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Un nouveau DLC s'annonce pour le jeu Tropico 6

Un nouveau DLC s'annonce pour le jeu Tropico 6, il se nomme Tropican Shores et il est attendu pour le 18 juin 2024. L'iconique El Presidente va, donc, reprendre du service, avec des ambitions d'extension maritime, il sera en effet, désormais, possible de développer ses iles sur l'océan ! Tropican Shores vous offre une multitude de nouvelles possibilités pour construire et développer votre île sur l'océan. Transformez l'eau en vin... euh, pardon : transformez l'eau en électricité avec la nouvelle station marémotrice, collectez des perles brillantes avec le pêcheur de perles, et offrez à vos sujets une multitude de nouvelles options de logement (qui n'ont rien à voir avec la pêche) (attention : ces bateaux-maisons risquent d'attirer des familles de musiciens aux cheveux longs). En parlant de musiciens, ce ne serait pas votre république bananière préférée s'il n'y avait pas de nouvelles façons pour les Tropiquiens et les touristes richissimes de dépenser leur argent durement gagné : le chantier naval de yachts privés s'occupe de tout, mais assurez-vous qu'il n'y a pas d'icebergs en vue ! […]

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Bon Plan : un week-end gratuit pour TopSpin 2K25

Le jeu TopSpin 2K25 est jouable gratuitement du 6 au 10 juin 2024, les avis ne sont pas dithyrambiques, toutefois rien ne vaut sa propre expérience et c'est l'occasion parfaite de gagner son Grand Chelem sur terre battue ! ncarnez les légendes comme Roger Federer et Serena Williams, ou marquez l'histoire du tennis dans la peau de Carlos Alcaraz, Iga Swiatek, Frances Tiafoe, Andre Agassi et bien d'autres. Choisissez parmi plus de 24 pros jouables et libérez leur puissance et leur intelligence contre d'autres joueurs, en local ou en ligne. La page Steam du jeu se trouve ici […]

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☕️ Des appareils Apple compatibles Thread, mais sans pouvoir s’en servir

The Verge a découvert qu’un certain nombre de produits récents d’Apple ont une puce radio compatible Thread.

Ce protocole réseau sert à constituer des réseaux maillés basse consommation (IPv6 et 6LoWPAN). Il fonctionne en se basant sur des routeurs de périphérie, qui peuvent alors servir de ponts. Il est souvent confondu avec Matter, avec lequel il peut fonctionner. Dans les grandes lignes, Thread établit un réseau matériel, Matter est une couche logicielle.

La découverte de The Verge est valable pour les nouveaux iPad lancés récemment ainsi que tous les Mac équipés de puces M3 (et leurs déclinaisons). En clair, tout produit sorti depuis septembre dernier. Les iPhone 15 Pro sont officiellement compatibles.

Cette capacité n’est pas indiquée dans les fiches techniques des appareils. Nos confrères ont trouvé mention de cette compatibilité dans des rapports de la FCC (Federal Communications Commission).

Apple compte peut-être profiter de sa WWDC la semaine prochaine pour évoquer le sujet, par exemple via des fonctions spécifiques à iOS 18 et macOS 15.

☕️ Des appareils Apple compatibles Thread, mais sans pouvoir s’en servir

The Verge a découvert qu’un certain nombre de produits récents d’Apple ont une puce radio compatible Thread.

Ce protocole réseau sert à constituer des réseaux maillés basse consommation (IPv6 et 6LoWPAN). Il fonctionne en se basant sur des routeurs de périphérie, qui peuvent alors servir de ponts. Il est souvent confondu avec Matter, avec lequel il peut fonctionner. Dans les grandes lignes, Thread établit un réseau matériel, Matter est une couche logicielle.

La découverte de The Verge est valable pour les nouveaux iPad lancés récemment ainsi que tous les Mac équipés de puces M3 (et leurs déclinaisons). En clair, tout produit sorti depuis septembre dernier. Les iPhone 15 Pro sont officiellement compatibles.

Cette capacité n’est pas indiquée dans les fiches techniques des appareils. Nos confrères ont trouvé mention de cette compatibilité dans des rapports de la FCC (Federal Communications Commission).

Apple compte peut-être profiter de sa WWDC la semaine prochaine pour évoquer le sujet, par exemple via des fonctions spécifiques à iOS 18 et macOS 15.

Carburants solaires, photoscience, santé : 40 millions d’euros pour exploiter la lumière

Lumos Maxima !
Lumière

Dans le cadre du plan d’investissement France 2030, le gouvernement, le CEA et le CNRS viennent de donner le coup d’envoi officiel d’un « ambitieux programme de recherche pour explorer la lumière de manière inédite ». Un des axes concerne les carburants solaires.

Il s’agit d’un nouveau PEPR (Programmes et équipements prioritaires de recherche) baptisé LUMA (Lumière-Matière) dont le but est d’« exploiter les propriétés de la lumière pour explorer et contrôler de nombreux systèmes physicochimiques et biologiques ».

Le projet vient d’être officiellement lancé (même s’il existe depuis longtemps) avec un financement de 40,38 millions d’euros sur sept ans, dans le cadre de France 2030. Il est co-piloté par le CEA et le CNRS. 1 000 chercheurs sont mobilisés et 28 universités impliquées.

De vastes débouchés

Les débouchés potentiels sont nombreux, comme l’explique le CNRS : traitement et stockage de l’information, matériaux durables (chimie verte, recyclage, écoconception), exploitation énergétique (solaire) et photomédicaments (méthodes non-invasives, thérapie photodynamique, traitement du cancer).

Attention à ne pas mettre la charrue avant les bœufs : on parle de recherche fondamentale, pas de remède miracle à court terme. Catalin Miron (directeur de recherche CEA et co-dirigeant de ce projet), précise d’ailleurs qu’il s’agit d’un « PEPR exploratoire, qui anime donc de la recherche amont », on n’est pas dans une phase d’industrialisation, mais de recherche pure.

Le centre de recherche en profite pour affirmer que la France est le leader international dans la valorisation des interactions lumière-matière avec pas moins de cinq prix Nobel depuis 2016 : Jean-Pierre Sauvage (2016), Gérard Mourou (2018), Alain Aspect (2022), Pierre Agostini et Anne L’Huillier (2023 tous les deux). Pour le ministère de la Recherche, la France doit « maintenir et consolider son positionnement, à la fois académique et industriel ».

Photoscience intelligente, technologies vertes et protection

Trois axes de développement sont mis en avant avec LUMA :

  • Photons for Green, « qui vise à l’émergence de nouvelles technologies « vertes » haute performance pour l’énergie et l’industrie de demain ». Il est notamment question de « la conversion efficiente de l’énergie solaire en énergie chimique, en produisant des carburants solaires ».
  • Light for Protection vise de son côté à « utiliser la lumière pour une meilleure préservation de la santé, de l’environnement ou des objets de notre patrimoine ». L’enjeu n’est rien de moins que de diagnostiquer et soigner grâce à la lumière.
  • Enfin, Smart Photoscience ambitionne de « décrypter des systèmes et des dynamiques complexes en chimie, physique, biologie, pour les faire fonctionner par des processus de photo-activation sophistiqués ».

Le programme propose aussi des actions ciblées de recherche, sélectionnées via un appel à manifestations d’intérêt. Quatre axes de développement sont mis en avant : la chiralité, la photochimie et les matériaux, l’énergie et l’environnement, la santé. Des appels à projets collaboratifs sont également dans les cartons.

Deux révolutions scientifiques et techniques

L’année dernière, Rémi Métivier justifiait ce projet par deux « révolutions scientifiques et techniques majeures, survenues ces dernières années », offrant de « nouvelles perspectives quant à l’utilisation de la lumière ».

La première vient du contrôle de la lumière : « Nous avons accès à des sources lumineuses très performantes, notamment avec des lasers à impulsions ultra-courtes (femtoseconde ou attoseconde) ». LUMA s’intéressera à la structuration de la matière « aux échelles ultimes de temps et d’espace (attoseconde et nanomètre) ».

On parlait récemment de l’attoseconde : c’est un milliardième de milliardième de seconde (10⁻¹⁸ seconde). À titre d’exemple : « il y a autant d’attosecondes dans une seconde que de secondes depuis le Big Bang ».

La seconde « révolution » concerne la maitrise par les scientifiques de la conception et de l’assemblage « complexe de molécules aux propriétés complémentaires ». Cela ouvre la voie à « des matériaux organiques et hybrides de nouvelle génération, capables de capturer et d’utiliser la lumière de façon intelligente et performante ».

Concernant le solaire, Rémi Métivier (directeur de recherche CNRS et co-dirigeant du PEPR), explique que nous « avons besoin de résoudre des questions fondamentales telles que l’augmentation de l’efficacité, de la conversion lumineuse ou encore la durabilité des dispositifs que nous concevons ».

Minute papillon, c’est quoi des « carburants solaires » ?

Revenons quelques instants sur les carburants solaires. Engie rappelle qu’il s’agit de « combustibles fabriqués à partir de substances courantes comme l’eau et le dioxyde de carbone grâce à l’énergie de la lumière solaire, utilisée soit par récupération de chaleur soit par génération de charge électrique ».

On peut ainsi produire de l’hydrogène à partir de l’eau (H₂O), mais aussi du gaz de synthèse, du méthane/méthanol et d’autres « carburants » à partir de CO₂ ou de CO₂ + H₂O.

Dans une interview à Newstank, Catalin Miron détaille les attentes sur ce point : « L’idée est de capturer le CO₂ de l’atmosphère pour produire des carburants chimiques pouvant être stockés. Nous pensons avec LUMA pouvoir passer de l’échelle du centimètre au mètre carré pour les cellules de ces dispositifs. Ces recherches pourront aussi apporter des réponses concrètes aux besoins de la société ».

☕️ Proton Pass a son application pour Mac et Linux

Proton Pass

Le gestionnaire de mots de passe maison a désormais une application autonome pour toutes les plateformes majeures. Des versions Mac et Linux viennent en effet d’apparaître, aux côtés de celles pour Windows, Android, iOS et Chrome OS (celle-ci via Android).

Proton en profite pour fournir une extension pour Safari, en plus de celles existant pour les navigateurs sur base Chromium et Firefox.

La version Linux est compatible avec toutes les distributions de type Debian ou RedHat, dont Ubuntu, Fedora ou encore CentOS.

Des améliorations seront bientôt proposées aux versions Mac et Linux dans les semaines à venir. Par exemple, la prise en charge de TouchID pour les Mac compatibles. Sous Linux, une prochaine mouture deviendra compatible avec les mécanismes d’authentification et les API correspondantes.

L’objectif est le même à chaque fois : permettre le déverrouillage du coffre-fort avec la biométrie, le compte utilisateur et « toute autre méthode prise en charge par Linux Pluggable Authentication Modules (Linux PAM) ».

☕️ Starliner s’est bien arrimée à l’ISS… malgré de nouveaux problèmes

Boeing Starliner

Bon an, mal an, la capsule habitable de Boeing est arrivée à la Station spatiale internationale et s’est arrimée. Après des années de retard, des reports de dernières minutes, des fuites d’hélium dans l’espace et des pannes de propulseurs, les deux astronautes sont arrivés sains et saufs dans l’ISS.

Comme le rapporte Spacenews, le rendez-vous s’est fait avec plus d’une heure de retard car « jusqu’à cinq propulseurs du système de pilotage par jets de gaz (RCS) se sont mis hors service pendant les différentes phases de l’approche du vaisseau spatial ».

Hugs all around! The Expedition 71 crew greets Butch Wilmore and @Astro_Suni aboard @Space_Station after #Starliner docked at 1:34 p.m. ET on June 6. pic.twitter.com/wQZAYy2LGH

— Boeing Space (@BoeingSpace) June 6, 2024

Le temps de procéder aux vérifications et de remettre une partie des propulseurs en service, la capsule est restée en dehors de la zone d’exclusion de la Station, à plus de 200 mètres. « Les responsables de la NASA et de Boeing ont déclaré qu’ils avaient pu remettre quatre des cinq propulseurs en marche », et ainsi reprendre la phase d’approche, expliquent nos confrères.

Plus surprenant, ce problème, avait déjà été rencontré lors du vol d’essai sans équipage Orbital Flight Test 2 (OFT-2) en mai 2022. Cela concernait les propulseurs au même endroit du module de service. « Nous ne comprenons pas vraiment pourquoi cela se produit », reconnait Steve Stich, responsable du programme d’équipage commercial de la NASA.

Il ajoute que le problème vient moins des propulseurs eux-mêmes que du logiciel qui les contrôle et des données reçues. Mark Nappi, vice-président de Boeing et responsable du programme d’équipage commercial, confirme que les propulseurs fonctionnent bien – la preuve, ils ont pu être rallumés, explique-t-il. « Ce sont les conditions que nous avons mises dans le logiciel qui indiquent d’une manière ou d’une autre que le propulseur doit être désactivé ».

Steve Stich ajoute enfin qu’une quatrième fuite d’hélium a été trouvée après que la capsule est arrivée à l’ISS. Elle est plus petite que les trois autres. Mark Nappi n’exclu pas que les fuites aient une cause profonde commune, qui reste donc à déterminer.

Quoi qu’il en soit, pour le responsable de Boeing, les deux problèmes sur le véhicule « sont des problèmes assez mineurs à régler, vraiment ». L’entreprise met en avant la liste des tests validés par cette mission.

Malgré les fuites, la capsule aurait largement assez d’hélium pour revenir sur Terre dans une semaine.

Carburants solaires, photoscience, santé : 40 millions d’euros pour exploiter la lumière

Lumos Maxima !
Lumière

Dans le cadre du plan d’investissement France 2030, le gouvernement, le CEA et le CNRS viennent de donner le coup d’envoi officiel d’un « ambitieux programme de recherche pour explorer la lumière de manière inédite ». Un des axes concerne les carburants solaires.

Il s’agit d’un nouveau PEPR (Programmes et équipements prioritaires de recherche) baptisé LUMA (Lumière-Matière) dont le but est d’« exploiter les propriétés de la lumière pour explorer et contrôler de nombreux systèmes physicochimiques et biologiques ».

Le projet vient d’être officiellement lancé (même s’il existe depuis longtemps) avec un financement de 40,38 millions d’euros sur sept ans, dans le cadre de France 2030. Il est co-piloté par le CEA et le CNRS. 1 000 chercheurs sont mobilisés et 28 universités impliquées.

De vastes débouchés

Les débouchés potentiels sont nombreux, comme l’explique le CNRS : traitement et stockage de l’information, matériaux durables (chimie verte, recyclage, écoconception), exploitation énergétique (solaire) et photomédicaments (méthodes non-invasives, thérapie photodynamique, traitement du cancer).

Attention à ne pas mettre la charrue avant les bœufs : on parle de recherche fondamentale, pas de remède miracle à court terme. Catalin Miron (directeur de recherche CEA et co-dirigeant de ce projet), précise d’ailleurs qu’il s’agit d’un « PEPR exploratoire, qui anime donc de la recherche amont », on n’est pas dans une phase d’industrialisation, mais de recherche pure.

Le centre de recherche en profite pour affirmer que la France est le leader international dans la valorisation des interactions lumière-matière avec pas moins de cinq prix Nobel depuis 2016 : Jean-Pierre Sauvage (2016), Gérard Mourou (2018), Alain Aspect (2022), Pierre Agostini et Anne L’Huillier (2023 tous les deux). Pour le ministère de la Recherche, la France doit « maintenir et consolider son positionnement, à la fois académique et industriel ».

Photoscience intelligente, technologies vertes et protection

Trois axes de développement sont mis en avant avec LUMA :

  • Photons for Green, « qui vise à l’émergence de nouvelles technologies « vertes » haute performance pour l’énergie et l’industrie de demain ». Il est notamment question de « la conversion efficiente de l’énergie solaire en énergie chimique, en produisant des carburants solaires ».
  • Light for Protection vise de son côté à « utiliser la lumière pour une meilleure préservation de la santé, de l’environnement ou des objets de notre patrimoine ». L’enjeu n’est rien de moins que de diagnostiquer et soigner grâce à la lumière.
  • Enfin, Smart Photoscience ambitionne de « décrypter des systèmes et des dynamiques complexes en chimie, physique, biologie, pour les faire fonctionner par des processus de photo-activation sophistiqués ».

Le programme propose aussi des actions ciblées de recherche, sélectionnées via un appel à manifestations d’intérêt. Quatre axes de développement sont mis en avant : la chiralité, la photochimie et les matériaux, l’énergie et l’environnement, la santé. Des appels à projets collaboratifs sont également dans les cartons.

Deux révolutions scientifiques et techniques

L’année dernière, Rémi Métivier justifiait ce projet par deux « révolutions scientifiques et techniques majeures, survenues ces dernières années », offrant de « nouvelles perspectives quant à l’utilisation de la lumière ».

La première vient du contrôle de la lumière : « Nous avons accès à des sources lumineuses très performantes, notamment avec des lasers à impulsions ultra-courtes (femtoseconde ou attoseconde) ». LUMA s’intéressera à la structuration de la matière « aux échelles ultimes de temps et d’espace (attoseconde et nanomètre) ».

On parlait récemment de l’attoseconde : c’est un milliardième de milliardième de seconde (10⁻¹⁸ seconde). À titre d’exemple : « il y a autant d’attosecondes dans une seconde que de secondes depuis le Big Bang ».

La seconde « révolution » concerne la maitrise par les scientifiques de la conception et de l’assemblage « complexe de molécules aux propriétés complémentaires ». Cela ouvre la voie à « des matériaux organiques et hybrides de nouvelle génération, capables de capturer et d’utiliser la lumière de façon intelligente et performante ».

Concernant le solaire, Rémi Métivier (directeur de recherche CNRS et co-dirigeant du PEPR), explique que nous « avons besoin de résoudre des questions fondamentales telles que l’augmentation de l’efficacité, de la conversion lumineuse ou encore la durabilité des dispositifs que nous concevons ».

Minute papillon, c’est quoi des « carburants solaires » ?

Revenons quelques instants sur les carburants solaires. Engie rappelle qu’il s’agit de « combustibles fabriqués à partir de substances courantes comme l’eau et le dioxyde de carbone grâce à l’énergie de la lumière solaire, utilisée soit par récupération de chaleur soit par génération de charge électrique ».

On peut ainsi produire de l’hydrogène à partir de l’eau (H₂O), mais aussi du gaz de synthèse, du méthane/méthanol et d’autres « carburants » à partir de CO₂ ou de CO₂ + H₂O.

Dans une interview à Newstank, Catalin Miron détaille les attentes sur ce point : « L’idée est de capturer le CO₂ de l’atmosphère pour produire des carburants chimiques pouvant être stockés. Nous pensons avec LUMA pouvoir passer de l’échelle du centimètre au mètre carré pour les cellules de ces dispositifs. Ces recherches pourront aussi apporter des réponses concrètes aux besoins de la société ».

☕️ Proton Pass a son application pour Mac et Linux

Proton Pass

Le gestionnaire de mots de passe maison a désormais une application autonome pour toutes les plateformes majeures. Des versions Mac et Linux viennent en effet d’apparaître, aux côtés de celles pour Windows, Android, iOS et Chrome OS (celle-ci via Android).

Proton en profite pour fournir une extension pour Safari, en plus de celles existant pour les navigateurs sur base Chromium et Firefox.

La version Linux est compatible avec toutes les distributions de type Debian ou RedHat, dont Ubuntu, Fedora ou encore CentOS.

Des améliorations seront bientôt proposées aux versions Mac et Linux dans les semaines à venir. Par exemple, la prise en charge de TouchID pour les Mac compatibles. Sous Linux, une prochaine mouture deviendra compatible avec les mécanismes d’authentification et les API correspondantes.

L’objectif est le même à chaque fois : permettre le déverrouillage du coffre-fort avec la biométrie, le compte utilisateur et « toute autre méthode prise en charge par Linux Pluggable Authentication Modules (Linux PAM) ».

☕️ Starliner s’est bien arrimée à l’ISS… malgré de nouveaux problèmes

Boeing Starliner

Bon an, mal an, la capsule habitable de Boeing est arrivée à la Station spatiale internationale et s’est arrimée. Après des années de retard, des reports de dernières minutes, des fuites d’hélium dans l’espace et des pannes de propulseurs, les deux astronautes sont arrivés sains et saufs dans l’ISS.

Comme le rapporte Spacenews, le rendez-vous s’est fait avec plus d’une heure de retard car « jusqu’à cinq propulseurs du système de pilotage par jets de gaz (RCS) se sont mis hors service pendant les différentes phases de l’approche du vaisseau spatial ».

Hugs all around! The Expedition 71 crew greets Butch Wilmore and @Astro_Suni aboard @Space_Station after #Starliner docked at 1:34 p.m. ET on June 6. pic.twitter.com/wQZAYy2LGH

— Boeing Space (@BoeingSpace) June 6, 2024

Le temps de procéder aux vérifications et de remettre une partie des propulseurs en service, la capsule est restée en dehors de la zone d’exclusion de la Station, à plus de 200 mètres. « Les responsables de la NASA et de Boeing ont déclaré qu’ils avaient pu remettre quatre des cinq propulseurs en marche », et ainsi reprendre la phase d’approche, expliquent nos confrères.

Plus surprenant, ce problème, avait déjà été rencontré lors du vol d’essai sans équipage Orbital Flight Test 2 (OFT-2) en mai 2022. Cela concernait les propulseurs au même endroit du module de service. « Nous ne comprenons pas vraiment pourquoi cela se produit », reconnait Steve Stich, responsable du programme d’équipage commercial de la NASA.

Il ajoute que le problème vient moins des propulseurs eux-mêmes que du logiciel qui les contrôle et des données reçues. Mark Nappi, vice-président de Boeing et responsable du programme d’équipage commercial, confirme que les propulseurs fonctionnent bien – la preuve, ils ont pu être rallumés, explique-t-il. « Ce sont les conditions que nous avons mises dans le logiciel qui indiquent d’une manière ou d’une autre que le propulseur doit être désactivé ».

Steve Stich ajoute enfin qu’une quatrième fuite d’hélium a été trouvée après que la capsule est arrivée à l’ISS. Elle est plus petite que les trois autres. Mark Nappi n’exclu pas que les fuites aient une cause profonde commune, qui reste donc à déterminer.

Quoi qu’il en soit, pour le responsable de Boeing, les deux problèmes sur le véhicule « sont des problèmes assez mineurs à régler, vraiment ». L’entreprise met en avant la liste des tests validés par cette mission.

Malgré les fuites, la capsule aurait largement assez d’hélium pour revenir sur Terre dans une semaine.

Test Drive Unlimited Solar Crown a le droit à une démo et à des recommandations hardwares

Test Drive Unlimited Solar Crown, qui est attendu pour le 12 septembre 2024, dispose désormais d'une démo, téléchargeable ici et jouable du 6 au 17 juin. Neuf des quatorze districts sont accessibles, 11 voitures sont accessibles, 16 véhicules sont achetables, 27 courses sont disponibles... En plein cœur d'Hong Kong Island où les rêves deviennent réalité, Radiant a mis en place de nouveaux standards du luxe. Cette organisation inconnue du grand public mais très influente, invite ses membres à participer à une compétition hors normes : le Solar Crown. Les motivations de ce groupe ne sont pas bien connues, mais leurs valeurs sont claires : Prestige, Passion de l'Automobile, et Compétition. Test Drive Unlimited Solar Crown vous propose de vivre à la fois une expérience de vie et une expérience sociale sans équivalent dans un jeu vidéo ! Ce tout nouveau Test Drive Unlimited conserve l'ADN des premiers jeux tout en apportant une vision moderne et actuelle du jeu de course en multijoueur. […]

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Boeing Starliner Docks With ISS

Longtime Slashdot reader destinyland shared a story from Space.com reporting on Boeing's missed opportunity to dock with the International Space Station, after five of the 28 thrusters that help control Starliner's movement in space stopped operating. NASA has since been able to recover four of the thrusters to successfully dock Boeing's Starliner capsule with the ISS. From the report: There are now two U.S.-built crew spacecraft docked with the ISS for the first time. Boeing's Starliner joined SpaceX's Dragon capsule "Endeavour," which arrived in March. Boeing's Starliner launched successfully on Wednesday to begin the crew flight test. The mission represents a final major step before NASA certifies Boeing to fly crew on operational missions. [...] NASA flight controllers called off a previously scheduled approach to resolve issues with Starliner's propulsion system. Starliner has 28 jets, known as its reaction control system, or RCS, engines, that help the spacecraft make small movements in orbit. The crew on Starliner, NASA astronauts Butch Wilmore and Suni Williams, were told by NASA capsule communicator, or CAPCOM, Neal Nagata, that the 12:15 p.m. docking attempt had to be called off to resolve the spacecraft's propulsion issue. CAPCOM Nagata noted that the ISS has a zero fault tolerance for a spacecraft control problem. The agency and Boeing had to troubleshoot five of the RCS jets that were not operating. Four of Starliner's malfunctioning jets were recovered after Wilmore and Williams worked with flight controllers to test fire the thrusters. CAPCOM Nagata had the astronauts hold the spacecraft beyond the "keep out sphere," an invisible boundary around the ISS that serves as a safety measure, while diagnosing the problematic thrusters.

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Humane aurait voulu se vendre pour 1 milliard de dollars à HP

Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com

Sceptique, je l’ai été dès le départ sur ce produit. Son intérêt étant quasi nul, sa campagne de lancement s’est heurté au mur de briques bien dense de la réalité des premiers retours. Lent, souvent totalement dans l’erreur et au final bien moins pratique qu’un simple smartphone, l’avenir de l’AI Pin s’est dissous dans le vitriol de critiques méritées.

Suite à ce lancement catastrophique, Humane qui présentait l’objet comme le premier assistant personnel qui s’appuyait sur une IA, s’est retrouvé dans l’impasse. La marque a réussi a trouver 10 000 clients pour son joujou à 699$. Ce qui est déjà un bel exploit. Mais il lui fallait 100 000 clients pour espérer coller à ses ambition. Un petit trou de 90 000 pigeons a plumer qui n’allaient jamais acheter un de ces gadget après la douche glacée des tests qui ont dévoilé ses nombreux défauts.

Le boitier de recharge ressemble il est vrai un peu à une grenade futuriste

Les derniers en date sont incompréhensibles : la marque a du envoyer un communiqué à tous les clients ayant acheté un « Charge Case » qui permet de recharger l’accessoire de manière autonome, d’arrêter de s’en servir. Sous peine d’un défaut électrique et d’un possible départ de feu. L’objet présenterait un risque de sécurité élevé. La société se défausse sur son fournisseur de batterie qui serait responsable du problème. Un constat tout bonnement ahurissant quand on considère le prix de cet accessoire optionnel : 149$ HT.

Incroyable ? Il y a pire. On a également appris que le projecteur laser qui permettait de profiter d’informations émises par l’appareil au creux de sa main provoquait une surchauffe importante de l’accessoire. Les représentants de Humane étaient forcés de placer leurs assistant contre des blocs de glace pour les refroidir afin de les utiliser plus longtemps.

 Les dirigeants de Humane savaient pertinemment que leur produit était non seulement mauvais d’un point de vue usage. Il ne fournissait pas des réponses justes et proposait une interface horripilante, mais ils devaient également savoir qu’il étaient mal conçus et inexploitables. Des employés de Humane se sont fait rappelés à l’ordre par la direction de l’entreprise pour être trop critiques envers le produit. Un développeur logiciel qui s’interrogeait sur le calendrier de sortie de l’engin se serait par exemple fait licencier pour avoir manqué d’optimisme. Les employés de la boite ne devant pas, par contrat, être critique envers leur employeur. Des ingénieurs qui avaient signalé les problèmes de consommation et d’autonomie n’ont pas été écoutés par la direction qui préférait une attitude plutôt « positive que critique ». Ne pas écouter ceux qui conçoivent et programment les produits reste, depuis toujours, la meilleure recette pour envoyer sa société dans le mur.

Et à ce stade on a dépassé l’étape du client utilisé comme Beta testeur pour le transformer en pigeon. Un constat tout bonnement incroyable quand on pense que cet objet était proposé 699$ HT. Je ne doute pas une seule seconde qu’une Class Action va être menée contre la société à court terme.

We do business

Mais le plus extraordinaire est encore d’apprendre que les dirigeants de Humane, Imran Chaudhri et Bethany Bongiorno ci-dessus, ont tenté le tout pour le tout une petite semaine après la sortie du produit et l’apparition des critiques négatives. Ils se sont tournés vers HP et ont tenté de vendre la société pour… un milliard de dollars. Ce chiffre du New York Times, recoupé par Bloomberg, est tout simplement affolant. J’avais fait l’écho de cette mise en vente mais je pensais naïvement que le chiffre aurait pas mal de zéros de moins. Juste pour sauver la marque et les salariés. Car Humane ne vaut en réalité pas grand chose. Il s’agit d’une mauvaise interface rendue obsolète par l’apparition des IA sur les Smartphones comme ce que présentait il y a peu Open AI. Essayer de vendre Humane à HP pour 1 milliard de dollars, cela ressemble un peu à un dernier coup de bluff de la part de ses dirigeants.

Humane ne vaut rien parce que son idée est obsolète, l’objet en lui même est un désastre technologique et son code n’apporte rien de plus que ce que ses concurrents  sont capables de produire. Sa culture d’entreprise elle même est nocive. Aujourd’hui l’image de l’AI Pin est telle que celui qui portera cet objet à sa veste passera pour un pigeon capable de claquer 699$ dans un gadget avant que le moindre test ne soit disponible.

Et j’ai comme l’impression que l’histoire de l’AI Pin va pas mal se répéter dans les mois qui viennent. On aura sans doute de jolies histoires a entendre avec le Rabbit R1 dans pas longtemps. Mais il y a tellement de pression autour de l’Intelligence Artificielle annoncée à tord et  à travers ces derniers mois, sans que les objets et les logiciels mis en avant n’aient le moindre intérêt, que pas mal de sociétés vont probablement subir les frais d’un méchant retour de bâton.

 

Ô surprise, l’AI Pin n’est pas une expérience formidable

Humane aurait voulu se vendre pour 1 milliard de dollars à HP © MiniMachines.net. 2024.

Costco Plans To Stop Selling Books Year-Round

An anonymous reader quotes a report from the New York Times: In a blow to publishers and authors, Costco plans to stop selling books regularly at stores around the United States, four publishing executives who had been informed of the warehouse retailer's plans said on Wednesday. Beginning in January 2025, the company will stop stocking books regularly, and will instead sell them only during the holiday shopping period, from September through December. During the rest of the year, some books may be sold at Costco stores from time to time, but not in a consistent manner, according to the executives, who spoke anonymously in order to discuss a confidential business matter that has not yet been publicly announced. Costco's shift away from books came largely because of the labor required to stock books, the executives said. Copies have to be laid out by hand, rather than just rolled out on a pallet as other products often are at Costco. The constant turnaround of books -- new ones come out every Tuesday and the ones that have not sold need to be returned -- also created more work. The decision could be a significant setback for publishers at a moment when the industry is facing stagnant print sales and publishing houses are struggling to find ways to reach customers who have migrated online. Costco had already stopped selling books in some markets, including Alaska and Hawaii. While Costco may not be as critical of an outlet as a bookstore like Barnes & Noble, its influence is also evident in the large quantities it orders. When Costco chose to carry a book, "it often went big, ordering tens of thousands of copies at a minimum," says the report. "For major blockbusters, they might stock hundreds of thousands of copies of a single title." "The change may also impact Costco customers, particularly those who live in areas without a bookstore. And because many books at Costco were impulse buys, some of those sales may not shift over to Amazon or Barnes & Noble. Instead, they might not happen at all."

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eBay To Drop American Express Over Fees

Online marketplace behemoth eBay said it plans to no longer accept American Express, citing what the company says are "unacceptably high fees." CNBC: It's a notable blow to American Express, whose customers are often the most attractive among merchants and spend the most money per month on their cards. But it's not the first time merchants have voiced opposition to AmEx's business practices by walking away, most notably the warehouse chain Costco nearly a decade ago. [...] Overland said that eBay customers have become aware of new ways to pay for items, making payments more competitive than ever before, and AmEx was no longer a necessary partner for eBay. eBay has increasingly been offering customers buy now, pay later options on purchases through Apple Pay, PayPal and other companies like Klarna and Affirm as well.

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