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Aujourd’hui — 7 juin 2024Flux principal

Carburants solaires, photoscience, santé : 40 millions d’euros pour exploiter la lumière

7 juin 2024 à 06:52
Lumos Maxima !
Lumière

Dans le cadre du plan d’investissement France 2030, le gouvernement, le CEA et le CNRS viennent de donner le coup d’envoi officiel d’un « ambitieux programme de recherche pour explorer la lumière de manière inédite ». Un des axes concerne les carburants solaires.

Il s’agit d’un nouveau PEPR (Programmes et équipements prioritaires de recherche) baptisé LUMA (Lumière-Matière) dont le but est d’« exploiter les propriétés de la lumière pour explorer et contrôler de nombreux systèmes physicochimiques et biologiques ».

Le projet vient d’être officiellement lancé (même s’il existe depuis longtemps) avec un financement de 40,38 millions d’euros sur sept ans, dans le cadre de France 2030. Il est co-piloté par le CEA et le CNRS. 1 000 chercheurs sont mobilisés et 28 universités impliquées.

De vastes débouchés

Les débouchés potentiels sont nombreux, comme l’explique le CNRS : traitement et stockage de l’information, matériaux durables (chimie verte, recyclage, écoconception), exploitation énergétique (solaire) et photomédicaments (méthodes non-invasives, thérapie photodynamique, traitement du cancer).

Attention à ne pas mettre la charrue avant les bœufs : on parle de recherche fondamentale, pas de remède miracle à court terme. Catalin Miron (directeur de recherche CEA et co-dirigeant de ce projet), précise d’ailleurs qu’il s’agit d’un « PEPR exploratoire, qui anime donc de la recherche amont », on n’est pas dans une phase d’industrialisation, mais de recherche pure.

Le centre de recherche en profite pour affirmer que la France est le leader international dans la valorisation des interactions lumière-matière avec pas moins de cinq prix Nobel depuis 2016 : Jean-Pierre Sauvage (2016), Gérard Mourou (2018), Alain Aspect (2022), Pierre Agostini et Anne L’Huillier (2023 tous les deux). Pour le ministère de la Recherche, la France doit « maintenir et consolider son positionnement, à la fois académique et industriel ».

Photoscience intelligente, technologies vertes et protection

Trois axes de développement sont mis en avant avec LUMA :

  • Photons for Green, « qui vise à l’émergence de nouvelles technologies « vertes » haute performance pour l’énergie et l’industrie de demain ». Il est notamment question de « la conversion efficiente de l’énergie solaire en énergie chimique, en produisant des carburants solaires ».
  • Light for Protection vise de son côté à « utiliser la lumière pour une meilleure préservation de la santé, de l’environnement ou des objets de notre patrimoine ». L’enjeu n’est rien de moins que de diagnostiquer et soigner grâce à la lumière.
  • Enfin, Smart Photoscience ambitionne de « décrypter des systèmes et des dynamiques complexes en chimie, physique, biologie, pour les faire fonctionner par des processus de photo-activation sophistiqués ».

Le programme propose aussi des actions ciblées de recherche, sélectionnées via un appel à manifestations d’intérêt. Quatre axes de développement sont mis en avant : la chiralité, la photochimie et les matériaux, l’énergie et l’environnement, la santé. Des appels à projets collaboratifs sont également dans les cartons.

Deux révolutions scientifiques et techniques

L’année dernière, Rémi Métivier justifiait ce projet par deux « révolutions scientifiques et techniques majeures, survenues ces dernières années », offrant de « nouvelles perspectives quant à l’utilisation de la lumière ».

La première vient du contrôle de la lumière : « Nous avons accès à des sources lumineuses très performantes, notamment avec des lasers à impulsions ultra-courtes (femtoseconde ou attoseconde) ». LUMA s’intéressera à la structuration de la matière « aux échelles ultimes de temps et d’espace (attoseconde et nanomètre) ».

On parlait récemment de l’attoseconde : c’est un milliardième de milliardième de seconde (10⁻¹⁸ seconde). À titre d’exemple : « il y a autant d’attosecondes dans une seconde que de secondes depuis le Big Bang ».

La seconde « révolution » concerne la maitrise par les scientifiques de la conception et de l’assemblage « complexe de molécules aux propriétés complémentaires ». Cela ouvre la voie à « des matériaux organiques et hybrides de nouvelle génération, capables de capturer et d’utiliser la lumière de façon intelligente et performante ».

Concernant le solaire, Rémi Métivier (directeur de recherche CNRS et co-dirigeant du PEPR), explique que nous « avons besoin de résoudre des questions fondamentales telles que l’augmentation de l’efficacité, de la conversion lumineuse ou encore la durabilité des dispositifs que nous concevons ».

Minute papillon, c’est quoi des « carburants solaires » ?

Revenons quelques instants sur les carburants solaires. Engie rappelle qu’il s’agit de « combustibles fabriqués à partir de substances courantes comme l’eau et le dioxyde de carbone grâce à l’énergie de la lumière solaire, utilisée soit par récupération de chaleur soit par génération de charge électrique ».

On peut ainsi produire de l’hydrogène à partir de l’eau (H₂O), mais aussi du gaz de synthèse, du méthane/méthanol et d’autres « carburants » à partir de CO₂ ou de CO₂ + H₂O.

Dans une interview à Newstank, Catalin Miron détaille les attentes sur ce point : « L’idée est de capturer le CO₂ de l’atmosphère pour produire des carburants chimiques pouvant être stockés. Nous pensons avec LUMA pouvoir passer de l’échelle du centimètre au mètre carré pour les cellules de ces dispositifs. Ces recherches pourront aussi apporter des réponses concrètes aux besoins de la société ».

☕️ Proton Pass a son application pour Mac et Linux

7 juin 2024 à 06:46
Proton Pass

Le gestionnaire de mots de passe maison a désormais une application autonome pour toutes les plateformes majeures. Des versions Mac et Linux viennent en effet d’apparaître, aux côtés de celles pour Windows, Android, iOS et Chrome OS (celle-ci via Android).

Proton en profite pour fournir une extension pour Safari, en plus de celles existant pour les navigateurs sur base Chromium et Firefox.

La version Linux est compatible avec toutes les distributions de type Debian ou RedHat, dont Ubuntu, Fedora ou encore CentOS.

Des améliorations seront bientôt proposées aux versions Mac et Linux dans les semaines à venir. Par exemple, la prise en charge de TouchID pour les Mac compatibles. Sous Linux, une prochaine mouture deviendra compatible avec les mécanismes d’authentification et les API correspondantes.

L’objectif est le même à chaque fois : permettre le déverrouillage du coffre-fort avec la biométrie, le compte utilisateur et « toute autre méthode prise en charge par Linux Pluggable Authentication Modules (Linux PAM) ».

☕️ Starliner s’est bien arrimée à l’ISS… malgré de nouveaux problèmes

7 juin 2024 à 06:16
Boeing Starliner

Bon an, mal an, la capsule habitable de Boeing est arrivée à la Station spatiale internationale et s’est arrimée. Après des années de retard, des reports de dernières minutes, des fuites d’hélium dans l’espace et des pannes de propulseurs, les deux astronautes sont arrivés sains et saufs dans l’ISS.

Comme le rapporte Spacenews, le rendez-vous s’est fait avec plus d’une heure de retard car « jusqu’à cinq propulseurs du système de pilotage par jets de gaz (RCS) se sont mis hors service pendant les différentes phases de l’approche du vaisseau spatial ».

Hugs all around! The Expedition 71 crew greets Butch Wilmore and @Astro_Suni aboard @Space_Station after #Starliner docked at 1:34 p.m. ET on June 6. pic.twitter.com/wQZAYy2LGH

— Boeing Space (@BoeingSpace) June 6, 2024

Le temps de procéder aux vérifications et de remettre une partie des propulseurs en service, la capsule est restée en dehors de la zone d’exclusion de la Station, à plus de 200 mètres. « Les responsables de la NASA et de Boeing ont déclaré qu’ils avaient pu remettre quatre des cinq propulseurs en marche », et ainsi reprendre la phase d’approche, expliquent nos confrères.

Plus surprenant, ce problème, avait déjà été rencontré lors du vol d’essai sans équipage Orbital Flight Test 2 (OFT-2) en mai 2022. Cela concernait les propulseurs au même endroit du module de service. « Nous ne comprenons pas vraiment pourquoi cela se produit », reconnait Steve Stich, responsable du programme d’équipage commercial de la NASA.

Il ajoute que le problème vient moins des propulseurs eux-mêmes que du logiciel qui les contrôle et des données reçues. Mark Nappi, vice-président de Boeing et responsable du programme d’équipage commercial, confirme que les propulseurs fonctionnent bien – la preuve, ils ont pu être rallumés, explique-t-il. « Ce sont les conditions que nous avons mises dans le logiciel qui indiquent d’une manière ou d’une autre que le propulseur doit être désactivé ».

Steve Stich ajoute enfin qu’une quatrième fuite d’hélium a été trouvée après que la capsule est arrivée à l’ISS. Elle est plus petite que les trois autres. Mark Nappi n’exclu pas que les fuites aient une cause profonde commune, qui reste donc à déterminer.

Quoi qu’il en soit, pour le responsable de Boeing, les deux problèmes sur le véhicule « sont des problèmes assez mineurs à régler, vraiment ». L’entreprise met en avant la liste des tests validés par cette mission.

Malgré les fuites, la capsule aurait largement assez d’hélium pour revenir sur Terre dans une semaine.

Carburants solaires, photoscience, santé : 40 millions d’euros pour exploiter la lumière

7 juin 2024 à 06:52
Lumos Maxima !
Lumière

Dans le cadre du plan d’investissement France 2030, le gouvernement, le CEA et le CNRS viennent de donner le coup d’envoi officiel d’un « ambitieux programme de recherche pour explorer la lumière de manière inédite ». Un des axes concerne les carburants solaires.

Il s’agit d’un nouveau PEPR (Programmes et équipements prioritaires de recherche) baptisé LUMA (Lumière-Matière) dont le but est d’« exploiter les propriétés de la lumière pour explorer et contrôler de nombreux systèmes physicochimiques et biologiques ».

Le projet vient d’être officiellement lancé (même s’il existe depuis longtemps) avec un financement de 40,38 millions d’euros sur sept ans, dans le cadre de France 2030. Il est co-piloté par le CEA et le CNRS. 1 000 chercheurs sont mobilisés et 28 universités impliquées.

De vastes débouchés

Les débouchés potentiels sont nombreux, comme l’explique le CNRS : traitement et stockage de l’information, matériaux durables (chimie verte, recyclage, écoconception), exploitation énergétique (solaire) et photomédicaments (méthodes non-invasives, thérapie photodynamique, traitement du cancer).

Attention à ne pas mettre la charrue avant les bœufs : on parle de recherche fondamentale, pas de remède miracle à court terme. Catalin Miron (directeur de recherche CEA et co-dirigeant de ce projet), précise d’ailleurs qu’il s’agit d’un « PEPR exploratoire, qui anime donc de la recherche amont », on n’est pas dans une phase d’industrialisation, mais de recherche pure.

Le centre de recherche en profite pour affirmer que la France est le leader international dans la valorisation des interactions lumière-matière avec pas moins de cinq prix Nobel depuis 2016 : Jean-Pierre Sauvage (2016), Gérard Mourou (2018), Alain Aspect (2022), Pierre Agostini et Anne L’Huillier (2023 tous les deux). Pour le ministère de la Recherche, la France doit « maintenir et consolider son positionnement, à la fois académique et industriel ».

Photoscience intelligente, technologies vertes et protection

Trois axes de développement sont mis en avant avec LUMA :

  • Photons for Green, « qui vise à l’émergence de nouvelles technologies « vertes » haute performance pour l’énergie et l’industrie de demain ». Il est notamment question de « la conversion efficiente de l’énergie solaire en énergie chimique, en produisant des carburants solaires ».
  • Light for Protection vise de son côté à « utiliser la lumière pour une meilleure préservation de la santé, de l’environnement ou des objets de notre patrimoine ». L’enjeu n’est rien de moins que de diagnostiquer et soigner grâce à la lumière.
  • Enfin, Smart Photoscience ambitionne de « décrypter des systèmes et des dynamiques complexes en chimie, physique, biologie, pour les faire fonctionner par des processus de photo-activation sophistiqués ».

Le programme propose aussi des actions ciblées de recherche, sélectionnées via un appel à manifestations d’intérêt. Quatre axes de développement sont mis en avant : la chiralité, la photochimie et les matériaux, l’énergie et l’environnement, la santé. Des appels à projets collaboratifs sont également dans les cartons.

Deux révolutions scientifiques et techniques

L’année dernière, Rémi Métivier justifiait ce projet par deux « révolutions scientifiques et techniques majeures, survenues ces dernières années », offrant de « nouvelles perspectives quant à l’utilisation de la lumière ».

La première vient du contrôle de la lumière : « Nous avons accès à des sources lumineuses très performantes, notamment avec des lasers à impulsions ultra-courtes (femtoseconde ou attoseconde) ». LUMA s’intéressera à la structuration de la matière « aux échelles ultimes de temps et d’espace (attoseconde et nanomètre) ».

On parlait récemment de l’attoseconde : c’est un milliardième de milliardième de seconde (10⁻¹⁸ seconde). À titre d’exemple : « il y a autant d’attosecondes dans une seconde que de secondes depuis le Big Bang ».

La seconde « révolution » concerne la maitrise par les scientifiques de la conception et de l’assemblage « complexe de molécules aux propriétés complémentaires ». Cela ouvre la voie à « des matériaux organiques et hybrides de nouvelle génération, capables de capturer et d’utiliser la lumière de façon intelligente et performante ».

Concernant le solaire, Rémi Métivier (directeur de recherche CNRS et co-dirigeant du PEPR), explique que nous « avons besoin de résoudre des questions fondamentales telles que l’augmentation de l’efficacité, de la conversion lumineuse ou encore la durabilité des dispositifs que nous concevons ».

Minute papillon, c’est quoi des « carburants solaires » ?

Revenons quelques instants sur les carburants solaires. Engie rappelle qu’il s’agit de « combustibles fabriqués à partir de substances courantes comme l’eau et le dioxyde de carbone grâce à l’énergie de la lumière solaire, utilisée soit par récupération de chaleur soit par génération de charge électrique ».

On peut ainsi produire de l’hydrogène à partir de l’eau (H₂O), mais aussi du gaz de synthèse, du méthane/méthanol et d’autres « carburants » à partir de CO₂ ou de CO₂ + H₂O.

Dans une interview à Newstank, Catalin Miron détaille les attentes sur ce point : « L’idée est de capturer le CO₂ de l’atmosphère pour produire des carburants chimiques pouvant être stockés. Nous pensons avec LUMA pouvoir passer de l’échelle du centimètre au mètre carré pour les cellules de ces dispositifs. Ces recherches pourront aussi apporter des réponses concrètes aux besoins de la société ».

☕️ Proton Pass a son application pour Mac et Linux

7 juin 2024 à 06:46
Proton Pass

Le gestionnaire de mots de passe maison a désormais une application autonome pour toutes les plateformes majeures. Des versions Mac et Linux viennent en effet d’apparaître, aux côtés de celles pour Windows, Android, iOS et Chrome OS (celle-ci via Android).

Proton en profite pour fournir une extension pour Safari, en plus de celles existant pour les navigateurs sur base Chromium et Firefox.

La version Linux est compatible avec toutes les distributions de type Debian ou RedHat, dont Ubuntu, Fedora ou encore CentOS.

Des améliorations seront bientôt proposées aux versions Mac et Linux dans les semaines à venir. Par exemple, la prise en charge de TouchID pour les Mac compatibles. Sous Linux, une prochaine mouture deviendra compatible avec les mécanismes d’authentification et les API correspondantes.

L’objectif est le même à chaque fois : permettre le déverrouillage du coffre-fort avec la biométrie, le compte utilisateur et « toute autre méthode prise en charge par Linux Pluggable Authentication Modules (Linux PAM) ».

☕️ Starliner s’est bien arrimée à l’ISS… malgré de nouveaux problèmes

7 juin 2024 à 06:16
Boeing Starliner

Bon an, mal an, la capsule habitable de Boeing est arrivée à la Station spatiale internationale et s’est arrimée. Après des années de retard, des reports de dernières minutes, des fuites d’hélium dans l’espace et des pannes de propulseurs, les deux astronautes sont arrivés sains et saufs dans l’ISS.

Comme le rapporte Spacenews, le rendez-vous s’est fait avec plus d’une heure de retard car « jusqu’à cinq propulseurs du système de pilotage par jets de gaz (RCS) se sont mis hors service pendant les différentes phases de l’approche du vaisseau spatial ».

Hugs all around! The Expedition 71 crew greets Butch Wilmore and @Astro_Suni aboard @Space_Station after #Starliner docked at 1:34 p.m. ET on June 6. pic.twitter.com/wQZAYy2LGH

— Boeing Space (@BoeingSpace) June 6, 2024

Le temps de procéder aux vérifications et de remettre une partie des propulseurs en service, la capsule est restée en dehors de la zone d’exclusion de la Station, à plus de 200 mètres. « Les responsables de la NASA et de Boeing ont déclaré qu’ils avaient pu remettre quatre des cinq propulseurs en marche », et ainsi reprendre la phase d’approche, expliquent nos confrères.

Plus surprenant, ce problème, avait déjà été rencontré lors du vol d’essai sans équipage Orbital Flight Test 2 (OFT-2) en mai 2022. Cela concernait les propulseurs au même endroit du module de service. « Nous ne comprenons pas vraiment pourquoi cela se produit », reconnait Steve Stich, responsable du programme d’équipage commercial de la NASA.

Il ajoute que le problème vient moins des propulseurs eux-mêmes que du logiciel qui les contrôle et des données reçues. Mark Nappi, vice-président de Boeing et responsable du programme d’équipage commercial, confirme que les propulseurs fonctionnent bien – la preuve, ils ont pu être rallumés, explique-t-il. « Ce sont les conditions que nous avons mises dans le logiciel qui indiquent d’une manière ou d’une autre que le propulseur doit être désactivé ».

Steve Stich ajoute enfin qu’une quatrième fuite d’hélium a été trouvée après que la capsule est arrivée à l’ISS. Elle est plus petite que les trois autres. Mark Nappi n’exclu pas que les fuites aient une cause profonde commune, qui reste donc à déterminer.

Quoi qu’il en soit, pour le responsable de Boeing, les deux problèmes sur le véhicule « sont des problèmes assez mineurs à régler, vraiment ». L’entreprise met en avant la liste des tests validés par cette mission.

Malgré les fuites, la capsule aurait largement assez d’hélium pour revenir sur Terre dans une semaine.

ASUS sort une nouvelle série qui matche avec la norme SFF Ready voulue par NVIDIA

Devant l'embonpoint des cartes graphiques qui peuvent atteindre des dimensions énormes - voir le test de l'ASUS RTX 4080 SUPER Strix OC - NVIDIA a décidé de créer et de dévoiler un label SFF Ready, qui concerne aussi bien les boitiers que les cartes graphiques. Le but est simple : le matos qui aura...

Banc à chaussures Vasagle LHS10BX - 10 compartiments, 30 x 104 x 48 cm, Charge Max 150 Kg (Disponible en 3 coloris)

6 juin 2024 à 14:10
50,29€ - Songmics

De retour à 50,29€ (cf dernier deal) avec le code LHS10JFR

Valable sur les 3 coloris :

> Livraison gratuite

Description :
Pas assez de place pour un banc à chaussures ? Pas avec celui-là !
Vous voudriez bien vous asseoir confortablement au lieu de vous accroupir par terre à cause de vos chaussures difficile à lacer mais votre entrée est trop petite et étroite ? Essayez ce banc à chaussures de 104 x 30 cm bien agencé qui vous permet d'optimiser votre espace de rangement pour au final gagner de la place.

Fini les chaussures qui traînent à droite à gauche !
Vos chaussures ont l'habitude de traîner dans tous les recoins de la maison ? Mettez-y fin avec ce banc à chaussures fonctionnel. 10 compartiments vous offrent un grand espace de rangement pour vos baskets, vos sandales, vos talons et vos bottes.

Horizontal ou vertical ?
Votre intérieur manque de renouveau ? Pas avec ce meuble renversant ! Installez-le horizontalement ou verticalement pour varier les plaisirs au cours des saisons.

Caractéristiques
- Couleur : Brun rustique
- Matériau : Panneau d'aggloméré de classe E1
- Rembourrage du coussin : Mousse
- Housse : Imitation lin
- Dimension du produit : 104 x 30 x 48 cm (L x l x h)
- Poids : 20,8 kg

Contenu
- 1 x Banc de rangement à chaussures
- 1 x Kit de montage
- 1 x Mode d'emploi (FR, DE, EN, ES, IT)

Polo Le Coq Sportif - Du S au 4XL

6 juin 2024 à 07:13
22,50€ - Veepee

Polo manches courtes
- Jersey 200 gr 100% Coton
- Agréable et doux au porté
- Coupe regular / classique
- Col avec patte de boutonnage
- Logo <> sérigraphié sur la poitrine droite au porté


Instructions de lavage: Cf étiquette
Composition du produit: 100%Coton// Bleu
Garanties légales : Sur ce produit, vous bénéficiez auprès du vendeur pendant 2 ans de la garantie légale de conformité à compter de la livraison, et de celle des vices cachés à compter de la découverte du vice.

Friteuse Air Fryer Chefree Toaster 6 en 1 - 5L, puissance 1500W

6 juin 2024 à 15:54
69€ - Geekbuying

Livraison depuis entrepôt entrepôt Europe donc pas de risque de taxes

Attention traduction Google (excited)
Friteuse à air multifonctionnelle

La friteuse à air peut faire plus que simplement frire, elle grille, rôtit, grille, cuit au four, déshydrate et même réchauffe. Il suffit de choisir le préréglage qui vous convient le mieux sans avoir besoin de régler la température et le temps, il s'occupera du reste.

Portez-le toast à votre façon

Avec le support de pain grillé inclus, il est facile de griller des tranches fines ou épaisses d'à peu près n'importe quoi, offrant de délicieuses tranches uniformément ombrées. Tout, du petit déjeuner au dessert, est tout dans un panier à frire qui remplace facilement votre grille-pain, votre four à griller, et plus encore.

Taille familiale de 5L, mais compacte

La friteuse à air est livrée avec un grand panier de 5 L, mais est 30 % plus compacte que les autres marques de la même capacité. Faites-en assez pour toute la famille avec jusqu'à 2 kg de poulet, 1 lb de chips et plus encore. Ainsi, vous pouvez facilement le garder sur le comptoir de votre cuisine et l'utiliser tous les jours.

Fenêtre pour visualiser la cuisson

Dispose de la fenêtre de visualisation à l'avant du panier, ainsi que de la lumière interne, il vous permet de garder un œil sur ce qui cuit - sans ouvrir le panier et laisser la chaleur s'échapper.

Circulation d'air rapide à 360 degrés

Grâce à la technologie de circulation d'air rapide à 360 degrés, vous pouvez avoir 100 % de satisfaction du goût avec des résultats croustillants à l'extérieur et tendres à l'intérieur, avec jusqu'à 90 % d'huile en moins et économiser 80 % de facture d'énergie.

Smartphone 6.67" Xiaomi Poco M6 Pro - FHD+ AMOLED 120Hz, Helio G99 Ultra, RAM 8 Go, 256 Go, 64MP, 5000mAh / 67W (Entrepôt ES)

5 juin 2024 à 08:57
139,41€ - AliExpress

-20€ avec le code ⇨ SCFR20

Très bon prix pour ce smartphone ! :)


Kimovil


Caractéristiques & Description

  • Écran AMOLED de 16,9 cm : écran Flow AMOLED de 16,9 cm, avec bords ultra plats pour une expérience visuelle impressionnante. Le POCO M6 Pro utilise pour la première fois un écran Flow AMOLED de niveau phare pour vous offrir une vision plus large avec des bords ultra-fins. Avec des couleurs vives, des images claires, deux haut-parleurs et un son Dolby Atmos, vous pouvez profiter d'une expérience audiovisuelle impressionnante.
  • Taux de rafraîchissement de 120 Hz : taux de rafraîchissement de 120 Hz fluide et économe en énergie. Avec le taux de rafraîchissement de 120 Hz*, pris en charge pour la première fois par le POCO M6 Pro, chaque défilement, balayage et frappe sont plus fluides que jamais. Le taux de rafraîchissement approprié peut être sélectionné automatiquement en fonction de ce que vous faites pour atteindre un équilibre optimal entre un fonctionnement fluide et une efficacité énergétique.
  • Batterie et chargement de grande qualité : charge et batterie de 67 W avec système Turbo ChargingSmart Charging Engine. Le POCO M6 Pro dispose d'une étonnante charge turbo de 67 W qui assure une meilleure productivité et recharge rapidement la batterie si nécessaire. Le moteur de charge intelligent assure la longévité de la batterie et augmente la vitesse de charge à un niveau de batterie faible pour soulager votre anxiété.
  • Triple caméra AI 64 MP : gardez le moment avec le système triple caméra AI 64 MP Le POCO M6 Pro premier OIS aide à fournir une photographie stable et claire à tout moment de la journée. Soyez assuré que votre mode 2x photo avec la technologie de zoom intégré vous offre une qualité d'image beaucoup plus nette que le zoom numérique normal, dépassant les attentes.
  • Déverrouillage rapide : capteur d'empreintes digitales sur l'écran pour une expérience de déverrouillage illimitée. Profitez d'un déverrouillage rapide avec le POCO M6 Pro, le premier capteur d'empreintes digitales à l'écran, et protégez vos yeux dans des conditions de faible luminosité.


Clique sur le bouton "SUIVRE" si tu souhaites être notifié de mes prochains deals !

Test Drive Unlimited Solar Crown a le droit à une démo et à des recommandations hardwares

7 juin 2024 à 07:05

Test Drive Unlimited Solar Crown, qui est attendu pour le 12 septembre 2024, dispose désormais d'une démo, téléchargeable ici et jouable du 6 au 17 juin. Neuf des quatorze districts sont accessibles, 11 voitures sont accessibles, 16 véhicules sont achetables, 27 courses sont disponibles... En plein cœur d'Hong Kong Island où les rêves deviennent réalité, Radiant a mis en place de nouveaux standards du luxe. Cette organisation inconnue du grand public mais très influente, invite ses membres à participer à une compétition hors normes : le Solar Crown. Les motivations de ce groupe ne sont pas bien connues, mais leurs valeurs sont claires : Prestige, Passion de l'Automobile, et Compétition. Test Drive Unlimited Solar Crown vous propose de vivre à la fois une expérience de vie et une expérience sociale sans équivalent dans un jeu vidéo ! Ce tout nouveau Test Drive Unlimited conserve l'ADN des premiers jeux tout en apportant une vision moderne et actuelle du jeu de course en multijoueur. […]

Lire la suite

Boeing Starliner Docks With ISS

Par : BeauHD
7 juin 2024 à 07:00
Longtime Slashdot reader destinyland shared a story from Space.com reporting on Boeing's missed opportunity to dock with the International Space Station, after five of the 28 thrusters that help control Starliner's movement in space stopped operating. NASA has since been able to recover four of the thrusters to successfully dock Boeing's Starliner capsule with the ISS. From the report: There are now two U.S.-built crew spacecraft docked with the ISS for the first time. Boeing's Starliner joined SpaceX's Dragon capsule "Endeavour," which arrived in March. Boeing's Starliner launched successfully on Wednesday to begin the crew flight test. The mission represents a final major step before NASA certifies Boeing to fly crew on operational missions. [...] NASA flight controllers called off a previously scheduled approach to resolve issues with Starliner's propulsion system. Starliner has 28 jets, known as its reaction control system, or RCS, engines, that help the spacecraft make small movements in orbit. The crew on Starliner, NASA astronauts Butch Wilmore and Suni Williams, were told by NASA capsule communicator, or CAPCOM, Neal Nagata, that the 12:15 p.m. docking attempt had to be called off to resolve the spacecraft's propulsion issue. CAPCOM Nagata noted that the ISS has a zero fault tolerance for a spacecraft control problem. The agency and Boeing had to troubleshoot five of the RCS jets that were not operating. Four of Starliner's malfunctioning jets were recovered after Wilmore and Williams worked with flight controllers to test fire the thrusters. CAPCOM Nagata had the astronauts hold the spacecraft beyond the "keep out sphere," an invisible boundary around the ISS that serves as a safety measure, while diagnosing the problematic thrusters.

Read more of this story at Slashdot.

80 ans du Débarquement : les retards du maître des horloges

Emmanuel Macron a fait attendre les vétérans et les dignitaires étrangers, jeudi, aux cérémonies britannique et américaine célébrant le 80ᵉ anniversaire du D-Day.

© Guillaume Herbaut/VU pour « Le Monde »

Emmanuel Macron et son épouse, Brigitte Macron, au cimetière américain de Normandie, à Colleville-sur-Mer (Calvados), lors des commémorations des 80 ans du Débarquement, le 6 juin 2024.

En direct, européennes 2024 : suivez le dernier jour de campagne des têtes de liste et posez vos questions

Suivez avec nous les déplacements et les prises de parole des principales têtes de liste, les débats entre candidats en France et dans les vingt-sept Etats membres, à quelques jours du scrutin.

© Léa Girardot / Le Monde

En RDC, au « Paradis des bonobos », menacés d’extinction

Dans l’unique centre de réhabilitation et de préservation du pays, orphelins et jeunes singes sont recueillis et élevés afin d’être rendus à la vie sauvage dans une réserve gérée par les communautés locales.

© Association Les Amis des bonobos du Congo (ABC) / Raphaël Belais

Yvonne Vela, l’une des mères de substitution du centre Lola ya bonobo avec les deux orphelins Esake et Ingende. Le site de réhabilitation et de préservation est situé à 25 kilomètres de Kinshasa, en République démocratique du Congo (RDC).

Roland-Garros 2024 : le programme du vendredi 7 juin avec les demi-finales messieurs, Alcaraz-Sinner et Ruud-Zverev

L’Espagnol Carlos Alcaraz, l’Italien Jannik Sinner, le Norvégien Casper Ruud et l’Allemand Alexander Zverev sont les derniers rescapés des Internationaux de France.

© ALAIN JOCARD / AFP

L’Espagnol Carlos Alcaraz au retour face au Grec Stefanos Tsitsipas dans un match qu’il a remporté en trois manches, mardi 4 juin, sur le court Philippe-Chatrier de Roland-Garros, à Paris.
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