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Reçu aujourd’hui — 14 novembre 2025De tout et de rien

Pi-Hole sur Raspberry

14 novembre 2025 à 06:59
Depuis que j'ai mis en route mon NAS (https://sebsauvage.net/wiki/doku.php?id=nas) mon petit Raspbery Pi 3B+ dormait dans un coin. Je me suis décidé à le remettre en route et d'installer DietPi dessus. En quelques minutes j'avais un système Debian prêt à l'emploi, avec 22 Go de libre sur la microSD.
(Je trouve assez fou qu'avec DietPi le Raspberry démarre en 13 secondes.)

Et puis comme je ne savais pas quoi en faire, quelqu'un m'a suggéré Pi-Hole. Histoire de ne pas mourrir bête, je l'ai installé et mis ma liste de blocage (https://sebsauvage.net/wiki/doku.php?id=dns-blocklist). L'interface web de Pi-Hole est vraiment très sympa et réactive.
Alors bien sûr ça me bloque toutes les publicités/trackers sur le réseau local, mais je n'avais pas réalisé que Pi-Hole agit aussi comme un cache DNS. Et assez agressif. Et ça tombe bien, un cache DNS local c'est ce que je voulais mettre en place. Et il marche magnifiquement bien : Plus de 70% des requêtes tombent dans le cache.
Et quand c'est le cache qui répond, la réponse est de l'ordre de quelques *micro*-secondes au lieu de plusieurs dizaines de milli-secondes si la requête sort vraiment. Conséquences: Toutes les machines du réseau local on les pages web qui se chargent légèrement plus vite.
C'est nickel 👌‍

Addendum : Je sais que de nos jours bouffer des giga-octets de RAM pour afficher un bout de texte paraît normal, mais quand je vois que sur le Raspberry le système d'exploitation + serveur ssh + serveurs DHCP et DNS + interface web de Pi-Hole ne consomment que... 130 Méga-octets de RAM, je trouve ça merveilleux.
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La guerre des clics

14 novembre 2025 à 05:43

Google est-il en danger ? Avec l’irruption des IA, ses milliards de recettes publicitaires sont menacés. Et les entreprises doivent réviser leurs méthodes : le SEO est mort, vive le GEO.

Depuis plus de vingt ans, Google règne sans partage sur la recherche en ligne. Avec près de 90 % des requêtes mondiales, le moteur de Mountain View est devenu la porte d’entrée d’Internet et la plus grosse régie publicitaire du monde. Son secret ? Un savant mélange de référencement naturel (SEO) et de liens sponsorisés (SEA). Les sites se battent pour grimper dans la page de résultats, les annonceurs paient pour exister, et Google, lui, encaisse.

Un modèle aussi simple qu’efficace. Mais fragile, car il repose sur un geste : le clic. Or une nouvelle génération d’utilisateurs se demande déjà pourquoi cliquer sur dix liens… quand une IA peut leur donner directement la réponse.

ChatGPT, le réflexe qui court-circuite Google

Depuis son lancement fin 2022, ChatGPT a bousculé les habitudes. Huit cents millions d’utilisateurs, un usage quotidien dans les entreprises, et un réflexe qui s’installe : taper une question dans une fenêtre de chat plutôt que dans une barre de recherche. 74 % disent l’utiliser pour chercher des informations au moins de temps en temps.

Et la tendance s’accélère. D’ici à 2026, jusqu’à un quart des requêtes pourraient passer par des assistants IA. OpenAI, avec ChatGPT Atlas, pousse même le concept plus loin : un navigateur où la recherche n’est plus une liste de liens mais une conversation. Demain, on ne cherchera plus le web, on lui parlera.

Atlas d’OpenAI, la nouvelle donne de la recherche web

J’approfondis

Le duo SEO/SEA perd de sa superbe

Pour les directions marketing, c’est un séisme. Pendant vingt ans, tout reposait sur le couple SEO/SEA : du contenu optimisé pour remonter dans Google et des annonces payantes pour s’y maintenir.
Mais voilà : les IA conversationnelles ne présentent plus dix liens, elles livrent une seule réponse, synthétique et contextualisée. Résultat : le trafic naturel chute, la publicité devient moins rentable et le marketing digital se retrouve à réinventer la roue.

Il faut désormais produire des contenus clairs, solides, bien structurés — et surtout pensés pour être compris par les IA. Autrement dit, parler leur langage. Mieux vaut un article précis et utile qu’un texte truffé de mots-clés.

Le GEO, nouveau graal du référencement

Bienvenue dans l’ère du GEO — Generative Engine Optimization. L’idée : ne plus seulement séduire l’algorithme de Google, mais être cité par les moteurs d’IA.

Pour cela, il ne suffit plus d’apparaître dans les dix premiers liens Google. Il faut désormais exister dans les corpus que les modèles d’IA consultent : articles de presse, blogs, Wikipédia, forums, réseaux professionnels. L’enjeu est de façonner leur mémoire conversationnelle, autrement dit la manière dont elles apprennent à citer des marques, des produits ou des sources crédibles. Cela implique de structurer les contenus comme des réponses directes aux questions que se posent les utilisateurs, d’adopter un ton naturel et fluide, proche du langage courant, et d’actualiser régulièrement les données pour rester visibles dans les flux d’information que les IA exploitent.

Vercel, la startup qui a hacké Google grâce à ChatGPT

J’approfondis

Les marques et organisations doivent donc associer systématiquement leur nom à des formulations naturelles, renforcer la crédibilité de leur site par des sources fiables (liens, mentions, transparence éditoriale) et multiplier leur présence sur les plateformes que les LLM lisent : Reddit, LinkedIn, Quora ainsi que la presse en ligne. Enfin, les contenus doivent être techniquement lisibles — via des balises FAQ, des métadonnées et des schémas structurés — pour que les modèles puissent les comprendre et les citer. Être mentionné par une IA n’est plus une affaire de mots-clés : c’est désormais une question de cohérence narrative, de confiance et de lisibilité machine.

On devine déjà la suite : demain, il y aura des « réponses sponsorisées » dans les IA, où un produit ou une marque apparaîtront directement dans la synthèse générée. Le SEO et la publicité classique vont converger vers ce référencement conversationnel, plus fluide, mais aussi plus opaque.

Google contre-attaque, mais le monde change

Faut-il enterrer Google ? Pas encore. Le géant reste incontournable pour acheter un billet d’avion, comparer des prix ou trouver un restaurant. Mais pour s’informer ou se documenter, l’IA prend l’avantage.

Les médias et marques l’ont compris : mieux vaut miser sur des contenus solides, sourcés et reconnaissables. Certains vont même jusqu’à négocier des partenariats avec les IA, histoire d’assurer leur visibilité dans les réponses.

Car la confiance va devenir la nouvelle monnaie du web : les IA privilégieront les contenus sérieux, vérifiés, actualisés. Les communicants, eux, devront apprendre à dialoguer avec ces nouveaux moteurs, à suivre leurs citations, à comprendre leur logique.

Et pendant ce temps, Google se réinvente. Ses projets Gemini et Bard injectent de l’IA au cœur même du moteur, quitte à rogner sur ses revenus publicitaires. Le pari est clair : mieux vaut transformer son modèle avant que d’autres ne le fassent à sa place.

Vers une recherche conversationnelle

La recherche en ligne entre dans une nouvelle ère : celle du dialogue. ChatGPT ne tue pas Google — il le force à changer. Les métriques aussi se transforment : on ne mesurera plus seulement le trafic ou le taux de clics, mais la confiance, la mention, la pertinence.

Demain, les gagnants seront ceux qui auront su comprendre cette bascule : maîtriser leurs données, inventer le SEO de l’IA et surtout gagner la confiance des machines. Le web ne sera plus seulement un espace à explorer, mais un langage à parler — celui de l’intelligence artificielle.

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Reçu hier — 13 novembre 2025De tout et de rien

Microsoft confirms Windows 11 is about to change massively, gets enormous backlash - Neowin

13 novembre 2025 à 18:56
Il fut une époque où les éditeurs de systèmes d'exploitation annonçaient que leur OS est compatible avec tel ou tel CPU. Maintenant ce sont les fabricants de CPU qui annoncent que leur CPU est compatible avec un OS. 🙄 (1️⃣)

Quant à l'obsession de fourrer un maximum d'IA dans Windows, Microsoft a eu droit à une réception glaciale de la part des utilisateurs sur X. Bien.


1️⃣ On me fait gentiment remarquer que je dis des conneries : https://chaos.social/@f4grx/115544159874176976
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Google Has Chosen a Side in Trump's Mass Deportation Effort

13 novembre 2025 à 17:16
Google a fait son choix. Celui de se ranger du côté du facisme.
Pendant qu'il héberge l'appli de reconnaissance faciale des services de déportation gouvernementaux américains (ICE), il supprime de son store les applis permettant de prévenir les gens de l'arrivée des agents de l'ICE.
"Do no evil" est bien enterré.
Et que je n'entende plus "la technologie est neutre, elle n'est pas politique !"
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Seriously, stop using RSA -The Trail of Bits Blog

13 novembre 2025 à 10:19
Bon je garde sous le coude pour l'explication, mais visiblement en crypto il ne faut plus utiliser RSA, parce qu'avec cet algo il est très facile de se foirer et, du coup, de réduire la sécurité.

D'ailleurs NIST recommande de ne plus utiliser RSA : https://fullcirclesecurity.org/2024/11/26/nist-announces-the-end-of-rsa-and-ecdsa/
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Bitcoin's big secret: How cryptocurrency became law enforcement's secret weapon | Bitwarden

13 novembre 2025 à 07:58
hahaha purin c'est drôle : Les criminels sont en train de se rendre compte que la blockchain ne les protègent pas. Le moindre transfer d'argent est totalement publique. Toutes les transactions sont lisibles par tout le monde.
Remarquez, c'est le fonctionnement normal d'une blockchain, ça fait même partie de ses caractéristiques fondatrices.

C'est marrant que les cryptobros aient continué à dire que ça vous rendait indépendant des institutions ou protégeait vos transactions d'une manière ou d'une autre. Non non, tout est publique, et les autorités sont bien contentent de pouvoir y mettre leur nez.
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Android Developers Blog: Android developer verification: Early access starts now as we continue to build with your feedback

13 novembre 2025 à 07:44
Après le tollé que tollé qu'a suscité les restrictions d'Android annoncées par Google (https://sebsauvage.net/links/?NfwxuQ), Google va finalement autoriser l'installation libre d'application, mais ajoutera un processus probablement plus fastidieux pour autoriser ce "déblocage" (probablement avec de nouveaux avertissements) afin que les gens ne l'activent pas "par erreur" ou sous la contrainte d'un scammer (arnaqueur).
Pour le moment.
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OGM : 30 ans d’aveuglement européen

12 novembre 2025 à 20:26

C’est l’un des plus grands écarts entre science et opinion. Neuf scientifiques sur dix jugent les OGM sûrs, contre seulement un tiers des Français. Pourtant, depuis trente ans, ils sont à l’origine de progrès majeurs. Prêts à remettre en cause vos a priori ?

L’homme modifie la nature depuis qu’il cultive. Bien avant les laboratoires modernes, il sélectionnait les plantes, croisait les variétés, domestiquait le vivant pour ses besoins. La carotte orange, la banane sans pépins, le maïs résistant aux maladies, ces aliments du quotidien portent l’empreinte de siècles de sélection artificielle. Ces manipulations restaient cependant limitées par les barrières biologiques naturelles. On hybridait des blés entre eux, jamais avec un tournesol ou une bactérie.

Tout a changé dans les années 1980 avec la découverte du code génétique. Les gènes sont devenus des séquences manipulables, comme des phrases dans une langue universelle. La transgénèse permet d’insérer précisément l’un de ceux provenant d’une espèce dans une autre. Par exemple, une bactérie pour protéger une aubergine des insectes, un tournesol pour rendre le blé tolérant à la sécheresse, ou la jonquille pour enrichir le riz en vitamine A et combattre la malnutrition infantile. Cette technique accélère une évolution naturelle exigeant des millénaires pour produire un croisement. Elle n’est pas employée sans de multiples précautions et contrôles. Chaque OGM subit en moyenne treize ans d’évaluations rigoureuses avant autorisation, loin des caricatures de « plantes Frankenstein » mises sur le marché sans recul.

Pourtant, l’Europe reste rétive, tout en important paradoxalement des tonnes de produits génétiquement modifiés pour nourrir son bétail, en interdisant à ses agriculteurs d’en cultiver.

Un symptôme des ravages du pouvoir d’une opinion qui aime se faire peur et s’attarde sur des images alarmistes. L’étude de Gilles-Éric Séralini, publiée en 2012 dans Food and Chemical Toxicology, illustre parfaitement ce phénomène, en plus d’avoir fait beaucoup de mal. Montée en épingle par les médias, elle montrait des rats développant des tumeurs après avoir consommé du maïs OGM NK603 et du Roundup. Les photos choc ont fait le tour du monde, alimentant les peurs. Mais la méthodologie était défaillante : échantillon trop petit, souches de rats prédisposées aux cancers, absence de contrôle statistique adéquat. La revue l’a rétractée en 2013. Séralini l’a republiée ailleurs sans corrections majeures, et des centaines d’analyses ultérieures ont invalidé ses conclusions, menées par deux cent quatre-vingts institutions.

Aucune d’entre elles n’a détecté le moindre risque sanitaire spécifique aux OGM. Pas d’allergies épidémiques, pas de différences chez les consommateurs. Un soja potentiellement allergène identifié dans les années 1990 n’a même pas quitté les laboratoires.

La « contamination » génétique effraie aussi, mais sans fondements solides. En vingt ans, moins de quatre cents incidents mineurs, souvent dus à des erreurs de tri ou de semences, ont été observés. Invalidant un fantasme à la vie dure : avec des centaines de millions d’hectares cultivés, aucune « superplante » invasive n’a émergé. Les gènes introduits se diluent naturellement s’ils ne confèrent pas d’avantage sélectif. Quant à l’idée que manger un OGM altère notre ADN, elle relève du mythe. L’estomac digère les gènes comme n’importe quelle molécule ; il ne les intègre pas. Sinon, nous serions tous des hybrides de poulet et de pain. Quant au mythe des semences stériles qui a alimenté les médias, si elles ont bien existé, elles n’ont jamais dépassé le stade des brevets. Un moratoire international les interdit depuis 2000. Aucune semence OGM commercialisée aujourd’hui n’est stérile.

Les bénéfices, eux, sont concrets. Les OGM ont réduit l’usage mondial de pesticides de 37 %, préservé les sols, stabilisé les rendements. Entre 1996 et 2018, ils ont généré 186 milliards de dollars de revenus supplémentaires et évité 27 milliards de kilos d’émissions de CO₂. Au Bangladesh, l’aubergine Bt, introduite en 2014, a divisé par dix les pulvérisations contre le foreur du fruit (une chenille qui creuse de petits tunnels dans les plantes pour s’en nourrir). Les paysans, autrefois empoisonnés par des applications quotidiennes d’intrants à mains nues, récoltent plus sainement. En Inde, leurs bénéfices ont augmenté de 1 200 roupies par hectare et par an. À l’opposé de la fake news colportée par Vandana Shiva, qui décrivait des cultivateurs poussés au suicide par le prix des semences. En Argentine, le blé HB4, tolérant à la sécheresse grâce à un gène de tournesol, sauve les cultures dans les plaines arides – une innovation portée par l’entreprise française Florimond Desprez, exportée pendant que l’Europe hésite. Aux États-Unis, la pomme de terre Innate réduit le gaspillage en noircissant moins. En Afrique, le maïs TELA résiste à la légionnaire d’automne, sécurisant l’alimentation de millions de gens. Les exemples de ce type sont légion.

Quand les OGM sauvent des vies et des cultures

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Cet ensemble ne relève pas de la promesse, mais bien des faits. Entre 1996 et 2018, les cultures biotechnologiques ont généré 186 milliards de dollars de revenus supplémentaires et évité 27 milliards de kilos de CO₂.

Pendant ce temps, l’Europe, elle, cultive la prudence avec excès. Nous consommons déjà des variétés issues de mutagenèse chimique ou par irradiation, créées dans les années 1950 avec des milliers de mutations aléatoires non caractérisées, y compris en bio. Pourtant, la Cour de justice européenne freine désormais le progrès. En 2018, elle a classé les éditions génétiques comme CRISPR au même rang que les OGM transgéniques. Or cette révolution, inventée en Europe par la Française Emmanuelle Charpentier et l’Américaine Jennifer Doudna, permet, grâce à des « ciseaux moléculaires » ultra-précis, de corriger une lettre fautive dans l’ADN d’une plante, justement sans y ajouter de gène étranger. La technique profite aujourd’hui à l’Australie, au Brésil, au Japon ou au Royaume-Uni, mais pas à l’Europe, même si des discussions sont en cours.

La Commission a pourtant investi 200 millions d’euros entre 2001 et 2010 pour évaluer ces technologies ; cinq cents groupes d’experts ont conclu unanimement à l’absence de risques supérieurs aux méthodes conventionnelles. Mais les politiques ont ignoré ces rapports, ce qui n’est pas sans conséquences sur notre souveraineté alimentaire. Nos laboratoires innovent, mais nos règles repoussent les chercheurs. Paradoxe : le Pacte vert de l’UE vise à réduire l’usage des pesticides de moitié d’ici 2030, mais refuse les outils pour y parvenir. Nous importons du soja OGM brésilien pour nos élevages tout en interdisant sa culture locale. Ce n’est plus de la précaution, c’est de l’hypocrisie.

Les OGM sont le domaine agricole le plus scruté au monde. Ils diminuent les intrants chimiques, aident les paysans vulnérables, atténuent le changement climatique. Ignorer ces réalités au profit de la peur mène à la pénurie. Il est temps de choisir la raison : cultiver chez nous ce que nous importons, ou continuer à jouer les vertueux en délocalisant nos problèmes.

L’article OGM : 30 ans d’aveuglement européen est apparu en premier sur Les Électrons Libres.

Reçu avant avant-hierDe tout et de rien

Étude : les (cyber)violences de genre touchent davantage les filles et les élèves LGBT+ dans les collèges et lycées franciliens - Association STOP homophobie

12 novembre 2025 à 21:48
Le titre est sans aucune surprise, because : Patriarcat dominant. 🤷‍♂️
"« Ces violences ne relèvent pas de faits isolés mais d’un système de domination qui touche d’abord les filles et les jeunes LGBT+ », souligne le Centre."
(Permalink)

Pink goo and stolen sandwiches | Frederic Marx, Front-End Developer - Morgan - Cacahuètes ?

12 novembre 2025 à 21:46
Je crois qu'on peut difficilement résumer ça mieux que Morgan :
« L’IA générative c’est juste du vol industrialisé : des millions de gens bossent pour nourrir des modèles qui crachent du contenu sans sourciller, sans un rond pour les créateurs, et avec des centres de données qui bouffent la planète pendant que des mecs en costard se frottent les mains en vendant ça comme une révolution 🤬 »
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Bridge returned error 0! (20404)

See https://curl.haxx.se/libcurl/c/libcurl-errors.html for description of the curl error code.

Details

Type: HttpException
Code: 0
Message: cURL error Resolving timed out after 5000 milliseconds: 28 (https://curl.haxx.se/libcurl/c/libcurl-errors.html) for https://public.api.bsky.app/xrpc/app.bsky.feed.getAuthorFeed?actor=did%3Aplc%3Atoudj53egawswz2ypw3zyn2u&filter=posts_and_author_threads&limit=30
File: lib/http.php
Line: 185

Trace

#0 index.php(73): RssBridge->main()
#1 lib/RssBridge.php(39): RssBridge->{closure}()
#2 lib/RssBridge.php(37): BasicAuthMiddleware->__invoke()
#3 middlewares/BasicAuthMiddleware.php(13): RssBridge->{closure}()
#4 lib/RssBridge.php(37): CacheMiddleware->__invoke()
#5 middlewares/CacheMiddleware.php(44): RssBridge->{closure}()
#6 lib/RssBridge.php(37): ExceptionMiddleware->__invoke()
#7 middlewares/ExceptionMiddleware.php(17): RssBridge->{closure}()
#8 lib/RssBridge.php(37): SecurityMiddleware->__invoke()
#9 middlewares/SecurityMiddleware.php(19): RssBridge->{closure}()
#10 lib/RssBridge.php(37): MaintenanceMiddleware->__invoke()
#11 middlewares/MaintenanceMiddleware.php(10): RssBridge->{closure}()
#12 lib/RssBridge.php(37): TokenAuthenticationMiddleware->__invoke()
#13 middlewares/TokenAuthenticationMiddleware.php(10): RssBridge->{closure}()
#14 lib/RssBridge.php(34): DisplayAction->__invoke()
#15 actions/DisplayAction.php(54): DisplayAction->createResponse()
#16 actions/DisplayAction.php(89): BlueskyBridge->collectData()
#17 bridges/BlueskyBridge.php(164): BlueskyBridge->getAuthorFeed()
#18 bridges/BlueskyBridge.php(633): getContents()
#19 lib/contents.php(104): CurlHttpClient->request()
#20 lib/http.php(185)

Context

Query: action=display&bridge=BlueskyBridge&data_source=getAuthorFeed&user_id=tristankamin.bsky.social&feed_filter=posts_and_author_threads&include_reposts=on&format=Atom
Version: 2025-08-05 (git.master.de9aef0)
OS: Linux
PHP: 8.2.29

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mruac

Steam Frame

12 novembre 2025 à 18:28
Oh pétard !  Steam sort son propre casque VR ???
Ce casque a son propre CPU/GPU et ne nécessite pas un ordinateur à côté.

EDIT: Et aussi une console de salon : https://store.steampowered.com/sale/steammachine

Et on notera à propos de la console "Steam Machine" : « La Steam Machine a beau être optimisée pour le jeu, elle n'en reste pas moins votre PC. Installez vos propres applications, ou même un autre système d'exploitation. Qui sommes-nous pour vous dire comment utiliser votre ordinateur ? »
🖕🖕🖕MAXI FUCK À NINTENDO🖕🖕🖕 (et aux autres systèmes verrouillés)
(Permalink)
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