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À partir d’avant-hierFlux principal

On a enfin un indice sur qui est Ruby dans Doctor Who

19 avril 2024 à 08:42

Russel T. Davies a lâché un petit détail concernant Ruby Sunday (Millie Gibson), la nouvelle compagne de voyage dans Doctor Who, aux côtés du 15e Docteur de Ncuti Gatwa.

Les recommandations de la NSA pour « déployer des systèmes d’IA en toute sécurité »

19 avril 2024 à 07:48
NSA.I
Le Central Security Service de la NSA

Alors que la vague de l’intelligence artificielle prend de plus en plus d’ampleur, la NSA, en partenariat avec d’autres agences des Five Eyes, vient de mettre en ligne ses « lignes directrices pour renforcer la sécurité des systèmes d’IA ».

La National Security Agency (NSA, qui est aussi l’agence en charge de la cybersécurité aux États-Unis, ndlr) vient de publier une fiche d’information sur la cybersécurité (« Cybersecurity Information Sheet », ou CSI) intitulée « Déployer des systèmes d’IA en toute sécurité : Meilleures pratiques pour le déploiement de systèmes d’IA sécurisés et résilients » [.pdf].

Elle est destinée « aux propriétaires de systèmes de sécurité nationale et aux entreprises de la base industrielle de défense qui déploieront et exploiteront des systèmes d’IA conçus et développés par une entité externe ».

Notons que, dans ce document, l’agence parle d’IA pour tout système basé sur du machine learning.

Les Five Eyes parlent d’une même voix


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L’Institut des normes de télécommunication de l’UE (ETSI) défie la Commission européenne

18 avril 2024 à 12:00
Irréductible gaulois, #oupas
Des antennes téléphoniques

Le nouveau directeur général de l’ETSI travaillait jusqu’à l’an dernier chez Huawei. La Commission européenne avait pourtant « officieusement encouragé » les gouvernements nationaux à voter pour un candidat « ne présentant aucun lien avec des entreprises étrangères ».

Les membres de l’Institut européen des normes de télécommunication (ETSI), qui joue un rôle majeur dans l’élaboration de normes techniques des principales technologies mondiales, viennent d’élire le suédois Jan Ellsberger pour succéder à Luis Jorge Romero, qui occupait le poste de directeur général depuis treize ans.

Les candidats pour le poste de directeur général étaient, relevait la semaine passée Euractiv, Luis Jorge Romero, directeur général de l’ETSI depuis 2011 et ancien directeur de Telefónica en Espagne, Gilles Brégant, directeur de l’Agence nationale des fréquences en France (ANFR) et ancien Directeur des technologies du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) de 2005 à 2010, et Jan Ellsberger, ancien vice-président d’Ericsson et de Huawei en Allemagne, aujourd’hui conseiller pour une entreprise de conseil.

Selon Euronews, l’expert français en télécommunications était le « candidat favori de l’exécutif européen », la Commission ayant « officieusement encouragé » les gouvernements nationaux à voter pour Gilles Brégant, considéré comme un candidat « ne présentant aucun lien avec des entreprises étrangères ». La Commission s’inquiétait en effet des liens des deux autres candidats avec des entreprises étrangères.

Jan Ellsberger avait alors indiqué qu’il souhaitait « diversifier » les activités de l’ETSI « à la fois en termes de projets et de membres », et suggéré une expansion de l’organisme au Moyen-Orient dans les domaines de « l’IA et du transport automatisé ».

Euractiv soulignait alors que, « contrairement à d’autres organismes de l’UE », l’ETSI est « à la fois juridiquement et financièrement indépendant », parce que récoltant elle-même les bénéfices de ses plus de 850 membres, « dont un grand nombre d’entreprises privées ».

Le champion désigné disqualifié au troisième tour pour 0,5 %


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À quoi ressemblera la saison 2 de Fallout ?

17 avril 2024 à 13:22

La série Fallout, adaptée des jeux, fait sensation. Une saison 2 est probable. Et il y a quelques indices sur ce que l'on pourrait voir dans de nouveaux épisodes, si Amazon Prime Video commande la suite.

☕️ YouTube renforce son blocage antipub, mais ne dit rien des escroqueries qu’il publicise

17 avril 2024 à 05:13
Save our Internet

« Nous renforçons notre action contre les applications tierces qui enfreignent les conditions d’utilisation de YouTube, en particulier les applications de blocage des publicités », vient d’annoncer YouTube.

Les utilisateurs de ces applications tierces pourront dès lors « rencontrer des problèmes de mise en mémoire tampon ou voir apparaître l’erreur « Le contenu suivant n’est pas disponible sur cette application » lorsqu’ils essaient de regarder une vidéo ».

« Nous n’autorisons les applications tierces à utiliser notre API que si elles respectent les conditions d’utilisation de nos services API », précise YouTube. Les applications et extensions ne reposant pas sur son API devraient donc potentiellement ne pas être affectées.

YouTube rappelle à ce titre que ses conditions d’utilisation « n’autorisent pas les applications tierces à désactiver les publicités, car cela empêcherait le créateur d’être récompensé pour son audience ».

Et ce, parce que les publicités sur YouTube « aident à soutenir les créateurs et permettent à des milliards de personnes dans le monde d’utiliser le service de diffusion en continu ». Les personnes préférant une expérience « entièrement dépourvue de publicité » sont invitées à s’abonner à YouTube Premium.

Une injonction qui n’interroge pas le fait (pour le moins problématique) qu’une bonne partie des publicités rencontrées sur YouTube par l’auteur de ce brief sont des « tunnels de conversion » renvoyant à des webinaires soi-disant « gratuits » (mais en échange de nos données personnelles, afin de pouvoir commercialiser des « formations » payantes, qui ne sont pas, cela dit, certifiées Qualiopi) voire de véritables escroqueries (dropshipping, produits miracles, investissements non régulés, etc.), et non des « publicités », censées être vérifiées et contrôlées, telles qu’on peut en voir à la télévision.

N’hésitez pas à nous faire part en commentaire de celles qui vous sembleraient, elles aussi, problématiques.

☕️ YouTube renforce son blocage antipub, mais ne dit rien des escroqueries qu’il publicise

17 avril 2024 à 05:13
Save our Internet

« Nous renforçons notre action contre les applications tierces qui enfreignent les conditions d’utilisation de YouTube, en particulier les applications de blocage des publicités », vient d’annoncer YouTube.

Les utilisateurs de ces applications tierces pourront dès lors « rencontrer des problèmes de mise en mémoire tampon ou voir apparaître l’erreur « Le contenu suivant n’est pas disponible sur cette application » lorsqu’ils essaient de regarder une vidéo ».

« Nous n’autorisons les applications tierces à utiliser notre API que si elles respectent les conditions d’utilisation de nos services API », précise YouTube. Les applications et extensions ne reposant pas sur son API devraient donc potentiellement ne pas être affectées.

YouTube rappelle à ce titre que ses conditions d’utilisation « n’autorisent pas les applications tierces à désactiver les publicités, car cela empêcherait le créateur d’être récompensé pour son audience ».

Et ce, parce que les publicités sur YouTube « aident à soutenir les créateurs et permettent à des milliards de personnes dans le monde d’utiliser le service de diffusion en continu ». Les personnes préférant une expérience « entièrement dépourvue de publicité » sont invitées à s’abonner à YouTube Premium.

Une injonction qui n’interroge pas le fait (pour le moins problématique) qu’une bonne partie des publicités rencontrées sur YouTube par l’auteur de ce brief sont des « tunnels de conversion » renvoyant à des webinaires soi-disant « gratuits » (mais en échange de nos données personnelles, afin de pouvoir commercialiser des « formations » payantes, qui ne sont pas, cela dit, certifiées Qualiopi) voire de véritables escroqueries (dropshipping, produits miracles, investissements non régulés, etc.), et non des « publicités », censées être vérifiées et contrôlées, telles qu’on peut en voir à la télévision.

N’hésitez pas à nous faire part en commentaire de celles qui vous sembleraient, elles aussi, problématiques.

La série Fallout explique un grand mystère des jeux

15 avril 2024 à 14:56

Mais qui est Vault Boy ? Dans les jeux Fallout, ce personnage blond qui lève le pouce en l'air est iconique. La série d'Amazon Prime Video lui offre une origin story, et en fait même un personnage central.

2 œuvres majeures sur le harcèlement scolaire et le cyberharcèlement

13 avril 2024 à 16:03

Le harcèlement scolaire, ou la violence originelle : dans notre chronique de la semaine, dans Le Meilleur des Mondes, sur France Culture, nous revenons sur l'enjeu du cyberharcèlement et ce qu'il dit de nous en tant que société. Avec une série et un livre à découvrir absolument.

La série Fallout de Prime Video adapte-t-elle vraiment les jeux ?

12 avril 2024 à 16:23

L'adaptation de Fallout avec Ella Purnell comme héroïne est disponible sur Prime Video. Mais elle n'adapte pas, à la lettre, une histoire de l'un des jeux.

« La vidéoprotection augmentée ne sera pas optimum au moment des JO »

12 avril 2024 à 07:43
VSA va pas le faire
Dessin de Flock remplaçant les anneaux olympiques par des caméras de vidéosurveillance

Un rapport sénatorial constate que la vidéosurveillance algorithmique (VSA), un an après la promulgation de la loi autorisant son expérimentation, serait « loin des objectifs fixés ». Elle déplore qu’une seule expérimentation, limitée à « 6 caméras et 4 cas d’usages » (à comparer aux 8 « évènements prédéterminés » autorisés), ait à ce jour été effectuée.

[Article mis à jour le 13 avril avec la déclaration de la rapporteure sur le fait que « Nous avons compris, lors du concert de Depeche Mode ayant servi d’expérimentation, que l’outil ne fonctionnait pas. Les jeux Olympiques offriront un terrain d’expérimentation supplémentaire, mais en aucun cas il y a là un moyen de sécurisation. »]

À moins de 100 jours de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques, une mission d’information sénatoriale a présenté son rapport intitulé (sans ironie) « Gagner la médaille d’or de la sécurisation des jeux Olympiques et Paralympiques de 2024 » et ses 55 préconisations, fruit de 95 auditions et de cinq déplacements, rapporte Public Sénat.

Les deux rapporteures Agnès Canayer (apparentée LR) et Marie-Pierre de la Gontrie (PS) ont livré « un satisfecit général », tout en déplorant que le déploiement de la vidéosurveillance algorithmique (VSA) dite « intelligente » ou « augmentée », point fort de la loi adoptée l’an passé, « est loin des objectifs fixés ».

« La vidéoprotection augmentée ne sera pas optimum au moment des JO. Mais les JO seront un grand terrain de jeux pour l’expérimenter », a regretté Agnès Canayer qui souligne par ailleurs qu’ « il faudra plus de forces de sécurité intérieure ou de forces de sécurité privée pour compenser ce défaut d’outils technologique ».

Une seule expérimentation, un an après l’adoption de la loi


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The Last of Us a tout changé pour la série Fallout sur Prime Video

11 avril 2024 à 08:34

Avec Ella Purnel et Kyle MacLachlan, la série Fallout est adaptée des célèbres jeux vidéo. Le showrunner, Jonathan Nolan, explique combien il doit à The Last of Us.

☕️ InfraNum va reconstruire le réseau télécoms de l’Ukraine

11 avril 2024 à 05:11

La fédération française de professionnels du secteur des infrastructures de télécommunications, InfraNum (ex FIRIP) a signé avec l’Ukraine un accord pour reconstruire son réseau et le moderniser, explique la Fédération dans un communiqué.

Ses membres « réalisent déjà 32 milliards d’euros de chiffre d’affaires à l’étranger et revendiquent pas moins de 100 000 personnes » employées en dehors de nos frontières. L’internationalisation est un axe mis en avant depuis des années pour préparer l’après plan France THD, une fois que le gros du développement sera derrière nous en France.

Selon l’Ukraine, entre 15 et 20 % de ses infrastructures réseaux ont été détruites par la guerre menée par la Russie sur son territoire. Elle estime ces dommages à 2,3 milliards de dollars : « destruction ou détérioration des réseaux Internet des opérateurs de téléphonie fixe, des réseaux radios des opérateurs mobiles, des autres structures et équipements liés, soit environ 3 200 stations de télécommunications dont certaines ont pu être remises en service et plus de 60 000 km de fibre optique », détaille InfraNum.

Les Échos expliquent que l’accord, projet pilote sur huit mois, est « la première étape d’un chantier qui pourrait durer quinze ans et mobiliser au total 10 milliards d’euros d’investissement ». Il prévoit un état des lieux technique, institutionnel et juridique, puis l’apport du « très haut débit, sur une localité relativement éloignée du front de guerre ».

Ce projet « s’inscrit dans la continuité de la demande d’InfraNum d’une subvention de 756 000 euros au titre du FASEP (Fonds d’études et d’Aide au Secteur Privé), octroyée le 29 février par le comité interministériel aide projet ».

☕️ InfraNum va reconstruire le réseau télécoms de l’Ukraine

11 avril 2024 à 05:11

La fédération française de professionnels du secteur des infrastructures de télécommunications, InfraNum (ex FIRIP) a signé avec l’Ukraine un accord pour reconstruire son réseau et le moderniser, explique la Fédération dans un communiqué.

Ses membres « réalisent déjà 32 milliards d’euros de chiffre d’affaires à l’étranger et revendiquent pas moins de 100 000 personnes » employées en dehors de nos frontières. L’internationalisation est un axe mis en avant depuis des années pour préparer l’après plan France THD, une fois que le gros du développement sera derrière nous en France.

Selon l’Ukraine, entre 15 et 20 % de ses infrastructures réseaux ont été détruites par la guerre menée par la Russie sur son territoire. Elle estime ces dommages à 2,3 milliards de dollars : « destruction ou détérioration des réseaux Internet des opérateurs de téléphonie fixe, des réseaux radios des opérateurs mobiles, des autres structures et équipements liés, soit environ 3 200 stations de télécommunications dont certaines ont pu être remises en service et plus de 60 000 km de fibre optique », détaille InfraNum.

Les Échos expliquent que l’accord, projet pilote sur huit mois, est « la première étape d’un chantier qui pourrait durer quinze ans et mobiliser au total 10 milliards d’euros d’investissement ». Il prévoit un état des lieux technique, institutionnel et juridique, puis l’apport du « très haut débit, sur une localité relativement éloignée du front de guerre ».

Ce projet « s’inscrit dans la continuité de la demande d’InfraNum d’une subvention de 756 000 euros au titre du FASEP (Fonds d’études et d’Aide au Secteur Privé), octroyée le 29 février par le comité interministériel aide projet ».

« Made with AI » : des deepfakes volent les corps d’influenceuses, Meta ajoute une étiquette

10 avril 2024 à 09:25
"Faked with AI"
pinup frankenstein

Alors que Meta vient d’annoncer l’ajout d’ « étiquettes contextuelles » sur les contenus « Made in IA », des escrocs ont commencé à voler les vidéos d’influenceuses et travailleuses du sexe, pour les cloner en y rajoutant des visages générés par des IA.

404Media a découvert des comptes Instagram qui volent les vidéos d’influenceuses et travailleuses du sexe, avant de les cloner en substituant leurs visages par des deepfakes générés par des intelligences artificielles, afin de pouvoir monétiser les contenus dérobés.

Vrais corps et décors, faux visages

Certains comptes auraient ainsi accumulé « des centaines de milliers de followers et des millions de vues » en utilisant « presque exclusivement » du contenu volé, tout en renvoyant à des profils payants (de 5 à 20 dollars par mois). 404Media a aussi trouvé plusieurs tutos sur YouTube expliquant comment procéder.

Deux exemples de DeepFakes générés à partir de vraies vidéos
404Media & Instagram

De quoi pouvoir constituer, à peu de frais, un volume important de contenus d’autant plus « crédibles » que les corps sont humains, les décors réels, et que seuls les visages sont générés par IA. Et a priori plus difficiles à identifier comme ayant été générés par des IA, contrairement aux « influenceuses virtuelles » entièrement générées de façon « artificielle ».

Meta va ajouter un « made with AI »


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HUBSIDE, filiale du très controversé « plus jeune milliardaire de France », sanctionnée par la CNIL

10 avril 2024 à 06:23
HUBSIDE down
Un magasin Hubside.Store

Un mois après avoir infligé une amende de 310 000 euros à FORIOU, la CNIL sanctionne sa société sœur HUBSIDE.STORE d’une seconde amende de 525 000 euros. Et ce, au terme d’une plainte enregistrée en 2020, qui lui a permis de découvrir un fichier d’ « environ 1,3 million de prospects français et belges ».

Les deux entreprises ont été condamnées pour les mêmes motifs, résume la CNIL, « notamment pour avoir utilisé à des fins de prospection commerciale des données fournies par des courtiers en données, sans s’assurer que les personnes concernées avaient valablement consenti à être démarchées ».

Elles appartiennent toutes deux à Indexia Group (anciennement Sfam) du très controversé « plus jeune milliardaire de France », Sadri Fegaier, 44 ans. Celui-ci a bâti sa fortune sur des pratiques lui valant un procès pour « pratiques commerciales trompeuses », qui devrait avoir lieu cet automne, et où plus de 500 consommateurs se seraient portés partie civile.

La CNIL rappelle que HUBSIDE.STORE « procède à des campagnes de démarchage par téléphone et par SMS pour promouvoir les produits vendus dans ses boutiques (téléphones portables, ordinateurs, etc.) ». À cet effet, elle acquiert les données de prospects démarchés auprès de courtiers en données, éditeurs de sites de jeux-concours et de tests de produits, tout comme FORIOU.

Et, là encore, « l’apparence trompeuse des formulaires de collecte mis en œuvre par les courtiers à l’origine de la collecte ne permettait pas de recueillir un consentement valide des personnes concernées ». Ce pourquoi HUBSIDE.STORE « ne pouvait donc procéder légalement » à ses opérations de prospection par SMS et téléphone.

En outre, la formation restreinte – organe de la CNIL chargé de prononcer les sanctions – a considéré que, lors de ses opérations de démarchage téléphonique, la société ne permettait pas non plus aux personnes d’être suffisamment informées, en violation de l’article 14 du RGPD.

Elle a prononcé à son encontre une amende de 525 000 euros, rendue publique. Son montant, qui « représente environ 2 % » du chiffre d’affaires de la société, a « notamment été décidé au regard de la gravité des manquements retenus », de la responsabilité endossée par l’organisme utilisant les données collectées, et du fait que la société « avait massivement recours » à la prospection commerciale.

Quatre fichiers non conformes sur les sept examinés


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Avant les JO de Paris, Netflix va sortir un film horrifique qui se passe dans la Seine

9 avril 2024 à 13:33

Le film français Sous la Seine, avec Bérénice Bejo, sortira peu avant les Jeux olympiques, qui se tiennent à Paris cet été. Nul doute que l'on ne verra plus la Seine de la même façon.

Ces chercheurs ont créé des « neurones zombies » par accident

9 avril 2024 à 09:48

Pour étudier des neurones clés de notre cerveau, qui servent à l'apprentissage, des chercheurs ont modifié génétiquement des souris. Cette modification a accidentellement coupé leur capacité d'apprentissage en « zombifiant » ces neurones clés. Ce hasard n'est pas sans utilité pour les avancées scientifiques.

Le créateur des IA israéliennes de bombardement automatisé identifié suite à une boulette

8 avril 2024 à 09:20
OPSEC osef
The Human Machine Couverture du livre Team

L’identité du patron de l’unité 8200 (l’équivalent israélien de la NSA) figurait dans un ebook qu’il avait publié sur Amazon. Il y théorise les programmes d’intelligence artificielle utilisés pour cibler et bombarder les personnes identifiées comme « terroristes » (et leurs familles) à Gaza.

The Guardian a découvert l’identité, jusque-là tenue secrète, du chef de l’Unité 8200, l’équivalent israélien de la NSA. Ce dernier avait en effet publié sur Amazon un livre en 2021, « The Human Machine Team », sous-titré « Comment créer une synergie entre l’intelligence humaine et l’intelligence artificielle qui révolutionnera notre monde ».

Son auteur, Y.S., y est présenté comme un général de brigade, « analyste expert, directeur technologique, commandant d’une unité de renseignement d’élite et lauréat du prestigieux prix israélien de la défense pour son projet de lutte contre le terrorisme basé sur l’intelligence artificielle ».

Son essai prétend « expliquer comment la combinaison de l’intelligence humaine et de l’intelligence artificielle peut résoudre les défis et les menaces en matière de sécurité nationale, mener à la victoire en temps de guerre et être un moteur de croissance pour l’humanité ».

Or, « comme tout écrivain auto-édité », précise Dov Alfon, directeur de la rédaction de Libération (et lui-même ex-officier de renseignements israéliens de l’unité 8200) il lui a fallu créer un compte associé à une adresse e-mail. En l’espèce, un compte Gmail créé au nom de Yossi Sariel.

Initialement repéré par un groupe WhatsApp d’anciens officiers de l’Unité 8200, la bourde a finalement été rendue publique par le Guardian, après que plusieurs sources lui ont confirmé son identité en tant qu’auteur de l’essai et patron de l’unité 8200.

Une « machine à cibles » alimentée par l’IA


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