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Aujourd’hui — 13 juin 2024Actualités numériques

☕️ Le chiffre d’affaires annualisé d’OpenAI aurait doublé en 6 mois

13 juin 2024 à 11:54

L’entreprise de Sam Altman a doublé son chiffre d’affaires (CA) annualisé – la moyenne du CA sur les derniers mois multiplié par 12 – pendant ces 6 derniers mois, selon The Information, relayé par Engadget. Sam Altman aurait communiqué cette information à ses salariés.

Fin 2023, le CA annualisé était de 1,6 milliard de dollars et serait donc passé à 3, 4 milliards. Il était de 1 milliard de dollars à l’été 2023.

Cette augmentation montre l’énorme adoption des outils d’OpenAI depuis la sortie de ChatGPT.

Engadget relève par contre que nous ne savons pas si OpenAI gagne réellement de l’argent jusqu’à présent.

Cette semaine, Apple a annoncé la création d’un partenariat avec OpenAI mais celui-ci ne se convertirait pas directement en chiffre d’affaires pour le créateur de ChatGPT, selon Bloomberg. En effet, « Apple estime que le fait d’intégrer la marque et la technologie d’OpenAI à des centaines de millions de ses appareils a une valeur égale ou supérieure à celle des paiements monétaires », explique le média tenant l’information de sources anonymes.

☕️ Le chiffre d’affaires annualisé d’OpenAI aurait doublé en 6 mois

13 juin 2024 à 11:54

L’entreprise de Sam Altman a doublé son chiffre d’affaires (CA) annualisé – la moyenne du CA sur les derniers mois multiplié par 12 – pendant ces 6 derniers mois, selon The Information, relayé par Engadget. Sam Altman aurait communiqué cette information à ses salariés.

Fin 2023, le CA annualisé était de 1,6 milliard de dollars et serait donc passé à 3, 4 milliards. Il était de 1 milliard de dollars à l’été 2023.

Cette augmentation montre l’énorme adoption des outils d’OpenAI depuis la sortie de ChatGPT.

Engadget relève par contre que nous ne savons pas si OpenAI gagne réellement de l’argent jusqu’à présent.

Cette semaine, Apple a annoncé la création d’un partenariat avec OpenAI mais celui-ci ne se convertirait pas directement en chiffre d’affaires pour le créateur de ChatGPT, selon Bloomberg. En effet, « Apple estime que le fait d’intégrer la marque et la technologie d’OpenAI à des centaines de millions de ses appareils a une valeur égale ou supérieure à celle des paiements monétaires », explique le média tenant l’information de sources anonymes.

Realtek confirme vouloir s'attaquer au SSD PCIe 5.0 haut de gamme, mais à son rythme...

Nous connaissons Realtek surtout pour ses puces audio et réseaux, mais le constructeur fournit des puces en tout genre, et notamment aussi des contrôleurs pour les SSD. Il est vrai que le Taïwanais, peut-être arrivé un peu trop tardivement sur un segment déjà très occupé, n’a jamais vraiment su se h...

ASUS Zenbook 14 UX3405M : un petit laptop qui passe bien dans le sac

13 juin 2024 à 11:42
Aujourd'hui, nous testons le nouveau laptop ZENBOOK 14 OLED (UX3405) de chez ASUS. Ce laptop intègre les derniers processeurs Intel Core Ultra boostés à l'IA. Proposé à 1800 €, il est équipé d'un processeur Intel Core Ultra 7 155H, avec 16 cœurs (6P + 8E + 2 LPE) et 22 threads, des fréquences allant jusqu'à 4,8 GHz et une puissance boostée à 115 watts. Ce processeur dispose également de 24 Mo de cache. Outre le processeur, nous trouvons aussi 32 Go de LPDDR5X et un SSD NVMe de 1 To. Et tout cela pour piloter une dalle OLED de 14 pouces avec une définition de 2880 x 1800 pixels et un taux de rafraîchissement de 120 Hz.

Thermaltake plonge vos composants directement dans un liquide au Computex !

Parfois, les stands du Computex ne sont pas l’occasion de dévoiler des nouveaux produits ni de récolter des avis d’utilisateurs, mais tout bonnement de crâner en affichant ouvertement son savoir-faire, histoire d’attirer les curieux avant de les rerouter vers des produits un tant soit peu plus réali...

Samsung Foundry Unveils Updated Roadmap: BSPDN and 2nm Evolution Through 2027

13 juin 2024 à 11:00

Samsung this week has unveiled its latest process technologies roadmap at the company's Samsung Foundry Forum (SFF) U.S. The new plan covers the evolution of Samsung's 2nm-class production nodes through 2027, including a process technology with a backside power delivery, re-emphasizing plans to bring out a 1.4nm-class node in 2027, and the introduction of a 'high value' 4nm-class manufacturing tech.

Samsung Foundry's key announcements for today are clearly focused on the its 2nm-class process technologies, which are set to enter production in 2025 and will span to 2027, when the company's 1.4-nm class production node is set to enter the scene. Samsung is also adding (or rather, renaming) another 2nm-class node to their roadmap with SF2, which was previously disclosed by Samsung as SF3P and aimed at high-performance devices.

"We have refined and improved the SF3P, resulting in what we now refer to as SF2," a Samsung spokesperson told AnandTech. "This enhanced node incorporates various process design improvements, delivering notable power, performance, and area (PPA) benefits."

Samsung Foundry for Leading-Edge Nodes
Announced on June 12, 2024
Compiled by AnandTech
HVM Start 2023 2024 2025 2026 2027 2027
Process SF3E SF3 SF2
(aka SF3P)
SF2P/SF2X SF2Z SF1.4
FET GAAFET
Power Delivery Frontside Backside (BSPDN) ?
EUV 0.33 NA EUV ? ? ? ?

This is another example of a rebranding of leading-edge fabrication nodes in the recent years by a major chipmaker. Samsung Foundry is not disclosing any specific PPA improvements SF3P has over SF2, and for now is only stating in high-level terms that it will be a better-performing node than the planned SF3P.

Meanwhile, this week's announcement also includes new information on Samsung's next batch of process nodes, which are planned for 2026 and 2027. In 2026 Samsung will have SF2P, a further refinement of SF2 which incorporates 'faster' yet less dense transistors. That will be followed up in 2027 with SF2Z, which adds backside power delivery to the mix for better and higher quality power delivery. In particular, Samsung is targetting voltate drop (aka IR drop) here, which is an ongoing concern in chip design.

Finally, SF1.4, a 1.4nm-class node, is on track for 2027 as well. Interestingly, however, it looks like it does not feature a backside power delivery. Which, per current roadmaps, would have Samsung as the only foundry not using BSPDN for their first 1.4nm/14Å-class node.

"We have optimized BSPDN and incorporated it for the first time in the SF2Z node we announced today," the spokesperson told us. "We will continue to refine this technology and apply it to future nodes, but we don't have a specific timeline to share at this time."

Chip Fab Roadmaps for Leading-Edge Nodes
Data announced during conference calls, events, press briefings and press releases.
Compiled by AnandTech
HVM Start 2023 2024 2025 2026 2027
Intel Process Intel 3 Intel 20A Intel 18A Intel 14A Intel 10A
FET FinFET RibbonFET (GAAFET)
Power Frontside PowerVia (BSPDN)
EUV 0.33 NA EUV 0.55 NA EUV + DSA
Samsung Process SF3E SF3 SF2 SF2P/SF2X SF2Z/SF1.4
FET GAAFET
Power Frontside Backside/?
EUV 0.33 NA EUV ? ? ?
TSMC Process N3E/N3P N3S/N3X N2 A16 A14 (?)
FET FinFET GAAFET
Power Frontside Super Power Rail (BSPDN)
EUV 0.33 NA EUV ?

When compared to other contract fabs, Samsung's roadmap is now roughly in line with the rest in regards to 'nanometer' designations. Though absent further technical disclosures from Samsung, it remains unclear what the actual benefits will be for each node and how they compare to their predecessors, let alone how they'll compare to Intel Foundry and TSMC.

Coreboot To Be Shown Today With An Intel Meteor Lake Laptop

13 juin 2024 à 10:46
Going back to 2022 we've seen work by Intel engineers on adding Meteor Lake SoC support to Coreboot while to date there hasn't been much in the way of actual Intel Core Ultra "Meteor Lake" laptops with Coreboot as a replacement to the proprietary BIOS/firmware. But to be shown later today is one of the first laptop designs using these latest Intel mobile processors and running the Dasharo downstream of Coreboot...

RX 6500 XT : 4 Go de VRAM en plus contre 30 euros supplémentaires, vous prenez ?

La Radeon RX 6500 XT, cette carte vous rappelle des souvenirs ? AMD l’avait lancée en janvier 2022 pour renforcer son entrée de gamme RDNA 2. l’époque, nous avions porté un avis assez mitigé sur cette référence dotée d’un GPU Navi 24 avec 16 unités de calcul activées et associé à 4 Go de VRAM... [Tout lire]

L’Europe va taxer les véhicules électriques chinois, de 17,4 (BYD) à 38,1 % (MG)

13 juin 2024 à 09:09
eVroom
Voiture électrique

L’Europe vient de dévoiler les droits d’importation qu’elle appliquera aux fabricants chinois de voitures électriques. Ils varient entre 17,4 (BYD) et 38,1 % (MG) et pourraient entrer en vigueur dès le 4 juillet si « les discussions avec les autorités chinoises ne devaient pas aboutir à une solution efficace ».

La bataille entre la Chine et l’Europe sur les voitures électriques ne date pas d’hier. En septembre 2023, Ursula von der Leyen rappelait que « notre industrie solaire avait pâti des pratiques commerciales déloyales de la Chine » et que le marché des voitures électriques était en train de faire face aux mêmes travers.

Les griefs portaient sur des entreprises chinoises fortement subventionnées pour écraser la concurrence et rafler le marché. Une « enquête antisubventions sur les véhicules électriques en provenance de Chine » était annoncée. Elle a été ouverte peu de temps après, début octobre.

Les griefs de l’Europe envers la Chine

L’Europe reprochait alors à la Chine l’octroi aux entreprises locales de prêts et crédits à des conditions préférentielles, des réductions, voire des exonérations d’impôts et de taxes. Les griefs portaient aussi sur la fourniture de biens « tels que des matières premières, des intrants, ainsi que des composants » à des tarifs jugés « plus que préférentiels ».

L’approvisionnement en matières premières est un enjeu géopolitique important dans de nombreux secteurs du numérique et de la transition écologique. L’Europe s’est d’ailleurs récemment alliée à l’Australie, une réserve importante de plusieurs matériaux critiques et rares. Idem avec le nickel en Nouvelle-Calédonie.

Ce déséquilibre commercial se combine et surtout accentue la pression des fabricants chinois sur leurs concurrents européens. La conséquence n’est pas à chercher bien loin : une augmentation significative des importations des voitures électriques chinoises, « tant en quantités absolues qu’en parts de marché ».

Pour l’Europe, il y a bien des « subventions déloyales »

Pour réparer son préjudice, l’Europe expliquait qu’une augmentation des droits de douane était prévue. La Commission vient de rendre son verdict et met en œuvre son plan d’action. Elle « conclut provisoirement que les chaînes de valeur des véhicules électriques en Chine bénéficient de subventions déloyales ».

Il s’agit pour le moment de montrer ses muscles, avant de (très) rapidement passer à l’action :

« La Commission a préalablement notifié le niveau des droits compensateurs provisoires qu’elle instituerait sur les importations de véhicules électriques à batterie en provenance de Chine.

Si les discussions avec les autorités chinoises ne devaient pas aboutir à une solution efficace, ces droits compensateurs provisoires seraient introduits à partir du 4 juillet par constitution d’une garantie (selon la forme qui sera décidée par les autorités douanières de chaque État membre). Ils ne seraient perçus que si des droits définitifs sont institués, et à ce moment-là uniquement ».

Jusqu’à 38,1 % pour SAIC (MG)

Pour trois fabricants de voitures chinois retenus dans l’échantillon analysé de près par la Commission, le taux diffère selon les marques. BYD écope du plus faible droit compensateur avec 17,4 %, suivi par Geely (Polestar et Volvo notamment) avec 20 % et enfin 38,1 % pour SAIC (MG entre autres).

Le détail du calcul est envoyé au gouvernement chinois et aux sociétés concernées, qui peuvent évidemment formuler des observations. Le délai est toutefois relativement court : « trois jours ouvrables pour exercer ce droit », peut-on lire dans la foire aux questions.

« Lorsque ces observations apportent suffisamment d’éléments de preuve contribuant à contrebalancer ses calculs, la Commission peut revoir ceux-ci dans le respect du droit de l’Union ».

21 % pour les fabricants qui ont collaboré

Pour les producteurs qui ont coopéré à l’enquête, mais qui ne sont pas retenus dans l’échantillon pour un calcul précis, le taux retenu est de 21 %.

Il s’agit de la moyenne pondérée des taux de l’échantillon. Dans la liste, on retrouve Aiways, Anhui Jianghuai, BMW Brillance, Chery , China FAW, Chongping Changan, Dongfeng Motor, Grat Wall Motor, Leapmotor, Nanjing Golden Dragon, NIO, Tesla et XPeng.

Selon la Commission, Tesla a demandé « un taux de droit calculé individuellement », qui devrait être dévoilé plus tard. Elle ajoute que « tout autre producteur de véhicules électriques à batterie en Chine non retenu dans l’échantillon final et souhaitant que sa situation particulière soit examinée peut demander un réexamen accéléré, conformément au règlement antisubventions de base, immédiatement après l’institution des mesures définitives ».

Par contre, les sociétés qui n’ont pas coopéré écopent du taux maximum mis en place (c’est-à-dire celui de SAIC), soit 38,1 %. Il concerne donc toutes les entreprises qui ne sont pas citées précédemment.

L’UE veut « une concurrence équitable »

La Commission précise enfin que ces droits compensateurs sont dans tous les cas à ajouter « aux droits d’importation ordinaires de 10 % prélevés sur les importations de véhicules électriques à batterie ». Ces derniers sont déjà en place. En octobre, Thierry Breton rappelait que les droits de douane étaient de 27,5 % aux États-Unis pour ces mêmes voitures.

Dans sa foire aux questions, la Commission affirme que « l’objectif n’est pas de fermer le marché de l’UE à de telles importations », mais de « garantir que les industries européennes et chinoises se livrent une concurrence équitable ».

Rendez-vous le 4 juillet 2024… puis en novembre

Désormais, la Commission européenne doit publier au Journal officiel, au plus tard le 4 juillet 2024, « un règlement expliquant en détail les conclusions provisoires ayant conduit à ce niveau de droits. Les droits entreraient en vigueur le lendemain de la publication ». Il s’agit alors de droits provisoires.

Il sera alors temps de voir si une rétroactivité sera aussi mise en place. Ensuite, « l’institution de mesures définitives doit avoir lieu au plus tard 4 mois après celle des droits provisoires », ce qui nous emmène à début novembre.

Sans surprise, Pékin dénonce « un comportement purement protectionniste » et avertit que le pays « prendra toutes les mesures pour défendre fermement ses droits légitimes », comme le rapporte Le Monde.

Pour rappel, en France, les conditions d’obtention du bonus écologique ont évolué depuis le début de l’année, avec une liste très réduite de modèles (pas forcément toutes les références, se référer à l’arrêté) pouvant en profiter : Fiat 500, Renault 5 et Kangoo, Tesla Model Y, Volkswagen ID. 7, Volvo EC40 et EX40. Dacia avec sa Spring et MG avec sa MG4 n’ont même pas déposé de dossier par exemple. La Tesla Model Y dans la liste est celle produite en Allemagne, alors que la Model 3 vient de Chine.

L’Europe va taxer les véhicules électriques chinois, de 17,4 (BYD) à 38,1 % (MG)

13 juin 2024 à 09:09
eVroom
Voiture électrique

L’Europe vient de dévoiler les droits d’importation qu’elle appliquera aux fabricants chinois de voitures électriques. Ils varient entre 17,4 (BYD) et 38,1 % (MG) et pourraient entrer en vigueur dès le 4 juillet si « les discussions avec les autorités chinoises ne devaient pas aboutir à une solution efficace ».

La bataille entre la Chine et l’Europe sur les voitures électriques ne date pas d’hier. En septembre 2023, Ursula von der Leyen rappelait que « notre industrie solaire avait pâti des pratiques commerciales déloyales de la Chine » et que le marché des voitures électriques était en train de faire face aux mêmes travers.

Les griefs portaient sur des entreprises chinoises fortement subventionnées pour écraser la concurrence et rafler le marché. Une « enquête antisubventions sur les véhicules électriques en provenance de Chine » était annoncée. Elle a été ouverte peu de temps après, début octobre.

Les griefs de l’Europe envers la Chine

L’Europe reprochait alors à la Chine l’octroi aux entreprises locales de prêts et crédits à des conditions préférentielles, des réductions, voire des exonérations d’impôts et de taxes. Les griefs portaient aussi sur la fourniture de biens « tels que des matières premières, des intrants, ainsi que des composants » à des tarifs jugés « plus que préférentiels ».

L’approvisionnement en matières premières est un enjeu géopolitique important dans de nombreux secteurs du numérique et de la transition écologique. L’Europe s’est d’ailleurs récemment alliée à l’Australie, une réserve importante de plusieurs matériaux critiques et rares. Idem avec le nickel en Nouvelle-Calédonie.

Ce déséquilibre commercial se combine et surtout accentue la pression des fabricants chinois sur leurs concurrents européens. La conséquence n’est pas à chercher bien loin : une augmentation significative des importations des voitures électriques chinoises, « tant en quantités absolues qu’en parts de marché ».

Pour l’Europe, il y a bien des « subventions déloyales »

Pour réparer son préjudice, l’Europe expliquait qu’une augmentation des droits de douane était prévue. La Commission vient de rendre son verdict et met en œuvre son plan d’action. Elle « conclut provisoirement que les chaînes de valeur des véhicules électriques en Chine bénéficient de subventions déloyales ».

Il s’agit pour le moment de montrer ses muscles, avant de (très) rapidement passer à l’action :

« La Commission a préalablement notifié le niveau des droits compensateurs provisoires qu’elle instituerait sur les importations de véhicules électriques à batterie en provenance de Chine.

Si les discussions avec les autorités chinoises ne devaient pas aboutir à une solution efficace, ces droits compensateurs provisoires seraient introduits à partir du 4 juillet par constitution d’une garantie (selon la forme qui sera décidée par les autorités douanières de chaque État membre). Ils ne seraient perçus que si des droits définitifs sont institués, et à ce moment-là uniquement ».

Jusqu’à 38,1 % pour SAIC (MG)

Pour trois fabricants de voitures chinois retenus dans l’échantillon analysé de près par la Commission, le taux diffère selon les marques. BYD écope du plus faible droit compensateur avec 17,4 %, suivi par Geely (Polestar et Volvo notamment) avec 20 % et enfin 38,1 % pour SAIC (MG entre autres).

Le détail du calcul est envoyé au gouvernement chinois et aux sociétés concernées, qui peuvent évidemment formuler des observations. Le délai est toutefois relativement court : « trois jours ouvrables pour exercer ce droit », peut-on lire dans la foire aux questions.

« Lorsque ces observations apportent suffisamment d’éléments de preuve contribuant à contrebalancer ses calculs, la Commission peut revoir ceux-ci dans le respect du droit de l’Union ».

21 % pour les fabricants qui ont collaboré

Pour les producteurs qui ont coopéré à l’enquête, mais qui ne sont pas retenus dans l’échantillon pour un calcul précis, le taux retenu est de 21 %.

Il s’agit de la moyenne pondérée des taux de l’échantillon. Dans la liste, on retrouve Aiways, Anhui Jianghuai, BMW Brillance, Chery , China FAW, Chongping Changan, Dongfeng Motor, Grat Wall Motor, Leapmotor, Nanjing Golden Dragon, NIO, Tesla et XPeng.

Selon la Commission, Tesla a demandé « un taux de droit calculé individuellement », qui devrait être dévoilé plus tard. Elle ajoute que « tout autre producteur de véhicules électriques à batterie en Chine non retenu dans l’échantillon final et souhaitant que sa situation particulière soit examinée peut demander un réexamen accéléré, conformément au règlement antisubventions de base, immédiatement après l’institution des mesures définitives ».

Par contre, les sociétés qui n’ont pas coopéré écopent du taux maximum mis en place (c’est-à-dire celui de SAIC), soit 38,1 %. Il concerne donc toutes les entreprises qui ne sont pas citées précédemment.

L’UE veut « une concurrence équitable »

La Commission précise enfin que ces droits compensateurs sont dans tous les cas à ajouter « aux droits d’importation ordinaires de 10 % prélevés sur les importations de véhicules électriques à batterie ». Ces derniers sont déjà en place. En octobre, Thierry Breton rappelait que les droits de douane étaient de 27,5 % aux États-Unis pour ces mêmes voitures.

Dans sa foire aux questions, la Commission affirme que « l’objectif n’est pas de fermer le marché de l’UE à de telles importations », mais de « garantir que les industries européennes et chinoises se livrent une concurrence équitable ».

Rendez-vous le 4 juillet 2024… puis en novembre

Désormais, la Commission européenne doit publier au Journal officiel, au plus tard le 4 juillet 2024, « un règlement expliquant en détail les conclusions provisoires ayant conduit à ce niveau de droits. Les droits entreraient en vigueur le lendemain de la publication ». Il s’agit alors de droits provisoires.

Il sera alors temps de voir si une rétroactivité sera aussi mise en place. Ensuite, « l’institution de mesures définitives doit avoir lieu au plus tard 4 mois après celle des droits provisoires », ce qui nous emmène à début novembre.

Sans surprise, Pékin dénonce « un comportement purement protectionniste » et avertit que le pays « prendra toutes les mesures pour défendre fermement ses droits légitimes », comme le rapporte Le Monde.

Pour rappel, en France, les conditions d’obtention du bonus écologique ont évolué depuis le début de l’année, avec une liste très réduite de modèles (pas forcément toutes les références, se référer à l’arrêté) pouvant en profiter : Fiat 500, Renault 5 et Kangoo, Tesla Model Y, Volkswagen ID. 7, Volvo EC40 et EX40. Dacia avec sa Spring et MG avec sa MG4 n’ont même pas déposé de dossier par exemple. La Tesla Model Y dans la liste est celle produite en Allemagne, alors que la Model 3 vient de Chine.

Mise à jour Bbox Must modem routeur juin 2024

Par : ToFoo93
13 juin 2024 à 09:36

Une Mise à jour Bbox Must modem routeur juin 2024 est en cours de déploiement. Les modèles de Bbox concernés par cette mise à jour sont indiqués ci-dessous. Plusieurs améliorations et corrections sont embarquées et communiquées par l’opérateur. Les équipes des produits fixe de l’opérateur procèdent au déploiement d’une nouvelle mise à jour Bbox Modem […]

L'article Mise à jour Bbox Must modem routeur juin 2024 a été publié en premier sur Bbox-Mag

Roku TV Owners Complain That Motion Smoothing Is Stuck 'On' After an Update

Par : BeauHD
13 juin 2024 à 10:00
Roku TV owners are complaining that motion smoothing is "suddenly enabled on their TVs with no way to turn it off," reports The Verge. From the report: Contributors on Reddit and in Roku's community forum reported seeing the change on TCL TVs running on Roku OS 13, as did a few staffers on The Verge. However, for others who have access to "Expert" picture settings, the same update is in place without a change, and the settings to control it are still available. For some people experiencing the problem, they said this is the first time their TV offered Roku's motion smoothing feature at all and that there's nowhere in any menu (either the standard settings or the picture settings available while watching TV) to turn it off. The update notes for Roku OS 13 mention a new "Roku Smart Picture" feature that will optimize based on the content being watched, so there may be a bug there. However, people in older threads have reported similar issues with some Roku devices before. A Roku community moderator responded on the forum that the team is looking into the incident. Roku also offered its typical instructions for disabling the settings, which involves clicking the Star button on the remote during playback and heading to the Action Smoothing submenu under Advanced Picture Settings. [...] Naturally, a lot of people who work in film and television aren't a fan. Star Wars: The Last Jedi director Rian Johnson once went so far as to say it makes "movies look like liquid diarrhea."

Read more of this story at Slashdot.

Microsoft's Azure Linux 2.0 Update Ships Dozens Of Security Patches, Adds Azl-Compliance

13 juin 2024 à 10:02
Microsoft's in-house Linux distribution, Azure Linux (nee CBL-Mariner), is out with a new update. In the first new stable release for Azure Linux 2.0 since late April, the Azure Linux 2.0.20240609 update ships with dozens of security fixes to address a wide range of CVEs as well as bringing various bug fixes and other updates...

☕️ Windows on Arm : MediaTek entre en piste et proposerait son propre SoC

13 juin 2024 à 07:07

Alors que le lancement des Copilot+ PC approche à grands pas (le 18 juin pour rappel), MediaTek fait parler de lui. Le constructeur « développe une puce d’ordinateur personnel basée sur Arm qui exécutera le système d’exploitation Windows », expliquent trois sources à Reuters.

Les portables de la semaine prochaine seront équipés d’une puce Qualcomm Snapdragon X ou Elite, toutes basées sur le jeu d’instruction Arm. Elles intègrent également un NPU pour le traitement des opérations liées à l’intelligence artificielle.

La puce de MediaTek devrait arriver d’ici à la fin de l’année prochaine et, selon Reuters, serait basée sur « les conceptions prêtes à l’emploi d’Arm ». Elle devrait donc reprendre les cœurs CPU et GPU proposé par Arm et pas des versions maison comme Qualcomm. Il n’est pas précisé si un NPU sera intégré, mais on peut supposer que oui vue la place occupée par l’IA, d’autant qu’Arm propose aussi des licences pour des NPU.

MediaTek n’est pas un inconnu dans le monde des SoC Arm : l’entreprise taïwanaise développe depuis maintenant des années des SoC pour les smartphones. Rappelons qu’Apple aussi s’est lancé dans les SoC Arm depuis quelque temps aussi, avec succès.

Comme souvent en pareille situation, MediaTek et Microsoft ont refusé de répondre aux questions de nos confrères.

☕️ Windows on Arm : MediaTek entre en piste et proposerait son propre SoC

13 juin 2024 à 07:07

Alors que le lancement des Copilot+ PC approche à grands pas (le 18 juin pour rappel), MediaTek fait parler de lui. Le constructeur « développe une puce d’ordinateur personnel basée sur Arm qui exécutera le système d’exploitation Windows », expliquent trois sources à Reuters.

Les portables de la semaine prochaine seront équipés d’une puce Qualcomm Snapdragon X ou Elite, toutes basées sur le jeu d’instruction Arm. Elles intègrent également un NPU pour le traitement des opérations liées à l’intelligence artificielle.

La puce de MediaTek devrait arriver d’ici à la fin de l’année prochaine et, selon Reuters, serait basée sur « les conceptions prêtes à l’emploi d’Arm ». Elle devrait donc reprendre les cœurs CPU et GPU proposé par Arm et pas des versions maison comme Qualcomm. Il n’est pas précisé si un NPU sera intégré, mais on peut supposer que oui vue la place occupée par l’IA, d’autant qu’Arm propose aussi des licences pour des NPU.

MediaTek n’est pas un inconnu dans le monde des SoC Arm : l’entreprise taïwanaise développe depuis maintenant des années des SoC pour les smartphones. Rappelons qu’Apple aussi s’est lancé dans les SoC Arm depuis quelque temps aussi, avec succès.

Comme souvent en pareille situation, MediaTek et Microsoft ont refusé de répondre aux questions de nos confrères.

☕️ Starliner : une cinquième fuite détectée… mais tout va bien affirme la NASA

13 juin 2024 à 06:20

Starliner n’en finit visiblement pas d’avoir des fuites. L’une d’entre elles était déjà repérée avant le décollage, deux autres sont arrivées pendant le vol, une quatrième juste après l’amarrage à la Station spatiale internationale et enfin une cinquième vient d’être annoncée. Le porte-parole de la NASA, Josh Finch, explique que cette cinquième fuite avait été détectée au moment du briefing post-amarrage, comme le rapporte SpaceNews.

« Les ingénieurs ont évalué les réserves en hélium en fonction des taux de fuite actuels et ont déterminé que Starliner avait suffisamment de marge pour supporter le voyage de retour depuis la station » vers la Terre, explique la NASA.

Le voyage ne demande que 7h alors que la capsule dispose de 70h d’autonomie avec les fuites actuelles. Tout le temps où Starliner est accroché à la Station spatiale internationale, les collecteurs sont fermés et il n’y a donc pas de fuite d’hélium.

« Les ingénieurs évaluent également une vanne d’isolement d’oxydant RCS [Reaction Control System ou système de pilotage par jets de gaz, ndlr] dans le module de service qui n’est pas correctement fermée », ajoute l’Agence spatiale américaine.

Le retour de la mission est programmé au plus tôt le mardi 18 juin, « en fonction de la météo et de l’état de préparation du vaisseau spatial ». En attendant, « Starliner est autorisé à effectuer des scénarios de retour d’urgence de l’équipage de la station spatiale, si nécessaire, conformément aux règles de vol ».

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