Pour le dernier week-end de campagne, à Marseille, Toulouse et Paris, « insoumis », socialistes, communistes et écologistes se sont affrontés plus ou moins brutalement. De quoi laisser présager une recomposition chaotique au lendemain du scrutin.
Le leader de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, s’exprime lors du dernier rassemblement électoral du principal candidat de LFI aux élections européennes, à Toulouse, le 1er juin 2024.
Malgré un premier set d’exception où il a baladé l’Italien, le dernier rescapé du camp tricolore masculin a été éliminé en huitième de finale, dimanche, par le numéro deux mondial (2-6, 6-3, 6-2, 6-1).
Dans un communiqué, le bureau politique du mouvement indépendantiste exige que le chef de l’Etat soit « explicite dans ses propos en affirmant clairement qu’il ne convoquera pas le Congrès de Versailles » pour voter le projet d’élargissement du corps électoral.
Un barrage filtrant installé par des indépendantistes sur la RT1 au niveau de la tribu de Saint-Laurent, à Païta, en Nouvelle-Calédonie, le 24 mai 2024.
Yoav Gallant avait déjà fait part, mi-mai, de son opposition à un contrôle militaire et politique par Israël de la bande de Gaza, où le Hamas a pris le pouvoir en 2007.
« C’est un bon groupe, une grosse équipe. Je suis très fier d’eux », a déclaré le capitaine français, Paulin Riva, après la rencontre. « Nous avons fait preuve d’une énorme défense ce soir ».
A Saint-Symphorien, le match retour du barrage d’accession à la L1 entre les Verts et les Grenats a tenu toutes ses promesses. En marquant à la 116e minute, l’avant-centre stéphanois Ibrahima Wadji est devenu le sauveur du peuple vert.
Saint-Etienne’s French goalkeeper #30 Gautier Larsonneur (L) jumps to save a ball as he fights with Metz’s French-Algerian defender #22 during the French L1-L2 playoff football match between FC Metz and AS Saint-Etienne at the Saint-Symphorien Stadium in Longeville-les-Metz, eastern France on June 2, 2024. (Photo by Frederick FLORIN / AFP)
Yoav Gallant avait déjà fait part, mi-mai, de son opposition à un contrôle militaire et politique par Israël de la bande de Gaza, où le Hamas a pris le pouvoir en 2007.
Le Rassemblement national a estimé, auprès de l’Agence France-Presse, que la publication était « tout à fait légale », l’image ne montrant pas « le visage d’un gendarme ».
Corentin Moutet a perdu en huitièmes de finale face au n° 2 mondial, l’Italien Jannik Sinner, dimanche soir sur le court Philippe-Chatrier (2-6, 6-3, 6-2, 6-1). Les têtes de série Iga Swiatek, Coco Gauff, Stéfanos Tsitsipas et Carlos Alcaraz ont validé leurs billets pour les quarts de finale.
Le 6 juin 1944, plus de soixante-dix résistants détenus à la maison d’arrêt de Caen furent exécutés. Leurs dépouilles n’ont jamais été retrouvées. La présence annoncée, cette année, d’Emmanuel Macron sur les lieux du massacre pourrait mettre un peu de lumière sur ces héros privés de sépultures.
Sous couvert d’aider ses ressortissants à l’étranger, cette fondation du ministère des affaires étrangères russe finance des projets de désinformation et la défense légale de suspects d’espionnage.
Dans un entretien au « Monde », l’historienne de la colonisation retrace la mémoire kanak de la colonie de peuplement, ainsi que la spoliation de leurs terres par la France. La crise actuelle vient raviver les traumatismes de ce passé.
Dernier Français en lice dans le tableau masculin, Corentin Moutet aura fort à faire, dimanche dans la soirée, face à l’Italien Jannik Sinner, numéro 2 mondial. Iga Swiatek, Coco Gauff, Stefanos Tsitsipas et Carlos Alcaraz ont déjà validé leur billet pour les quarts de finale.
Le continent le plus jeune du monde est le dernier à entamer sa transition démographique. La population africaine continue de croître à un rythme soutenu, au risque de neutraliser les effets de la croissance économique.
Coco Ngoy, 42 ans, avec ses enfants chez elle à Lubumbashi, en République démocratique du Congo, le 21 juin 2023. Son mari a été licencié après un accident, la plupart des enfants ont dû arrêter d’aller à l’école.
Il reste 52 millions d’euros dans la réserve de la Société de livraison des ouvrages olympiques. Les discussions sont en cours pour en rétrocéder une bonne part à ses cofinanceurs : l’Etat et plusieurs collectivités territoriales.
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