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Pompes à chaleur : le gouvernement veut accélérer la production

17 avril 2024 à 14:00
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Bercy vise à installer un million de pompes à chaleur d’ici à 2027, promettant une réduction significative de la dépendance aux énergies fossiles et un élan pour l’emploi avec la création de 47 000 postes.

Les aides pour les pompes à chaleur ne prennent pas

Le déploiement massif des pompes à chaleur représente une superbe avancée vers la réduction des émissions de CO2, en permettant de diminuer significativement l’utilisation de combustibles fossiles pour le chauffage des bâtiments. Selon le plan de Bercy, cette initiative devrait entraîner des économies annuelles substantielles pour les ménages français, qui pourraient voir leur facture d’énergie réduite grâce à ces dispositifs plus efficients. Toutefois, le coût initial, d’environ 14 700 euros, demeure un défi, malgré les aides telles que MaPrimeRénov’ et l’éco-PTZ qui visent à le rendre plus abordable.

L’objectif de produire un million de pompes à chaleur en France d’ici à 2027 est également un moteur potentiel de croissance économique. La nécessité d’augmenter la production nationale promet de revitaliser l’industrie locale et de créer environ 30 000 emplois pour les installateurs, sans compter les autres postes indirects. Ce projet est ambitieux, car il implique de multiplier par dix la production actuelle, un véritable défi industriel qui nécessite une augmentation significative des capacités de production et de l’expertise technique.

Privilégier les PAC françaises

Le succès de ce plan ne repose pas uniquement sur la capacité de production, mais aussi sur l’acceptation du marché. Les défis incluent la réticence due aux coûts initiaux élevés et à la complexité de l’installation, en particulier dans le cadre des rénovations. En outre, la compétition avec des produits importés, souvent moins chers, pose une menace significative. L’éco-conditionnalité annoncée par Bruno Le Maire vise à privilégier les pompes à chaleur performantes et locales, mais cette stratégie nécessitera une communication et des incitations efficaces pour convaincre les consommateurs.

Le cadre réglementaire, notamment la nouvelle réglementation RE2020, incite fortement à l’utilisation des pompes à chaleur dans les constructions neuves et les rénovations thermiques. Le plan d’action inclut diverses mesures pour stimuler ce marché, comme l’augmentation des aides à l’achat et une stratégie d’achats publics ciblés. Le soutien gouvernemental apparaît donc comme un pilier essentiel pour atteindre les objectifs de 2027.

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Gaz : l’autoconsommation collective pour accélérer la production de biogaz

4 avril 2024 à 15:30
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Le gaz renouvelable est depuis le 29 mars 2024 ouvert à l’autoconsommation collective, une initiative du gouvernement visant à encourager de nouveaux projets de production de biogaz.

 

Le gaz renouvelable désormais ouvert à l’autoconsommation collective

Avec les décrets et l’arrêté du 29 mars 2024, la France marque un tournant décisif dans son engagement vers une énergie plus verte. L’autoconsommation collective, jusqu’alors cantonnée à l’électricité, ouvre ses portes au gaz renouvelable. Les consommateurs ont désormais la possibilité de consommer du gaz renouvelable produit par des infrastructures (entreprises agricoles, ménages ou collectivités) proches de chez eux.

Les règles sont précises : les participants doivent être connectés au réseau public de gaz naturel et la distance séparant les installations de production des consommateurs ne doit pas excéder deux kilomètres, avec la possibilité d’étendre ce périmètre à dix, voire vingt kilomètres en zone rurale, sous certaines conditions. À noter par ailleurs, que ces opérations sont limitées à une production annuelle de 25 GWh, un plafond qui vise à encourager les petits producteurs de biogaz et à garantir une distribution équitable.

 

Encourager de nouveaux projets de biogaz

Si l’autoconsommation étendue au gaz renouvelable permet aux consommateurs de réduire leur facture énergétique, ainsi que leur empreinte carbone, elle vise surtout à encourager de nouveaux projets de production de biogaz. Celui-ci est fabriqué à partir de la méthanisation. Il s’agit d’un procédé qui permet non seulement de réduire les émissions de gaz à effet de serre, mais aussi de valoriser les déchets agricoles et ménagers. En 2023, 1 046 installations servaient à la production d’électricité, tandis que 591 installations alimentaient le réseau de gaz naturel.

Les applications du biogaz sont multiples : chauffage, production d’électricité, carburant pour les transports. Une polyvalence qui fait du biogaz une énergie particulièrement intéressante pour le mix énergétique de la France. Le gouvernement vise à intégrer 10 % de gaz renouvelable dans le réseau de gaz d’ici à 2030, un objectif qui ne semble pas hors de portée avec cette nouvelle extension de l’autoconsommation collective.

 

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Électricité : 30% de la consommation vient des énergies renouvelables

2 avril 2024 à 12:01
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En 2023, un tournant majeur a été franchi dans le secteur énergétique français : pour la première fois, les énergies renouvelables ont fourni plus de 30% de l’électricité consommée dans l’Hexagone.

 

La part croissante des énergies renouvelables en France

 

Le dynamisme des énergies renouvelables en France s’inscrit dans une trajectoire ascendante, avec une augmentation de la production renouvelable de 23 % par rapport à 2022, atteignant ainsi 30 % de la consommation d’électricité en 2023, comme le révèle le panorama de 2023. Dans le détail, l’hydraulique représentait ainsi 12,5 % de la consommation d’électricité française, l’éolien terrestre 11,1 %, l’éolien offshore 0,4 %, le solaire 4,9 % et enfin les bioénergies électriques 1,9 %.

La dynamique de développement des énergies renouvelables en France présente néanmoins un paysage contrasté d’une région à l’autre, du fait des spécificités météorologiques de ces dernières. Les Hauts-de-France se sont par exemple affirmés comme le principal territoire de l’éolien terrestre, tandis que c’est le photovoltaïque qui domine en Nouvelle-Aquitaine.

 

Un mix énergétique moins équilibré en France mais plus performant

 

Les énergies renouvelables représentaient plus de 50 % de la production d’électricité en Allemagne et en Espagne, et elles dépassaient les 60 % au Portugal en 2023. Si l’on compare la France avec ces pays, l’Hexagone affiche un certain retard dans son mix énergétique puisque le nucléaire continue d’assurer près des deux tiers de sa production totale d’électricité, soit 320 térawatts/heure.

Cependant, et contrairement à ses pays voisins, c’est grâce à sa capacité de production d’électricité d’origine nucléaire, et non pas grâce aux énergies renouvelables, que la France est en mesure d’assurer sa souveraineté énergétique. En effet, l’Hexagone a battu à deux reprises ses records d’exportation d’électricité, en décembre 2023 et en janvier 2024, avec l’Allemagne, l’Espagne et l’Italie figurant parmi les principaux pays bénéficiaires de ces exportations.

 

 

 

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Voiture électrique : la République tchèque lance sa gigafactory de batteries

8 mars 2024 à 15:00
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La République tchèque prend également le pas de la transition énergétique. Cette dernière vient de révéler son projet de gigafactory de batteries pour voitures électriques le jeudi 7 mars 2024.

 

Un projet de gigafactory de batteries à 7,9 milliards d’euros

L’investissement prévu pour ce projet de gigafactory de batterie pour voiture électrique, selon le Premier ministre tchèque Petr Fiala, s’approche des 8 milliards d’euros (7,8 milliards). C’est la région de Karviná qui a été choisie par l’investisseur et le gouvernement pour établir cette prochaine usine.

Nous ne connaissons pas l’identité de l’entreprise qui est derrière ce projet colossal, mais comme l’a fait savoir le ministre de l’Industrie tchèque, celui-ci vient d’un « pays démocratique avec lequel la République tchèque entretient de longues relations ». Le Premier ministre, Petr Fiala, n’a pas hésité à montrer son enthousiasme pour ce projet qui va « créer de nouveaux emplois, contribuer à la sécurité énergétique et accroître la compétitivité de la République tchèque ».

 

La République tchèque rejoint la course mondiale

 

Au vu des investissements et des opportunités de création d’emploi, de plus en plus de pays du monde créent des conditions favorables pour attirer des investisseurs étrangers. Avec ce projet de gigafactory de batteries, la République tchèque rejoint ainsi la course mondiale, dans laquelle l’Europe et d’autres régions du monde déploient des efforts considérables pour développer des gigafactories. C’est Tesla qui est pionnière dans le secteur. L’entreprise d’Elon Musk a lancé le premier projet de gigafactory au monde en 2016 et a investi plus de 5 milliards de dollars dans le projet.

Northvolt Ett, à Skellefteå, en Suède, a pour sa part investi plus de 4 milliards dans son usine et vise une capacité de production annuelle de 40 GWh, ce qui équivaut à équiper près de 600.000 véhicules électriques par an avec ses batteries. Volkswagen, de son côté, a lancé 3 projets de gigafactories : un en Allemagne, un autre en Espagne et le dernier au Canada. Selon le cabinet Benchmark, « les usines de batteries pour automobiles programmées dans le monde d’ici à 2030 cumuleront 9 000 gigawatts de capacité industrielle installée. ».

 

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L’OPEP+ va faire augmenter le prix du pétrole en Bourse

4 mars 2024 à 10:46
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L’OPEP+, en tant qu’organisation réunissant les plus gros pays producteurs de pétrole, orchestre l’offre de brut avec une précision qui cherche à équilibrer les intérêts économiques globaux et la stabilité énergétique. Mais en février 2024, l’organisation a annoncé une stratégie visant tout simplement à artificiellement faire grimper les prix du brut sur les marchés.

 

Une réduction de la production de pétrole brut

L’alliance, sous l’égide de ses leaders, l’Arabie Saoudite et la Russie, a décidé de prolonger sa politique de réduction de production de pétrole. L’Arabie Saoudite, pivot central de l’OPEP+, s’engage à maintenir une réduction de sa production d’un million de barils par jour, tandis que la Russie, autre acteur majeur, annonce une baisse de 471.000 barils par jour. Ces engagements s’inscrivent dans le prolongement d’une coupe antérieure de 500.000 barils initiée en avril 2023, soulignant une volonté ferme de l’OPEP+ de réguler l’offre face à une demande fluctuante.

Cette stratégie de réduction de l’offre trouve déjà ses échos sur les marchés. Avant même l’ouverture des places boursières le 4 mars 2024, le Brent, référence du pétrole de la Mer du Nord, se négociait à 83,56 dollars le baril, tandis que le WTI, standard américain, atteignait 79,87 dollars. Un niveau supérieur à ceux de début d’année, préfigurant une répercussion quasi-immédiate sur les prix à la pompe.

 

Le carburant atteindra-t-il les deux euros le litre ?

L’OPEP+ cherche à maximiser les profits immédiats de ses membres en réduisant l’offre sur le marché ce qui, face à la demande toujours croissante de pétrole brut dans le monde, peut créer des tensions. Et qui dit tensions, dit augmentation des prix sur les marchés. Or, les prix du brut en Bourse influencent directement les prix des carburants à la pompe, ou encore les prix du gaz (bien qu’en moindre mesure).

La question est de savoir jusqu’à quel niveau les prix du brut vont grimper, et pendant combien de temps ils seront plus élevés. Car pour les consommateurs, l’enjeu est de taille : ils ont déjà connu des prix d’essence et diesel supérieurs à 2 euros le litre, et ces prix restent supérieurs à 1,80 euro depuis plusieurs semaines. Le seuil symbolique sera-t-il franchi ?

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USA : les énergies renouvelables en passe de remplacer le charbon

26 février 2024 à 17:00
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D’après le dernier rapport de BloombergNEF, les efforts de l’administration Biden envers la transition énergétique portent leurs fruits : près d’un quart de la production d’électricité aux États-Unis provient désormais des énergies renouvelables.

Les énergies renouvelables représentent 23% de la production d’électricité américaine

 

Aux États-Unis, la production d’électricité est en pleine mutation. En 2023, les énergies renouvelables ont répondu à 23% de la demande d’électricité, une avancée notable par rapport aux années précédentes. Cette progression est principalement due à l’augmentation de la capacité de production éolienne et solaire, qui, ensemble, ont commencé à éroder la part du charbon, désormais tombée sous les 16%. Parallèlement, la production d’électricité à partir de gaz naturel a atteint un niveau record, couvrant 43% du mix énergétique, selon BloombergNEF. La production d’électricité américaine d’origine nucléaire quant à elle s’approche des 17% .

Il faut dire que depuis la promulgation de l’Inflation Reduction Act (IRA) par Joe Biden en 2022, le gouvernement fait tout pour accélérer la transition énergétique du pays et prévoit d’y investir plus de 300 milliards de dollars dans les dix prochaines années.

 

 

Le modèle français : un mix énergétique prédominé par le nucléaire

 

Le modèle de transition énergétique français est bien distinct de celui de la plupart des pays, des États-Unis par exemple ou de l’Allemagne, jusqu’alors fortement dépendants du charbon. L’avantage de la France est d’avoir massivement investi dans le nucléaire civil dès les années 70. Malgré une période de recul du nucléaire, qui avait été fortement induit par certains lobbies, de l’éolien en particulier (on se rappellera notamment de Dominique Voynet, fervente anti-nucléaire qui s’était vantée d’avoir torpillé le nucléaire français), la France a repris le cap de l’énergie atomique. C’est d’ailleurs cette stratégie qui lui a permis de battre de nouveaux records d’exportation d’électricité en décembre 2023 et d’être le premier pays producteur d’électricité en Europe.

Le modèle français est donc bien différent de celui des États-Unis : il repose à près de 70% sur l’énergie nucléaire et à 14% sur l’hydroélectricité permise grâce à ses massifs montagneux notamment, le reste étant d’origine éolienne ou solaire. Le charbon quant à lui ne représentait plus que 0,17% de la production d’électricité en France en 2023. La France ne rejette par conséquent pas les énergies renouvelables. Elle mise sur un mix énergétique prédominé par l’énergie d’origine nucléaire, et c’est justement ce qui lui permet de se distinguer de la plupart des pays. Pour donner un ordre de grandeur, la production d’électricité français émet 10 fois moins que celle de l’Allemagne et huit fois moins que celle de l’Italie.

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Électricité nucléaire : vers une production mondiale record en 2025 ?

26 janvier 2024 à 15:45
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Le dernier rapport de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), publié le 24 janvier 2024, projette un record de production mondiale pour l’électricité nucléaire d’ici à 2025. Même tendance pour la production des énergies renouvelables, qui est en passe de dépasser celle du charbon.

 

Retour au nucléaire : la production mondiale devrait battre son record d’ici à 2025

L’énergie nucléaire, qui a pendant plusieurs années été perçue comme une source d’énergie du passé, est en passe de connaître un renouveau spectaculaire. D’après le dernier rapport de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), intitulé Électricité 2024, la production nucléaire devrait croître annuellement de près de 3 % jusqu’en 2026, et pourrait ainsi dépasser le record de production mondiale d’ici à 2025, détenu jusqu’alors par l’année 2021. Cette augmentation est notamment attribuable à la mise en service de nouveaux réacteurs en Chine, en Inde et en Corée du Sud, ainsi qu’au redémarrage de centrales au Japon et à la fin des travaux de maintenance en France. La Chine reste en effet le leader incontesté dans le développement de nouveaux réacteurs et elle planifie d’accroître sa capacité nucléaire de manière encore plus significative. À la fin de l’année 2023, elle comptait déjà plus de la moitié des réacteurs nucléaires en construction dans le monde. L’Inde et la Corée du Sud souhaitent, elles aussi, prendre le chemin du nucléaire et sont en train de développer des programmes nucléaires ambitieux.

Cette tendance suit les engagements qui ont été pris par la communauté internationale lors de la COP28 qui s’est tenue à Dubaï. Si certains pays comme l’Allemagne continuent de montrer des réticences, voire un certain rejet du nucléaire, d’autres, notamment une vingtaine de pays, se sont engagés à tripler leur production nucléaire d’ici à 2050. Toutefois, même si le chemin vers le nucléaire semble tout tracé, il reste de nombreux défis, en particulier liés aux coûts et aux délais de construction liés aux infrastructures nucléaires. L’exemple de l’EPR de Flamanville en France, dont le démarrage, initialement prévu en 2016, a été reporté à 2024 avec un coût quadruplé, illustre parfaitement ces enjeux.

Les énergies renouvelables en passe de dépasser le charbon

 

D’après le rapport de l’AIE, la demande mondiale d’électricité devrait augmenter de 3,4% chaque année d’ici à 2026. Conjointement à la résurgence du nucléaire, les énergies renouvelables se préparent, elles aussi, à un bond en avant historique. Leur part dans la production mondiale d’électricité devrait passer de 30% en 2023 à 37% en 2026, selon l’AIE. Cette croissance est principalement portée par le solaire photovoltaïque, qui se développe largement grâce à la baisse des coûts, rendant cette technologie bien plus accessible et attractive.

Une bonne nouvelle pour le climat, puisque cela signifie que le charbon, qui représentait 36% de la production mondiale en 2023, laisse progressivement sa place au mix énergétique (nucléaire et énergies renouvelables). Sa production devrait être divisée par un tiers d’ici à 2026, tandis que le mix énergétique (nucléaire et énergies renouvelables) devrait représenter la moitié de la production mondiale à cette même échéance.

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