SmartTube YouTube App For Android TV Breached To Push Malicious Update
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C'est l'heure du 3e round de rumeurs sur l'augmentation par AMD des prix de ses cartes graphiques destinées au grand public et principalement ses Radeon RX 9000 qui ont tant le vent en poupe ces dernières semaines, après que leurs tarifs soient enfin arrivés au niveau des prix de vente conseillés, e...
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On imagine de toute façon que tous ceux qui vendent des produits équipés de DRAM vont y passer à un moment ou un autre, et c'est en ce début décembre au tour de la Fondation Raspberry Pi de revoir à la hausse les tarifs officiels de certains de ses Raspberry Pi 4, ainsi que de toute la gamme Raspber...
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Cofinancé depuis 2023 par Xavier Niel (Free), Rodolphe Saadé (CMA-CGM) et Eric Schmidt (ex Google), le laboratoire de recherche Kyutai vient d’accoucher de son premier spin-off commercial, une startup baptisée Gradium. Quelques bonnes fées se sont déjà penchées sur le berceau de Gradium puisque pour fêter son lancement officiel, la jeune pousse annonce mardi avoir bouclé un premier tour de table de 70 millions de dollars (environ 60 millions d’euros).
« S’appuyant sur plus d’une décennie de recherche de pointe, notre mission est simple et ambitieuse : fournir les bases d’une IA capable de proposer en temps réelle une voix naturelle qui soit l’interface homme-machine par défaut », indique Gradium, dont le casting de départ réunit plusieurs des chercheurs fondateurs de Kuytai.
L’équipe de départ, qui compte dix personnes, est ainsi emmenée par Neil Zeghidour (ex Meta/Google DeepMind), Olivier Teboul (ex Google Brain), Laurent Mazaré (ex Google DeepMind/Jane Street) et Alexandre Défossez (ex Meta).
Moins de six mois après son immatriculation et trois mois après le début de ses activités, Gradium revendique déjà des outils de synthèse audio ou de transcription vocale en production, notamment au sein de studios de jeu vidéo, ou dans des plateformes linguistiques. « La plateforme accompagne aussi bien les développeurs que les entreprises, de l’accès API pour le prototypage rapide aux déploiements en entreprise pour les charges de travail en production », affirme l’entreprise, qui donne à tester certains de ses modèles sur son site Web et fournit des éléments de documentation technique.
Menée par les fonds Eurazeo et FirstMark Capital, cette levée de fonds associe DST Global Partners, Korelya Capital (Fleur Pellerin), Amplify Partners, Liquid2 et Drysdale Ventures, ainsi que les trois soutiens historiques de Kyutai que sont Niel, Saadé et Schmidt. Yann LeCun (sur le départ de Meta), Olivier Pomel (Datadog), Ilkka Paananen (Supercell), Thomas Wolf (Hugging Face), Guillermo Rauch (Vercel) et Mehdi Ghissassi (ex Deepmind).

Cofinancé depuis 2023 par Xavier Niel (Free), Rodolphe Saadé (CMA-CGM) et Eric Schmidt (ex Google), le laboratoire de recherche Kyutai vient d’accoucher de son premier spin-off commercial, une startup baptisée Gradium. Quelques bonnes fées se sont déjà penchées sur le berceau de Gradium puisque pour fêter son lancement officiel, la jeune pousse annonce mardi avoir bouclé un premier tour de table de 70 millions de dollars (environ 60 millions d’euros).
« S’appuyant sur plus d’une décennie de recherche de pointe, notre mission est simple et ambitieuse : fournir les bases d’une IA capable de proposer en temps réelle une voix naturelle qui soit l’interface homme-machine par défaut », indique Gradium, dont le casting de départ réunit plusieurs des chercheurs fondateurs de Kuytai.
L’équipe de départ, qui compte dix personnes, est ainsi emmenée par Neil Zeghidour (ex Meta/Google DeepMind), Olivier Teboul (ex Google Brain), Laurent Mazaré (ex Google DeepMind/Jane Street) et Alexandre Défossez (ex Meta).
Moins de six mois après son immatriculation et trois mois après le début de ses activités, Gradium revendique déjà des outils de synthèse audio ou de transcription vocale en production, notamment au sein de studios de jeu vidéo, ou dans des plateformes linguistiques. « La plateforme accompagne aussi bien les développeurs que les entreprises, de l’accès API pour le prototypage rapide aux déploiements en entreprise pour les charges de travail en production », affirme l’entreprise, qui donne à tester certains de ses modèles sur son site Web et fournit des éléments de documentation technique.
Menée par les fonds Eurazeo et FirstMark Capital, cette levée de fonds associe DST Global Partners, Korelya Capital (Fleur Pellerin), Amplify Partners, Liquid2 et Drysdale Ventures, ainsi que les trois soutiens historiques de Kyutai que sont Niel, Saadé et Schmidt. Yann LeCun (sur le départ de Meta), Olivier Pomel (Datadog), Ilkka Paananen (Supercell), Thomas Wolf (Hugging Face), Guillermo Rauch (Vercel) et Mehdi Ghissassi (ex Deepmind).

AMD a lancé il y a quelque temps, plus d'un an en fait, le Ryzen 5 7600X3D, un CPU vendu uniquement aux USA chez Microdirect, et en Allemagne chez MindFactory. Cette double exclusivité fait que la puce est introuvable à peu près partout, et pour cause. AMD a également lancé partout le Ryzen 5 7500X3...
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Le gouvernement Modi veut que les fabricants de smartphones préinstallent son app Sanchar Saathi, présentée comme une app de cybersécurité, notamment contre les fraudes. Le tollé politique pourrait faire reculer l’interdiction initiale de la désinstaller. Quoiqu’il en soit, Apple ne devrait pas se plier à cette demande, que l’entreprise estime créer des problèmes de confidentialité et de sécurité.
Le 28 novembre dernier, le ministre indien des Communications, Jyotiraditya Scindia, a ordonné aux fabricants et importateurs de smartphones destinés à l’Inde d’installer l’application ministérielle Sanchar Saathi, a révélé l’agence de presse Reuters ce 1er décembre.
Dans un communiqué publié le même jour, le ministère assure que cette app est pensée pour « pour lutter contre l’utilisation abusive des ressources de télécommunication à des fins de cyberfraude et garantir la cybersécurité des télécommunications ». L’application est disponible sur Google Play et l’Apple Store indien et se présente comme « visant à autonomiser les abonnés mobiles, à renforcer leur sécurité et à sensibiliser le public aux initiatives citoyennes ».

Cette décision fait pourtant penser à celle prise par la Russie, d’obliger les distributeurs de smartphones à préinstaller le magasin d’applications RuStore et l’application de chat Max.
D’autant que, dans son communiqué, le ministère indien explique que les fabricants et importateurs ne doivent pas seulement préinstaller Sanchar Saathi, ils doivent aussi veiller à ce qu’elle soit « facilement visible et accessible aux utilisateurs finaux lors de la première utilisation ou de la configuration de l’appareil et que ses fonctionnalités ne soient pas désactivées ou restreintes ».
L’information a fait réagir dans le pays dirigé par Narendra Modi. « Ce serait comme vivre dans une dictature moderne », explique par exemple Apar Gupta, fondateur de l’ONG indienne Internet Freedom Foundation interrogé par The Wire.
Face aux critiques, le gouvernement semble faire quelques pas en arrière. Ainsi, The Wire rapporte que Jyotiraditya Scindia a assuré que « vous pouvez activer ou désactiver la surveillance des appels selon votre souhait. Si vous souhaitez la conserver dans votre téléphone, gardez-la. Si vous souhaitez la supprimer, faites-le ».
Dans une autre déclaration, le ministre affirme, toujours selon The Wire, « Si vous ne souhaitez pas utiliser Sanchar Saathi, vous pouvez le supprimer. Il s’agit d’une option facultative… Il s’agit de protéger les clients. Je tiens à dissiper tout malentendu… Il est de notre devoir de présenter cette application à tout le monde. C’est à l’utilisateur de décider s’il souhaite la conserver sur son appareil ou non… Elle peut être supprimée du téléphone portable comme n’importe quelle autre application ». Mais nos confrères indiens soulignent que ces déclarations sont en contradiction avec le communiqué de presse du ministère et avec les demandes envoyées aux fabricants.
Concernant les fabricants justement, Apple ne semble pas décidée à suivre la demande du gouvernement indien. C’est en tout cas ce que plusieurs sources internes ont assuré à Reuters. L’agence de presse explique que l’entreprise à la pomme va répondre à l’exécutif indien qu’elle ne suit nulle part dans le monde ce genre d’obligation, car cela soulève des problèmes liés à la confidentialité et à la sécurité pour iOS.
Rappelons qu’en Russie, Apple a suspendu ses ventes en 2022 suite à l’invasion de l’Ukraine et à l’embargo mis en place. Elle n’a donc pas à se conformer à la nouvelle loi obligeant la préinstallation de RuStore (Apple ne s’est néanmoins pas opposée à l’arrivée de ce magasin d’applications dans l’Apple Store local).
OpenAi a annoncé prendre une participation dans la société de private equity Thrive Holdings, dont la maison mère Thrive Capital est l’un des principaux investisseurs d’OpenAI, aux côtés de SoftBank, Microsoft et Khosla Ventures.
Si la société de Sam Altman n’a pas dépensé d’argent pour obtenir cette participation, d’après le Financial Times, elle a annoncé fournir des employés, des modèles, et divers produits et services aux sociétés de Thrive Holdings.
En échange, OpenAI devrait obtenir l’accès aux données des entreprises qui recourront à ses services, et être rémunéré sur les futurs rendements financiers de Thrive Holdings.
Ce faisant, l’entreprise ajoute un nouvel accord circulaire à la liste de ses contrats à double sens déjà conclus avec AMD, Nvidia et une poignée d’autres acteurs de l’écosystème.

Le gouvernement Modi veut que les fabricants de smartphones préinstallent son app Sanchar Saathi, présentée comme une app de cybersécurité, notamment contre les fraudes. Le tollé politique pourrait faire reculer l’interdiction initiale de la désinstaller. Quoiqu’il en soit, Apple ne devrait pas se plier à cette demande, que l’entreprise estime créer des problèmes de confidentialité et de sécurité.
Le 28 novembre dernier, le ministre indien des Communications, Jyotiraditya Scindia, a ordonné aux fabricants et importateurs de smartphones destinés à l’Inde d’installer l’application ministérielle Sanchar Saathi, a révélé l’agence de presse Reuters ce 1er décembre.
Dans un communiqué publié le même jour, le ministère assure que cette app est pensée pour « pour lutter contre l’utilisation abusive des ressources de télécommunication à des fins de cyberfraude et garantir la cybersécurité des télécommunications ». L’application est disponible sur Google Play et l’Apple Store indien et se présente comme « visant à autonomiser les abonnés mobiles, à renforcer leur sécurité et à sensibiliser le public aux initiatives citoyennes ».

Cette décision fait pourtant penser à celle prise par la Russie, d’obliger les distributeurs de smartphones à préinstaller le magasin d’applications RuStore et l’application de chat Max.
D’autant que, dans son communiqué, le ministère indien explique que les fabricants et importateurs ne doivent pas seulement préinstaller Sanchar Saathi, ils doivent aussi veiller à ce qu’elle soit « facilement visible et accessible aux utilisateurs finaux lors de la première utilisation ou de la configuration de l’appareil et que ses fonctionnalités ne soient pas désactivées ou restreintes ».
L’information a fait réagir dans le pays dirigé par Narendra Modi. « Ce serait comme vivre dans une dictature moderne », explique par exemple Apar Gupta, fondateur de l’ONG indienne Internet Freedom Foundation interrogé par The Wire.
Face aux critiques, le gouvernement semble faire quelques pas en arrière. Ainsi, The Wire rapporte que Jyotiraditya Scindia a assuré que « vous pouvez activer ou désactiver la surveillance des appels selon votre souhait. Si vous souhaitez la conserver dans votre téléphone, gardez-la. Si vous souhaitez la supprimer, faites-le ».
Dans une autre déclaration, le ministre affirme, toujours selon The Wire, « Si vous ne souhaitez pas utiliser Sanchar Saathi, vous pouvez le supprimer. Il s’agit d’une option facultative… Il s’agit de protéger les clients. Je tiens à dissiper tout malentendu… Il est de notre devoir de présenter cette application à tout le monde. C’est à l’utilisateur de décider s’il souhaite la conserver sur son appareil ou non… Elle peut être supprimée du téléphone portable comme n’importe quelle autre application ». Mais nos confrères indiens soulignent que ces déclarations sont en contradiction avec le communiqué de presse du ministère et avec les demandes envoyées aux fabricants.
Concernant les fabricants justement, Apple ne semble pas décidée à suivre la demande du gouvernement indien. C’est en tout cas ce que plusieurs sources internes ont assuré à Reuters. L’agence de presse explique que l’entreprise à la pomme va répondre à l’exécutif indien qu’elle ne suit nulle part dans le monde ce genre d’obligation, car cela soulève des problèmes liés à la confidentialité et à la sécurité pour iOS.
Rappelons qu’en Russie, Apple a suspendu ses ventes en 2022 suite à l’invasion de l’Ukraine et à l’embargo mis en place. Elle n’a donc pas à se conformer à la nouvelle loi obligeant la préinstallation de RuStore (Apple ne s’est néanmoins pas opposée à l’arrivée de ce magasin d’applications dans l’Apple Store local).
OpenAi a annoncé prendre une participation dans la société de private equity Thrive Holdings, dont la maison mère Thrive Capital est l’un des principaux investisseurs d’OpenAI, aux côtés de SoftBank, Microsoft et Khosla Ventures.
Si la société de Sam Altman n’a pas dépensé d’argent pour obtenir cette participation, d’après le Financial Times, elle a annoncé fournir des employés, des modèles, et divers produits et services aux sociétés de Thrive Holdings.
En échange, OpenAI devrait obtenir l’accès aux données des entreprises qui recourront à ses services, et être rémunéré sur les futurs rendements financiers de Thrive Holdings.
Ce faisant, l’entreprise ajoute un nouvel accord circulaire à la liste de ses contrats à double sens déjà conclus avec AMD, Nvidia et une poignée d’autres acteurs de l’écosystème.

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