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Reçu aujourd’hui — 3 novembre 2025

Au Royaume-Uni, l’attaque au couteau dans un train relance un débat déjà envenimé sur l’immigration

Une personne restait en état critique, dimanche soir, après avoir été poignardée. La police, qui ne retient pas la qualification terroriste à ce stade, maintient encore en garde à vue l’une des deux personnes arrêtées.

© Jack Taylor/REUTERS

Un expert médico-légal examine le train où une attaque à l’arme blanche a eu lieu, sur le quai de la gare de Huntingdon, près de Cambridge (Royaume-Uni), le 2 novembre 2025.

EN DIRECT, Gaza : Israël va identifier les trois nouveaux corps qu’il a reçus dimanche

Les Brigades Ezzedine Al-Qassam, la branche armée du Hamas, avaient affirmé dimanche remettre à l’Etat hébreu les dépouilles « de trois soldats israéliens capturés, retrouvés dans la journée sur le tracé de l’un des tunnels du sud de la bande de Gaza ».

© OMAR AL-QATTAA / AFP

Un militant armé du Hamas se tient près d’un véhicule du Comité international de la Croix-Rouge (CICR), alors que la recherche des corps des otages israéliens tués se poursuit, à Gaza, le 2 novembre 2025.

Selon Trump, la Russie et la Chine mènent des essais nucléaires «mais n'en parlent pas»

Le républicain a suscité de vives protestations dans le monde entier quand il a annoncé avoir ordonné au Pentagone de tester les armes nucléaires américaines «sur un pied d’égalité» avec la Russie et la Chine.

© Alexey Babushkin / REUTERS

Le président russe Vladimir Poutine préside une réunion avec des membres du Conseil de sécurité par vidéo au Kremlin à Moscou, Russie, le 24 octobre 2025

Non, chers Français, vous n’êtes pas “la risée du monde”

Entre l’incarcération de Nicolas Sarkozy, le cambriolage du Louvre et l’interminable crise politique, les Français ont l’impression de “se ridiculiser aux yeux du monde”. Mais ils peuvent se rassurer, écrit la journaliste britannique de “The Local” Emma Pearson, les autres pays sont loin de faire mieux.

© Dessin de Balaban, Luxembourg.

Sénégal : derrière le drame des veuves accusées de sorcellerie, des marabouts sans scrupule

Au Sénégal, les veuves sont régulièrement ostracisées, victimes de rumeurs qui les accusent de sorcellerie. Derrière ces accusations fumeuses, des marabouts ou “guérisseurs spirituels” autoproclamés. Ces femmes sont victimes de la haine de la société et de violences intrafamiliales. “Le Soleil” a pu recueillir le témoignage de certaines d’entre elles, meurtries par des années de souffrances psychiques.

© Dessin de Glez paru dans le Journal du Jeudi, Ouagadougou.

Le Grand Musée égyptien au Caire, un projet pharaonique enfin inauguré

Après trois décennies d’attente, Le Caire a inauguré, le 1ᵉʳ novembre, son Grand Musée égyptien. L’institution accueillera les visiteurs à partir du 4 dans ses salles abritant la quasi-totalité des trésors archéologiques de l’Égypte antique. Le président Al-Sissi espère en faire la vitrine du pays, qui boostera le tourisme. Le récit du site “The New Arab”.

© PHOTO ANTOINE LORGNIER/Only France/AFP

Le Grand Musée égyptien ouvre ses portes le 4 novembre 2025, près du site des pyramides de Gizeh, au Caire. Photo prise en juillet 2025.

Comment Rome renaît de ses cendres

Pendant de nombreuses années, la capitale italienne a surtout fait la une des médias internationaux pour “une montagne de problèmes”, de la corruption à la mauvaise gestion des déchets. Mais depuis quelque temps, on respire un air nouveau à Rome, veut croire le média “The Post Internazionale”, qui retrace l’histoire récente de la Ville Éternelle.

© PHOTO STEPHANE ROUILLARD/HANS LUCAS/AFP

Vue du Colisée, à Rome, le 19 septembre 2024.

Un ancien proche d’Erdogan dénonce la dérive du président turc : “Je ne le reconnais plus”

Ancien député de l’AKP récemment exclu pour ses mises en garde contre la dérive du régime, Hüseyin Kocabiyik a été emprisonné à la suite de cette interview au quotidien turc “Cumhuriyet”, que “Courrier international” a décidé de publier.

© Kacper Pempel / REUTERS

Le président Erdogan, photographié ici lors d’une conférence de presse durant une réunion de l’Otan, en Lituanie, le 12 juillet 2023, dirige le pays depuis 2003 et n’entend pas céder le pouvoir. REUTERS/Kacper Pempel/File Photo

OpenAI's Sam Altman Defends $1 Trillion+ Spending Commitments, Predicts Steep Revenue Growth, More Products

3 novembre 2025 à 03:53
TechCrunch reports: OpenAI CEO Sam Altman recently said that the company is doing "well more" than $13 billion in annual revenue — and he sounded a little testy when pressed on how it will pay for its massive spending commitments. His comments came up during a joint interviewon the Bg2 podcast between Altman and Microsoft CEO Satya Nadella about the partnership between their companies. Host Brad Gerstner (who's also founder and CEO of Altimeter Capital) brought upreports that OpenAI is currently bringing in around $13 billion in revenue — a sizable amount, but one that's dwarfed by more than $1 trillion in spending commitments for computing infrastructure that OpenAI has made for the next decade. "First of all, we're doing well more revenue than that. Second of all, Brad, if you want to sell your shares, I'll find you a buyer," Altman said, prompting laughs from Nadella. "I just — enough. I think there are a lot of people who would love to buy OpenAI shares." Altman's answer continued, making the case for OpenAI's business model. "We do plan for revenue to grow steeply. Revenue is growing steeply. We are taking a forward bet that it's going to continue to grow and that not only will ChatGPT keep growing, but we will be able to become one of the important AI clouds, that our consumer device business will be a significant and important thing. That AI that can automate science will create huge value... "We carefully plan, we understand where the technology — where the capability — is going to go, and the products we can build around that and the revenue we can generate. We might screw it up — like, this is the bet that we're making, and we're taking a risk along with that." (That bet-with-risks seems to be the $1.4 trillion in spending commitments — but Altman suggests it's offset by another absolutely certain risk: "If we don't have the compute, we will not be able to generate the revenue or make the models at this kind of scale.") Satya Nadella, Microsoft's CEO, added his own defense, "as both a partner and an investor. There has not been a single business plan that I've seen from OpenAI that they have put in and not beaten it. So in some sense, this is the one place where in terms of their growth — and just even the business — it's been unbelievable execution, quite frankly..."

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[PREVIEW] Painted In Blood : dépression amateur

Par :Stuka
3 novembre 2025 à 03:14

Un an et demi après qu’on ait vu apparaitre une première vidéo de gameplay, Painted In Blood lance son accès anticipé. Annoncé comme un rétro-FPS horrifique, plus on en voyait, et plus on était enthousiastes à l’idée d’enfin pouvoir s’y essayer. Si le premier chapitre disponible est au demeurant assez court – comptez environ trois heures sans chercher tous les secrets –, il permet d’avoir une bonne idée de ce qui nous attendra par la suite. Et si ce n’est pas mauvais, on est tout de même un peu déçus.

Genre : Rétro-FPS, action-horreur | Développeur : MadCraft | Éditeur : Perp Games | Plateforme : Steam | Prix : 9,99 € | Langues : Anglais | Configuration recommandée : CPU Intel Core i7 / AMD Ryzen 7, GPU NVIDIA GeForce GTX 1080, 16 GB de RAM | Date de sortie : 23/10/2025 | Durée : Environ trois heures pour le premier chapitre de l’accès anticipé

Preview effectuée sur la version Steam.

Painted In Blood artist
Painted In Blood fight
Painted In Blood rats
Painted In Blood Fight 2

Joie, allégresse, et jeu vidéo

Painted In Blood nous place dans la peau d’Edward, un artiste peintre mobilisé pour un conflit armé duquel il revient traumatisé. De retour chez lui, il se distancie peu à peu de son épouse, Martha, pour s’enfermer dans la peinture. L’histoire nous est racontée au travers de notes – dont la police d’écriture dénote fortement avec le papier parcheminé sur lesquelles elles sont écrites, mais on y reviendra –, et des monologues du personnage principal en réaction à certains tableaux. Edward semble ainsi se remémorer les évènements qui ont amené à sa situation actuelle, en même temps que le joueur les découvre. C’est assez bien mené, l’écriture est correcte malgré quelques fautes de syntaxe par endroit, et le doublage est convaincant, même si l’acteur avait peut-être fumé trop de sans filtres avant les prises. À noter qu’il est possible de désactiver les éléments narratifs, si vraiment vous n’en avez rien à secouer. Cependant, le scénario, aussi simple soit-il, fonctionne bien pour nous faire ressentir la détresse d’Edward. À tel point qu’après avoir fini le jeu, j’avais juste envie d’aller prendre mes enfants dans mes bras. La narration justifie également la déconnexion du personnage avec le réel, et le monde cauchemardesque que l’on traverse.

Painted In Blood
Je crois qu’il manque un mot.

La direction artistique est par ailleurs très réussie : des environnements 3D très détaillés, des jeux de lumière bien utilisés, on est bien immergé dans l’action. La musique est elle aussi de bonne facture et accompagne parfaitement le déroulement du scénario. De même, les effets de particule résolument modernes agrémentent les gunfights de manière convaincante. Dommage qu’on ait l’impression que ce soient des caches misère. En effet, comme la police d’écriture mentionnée plus haut, certains éléments font très amateur. Certes, c’est le premier jeu du développeur, et c’est de l’accès anticipé. Mais quelques sprites 2D, dont certains ennemis, sont trop brouillons, et les animations trop minimalistes. On a littéralement l’impression que les monstres sont montés sur roulettes. Malheureusement, cet amateurisme se traduit également dans le game design.

Painted In Blood door bug
La porte a eu un petit problème en tombant de ses gonds.

Ô rage ! Ô désespoir… Surtout la rage en fait

Comme dans la section précédente, on va commencer par les trucs bien. D’abord, le level design. MadCraft a le bon goût de ne pas réinventer la roue : on cherche des clefs ou autres items pour ouvrir des portes, et on est régulièrement enfermé dans une arène où il faut tuer tout le monde. Les niveaux ne sont ni trop grands ni trop longs, avec une structure globalement linéaire, offrant parfois un peu plus de liberté dans des zones interconnectées. Il arrive par moment qu’on fasse du backtracking, mais c’est toujours très court, et avec des affrontements à la clef.

Du côté des combats justement, les déplacements sont agréables et rapides, bien aidés par un dash et un sprint – que j’aurai préféré voir retiré pour juste bouger à vitesse maximale en permanence –, et les quatre armes remplissent adéquatement leur rôle. Le pistolet reste utile jusqu’à la fin pour sniper certains ennemis de loin, comme ces saloperies de têtes volantes dégueulasses qui nous crachent dessus et qui ont beaucoup trop de PV. Le shotgun est la machine à DPS, dommage que le tir secondaire élargissant la gerbe de plombs pour, théoriquement, éliminer un plus grand groupe d’ennemis, soit complètement anémique. La SMG et son lance-grenade en tir secondaire est sans doute l’arme la plus efficace en toutes circonstances. Et malheureusement, l’espèce de lanceur de scies circulaires est quelque peu frustrant : capable de découper deux ou trois zombies de base avec son tir secondaire, l’attaque primaire au corps-à-corps permettant de charger un tir plus puissant est finalement bien trop dangereuse à utiliser. On a ainsi l’impression de ne jamais pouvoir utiliser ce si bel instrument de carnage à son plein potentiel.

Painted In Blood chaos
Sorte de mini-boss, le Chaos est finalement assez trivial.

Painted In Blood est développé sous UE5, et est donc forcément plus demandeur que la plupart des rétro-FPS. Cela reste acceptable puisque je tournais autour des 120 fps en 1440p avec une 7800XT. Le seul hic est le stuttering occasionnel lorsque que le jeu charge une nouvelle zone. Heureusement, cela n’arrive jamais pendant les combats. Chose étrange, le phénomène a complètement disparu en passant de Windows 11 à Linux.

Concernant les monstres eux-mêmes, si certains comme celui portant une faux dans chaque main, sont aboutis, d’autres sont plus pénibles qu’autre chose. Ces créatures armées de faux ont une attaque télégraphiée balayant un large arc qu’il faut éviter avec un dash, et restent constament dangereuses grâce à un pouvoir de téléportation. L’espèce de bourreau, en revanche, est un sac à PV qui se déplace surprenamment vite par rapport à son animation, et annonce lui aussi son attaque – un lancer de grenade – quand on s’éloigne. Le jeu nous explique d’ailleurs bien que pour s’en débarasser rapidement, il faut tirer dans sa grenade lorsqu’elle est encore dans sa main. Le problème, c’est que ce glandu ne déclenche pas son lancer de manière fiable. Même lorsqu’on s’en éloigne en le gardant en joue pour attendre le moment opportun, il arrive bien trop souvent qu’il se contente de glisser vers nous à toute vitesse. Je n’ai jamais réussi à manipuler son comportement efficacement, et me suis résolu à bourriner dessus jusqu’à ce que mort s’ensuive. Et si j’ai déjà évoqué ces têtes volantes qu’il faut tuer en trois balles de pistolet (!), je n’ai pas encore parlé de ces saletés d’araignées de mer (en tout cas, c’est ce qui s’en rapproche le plus). Elles aussi se déplacent très vite, infestent certains niveaux, sont capables d’esquiver nos balles, et sortent d’œufs qu’il est possible de détruire. L’inconvénient est que détruire ces œufs ne tue pas la bestiole à l’intérieur, non, non, non. Aucun intérêt de tirer dessus donc, et on passe à côté en espérant ne pas les toucher pour ne pas qu’ils éclosent immédiatement.

Painted In Blood headshot
Les effets des impacts ont de la gueule.

Ces problèmes d’équilibrage sont d’autant plus énervants que Painted In Blood propose des choses intéressantes. On débloque notamment trois pouvoirs qu’on peut activer à la volée : triple dégâts, soin et aura de protection éloignant certains ennemis. Le premier est particulièrement sympathique en combinaison avec la SMG : nos adversaires fondent comme neige au soleil. Cependant, on note là encore un bémol, les orbes violets servant de ressource pour activer ces power-ups sont assez rares, surtout si on ne cherche pas trop les secrets. Une autre mécanique forçant à élaborer des stratégies tourne autour de notre lampe torche. Il est en effet nécessaire de flasher des ennemis spécifiques avant de pouvoir leur éclater la gueule. Cette capacité est soumise à un cooldown, et on fait alors en sorte de pouvoir aligner plusieurs monstres avant de la déclencher, ou on joue avec les plafonds destructibles laissant passer de la lumière pour faire d’une pierre deux coups. La lampe sert aussi à dissiper les fantômes, la boite à jumpscare du jeu qui m’a bien plus cassé les noisettes qu’autre chose, tant se faire crier et foncer dessus par une vague tâche noire est désagréable.

La dernière originalité vient des zones hostiles de certains niveaux, qui s’accompagnent d’hallucinations visuelles et auditives pour nous coller les miquettes. Mourir dans ces zones augmente ce niveau d’hostilité, faisant apparaitre de nouveaux dangers environnementaux, plus d’ennemis, et rendant l’atmosphère encore plus lugubre. Dommage qu’on ne puisse pas faire redescendre cette hostilité. De nouveau, l’idée est bonne mais sous-exploitée.

OK, c’est de l’accès anticipé

Painted In Blood est frustrant. On discerne bien que son développeur a des idées, et les moyens de les réaliser. L’ambiance est très bonne, et même la narration est convaincante. Le level design est soigné et jamais labyrinthique, et la musique fonctionne bien avec l’action. La base des combats est bien pensée, avec des mécaniques qui ajoutent un peu de stratégie aux affrontements, et les quatre armes disponibles actuellement sont suffisantes pour qu’on puisse s’amuser à exploser des monstres par pelletée de douze. Le problème, c’est que le jeu est difficilement recommendable en l’état puisqu’au même prix de dix euros, il y a bien mieux ailleurs. En cause, un manque de finition tant sur les sprites et animations des ennemis, que sur l’équilibrage global du titre. On ne peut qu’espérer que cela s’améliore avec le temps et que Painted In Blood devienne un nouveau classique du rétro-FPS d’horreur.

Vous vous perdez dans l’immensité du catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à séparer le bon grain de l’ivraie.

Alger considère que la résolution de l’Assemblée nationale dénonçant l’accord migratoire de 1968 est pour l’instant une affaire « franco-française »

Le texte non contraignant du Rassemblement national a été voté, jeudi, grâce à l’appui de députés Les Républicains et Horizons. Pour le chef de la diplomatie algérienne, sans communication officielle de Paris, cela reste une « affaire intérieure » française.

© ANNE-CHRISTINE POUJOULAT/AFP

Les députés du Rassemblement National applaudissent après le vote à l’Assemblée nationale de la résolution visant à « dénoncer » l’accord franco-algérien de 1968, à Paris, le 30 octobre 2025.

Après l’apparition de poupées à caractère pédopornographique sur le site de Shein, la haut-commissaire à l’enfance veut convoquer les géants de l’e-commerce

Alors que la plateforme de vente en ligne a assuré avoir retiré de la vente ces objets, Sarah El-Haïry souhaite remonter jusqu’aux fournisseurs et identifier les acheteurs de ces poupées en France.

© KIRILL KUDRYAVTSEV / AFP

Le logo de l’application de la société de commerce électronique Shein sur l’écran d’un smartphone.

Le journaliste Renaud Revel, ancien rédacteur en chef de « L’Express », est mort à 71 ans

Auteur de plusieurs livres, dont l’un doit sortir en janvier 2026, et ancien chroniqueur télé dans l’émission de Cyril Hanouna, il est mort dimanche des suites d’une longue maladie.

© Capture d’écran On n’est pas couché/Youtube

Le journaliste Renaud Revel, sur le plateau de l’émission « On n’est pas couché », sur France 2, diffusée le 8 juin 2013.

Manufacturer Remotely Bricks Smart Vacuum After Its Owner Blocked It From Collecting Data

3 novembre 2025 à 02:34
"An engineer got curious about how his iLife A11 smart vacuum worked and monitored the network traffic coming from the device," writes Tom's Hardware. "That's when he noticed it was constantly sending logs and telemetry data to the manufacturer — something he hadn't consented to." The user, Harishankar, decided to block the telemetry servers' IP addresses on his network, while keeping the firmware and OTA servers open. While his smart gadget worked for a while, it just refused to turn on soon after... He sent it to the service center multiple times, wherein the technicians would turn it on and see nothing wrong with the vacuum. When they returned it to him, it would work for a few days and then fail to boot again... [H]e decided to disassemble the thing to determine what killed it and to see if he could get it working again... [He discovered] a GD32F103 microcontroller to manage its plethora of sensors, including Lidar, gyroscopes, and encoders. He created PCB connectors and wrote Python scripts to control them with a computer, presumably to test each piece individually and identify what went wrong. From there, he built a Raspberry Pi joystick to manually drive the vacuum, proving that there was nothing wrong with the hardware. From this, he looked at its software and operating system, and that's where he discovered the dark truth: his smart vacuum was a security nightmare and a black hole for his personal data. First of all, it's Android Debug Bridge, which gives him full root access to the vacuum, wasn't protected by any kind of password or encryption. The manufacturer added a makeshift security protocol by omitting a crucial file, which caused it to disconnect soon after booting, but Harishankar easily bypassed it. He then discovered that it used Google Cartographer to build a live 3D map of his home. This isn't unusual, by far. After all, it's a smart vacuum, and it needs that data to navigate around his home. However, the concerning thing is that it was sending off all this data to the manufacturer's server. It makes sense for the device to send this data to the manufacturer, as its onboard SoC is nowhere near powerful enough to process all that data. However, it seems that iLife did not clear this with its customers. Furthermore, the engineer made one disturbing discovery — deep in the logs of his non-functioning smart vacuum, he found a command with a timestamp that matched exactly the time the gadget stopped working. This was clearly a kill command, and after he reversed it and rebooted the appliance, it roared back to life. Thanks to long-time Slashdot reader registrations_suck for sharing the article.

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