le bateau de Bluesky fait ses essais en mer. Il est temps de concentrer mes efforts sur les plateformes de demain, et de laisser sombrer les plateformes d’hier.

Les détails de mon retrait

Vous étiez plus de 14.000 à me suivre sur Twitter. Certaines et certains d’entre nous me suivent depuis des années, participent régulièrement aux échanges autour de mes articles, voire soutiennent financièrement mon travail. Pour tout cela, merci !

J’aimerais « juste » pouvoir supprimer mon compte, et passer à autre chose. Mais je crois que supprimer mon compte, surtout sans préavis, serait un départ trop brutal. Par ailleurs, vous êtes nombreuses et nombreux à avoir mis de côté certains de mes posts. Supprimer brutalement le compte vous ferait perdre ces informations.

Par ailleurs, je vais être honnête : un compte avec 14.000 abonnés peut rendre des services. Notamment pour me défendre quand je suis la cible de tentatives d’extorsion menées par de grandes entreprises qui ont pignon sur rue — oui, ceci est un teasing.

Plutôt que de supprimer mon compte, voici comment je vais procéder. À partir de maintenant :

  • Je ne répondrai plus à aucun commentaire, à aucune mention, à aucun DM ni à aucune sollicitation sur la plateforme. Pour me contacter, vous pouvez utiliser Bluesky (qui a désormais des DM), par les commentaires de ma newsletter, ou par le formulaire de contact.
  • Je cesse de relayer les articles que je publie sur ma newsletter. Pour continuer à les lire, vous pouvez vous abonner à ma newsletter. En me suivant sur Bluesky, vous y découvrirez de petits teasers de ce sur quoi je travaille.
  • Circonstances exceptionnelles mises à part, ma seule activité sur X consistera à relayer l’annonce de mon retrait et à faire la promotion de ma présence sur Bluesky.

À une date ultérieure, que je n’ai pas encore fixée et qui est probablement encore lointaine, je supprimerai tous mes posts, et probablement mon compte.

Mon compte X entre dès maintenant en pilotage automatique, et n’en sortira plus. Je souhaite en faire une coquille vide, pour ne rien laisser à Elon Musk et à son projet abject.

Retrouvons-nous sur Bluesky

Mon retrait de X n’est absolument pas un arrêt de mon activité en ligne. Au contraire, cette dernière n’a jamais été aussi riche et aussi intéressante.

Pour continuer à suivre mon travail, la méthode la plus simple est de vous abonner à ma newsletter.

Si vous souhaitez me suivre sur les réseaux sociaux, comme vous l’avez compris, je vous invite à le faire sur Bluesky.

Pourquoi ai-je choisi Bluesky ?

J’ai testé Bluesky, Mastodon et Threads. Mastodon est trop compliqué, et pour une multitude de raisons, ne pourra jamais devenir un réseau de masse. L’ambiance y est parfois hautement toxique. Threads est un réseau de masse, mais Meta n’a aucune idée de ce qu’ils font avec l’application. Son flux algorithmique est un désastre complet, la modération n’est pas à la hauteur, Meta a une approche paternaliste insupportable, sans parler de la choquante litanie de bugs qui rendent la plateforme pénible à utiliser. J’ai aussi une profonde détestation de Meta, en qui je n’ai aucune confiance. Même si Threads était une plateforme intéressante, je n’ai pas envie de parier de nouveau sur une plateforme qui finira sans doute par se retourner, elle aussi, contre moi. J’ai retenu la leçon de Twitter.

En comparaison, Bluesky est la plateforme la plus proche de l’ancien Twitter, autant en termes d'interface, d'ambiance que de fonctionnalités. Bluesky n’a certes pas autant d’utilisateurs que Threads. Mais la plateforme est correctement gérée, elle évolue beaucoup plus vite que Mastodon, et elle est aussi simple à utiliser que Twitter. Si la complexité de Mastodon vous a traumatisé, Bluesky est en comparaison beaucoup plus simple à utiliser. Enfin, parmi Mastodon, Threads et Bluesky, Bluesky est sans conteste la plateforme sur laquelle le plus de scientifiques se sont installés. Mais ça n’est pas tout.

Bluesky a une puissante fonctionnalité de blocage, qui permet d’envoyer les extrémistes toxiques dans les oubliettes de l’Internet au moindre dérapage. Un changement radical quand on vient de Twitter, et qui change profondément les incitations à se comporter comme un pigeon qui joue aux échecs comme stratégie pour gagner abonnements, visibilité et engagement.

Bluesky donne également un niveau de contrôle sans précédent aux utilisateurs. Il y a les flux algorithmiques personnalisés : chacune et chacun peut choisir, voire créer, ses propres flux algorithmiques. Je vois régulièrement des personnes se plaindre sur X ou sur Threads du flux algorithmique. Sur Bluesky, si les flux par défaut nous déplaisent, on peut en choisir d’autres parmi plus de 40.000 ! Il y a la modération empilable : on peut étendre la modération de Bluesky avec d’autres services de modération, en fonction de nos besoins.

Je suis très en phase avec la philosophie générale et la philosophie technique sur lesquelles Bluesky est bâti. D’un point de vue plus technique, travailler avec l’API de Bluesky est un véritable plaisir.

Qu’en est-il des fameux codes d’invitation ? Pendant longtemps, il fallait un code d’invitation pour créer un compte sur Bluesky. L’objectif était de maintenir la plateforme à une taille raisonnable le temps que ses fondations soient suffisamment solides. Pour l’essentiel de 2023, quelques personnes à peine géraient toute la plateforme !

Cela étant, depuis février 2024, il n’est plus nécessaire d’avoir un code d’invitation pour se créer un compte sur Bluesky. Tout le monde peut librement rejoindre la plateforme.

Qu’en est-il de Jack Dorsey ? Vous avez peut-être entendu dans les médias (et ailleurs) que Bluesky serait le « réseau social de Jack Dorsey », l’ancien PDG de Twitter. Cette présentation a toujours été trompeuse, car il n’a jamais eu aucun rôle actif dans Bluesky.

Jack Dorsey n’a plus de rôle actif dans Bluesky
J’aimerais corriger une fausse information que je vois régulièrement circuler à propos de Bluesky, l’un des concurrents de Twitter. Bluesky est souvent présenté, y compris par une partie de la presse tech, comme “l’alternative à Twitter de Jack Dorsey”. Sous-entendu : Dorsey joue un rôle actif dans le développement Bluesky. Il
Je me retire de X, anciennement Twitter, en faveur de Bluesky – Annonce #1Olivier Simard-CasanovaOlivier Simard-Casanova
Je me retire de X, anciennement Twitter, en faveur de Bluesky – Annonce #1

Pour rappel, il a supprimé son compte Bluesky dès septembre 2023. Surtout, il a depuis quitté le conseil d’administration de Bluesky. Une interview qu’il a donné quelques jours après son départ a été très vertement critiquée par l’équipe de Bluesky, au point que la rupture entre Jack Dorsey semble consommée. En d’autres termes, Jack Dorsey, qui n’avait déjà pas grand-chose à voir avec Bluesky, n’a désormais plus rien à voir avec la plateforme.

Pour finir, l’arrivée de la vidéo est imminente. Elle devrait arriver d'ici à quelques semaines. Les GIF et les DM ont récemment fait leur apparition.

Bluesky devient une plateforme suffisamment complète pour remplacer X, anciennement Twitter. Et pour vous qui êtes familier ou familière de feu Twitter, l’interface et l’expérience de Bluesky vous paraîtront familières.

Concernant Mastodon et Threads, je continue à les fréquenter à l’occasion. Je n’ai pas l’intention d’en partir, mais je n’ai pas l’intention d’en faire des plateformes de premier rang. Je suis également présent sur quelques autres plateformes secondaires. Vous pouvez les retrouver à cette adresse. C’est toutefois sur Bluesky que je suis, et de très loin, le plus actif.

Regarder vers l’avant

Le dynamitage de Twitter m’a permis de profondément repenser ma manière d’interagir sur les réseaux sociaux. Mon expérience depuis un an et demi est à mille lieues de la fosse à purin toxique qu’est Twitter, au point que j’ai retrouvé un authentique plaisir à utiliser Bluesky. C’est aussi l’occasion de m’éloigner des batailles navales de baignoire, ces débats ultraviolents aux enjeux objectivement insignifiants, qui sont l’une des marques de fabrique de Twitter, et maintenant de X.

Certes, comme j’en ai déjà longuement parlé, l’atomisation de Twitter par Elon Musk a profondément perturbé mon travail.

Ai-je abandonné L’Économiste Sceptique ?
Après une année pleine de turbulences, il est temps de faire le point
Je me retire de X, anciennement Twitter, en faveur de Bluesky – Annonce #1Olivier Simard-CasanovaOlivier Simard-Casanova
Je me retire de X, anciennement Twitter, en faveur de Bluesky – Annonce #1

Mais comme un volcan qui détruit tout sur le passage de son éruption, les cendres qu’il répand font que demain, la terre sera fertile. Un phénomène similaire est en train de se passer avec les réseaux sociaux.

La nouvelle génération de réseaux, que l’on appelle le web social ouvert, vit actuellement un développement sans précédent. Bluesky, Threads et Mastodon sont toutes des plateformes bâties sur une idée radicalement nouvelle : l’interopérabilité. Grâce aux protocoles ouverts, il est possible de suivre un compte Threads depuis Mastodon. Il est possible de suivre un blog WordPress depuis Mastodon. Il est possible de suivre un compte Mastodon depuis Bluesky. Et ce n’est que le début.

Ce dynamitage des frontières entre des plateformes auparavant isolées dans des silos va transformer les réseaux sociaux. Comment ? Personne ne peut le dire. Pour les utilisateurs et utilisatrices en général, et pour les auteurs indépendants comme moi en particulier, cette transformation est une redistribution du pouvoir en notre faveur. Très franchement, il était temps.

Dans le web social ouvert, une situation à la Twitter, où un milliardaire incompétent et extrémiste détruit à lui seul une plateforme pourtant établie, est virtuellement impossible.

Sans aucun doute, le web social ouvert est l’avenir. Je veux y prendre toute ma part. Même si Twitter a changé ma vie, je mets volontiers cette plateforme derrière moi. À la place, je veux regarder vers l’avant et construire, avec vous, les prochains chapitres de mon activité en ligne.

À bientôt dans ma newsletter et sur Bluesky,
Olivier

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14 juin 2024 à 11:40
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TV 65" Samsung TQ65Q80C QLED 4K 120hz 160cm (icoza.fr)

12 juin 2024 à 19:41
817€

Très bon deal pour cette TV QLED 120hz.

Samsung TQ65Q80CAT. Taille de l'écran: 165,1 cm (65"), Résolution de l'écran: 3840 x 2160 pixels, Type HD: 4K Ultra HD, Technologie d'affichage: QLED, Forme d'écran: Plat. Smart TV. Mouvement d'interpolation technologie: Motion Xcelerator Turbo+, Format d'image: 16:9.
HDR10+ / VRR / 4HDMI

Concernant le revendeur Icoza ==> revendeur peut-être méconnu mais proposant souvent des bons deals sur les TV.
4.3/5 sur Trustpilot avec +1600avis, plutôt fiable fr.trustpilot.com/review/icoza.fr



Ajouté par @lucy05

Les points clés
  • 163 cm (65") - 4K 100Hz
  • LxHxP (sans pied) : 144.6 x 82.9 x 4.6 cm
  • HDMI 2.1 : x4 - USB : x2
  • Son : 40 Watts - Pied central
  • Le + : Gaming hub: jouer sans console, applications TV opérateurs, Full LED local dimming, son Dolby Atmos

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Fiche du produit
Notice du produit

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Avis :

Caractéristiques techniques :

  • Image
  • Taille de l'écran : 163 cm (65")
  • Technologie : QLED, la luminosité est élevée et les contrastes renforcés pour une image incroyablement lumineuse
  • Résolution : 3840 x 2160 pixels conditionnent la qualité d'image. Plus il y a de pixels, plus l'image est riche
  • Définition : 4K, la définition est 4X supérieure à la norme HD et permet un niveau de détail élevé
  • Fréquence de balayage native (Fluidité de l'image) : 100Hz affichent 100 images par seconde, adapté aux événements sportifs et aux films d'action
  • Fréquence optimisée : jusqu'à 100Hz , affichent 100 images par seconde, adapté aux événements sportifs et aux films d'action
  • Type de processeur : Quantum Processor 4K
  • HDR : oui, permet d'augmenter le niveau de détail de l'image et son contraste
Son
Puissance : 40 WattsTraitement du son : Dolby AtmosBarre de son intégrée : NonAjustement automatique du volume : oui, le téléviseur adapte le son en fonction de l'environnement sonore de la pièceConnectiques vidéo
HDMI 2.1 : 4 ports pour une image très fluide, notamment pour une console de jeu nouvelle génération et 3 autres appareils HDMIHDMI 1.4 : 0Port USB : 2HDMI CEC (Consumer Electronics Control) : oui, permet d'utiliser la télécommande de votre TV pour piloter tous vos appareils branchés en HDMI disposant de la même norme CECPéritel : 0Entrée antenne hertzienne : 1Entrée satellite : 1Port Ethernet : 1Slot PCMCIA : 1Connectiques audio
Sortie optique : oui, permet d'envoyer le son de sa TV vers une barre de son en numérique, ou un casque TV avec un câble optiqueHDMI ARC (Audio Return Chanel) : oui, permet d'utiliser la télécommande de votre TV pour allumer et régler le volume de votre ampli, barre de son, console de jeu branché en HDMI disposant également de la norme ARCPrise casque : NonBluetooth : oui, permet d'envoyer le son de votre TV vers un casque ou une enceinte bluetoothConnectivité
WiFi : OuiCompatible Airplay 2 : oui, une technologie Apple qui permet de partager sans connectique des contenus multimédias ( vidéos, photos, musiques) sur le téléviseurChromecast intégré : NonAssistant vocal intégré : AlexaTV connectée (Smart TV)
Le saviez-vous ? : une TV connectée a la capacité de se connecter au réseau internet et permet ainsi de faire des recherches, regarder des films et séries en streaming ou encore jouer à des jeux vidéo en ligneSystème d'exploitation : TV connectée TizenCatalogue d'applications : Tizen appshareApplications en ligne : Netflix, Prime vidéo, Youtube, OCS,...Applications opérateurs : Bouygues, Free, Orange, SFRLe saviez-vous ? : la box TV est intégrée via une application ce qui permet d'accéder aux contenus et services directement depuis le téléviseurContrôle vocal : OuiRéception
Tuner TNT HD : OuiTuner satellite HD : OuiFransat : NonTuner câble : OuiDouble tuner : oui, permet d'enregistrer une chaine tout en regardant une autreGaming
Prise HDMI 2.1 : une image très fluide, notamment pour une console de jeu nouvelle générationALLM : oui, permet au téléviseur de basculer automatiquement vers un mode de jeu spécifique lorsqu'il le détecteTraitement d'image spécifique : FreeSyncCloud Gaming : OuiLe saviez-vous ? : Le Cloud Gaming permet de jouer à des jeux vidéo en streaming. Plus besoin de console, de stockage ou de mise à jour.Confort d'utilisation
Pied(s) : CentralNombre de télécommande(s) : 1Type de télécommande : Classique sans pavé numériqueConnectique déportée : non concernéSupport et fixation
Norme VESA : 400 x 300 mmConsommations
Energie label : GConsommation pour 1000 heures de fonctionnement : 112 kWConsommation pour 1000 heures de fonctionnement en mode HDR : 292 kWConsommation en veille (watts) : 0,5 WContenu du carton
Livré avec : Télécommande universelle à énergie solaire, PiedPoids et Dimensions
LxHxP (avec pied) : 144.6 x 89.1 x 28.5 cmLxHxP (sans pied) : 144.6 x 82.9 x 4.6 cmPoids avec pied : 26,1 kgPoids sans pied : 22,9 kgDimensions du carton l x h x p : 162.2 x 93.5 x 18.5 cmInformations complémentaires
Indice de réparabilité : 8,2 /10Détail sur l'indice de réparabilité : en savoir plusFabriqué en : HongrieGarantie : 2 ansDisponibilité des pièces détachées (données fournisseur) : Pendant 7 ans, à compter de la date d'achatRéférence constructeur : TQ65Q80C
DescriptionAvec la gamme QLED 4K Q80C, découvrez l’innovation QLED accessible à tous
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12 juin 2024 à 20:20
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Joli prix de lancement pour un superbe smartphone pour les adhérents FNAC + un casque de qualité Marshall Major IV d'une valeur de 89 euros offert !!! On ne retrouvera pas un telle offre avant belle lurette à mon humble avis (highfive)

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L’IA de Google prévoit les interactions entre les protéines et les autres molécules

Après avoir modélisé avec succès la configuration des protéines, AlphaFold 3 a réussi une nouvelle prouesse : prédire les interactions des protéines avec d’autres molécules. La revue de référence “Nature” salue l’exploit sur sa une.

© “NATURE”

La une de l’hebdomadaire Nature du 13 juin 2024 

La manne des touristes de l’Euro 2024 pourrait rapporter 1 milliard d’euros à l’économie allemande

Quelque 600 000 supporteurs venus de l’étranger devraient affluer en Allemagne pour assister aux matchs du championnat d’Europe de football, qui débute vendredi 14 juin. De quoi assurer 1,5 million de nuitées, ont calculé des experts. Mais l’événement rapportera encore plus aux équipementiers, qui vont vendre des brassées de maillots et de ballons siglés.

© Leonhard Simon/REUTERS

Les supporteurs écossais sont déjà arrivés à Munich avant le match qui oppose leur équipe à l’Allemagne en ouverture de l’Euro 2024, ce 14 juin.

Le premier youtubeur de France appelle à aller voter contre l’extrême droite

14 juin 2024 à 13:49

Sur Instagram, Squeezie a pris la parole pour appeler sa communauté à aller voter aux élections législatives, et à s'opposer à l'extrême-droite.

Security updates for Friday

Par : daroc
14 juin 2024 à 13:18
Security updates have been issued by CentOS (389-ds-base, bind, bind-dyndb-ldap, and dhcp, firefox, glibc, ipa, less, libreoffice, and thunderbird), Debian (cups), Fedora (chromium and cyrus-imapd), Mageia (golang and poppler), Oracle (bind, bind-dyndb-ldap, and dhcp, gvisor-tap-vsock, python-idna, and ruby), Red Hat (dnsmasq and expat), SUSE (libaom, php8, podman, python-pymongo, python-scikit-learn, and tiff), and Ubuntu (h2database and vte2.91).

Clearview AI Used Your Face. Now You May Get a Stake in the Company.

Par : msmash
14 juin 2024 à 14:00
A facial recognition start-up, accused of invasion of privacy in a class-action lawsuit, has agreed to a settlement, with a twist: Rather than cash payments, it would give a 23 percent stake in the company to Americans whose faces are in its database. From a report: Clearview AI, which is based in New York, scraped billions of photos from the web and social media sites like Facebook, LinkedIn and Instagram to build a facial recognition app used by thousands of police departments, the Department of Homeland Security and the F.B.I. After The New York Times revealed the company's existence in 2020, lawsuits were filed across the country. They were consolidated in federal court in Chicago as a class action. The litigation has proved costly for Clearview AI, which would most likely go bankrupt before the case made it to trial, according to court documents. The company and those who sued it were "trapped together on a sinking ship," lawyers for the plaintiffs wrote in a court filing proposing the settlement. "These realities led the sides to seek a creative solution by obtaining for the class a percentage of the value Clearview could achieve in the future," added the lawyers, from Loevy + Loevy in Chicago. Anyone in the United States who has a photo of himself or herself posted publicly online -- so almost everybody -- could be considered a member of the class. The settlement would collectively give the members a 23 percent stake in Clearview AI, which is valued at $225 million, according to court filings. (Twenty-three percent of the company's current value would be about $52 million.) If the company goes public or is acquired, those who had submitted a claim form would get a cut of the proceeds. Alternatively, the class could sell its stake. Or the class could opt, after two years, to collect 17 percent of Clearview's revenue, which it would be required to set aside.

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En direct, législatives 2024 : le programme du Nouveau Front populaire sera financé « en prenant dans la poche de ceux qui ont les moyens de donner », assure Olivier Faure

Le Parti socialiste, La France insoumise, Europe-Ecologie-Les Verts et le Parti communiste français tiennent une conférence de presse commune. Le choix du chef de file, sujet sensible, n’a pas encore été fait.

© JULIEN DE ROSA / AFP

Les membres du Nouveau Front populaire réunis à la Maison de Chimie, à Paris, le 14 juin 2024.

Euro 2024 : le retour à un tournoi « classique », dans un contexte international tendu

La simplicité du format du championnat d’Europe des nations de football, qui débute vendredi en Allemagne, semble séduire le public après une édition 2021 éparpillée à travers le continent. Mais plusieurs menaces pèsent sur la compétition.

© RALF HIRSCHBERGER / AFP

Des policiers patrouillent sur le gazon artificiel installé pendant le championnat d’Europe des nations de football, devant la porte de Brandebourg, à Berlin, le 13 juin 2024.

« Rock’n’roll Star ! », la genèse de « Ziggy Stardust », qui mena David Bowie à la célébrité

Un coffret de cinq CD et un Blu-ray audio permet de suivre des étapes de la création du cinquième album de l’Anglais, dont des ébauches de chansons, des extraits de séances d’enregistrement et le mixage original de 1972.

© THE DAVID BOWIE ARCHIVE/MASAYOSHI SUKITA

Elections européennes : le vote écolo décroche dans les villes vertes

Le vote pour la liste des écologistes perd une dizaine de points entre les scrutins de 2019 et de 2024 dans les grandes villes dirigées par des maires d’Europe Ecologie-Les Verts, qui se rassurent en regardant les résultats cumulés de la gauche.

© THEO ROUBY / AFP

Un bulletin de vote de Marie Toussaint, candidate principale du parti Les Ecologistes, le 9 juin 2024.

Paris 2024  : une commission instruira les demandes d’indemnisation des entreprises s’estimant lésées par les mesures de sécurité

Le délégué interministériel aux Jeux olympiques et paralympiques, Michel Cadot, a annoncé, vendredi, que le constat d’un possible préjudice sera fait après les Jeux et s’il est « suffisamment spécifique aux Jeux pour être considéré comme anormal ».

© Thomas Padilla / AP

Les anneaux olympiques sur la façade de Paris La Defense Arena, le 12 juin 2024.
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