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Reçu aujourd’hui — 12 novembre 2025Actualités numériques

☕️ Avec son Private AI Compute, Google copie le cloud privé d’Apple pour l’IA

12 novembre 2025 à 15:20

En 2024, Apple présentait son Private Cloud Compute. L’idée était de ne déporter dans le cloud que les requêtes LLM les plus complexes (les autres fonctionnant en local) pour les exécuter dans un environnement dédié, fonctionnant sur des puces maison et bardé de protections pour que les échanges soient privés. Apple avait décrit les grandes lignes de sa sécurité.

Ce 11 novembre, Google a annoncé un programme similaire, nommé Private AI Compute. Un nom calqué sur celui d’Apple qui renvoie à des caractéristiques pratiquement identiques (pdf) : utilisation des puces TPU maison, enclave sécurisée équivalente à celle des téléphones (Titanium Intelligence Enclaves), préservation de la confidentialité des échanges, utilisation des mêmes modèles (Gemini), etc.

Le discours est lui aussi le même : aujourd’hui, de nombreuses opérations sont réalisées localement, mais la puissance manque rapidement quand la requête devient plus complexe. Puisqu’une exécution entièrement locale n’est pas possible, autant envoyer les requêtes dans un « espace sécurisé et fortifié », « tout en veillant à ce que vos données personnelles restent privées et ne soient accessibles à personne d’autre, pas même à Google », promet l’entreprise.

Le fait de lancer une telle initiative va cependant plus loin que de reprendre l’idée d’Apple : en l’adoptant, Google valide la démarche de l’entreprise de Cupertino, alors même que celle-ci semble pour l’instant très en retard. Certaines rumeurs récentes ont évoqué des réunions entre Apple et Google, afin que la première utilise les LLM de la seconde. Le résultat serait alors équivalent côté utilisateur : des modèles Gemini et une architecture très similaire, avec chiffrement et couches multiples de protection.

Le Private AI Compute de Google est déjà actif. Magic Cue, responsable des suggestions contextuelles sur la gamme Pixel 10, l’utilise par exemple. Même chose pour Recorder, dont le résumé des transcriptions peut être appliqué à un plus grand nombre de langues. Gemini Nano reste utilisé pour les opérations locales, mais à la manière d’Apple l’année dernière, Google ne dit pas précisément comment la bascule s’opère.

☕️ Avec son Private AI Compute, Google copie le cloud privé d’Apple pour l’IA

12 novembre 2025 à 15:20

En 2024, Apple présentait son Private Cloud Compute. L’idée était de ne déporter dans le cloud que les requêtes LLM les plus complexes (les autres fonctionnant en local) pour les exécuter dans un environnement dédié, fonctionnant sur des puces maison et bardé de protections pour que les échanges soient privés. Apple avait décrit les grandes lignes de sa sécurité.

Ce 11 novembre, Google a annoncé un programme similaire, nommé Private AI Compute. Un nom calqué sur celui d’Apple qui renvoie à des caractéristiques pratiquement identiques (pdf) : utilisation des puces TPU maison, enclave sécurisée équivalente à celle des téléphones (Titanium Intelligence Enclaves), préservation de la confidentialité des échanges, utilisation des mêmes modèles (Gemini), etc.

Le discours est lui aussi le même : aujourd’hui, de nombreuses opérations sont réalisées localement, mais la puissance manque rapidement quand la requête devient plus complexe. Puisqu’une exécution entièrement locale n’est pas possible, autant envoyer les requêtes dans un « espace sécurisé et fortifié », « tout en veillant à ce que vos données personnelles restent privées et ne soient accessibles à personne d’autre, pas même à Google », promet l’entreprise.

Le fait de lancer une telle initiative va cependant plus loin que de reprendre l’idée d’Apple : en l’adoptant, Google valide la démarche de l’entreprise de Cupertino, alors même que celle-ci semble pour l’instant très en retard. Certaines rumeurs récentes ont évoqué des réunions entre Apple et Google, afin que la première utilise les LLM de la seconde. Le résultat serait alors équivalent côté utilisateur : des modèles Gemini et une architecture très similaire, avec chiffrement et couches multiples de protection.

Le Private AI Compute de Google est déjà actif. Magic Cue, responsable des suggestions contextuelles sur la gamme Pixel 10, l’utilise par exemple. Même chose pour Recorder, dont le résumé des transcriptions peut être appliqué à un plus grand nombre de langues. Gemini Nano reste utilisé pour les opérations locales, mais à la manière d’Apple l’année dernière, Google ne dit pas précisément comment la bascule s’opère.

Valve's Open-Source Radeon Linux Driver "Love Song For Gamers With Old GPUs"

12 novembre 2025 à 15:13
As covered recently on Phoronix there has been several exciting improvements for aging AMD Radeon GCN 1.0 and GCN 1.1 era graphics cards for the open-source AMD Linux graphics driver stack. This work has been led by Timur Kristóf of Valve's Linux Open-Source Graphics Driver Group with an ultimate goal of shifting the GCN 1.0/1.1 open-source Linux driver hardware support from the aging "Radeon" kernel graphics driver over to the "AMDGPU" kernel driver already used by default for all AMD GPUs/accelerators from GCN 1.2 and newer...

Le Ryzen 5 7500X3D est lancé. Enfin un Ryzen 5 avec 3D V-Cache disponible en France, par contre le prix pique...

Jusqu'à présent, les  AMD Ryzen 5 X3D avec 3D V-Cache et la France n'étaient qu'une succession de rendez-vous manqués. Le Ryzen 5 5600X3D lancé en juillet 2023 ? Il n'aura finalement jamais disponible en France durant sa courte commercialisation. Le Ryzen 5 7600X3D lancé en septembre 2024 ? On y a c...

Airbnb Rival Sonder Abruptly Shuts Down, Orders Guests To Leave

Par :msmash
12 novembre 2025 à 15:27
Sonder, a short-term rental company and former Airbnb rival, abruptly went out of business after Marriott ended its licensing deal on Nov. 9 -- leaving guests scrambling as they were told to vacate their rooms immediately. From a report: Paul Strack, 63, visiting Boston from Little Rock, Arkansas, told CBS News he received an email from Marriott on Sunday about his Sonder stay, but he initially mistook it for a scam. The email said that Marriott's agreement with Sonder had ended, and that "we are unable to continue your reservation beyond today." "[W]e are kindly requesting that you check out of the property as soon as you are able," the email read, according to a copy obtained by CBS News. Because he had mistaken it for spam, he ignored it. But on Monday, after exploring Boston and returning to the family's accommodation at the end of the day, Strack found his room's door wide open and his family's belongings packed up and left in a hallway. [...] Sonder on Monday said it would wind down operations immediately, and that it expects to file for Chapter 7 bankruptcy to liquidate its U.S. assets. The company describes itself as a global operator of "premium, design-forward apartments and intimate boutique hotels serving the modern traveler" that has faced financial challenges related to its agreement with Marriott, which the hotel chain terminated on Sunday.

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☕️ OpenAI condamnée en Allemagne pour l’utilisation de paroles de chansons dans GPT-4 et 4o

12 novembre 2025 à 14:58

L’un des tribunaux régionaux de Munich s’est prononcé ce mardi 11 novembre en faveur du lobby de l’industrie musicale allemande GEMA dans une affaire l’opposant à OpenAI.

Le jugement concerne l’utilisation des paroles de chansons de neuf auteurs allemands connus, dont « Atemlos » de Kristina Bach et le fameux « Wie schön, dass du geboren bist » de Rolf Zuckowski.

La cour donne raison à la GEMA, autant sur « la mémorisation dans les modèles linguistiques » des paroles que leur reproduction dans les résultats du chatbot : les deux, selon elle, constituent des atteintes des droits d’exploitation du copyright. Ces utilisations « ne sont couvertes par aucune limitation [du copyright] et notamment pas par la limitation relative à la fouille de données et de textes », commente le tribunal dans son communiqué.

« La chambre estime que les paroles litigieuses sont reproduites dans les modèles linguistiques 4 et 4o », explique-t-il.

Le tribunal considère qu’une « perception indirecte » de la mémorisation dans les modèles linguistiques est un indice suffisant pour la démontrer en se fondant sur la jurisprudence de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE). En l’occurence, le fait que ChatGPT a « rendu accessibles au public les paroles des chansons » est considéré comme une preuve indirecte de cette mémorisation en plus d’être une preuve directe de leur reproduction dans ses résultats.

« Nous sommes en désaccord avec la décision, et nous étudions les prochaines démarches possibles », a déclaré OpenAI à l’AFP. L’entreprise souligne également que le jugement ne concernerait que les textes qui figurent dans la plainte de la GEMA.

C’est « une victoire historique pour la GEMA », selon le cabinet d’avocats qui l’accompagne. « C’est la première fois qu’un tribunal allemand confirme que les entreprises d’IA ne peuvent pas utiliser des contenus protégés par le copyright ». « Cette décision rendue à Munich apporte une sécurité juridique aux professionnels de la création, aux éditeurs de musique et aux plateformes dans toute l’Europe, et elle est susceptible de créer un précédent dont l’impact s’étendra bien au-delà des frontières allemandes », ajoutent les représentants du lobby musical allemand.

Le tribunal n’a pas donné les détails des dédommagements que devra verser OpenAI.

☕️ OpenAI condamnée en Allemagne pour l’utilisation de paroles de chansons dans GPT-4 et 4o

12 novembre 2025 à 14:58

L’un des tribunaux régionaux de Munich s’est prononcé ce mardi 11 novembre en faveur du lobby de l’industrie musicale allemande GEMA dans une affaire l’opposant à OpenAI.

Le jugement concerne l’utilisation des paroles de chansons de neuf auteurs allemands connus, dont « Atemlos » de Kristina Bach et le fameux « Wie schön, dass du geboren bist » de Rolf Zuckowski.

La cour donne raison à la GEMA, autant sur « la mémorisation dans les modèles linguistiques » des paroles que leur reproduction dans les résultats du chatbot : les deux, selon elle, constituent des atteintes des droits d’exploitation du copyright. Ces utilisations « ne sont couvertes par aucune limitation [du copyright] et notamment pas par la limitation relative à la fouille de données et de textes », commente le tribunal dans son communiqué.

« La chambre estime que les paroles litigieuses sont reproduites dans les modèles linguistiques 4 et 4o », explique-t-il.

Le tribunal considère qu’une « perception indirecte » de la mémorisation dans les modèles linguistiques est un indice suffisant pour la démontrer en se fondant sur la jurisprudence de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE). En l’occurence, le fait que ChatGPT a « rendu accessibles au public les paroles des chansons » est considéré comme une preuve indirecte de cette mémorisation en plus d’être une preuve directe de leur reproduction dans ses résultats.

« Nous sommes en désaccord avec la décision, et nous étudions les prochaines démarches possibles », a déclaré OpenAI à l’AFP. L’entreprise souligne également que le jugement ne concernerait que les textes qui figurent dans la plainte de la GEMA.

C’est « une victoire historique pour la GEMA », selon le cabinet d’avocats qui l’accompagne. « C’est la première fois qu’un tribunal allemand confirme que les entreprises d’IA ne peuvent pas utiliser des contenus protégés par le copyright ». « Cette décision rendue à Munich apporte une sécurité juridique aux professionnels de la création, aux éditeurs de musique et aux plateformes dans toute l’Europe, et elle est susceptible de créer un précédent dont l’impact s’étendra bien au-delà des frontières allemandes », ajoutent les représentants du lobby musical allemand.

Le tribunal n’a pas donné les détails des dédommagements que devra verser OpenAI.

AI Bubble Is Ignoring Michael Burry's Fears

Par :msmash
12 novembre 2025 à 14:50
An anonymous reader shares a report: Costing tens of thousands of dollars each, Nvidia's pioneering AI chips make up a hefty chunk of the $400 billion that Big Tech plans to invest this year -- a bill expected to hit $3 trillion by 2029. But unlike 19th-century railroads, or the Dotcom boom's fiber-optic cables, the GPUs fueling today's AI mania are short-lived assets with a shelf life of perhaps five years. As with your iPhone, this stuff tends to lose value and may need upgrading soon because Nvidia and its rivals aim to keep launching better models. Customers like OpenAI will have to deploy them to stay competitive. So while it's comforting that the companies spending most wildly have mountains of cash to throw around (OpenAI aside), the brief useful life of the chips and the generous accounting assumptions underpinning all of this investment are less consoling. Michael Burry, who made his name betting against US housing and who's recently turned to the AI boom, waded in this week, warning on X that hyperscalers -- industry jargon for the giant companies building gargantuan data centers -- are underestimating depreciation. Far from being a one-off outlay, there's a danger of AI capex becoming a huge recurring expense. That's great for Nvidia and co., but not necessarily for hyperscalers such as Google and Microsoft. Some face a depreciation tsunami that's forcing them to be extra vigilant about controlling other costs. Amazon has plans to eliminate roughly 14,000 jobs. And while Wall Street is used to financing fast-depreciating assets such as aircraft and autos, it's worrying that private credit funds are increasingly using GPUs as collateral to finance loans. This includes lending to more speculative startups known as neoclouds, who offer GPUs for rent. Microsoft alone has signed more than $60 billion of neocloud deals.

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Researchers Surprised That With AI, Toxicity is Harder To Fake Than Intelligence

Par :msmash
12 novembre 2025 à 14:02
Researchers from four universities have released a study revealing that AI models remain easily detectable in social media conversations despite optimization attempts. The team tested nine language models across Twitter/X, Bluesky and Reddit, developing classifiers that identified AI-generated replies at 70 to 80% accuracy rates. Overly polite emotional tone served as the most persistent indicator. The models consistently produced lower toxicity scores than authentic human posts across all three platforms. Instruction-tuned models performed worse than their base counterparts at mimicking humans, and the 70-billion-parameter Llama 3.1 showed no advantage over smaller 8-billion-parameter versions. The researchers found a fundamental tension: models optimized to avoid detection strayed further from actual human responses semantically.

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Ryanair Tries Forcing App Downloads By Eliminating Paper Boarding Passes

Par :BeauHD
12 novembre 2025 à 13:00
An anonymous reader quotes a report from Ars Technica: Ryanair is trying to force users to download its mobile app by eliminating paper boarding passes, starting on November 12. As announced in February and subsequently delayed from earlier start dates, Europe's biggest airline is moving to digital-only boarding passes, meaning customers will no longer be able to print physical ones. In order to access their boarding passes, Ryanair flyers will have to download Ryanair's app. "Almost 100 percent of passengers have smartphones, and we want to move everybody onto that smartphone technology," Ryanair CEO Michael O'Leary said recently on The Independent's daily travel podcast. Customers are encouraged to check in online via Ryanair's website or app before getting to the airport. People who don't check in online before getting to the airport will have to pay the airport a check-in fee. "There'll be some teething problems," O'Leary said of the move.

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Meta Chief AI Scientist Yann LeCun Plans To Exit To Launch Startup

Par :BeauHD
12 novembre 2025 à 10:00
According to the Financial Times (paywalled), Meta's Chief AI Scientist Yann LeCun, a deep-learning pioneer and Turing Award winner, is reportedly leaving the company to launch his own startup. Reuters reports: The owner of Facebook and Instagram has significantly increased its investments in artificial intelligence, with CEO Mark Zuckerberg reorganizing the company's AI initiatives under Superintelligence Labs. Zuckerberg hired Alexandr Wang, former CEO of data-labeling startup Scale AI to lead the new AI effort. As a result, LeCun, who had reported to chief product officer Chris Cox, is now reporting to Wang, the report said. The company began investing in AI in 2013 by launching Facebook Artificial Intelligence Research (FAIR) unit and recruiting LeCun, who is a known skeptic of the large language model path to superintelligence. LeCun is also a Silver Professor of data science, computer science, neural science and electrical and computer engineering at New York University, according to his LinkedIn page. He is known for his work in deep learning and the invention of the convolutional neural network, which is widely used for image, video and speech recognition.

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Sun Unleashes Strongest Solar Flare of 2025

Par :BeauHD
12 novembre 2025 à 07:00
New submitter UsRanger175 shares a report from Space.com: The sun erupted in spectacular fashion this morning (Nov. 11), unleashing a major X5.1-class solar flare, the strongest of 2025 so far and the most intense since October 2024. The eruption peaked at 5 a.m. EST (1000 GMT) from sunspot AR4274, which has been bursting with activity in recent days. The blast triggered strong (R3-level) radio blackouts across Africa and Europe, disrupting high-frequency radio communications on the sunlit side of Earth. This outburst is the latest in a series of intense flares from AR4274, which also produced an X1.7 flare on Nov. 9 and an X1.2 on Nov. 10. Those flares were accompanied by coronal mass ejections (CMEs) that could combine and impact Earth overnight tonight, possibly triggering strong (G3) geomagnetic storm conditions and widespread auroras, according to NOAA's Space Weather Prediction Center. The CME released today could also join the party as it speeds toward Earth at 4.4 million mph. NOAA predicts the CME could impact Earth around midday on Nov. 12. With this third CME added to the mix, it's possible that we could experience severe (G4) geomagnetic storm conditions.

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China's EV Market Is Imploding

Par :BeauHD
12 novembre 2025 à 03:30
An anonymous reader quotes a report from The Atlantic: In China, you can buy a heavily discounted "used" electric car that has never, in fact, been used. Chinese automakers, desperate to meet their sales targets in a bitterly competitive market, sell cars to dealerships, which register them as "sold," even though no actual customer has bought them. Dealers, stuck with officially sold cars, then offload them as "used," often at low prices. The practice has become so prevalent that the Chinese Communist Party is trying to stop it. Its main newspaper, The People's Daily, complained earlier this year that this sales-inflating tactic "disrupts normal market order," and criticized companies for their "data worship." This sign of serious problems in China's electric-vehicle industry may come as a surprise to many Americans. The Chinese electric car has become a symbol of the country's seemingly unstoppable rise on the world stage. Many observers point to their growing popularity as evidence that China is winning the race to dominate new technologies. But in China, these electric cars represent something entirely different: the profound threats that Beijing's meddling in markets poses to both China and the world. Bloated by excessive investment, distorted by government intervention, and plagued by heavy losses, China's EV industry appears destined for a crash. EV companies are locked in a cutthroat struggle for survival. Wei Jianjun, the chairman of the Chinese automaker Great Wall Motor, warned in May that China's car industry could tumble into a financial crisis; it "just hasn't erupted yet." To bypass government censorship of bad economic news, market analysts have opted for a seemingly anodyne term to describe the Chinese car industry's downward spiral: involution, which connotes falling in on oneself.

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AMD trace sa route jusqu’à Zen 7 et garde le silence sur RDNA 5

Dans le cadre de son Financial Analyst Day, AMD a partagé plusieurs diapositives plus ou moins instructives. Bien que sommaire et chiche en détails, l’une d’elles, titrée Leadership CPU Core Roadmap, officialise pour la première fois l’architecture Zen 7... [Tout lire]

Kernelcom : un combo MiniPC-clavier-écran sur Kickstarter

12 novembre 2025 à 14:12

Lancé sur Kickstarter, le Kernelcom se présente comme un clavier avec un écran attaché à une charnière. Une description de portable, mais une réalité un peu différente même si l’engin propose bien une batterie.

Kernelcom

Le Kernelcom

L’idée du Kernelcom est d’avoir une solution avec certes un écran intégré, mais au contraire d’un Ajazz AKP846 par exemple, il enferme un cœur de MiniPC. Son format d’écran en fait un affichage plus secondaire que primaire. La minimachine propose en effet tout ce qu’il faut pour connecter les accessoires traditionnels d’un MiniPC classique et ajoute à cette base un clavier mécanique et une dalle OLED de 12.5″.

On pourra se servir de l’écran comme solution principale. Mais ça ne sera pas forcément confortable. La définition annoncée et un 1920 x 720 pixels en 24:9 avec un rafraichissement de 75 Hz. Pas la hauteur de page idéale pour de nombreux usages. Ce sera par contre parfait pour afficher des informations secondaires. Lumineux et tactile avec 10 points de contact, le petit écran permettra d’héberger des informations, barres d’outils et autres éléments en plus d’un écran classique perché au-dessus.

Le Kernelcom propose toute la connectique classique d’un MiniPC lambda. On retrouve une sortie vidéo HDMI pour connecter un écran ainsi qu’un port USB Type-C avec du DisplayPort. Deux ports USB 3.2 Type-A et un USB 2.0 Type-A permettront de brancher souris, webcam et autres. Un module sans fil complet sera également de la partie et la batterie comme la machine se rechargeront en Power Delibery 20V / 2 A. Une autonomie de 8 heures, sans plus de précision, est annoncée.

La partie clavier est en QWERTY avec des touches mécaniques Low-Profile Outemu Bleues et décorées par des LEDs. Ces mécanismes sont amovibles et pourront être remplacés.

Le Kernelcom propose deux configurations différentes dans un même écrin

Les dimensions sont de 32.1 cm de large pour 14 cm de profondeur et 3.6 cm d’épaisseur tout compris. L’engin pèse de 1.34 Kg à 1.43 Kg suivant les modèles et abrite deux configurations différentes. La première est une solution construite autour d’un processeur Intel N150 classique entouré de 16 Go de DDR5-4800 et un SSD NVMe PCIe de 1 To au format M.2 2280. Elle est présentée à 250€ HT. La seconde est une version AMD avec un Ryzen 7 8840U plus puissante, toujours épaulée par 16 Go, mais en DDR5-5200 avec le même SSD de 1 To. Son module sans fil sera une solution Wi-Fi7 et Bluetooth 5.4 et sa sortie vidéo un HDMI 2.1. Celle-ci est proposée à 510€ HT. 

Kernelcom

Les deux engins indiquent une compatibilité avec Windows 11 et avec diverses distributions Linux dont Ubuntu, Fedora et Linux Mint. Ce qui sous-entend une liste de composants très classiques qui devraient ouvrir la voie d’une exploitation avec la majorité des distributions du marché. Avec Kernelcom comme nom de produit, c’était bien la moindre des choses.

Comme d’habitude, mise en garde : c’est un financement participatif. Le délai d’une expédition en février 2026 est donné à titre indicatif, il n’existe aucune garantie légale sur les produits et les prix indiqués sont sans frais de port ni taxes.

Kernelcom : un combo MiniPC-clavier-écran sur Kickstarter © MiniMachines.net. 2025

☕️ IA : Wikimedia appelle les entreprises à utiliser son API payante et à créditer le contenu

12 novembre 2025 à 13:37

Comment faire face à la chute des pages vues, que Wikipedia met sur le compte du développement de l’IA générative ?

La fondation Wikimedia a la solution : dans une publication du 10 novembre, elle appelle les développeurs d’IA à recourir à ses ressources de manière « responsable », en créditant leur source et en soutenant le projet contributif financièrement.

Le logo Wikipédia version Yin et Yang

« Les humains apportent à la connaissance des éléments que l’IA ne saurait remplacer », indique la fondation qui fournit l’infrastructure technique pour permettre à des communautés de wikipédiens et wikipédiennes d’alimenter bénévolement les encyclopédies de leurs langues respectives.

Pour permettre au projet de se perpétuer, la fondation appelle donc les créateurs d’IA génératives à citer leurs sources humaines – et Wikipedia, lorsque les contenus ayant servi à alimenter leurs machines viennent de là.

D’après la fondation, « pour permettre à la population d’avoir confiance en l’information partagée sur internet, les plateformes devraient rendre les sources de leurs informations évidentes et promouvoir le fait de visiter et de participer à ces sources ».

Elle incite aussi les constructeurs à se tourner vers son API payante, disponible depuis la plateforme Wikimedia Entreprise, ce qui permet d’utiliser le contenu de l’encyclopédie « à grande échelle et de manière durable sans surcharger les serveurs de Wikipédia », tout en soutenant financièrement ses activités.

Affaiblissement du RGPD : l’Allemagne l’inspire, la France y est opposée « à ce stade »

12 novembre 2025 à 13:08
Quick and dirty
Affaiblissement du RGPD : l’Allemagne l’inspire, la France y est opposée « à ce stade »

La Commission européenne a proposé d’affaiblir rapidement le RGPD au profit des entreprises d’IA. Les pays membres semblent vouloir une discussion plus longue sur le sujet, même si l’Allemagne inspire la proposition de la Commission.

Une petite bombe a été lâchée la semaine dernière avec la fuite d’un brouillon de la Commission européenne de la loi « omnibus numérique » prévoyant d’affaiblir le RGPD au profit des entreprises d’IA. Elle doit officiellement le présenter le 19 novembre prochain et le texte peut encore changer d’ici là.

L’association noyb de Max Schrems, qui y est totalement opposée, a publié [PDF] les positions de neuf pays sur la « simplification » du RGPD rendues avant la fuite du brouillon.

L’Allemagne pour des changements en profondeur… mais avec des discussions en amont

L’Allemagne plaidait pour une vaste révision du règlement mais sans que la loi « omnibus numérique » qui doit entrer en discussion d’ici peu en soit le vecteur le plus significatif. Berlin considère que les discussions autour du sujet méritent du temps.

« Afin d’ajuster l’équilibre entre les droits fondamentaux des personnes concernées et les droits fondamentaux des citoyens et des entreprises à traiter des données à caractère personnel (notamment la liberté d’information, la liberté des sciences, la liberté d’exercer une activité commerciale), toute modification du RGPD, tout en garantissant un niveau adéquat de protection des données et en préservant les principes fondamentaux du RGPD, devrait être examinée avec soin et mise en œuvre de manière ciblée, précise et fondée sur les risques », affirmait l’Allemagne.

Mais, pour noyb, « il semble que la Commission se soit simplement « emparée » » de cette position non-officielle de l’Allemagne pour établir sa proposition d’un affaiblissement du RGPD exprimée dans le brouillon de l’ « omnibus numérique » , « étant donné que de nombreux changements apportés au projet semblent être une copie conforme des demandes formulées dans la lettre allemande qui a fuité », affirme l’association de Max Schrems.

La France et sept autres pays de l’UE pour des changements à la marge

De leurs côtés, les huit autres pays qui se sont exprimés (la République tchèque, l’Estonie, l’Autriche, la Pologne, la Slovénie, la Finlande, la Suède et la France) ne pressent pas pour un changement majeur du texte. Si aucun d’entre eux ne nie le besoin de clarification de certains points dans le règlement européen, notamment pour faciliter la mise en conformité des entreprises, une bonne partie d’entre eux souligne, à l’instar de la République tchèque, la nécessité que cela reste « compatible avec la protection effective des droits fondamentaux ».

Prague voit surtout des modifications à la marge comme la possibilité pour les responsables du traitement de ne pas « déployer des efforts disproportionnés » pour fournir des informations lorsqu’une personne lui demande, comme l’article 15 du règlement le prévoit, si certaines de ses données à caractère personnel sont ou ne sont pas traitées. La Suède propose aussi des changements à la marge comme un relèvement du seuil pour lequel les entreprises doivent notifier la violation de données personnelles.

Quant à la France, elle jugeait qu’ « à ce stade, les retours des parties prenantes collectés par la Commission ont montré qu’elles ne souhaitaient pas d’une réouverture du RGPD » et que « les autorités françaises se sont également exprimées en ce sens et maintiennent cette position ». Comme les sept autres pays, elle estimait que « pour atteindre un équilibre optimal entre les enjeux d’innovation et la protection des libertés fondamentales, les efforts de mise en œuvre du texte doivent se poursuivre ». Par contre, Paris appelle « le CEPD [Contrôleur européen de la protection des données] et les autorités de protection des données à mener rapidement des consultations des acteurs sur les sujets prioritaires que sont l’articulation du RGPD avec le règlement sur l’intelligence artificielle (RIA), la pseudonymisation et l’anonymisation, dans les semaines qui viennent ». La France estime qu’ « il s’agit d’une attente très forte pour que les besoins concrets puissent être exprimés en amont de la finalisation du premier jet des lignes directrices sur ces sujets ».

De son côté, Max Schrems réitère ses critiques sur le projet : « Le brouillon n’est pas seulement extrême, il est également très mal rédigé. Il n’aide pas les « petites entreprises », comme promis, mais profite à nouveau principalement aux « grandes entreprises technologiques » ». noyb s’est joint à l’Edri et à l’organisation irlandaise Irish Council for Civil Liberties pour envoyer une lettre ouverte [PDF] à la Vice-présidente exécutive de la Commission européenne à la Souveraineté technologique, à la Sécurité et à la Démocratie, Henna Virkkunen. Dans ce texte, les trois associations affirment que les changements « considérables » prévus par le brouillon « priveraient non seulement les citoyens de leurs droits, mais compromettraient également la compétitivité européenne ».

Visual Studio 2026 et .NET 10 : découplage des outils de génération, performances et IA

12 novembre 2025 à 14:03
Pas de cassure dans les extensions
Visual Studio 2026 et .NET 10 : découplage des outils de génération, performances et IA

Visual Studio 2026 est disponible officiellement depuis ce 11 novembre, accompagné par la version 10 du framework .NET. Les deux mettent un accent particulier sur les performances, avec de nombreuses optimisations dans l’environnement de développement. Comme on s’en doute, l’intelligence artificielle joue également un rôle majeur.

Microsoft ne manque pas d’enthousiasme pour qualifier la nouvelle mouture de son Visual Studio. La notion d’IDE change d’ailleurs de sens pour l’éditeur : d’Integrated Development Environment, on passe à Intelligent Developer Environment, le premier du genre selon l’entreprise.

Les performances semblent avoir été un axe majeur de travail, tout comme les réponses aux développeurs. Microsoft indique ainsi avoir corrigé plus de 5 000 problèmes signalés par la communauté. De même, parmi les nouvelles fonctions de cette version 2026, 300 proviennent des développeurs.

Chargements plus rapides

Microsoft est particulièrement fière du travail fait sur la rapidité générale de son environnement, et plus particulièrement sur sa réactivité. L’entreprise dit avoir réduit les cas de blocages de l’interface de plus de 50 %. « L’interface utilisateur répond si bien que vous remarquerez à peine qu’elle est là », s’emballe Microsoft.


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☕️ IA : Wikimedia appelle les entreprises à utiliser son API payante et à créditer le contenu

12 novembre 2025 à 13:37

Comment faire face à la chute des pages vues, que Wikipedia met sur le compte du développement de l’IA générative ?

La fondation Wikimedia a la solution : dans une publication du 10 novembre, elle appelle les développeurs d’IA à recourir à ses ressources de manière « responsable », en créditant leur source et en soutenant le projet contributif financièrement.

Le logo Wikipédia version Yin et Yang

« Les humains apportent à la connaissance des éléments que l’IA ne saurait remplacer », indique la fondation qui fournit l’infrastructure technique pour permettre à des communautés de wikipédiens et wikipédiennes d’alimenter bénévolement les encyclopédies de leurs langues respectives.

Pour permettre au projet de se perpétuer, la fondation appelle donc les créateurs d’IA génératives à citer leurs sources humaines – et Wikipedia, lorsque les contenus ayant servi à alimenter leurs machines viennent de là.

D’après la fondation, « pour permettre à la population d’avoir confiance en l’information partagée sur internet, les plateformes devraient rendre les sources de leurs informations évidentes et promouvoir le fait de visiter et de participer à ces sources ».

Elle incite aussi les constructeurs à se tourner vers son API payante, disponible depuis la plateforme Wikimedia Entreprise, ce qui permet d’utiliser le contenu de l’encyclopédie « à grande échelle et de manière durable sans surcharger les serveurs de Wikipédia », tout en soutenant financièrement ses activités.

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