Student-Built Rocket Breaks Multiple 20-Year Spaceflight Records
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Un an après avoir investi 4 milliards de dollars dans Anthropic, Amazon double la mise : la société vient en effet d’annoncer qu’elle allait apporter 4 milliards de dollars de fonds supplémentaires à cette startup spécialisée dans l’IA, éditrice des grands modèles de langage Claude. En dépit de ces 8 milliards de dollars d’investissement, Amazon reste à ce stade un actionnaire minoritaire d’Anthropic, prend soin de préciser la startup.
Cet apport d’argent frais intervient dans le cadre d’un partenariat plus global entre les deux entreprises qui fait d’AWS, la division cloud d’Amazon, le principal partenaire d’Anthropic en matière d’infrastructures, qu’il s’agisse de faire tourner les modèles au quotidien ou de les entraîner.
Anthropic indique par ailleurs renforcer sa collaboration avec les Annapurna Labs d’AWS, l’entité chargée de développer les accélérateurs Trainium dédiés à l’IA, dont la deuxième génération avait été présentée fin 2023 par Amazon. « Grâce à une collaboration technique approfondie, nous écrivons des noyaux de bas niveau qui nous permettent d’interagir directement avec le silicium Trainium et de contribuer à la pile logicielle AWS Neuron pour renforcer Trainium », écrit Anthropic.
Soutenue par Amazon, mais aussi par Google (2 milliards de dollars investis à l’automne 2023), Anthropic se positionne comme la grande rivale d’OpenAI sur le marché en plein essor de l’intelligence artificielle générative. Début septembre, l’entreprise a par exemple lancé une offre baptisée Claude for Enterprise, qui concurrence directement la formule dédiée aux grands comptes de ChatGPT.
Le fabricant de batteries électriques suédois aux ambitions européennes a demandé sa mise sous protection du chapitre 11 de la loi sur les faillites américaines. Il espère pouvoir se relever grâce à cette procédure, mais il semble que Northvolt ait perdu la confiance des groupes automobiles comme Volvo ou BMW.
Sale temps pour l’industrie des batteries en Europe. L’annonce par Northvolt de sa demande d’être mise sous la protection du chapitre 11 de la loi sur les faillites des États-Unis, publiée dans la nuit de jeudi 21 à vendredi 22 novembre en est réellement un symbole.
L’entreprise européenne a pu profiter de cette disposition américaine, car elle a quelques activités en Californie. Néanmoins, ses activités sont principalement concentrées en Europe, notamment avec son usine historique de Skellefteå au nord de la Suède.
Son PDG, Peter Carlsson, a, dans la foulée, démissionné de son poste tout en restant au sein de l’entreprise, devenant un conseiller « senior ». Northvolt avait pourtant comme ambition d’être le meneur de l’industrie européenne des batteries.
Northvolt était pourtant encore qualifiée en juin dernier par Bloomberg de « plus grand et le plus prometteur fabricant de batteries du continent ».
Le président intérimaire du conseil d’administration, Tom Johnstone, veut rassurer en expliquant que « cette étape décisive permettra à Northvolt de poursuivre sa mission d’établir une base industrielle européenne pour la production de batteries […] Malgré les défis à court terme, cette action visant à renforcer notre structure de capital nous permettra de répondre à la demande continue du marché pour l’électrification des véhicules. Nous sommes également satisfaits du fort soutien que nous avons reçu de la part de nos prêteurs existants et de nos clients ».
L’entreprise promet que cette procédure va lui permettre de « restructurer sa dette, d’adapter son activité aux besoins actuels de ses clients et d’assurer une base durable pour la poursuite de ses activités ». Elle explique que ce redressement judiciaire va lui permettre d’avoir accès à 145 millions de dollars (139 millions d’euros) de trésorerie qui peuvent l’aider à retomber sur ses pieds.
Elle ajoute qu’elle va continuer à « effectuer des livraisons à ses clients, tout en remplissant ses obligations envers les fournisseurs essentiels et en payant les salaires de ses employés ».
Rappelons que l’entreprise a annoncé la suppression de 1 600 emplois en septembre dernier (un quart de ses effectifs mondiaux). Elle avait aussi expliqué qu’elle suspendait de nouveaux projets dans son usine historique.
Début novembre, le média suédois Nu.se expliquait que les autorités suédoises étaient saisies par plusieurs entreprises pour des impayés de Northvolt dont le montant total atteignait les 474 millions de couronnes suédoises (41 millions d’euros).
L’entreprise, fondée par deux anciens salariés de Tesla, a pour principaux actionnaires Volkswagen et BMW. Scania ou encore Volvo ont participé aux différentes levées de fonds depuis sa création.
Mais les relations avec ces constructeurs deviennent tendues. Volvo a, par exemple, annoncé le 30 octobre dernier sa volonté de racheter les parts de Northvolt dans la coentreprise NOVO Energie qu’elles avaient créée récemment pour la construction d’une usine de cellules de batteries à Göteborg. BMW avait aussi précédemment annulé une commande de 2 milliards d’euros en juin dernier.
Les difficultés de Northvolt symbolisent bien celles du secteur entier en Europe. ACC, la coentreprise entre Stellantis, Mercedes et TotalEnergies a annoncé aux Echos que son site de Billy-Berclau devrait avoir produit en 2024 entre 2 000 et 4 000 packs de batteries. « C‘est beaucoup moins que ce que nous envisagions en début d’année », expliquait à nos confrères le PDG Yann Vincent.
Pendant ce temps-là, le chinois CATL cherche à faire de l’Europe son sous-traitant de batteries, comme l’expliquait Challenges en début d’année, en installant des usines au Portugal ou en Allemagne, par exemple.
Le plus grand fabricant mondial de batteries pour véhicules électriques est actuellement en discussion avec les autorités européennes, annonçait récemment Bloomberg, pour installer des usines de recyclage de batteries sur le sol européen ainsi qu’une usine de production de cellules en Hongrie qui pourrait ouvrir dans la deuxième moitié de l’année 2025.