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☕️ Le Sénat augmente la fiscalité des géants du numérique

Pendant l’examen du projet de loi de finances (PLF) 2026, le Sénat a adopté le 29 novembre deux amendements ajoutant une nouvelle contribution à la taxe sur les services numériques et une nouvelle taxe exceptionnelle.


Déposé par le sénateur centriste Daniel Fargeot, le premier complète la taxe sur les services numériques en y intégrant les « revenus de la publicité ciblée diffusée en France » et les « recettes tirées de la valorisation des données des utilisateurs français, y compris lorsqu’elles ne relèvent pas directement de la publicité ». 


But affiché : s’assurer que la taxe sur les services numériques vise clairement les « entreprises exploitant un service de réseau social en ligne », et pas seulement les services d’intermédiation.

S’ils ont rejeté les amendements qui rehaussaient le taux et le seuil de cette taxe, les sénateurs ont en revanche adopté un amendement reprenant l’idée de « fair share », c’est-à-dire une contribution visant les acteurs qui prennent l’essentiel du trafic internet.

Auteur de la proposition, le sénateur Damien Michallet (LR) y souligne que 5 acteurs (Netflix, l’hébergeur Akamai, Google, Meta et Amazon) génèrent près de 47 % du trafic internet, « dont certains vendent leurs contenus en France en hors taxe ».

Le texte crée une taxe de 1 % du chiffre d’affaires national HT des « entreprises du secteur des services numériques (…) qui utilisent directement ou indirectement les infrastructures numériques situées sur le territoire national et qui réalisent un chiffre d’affaires mondial consolidé supérieur à 750 millions d’euros et un chiffre d’affaire en France supérieur à 50 millions d’euros au titre des services numériques ».

Ses recettes doivent contribuer au financement des infrastructures, une demande historique de l’industrie des télécoms. Le ministre de l’Économie Roland Lescure a souligné que ces sujets nécessitaient d’être travaillés au niveau européen.

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☕️ Le Sénat augmente la fiscalité des géants du numérique

Pendant l’examen du projet de loi de finances (PLF) 2026, le Sénat a adopté le 29 novembre deux amendements ajoutant une nouvelle contribution à la taxe sur les services numériques et une nouvelle taxe exceptionnelle.


Déposé par le sénateur centriste Daniel Fargeot, le premier complète la taxe sur les services numériques en y intégrant les « revenus de la publicité ciblée diffusée en France » et les « recettes tirées de la valorisation des données des utilisateurs français, y compris lorsqu’elles ne relèvent pas directement de la publicité ». 


But affiché : s’assurer que la taxe sur les services numériques vise clairement les « entreprises exploitant un service de réseau social en ligne », et pas seulement les services d’intermédiation.

S’ils ont rejeté les amendements qui rehaussaient le taux et le seuil de cette taxe, les sénateurs ont en revanche adopté un amendement reprenant l’idée de « fair share », c’est-à-dire une contribution visant les acteurs qui prennent l’essentiel du trafic internet.

Auteur de la proposition, le sénateur Damien Michallet (LR) y souligne que 5 acteurs (Netflix, l’hébergeur Akamai, Google, Meta et Amazon) génèrent près de 47 % du trafic internet, « dont certains vendent leurs contenus en France en hors taxe ».

Le texte crée une taxe de 1 % du chiffre d’affaires national HT des « entreprises du secteur des services numériques (…) qui utilisent directement ou indirectement les infrastructures numériques situées sur le territoire national et qui réalisent un chiffre d’affaires mondial consolidé supérieur à 750 millions d’euros et un chiffre d’affaire en France supérieur à 50 millions d’euros au titre des services numériques ».

Ses recettes doivent contribuer au financement des infrastructures, une demande historique de l’industrie des télécoms. Le ministre de l’Économie Roland Lescure a souligné que ces sujets nécessitaient d’être travaillés au niveau européen.

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Cooler Master officialise son nouveau fleuron en boitier PC : le COSMOS ALPHA !

Nous vous le présentions en exclusivité à H&Co le 13 octobre 2025 et le voici officialisé par Cooler Master : le COSMOS ALPHA. Membre d'une lignée iconique de boitier, le nouveau venu offre une approche résolument futuriste à la fois en matière de design mais aussi de fonctionnalités, avec par e...

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Les CPU AMD en hausse depuis hier soir minuit ? P'tet ben qu'oui, p'tet ben qu'non !

C'est la rumeur du jour lancée hier par Overclock3D qui aurait reçu confirmation de la part de ses sources qu'AMD prévoirait une augmentation de ses processeurs Ryzen 9000 et antérieurs depuis minuit hier soir. Telle la guillotine qui coupe net et qui ne laisse pas le temps de tergiverser, cette mon...

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openSUSE Begins Rolling Out Intel NPU Support

Via the openSUSE Innovator Initiative, packaging of the Intel Neural Processing Unit (NPU) driver for the openSUSE ecosystem has begun. This is helping to jump-start the Intel NPU support within the openSUSE space although user-space applications ready to leverage the Intel NPU still remains very limited...
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Test casque Kiwi Ears Serene : du planar magnetic à découvrir

Pour le second article de la journée, nous vous proposons de découvrir le casque Serene de Kiwi Ears. Un modèle analogique qui se branche en 3.5 mm et qui exploite des transducteurs planaires en 72 x 89 mm. Un casque à découvrir ici même : Test casque Kiwi Ears Serene ou en cliquant sur la source. […]

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CPU : AMD officialise ses hausses… mais les prix avaient déjà commencé à grimper, et Intel suit la tendance

Overclock3D a confirmé qu'AMD a prévenu ses partenaires d'une hausse générale des prix sur ses processeurs, une augmentation censée s'appliquer "dès maintenant". Mais dans les faits, de notre côté, nous avions déjà observé depuis quelques jours des premiers mouvements à la hausse chez plusieurs revendeurs, signe que l'ajustement avait commencé en amont. Ce relèvement tarifaire touche aussi bien les Ryzen 9000 que les générations précédentes. AMD ne détaille pas les raisons, et il ne s'agit pas d'une réaction directe à la flambée des prix mémoire. On parle plutôt d'un réalignement interne, potentiellement lié aux coûts de production ou au retour aux tarifs hors promotions post-Black Friday. […]

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Sur le marché des cartes graphiques dédiées, la renaissance d’Intel à 1 %

Le dernier rapport trimestriel portant sur les parts de marché des dGPU de Jon Peddie Research relatait l’hégémonie de NVIDIA : au deuxième trimestre 2025, les GeForce de l’entreprise s’accaparaient 94 % des ventes ; les Radeon constituaient les 6 % restants, quand Intel stagnait à 0 %. Le bilan du troisième trimestre est un poil plus pluraliste... [Tout lire]
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Le Raspberry Pi 5 débarque en 1 Go de RAM

La Raspberry Pi 5 1 Go n’apporte rien de plus que les précédents modèles, elle répond en fait à une problématique probablement plus industrielle qu’autre chose. La marque avait prévenu des le début du mois d’octobre que les lignes allaient bouger.

L’augmentation du prix de la mémoire vive continue de bouleverser l’écosystème informatique. Ce qui était un détail comptable il y a quelques mois devient aujourd’hui beaucoup plus problématique. Surtout lorsque l’on brase de gros volumes de matériel. C’est le cas de Raspberry Pi qui avait lancé la cinquième version de sa carte de développement en se basant sur de la mémoire vive à des prix beaucoup plus légers qu’aujourd’hui. En 2023 pour son lancement, la marque annonçait deux modèles en 4 et 8 Go de LPDDR4x. Il aura fallu attendre aout 2024 pour que le modèle 2Go  soit disponible.

Sur le PCB de la Raspberry Pi 5 on peut lire que le modèle 1Go est prévu d'origine.

Sur le PCB de la Raspberry Pi 5 on peut lire que le modèle 1Go est prévu d’origine.

Désormais, une version 1 Go est proposée par la marque et elle n’est pas vendue à un prix cassé. Comptez 45 dollars pour l’acquérir. Son objectif, garder la carte accessible face à la hausse du prix des composants mémoire. L’idée n’est pas de faire plaisir aux particuliers, mais de continuer à travailler avec des industriels. La carte avec 1 Go de mémoire n’a pas beaucoup de sens pour un usage personnel.

Ici, il est plus question de répondre à un besoin très classique d’utilisation au sein d’un développement externe. Par exemple un affichage dynamisme ou le pilotage d’un outil. Ces usages-là peuvent largement se contenter d’un petit gigaoctet de mémoire vive. Leur système d’exploitation, optimisé ou non, n’a pas forcément besoin de réagir en temps réel. S’il faut une seconde à un affichage publicitaire pour basculer d’une image à l’autre, ce n’est pas très important. 

Pour l’acheteur qui commande quelques milliers de Rasberry Pi 5, c’est par contre beaucoup plus problématique de devoir payer un modèle 2 Go plus cher. Ils préfèreront basculer en 1 Go qu’augmenter leurs dépenses.

 Raspberry Pi 5

Raspberry Pi 5

Parce que le revers de la médaille, c’est bel et bien l’augmentation promise des versions Raspberry Pi 4 et 5 « classiques ». La LPDDR4 a également vu son tarif gonfler et les produits équipés vont donc tous augmenter à terme. Les cartes de développement le font sentir assez vite car leur marge est directement attaquée. Il n’est pas possible de jouer avec d’autres composants pour absorber cette hausse comme le suggère HP pour le futur. Pas possible de choisir un écran moins bon, des enceintes plus bas de gamme, d’enlever le capteur infrarouge de la proposition de webcam. Là où un fabricant de portables va pouvoir jouer avec ses différents fournisseurs1 pour conserver un prix, Raspberry Pi n’a pas d’autres choix que de baisser la mémoire ou augmenter les tarifs.

La société se veut rassurante en indiquant que la situation est « temporaire » mais n’a aucun moyen de savoir jusqu’à quand elle durera. Suivant l’évolution du marché, en particulier autour de l’IA et de son appétit démesuré pour les composants, cette « période » pourrait durer jusqu’en 2027. Voir plus suivant certains analystes qui ne penchent pas vers un retour à la situation précédente pour ce type de mémoire « DDR4 ».  On a donc pour le moment des hausses de 5 à 25 dollars sur les cartes suivant leur capacité en mémoire. Et aucun moyen de savoir si cela va empirer ni combien de temps cela va durer cette crise d’IAphagie.

 

Raspberry Pi 5 : une nouvelle carte plus performante et plus chère

Le Raspberry Pi 5 débarque en 1 Go de RAM © MiniMachines.net. 2025

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Louer ses GPU pour l’IA ? De la promesse de Pavel Durov (Telegram) à la réalité technique

On a dit pas de baskets
Louer ses GPU pour l’IA ? De la promesse de Pavel Durov (Telegram) à la réalité technique

Pavel Durov, créateur de la messagerie Telegram, a lancé officiellement sa plateforme Cocoon, qui se propose de répartir les requêtes IA sur un réseau distribué d’ordinateurs. Elle est également présentée comme confidentielle et chiffrée. Mais en dépit d’une annonce semblant destinée à tous les possesseurs de GPU, Cocoon s’adresse à un matériel très spécifique.

Début novembre, Pavel Durov présentait son réseau décentralisé Cocoon, largement intégré à la plateforme Telegram, basé sur la chaine TON et proposant de répartir les calculs liés à l’IA sur un ensemble de machines disponibles, plutôt que le traitement classique via un ou plusieurs centres de données dédiés. La chaine TON (The Open Network) a été initialement créée par Telegram, mais est gérée par une équipe indépendante depuis 2021, après un abandon par Telegram en 2020.

L’initiative était présentée comme particulièrement sécurisée et respectueuse de la confidentialité, tant des requêtes que des données. Une sortie d’étrange mariage entre Private Cloud Compute d’Apple, Seti@Home et blockchain. Le nom Cocoon signifie d’ailleurs Confidential Compute Open Network.

Le réseau a été officiellement lancé ce 30 novembre, comme annoncé lundi par Pavel Durov sur son compte X. Il présente son projet comme salvateur pour « les propriétaires de GPU qui engrangent déjà des gains considérables », laissant penser que tout le monde peut en profiter. Mais lorsque l’on épluche les documentations techniques disponibles, la réalité est toute autre et il reste de nombreuses zones d’ombre.

Un cercle vertueux selon Durov


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Kernel Credential Guards Merged For Linux 6.19

Merged yesterday for the Linux 6.19 kernel were "substantial" improvements to the kernel's credential infrastructure to provide guard-based management that allows for kernel code simplification and avoiding manual reference counting across many subsystems...
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Test Kiwi Ears Serene : du planar magnetic abordable qui bouscule le marché !

On vous propose aujourd’hui le test du Serene, fruit d’une collaboration entre Kiwi Ears et l’influenceur Zeos Pantera qui anime notamment la chaîne YouTube Z Reviews. Le Serene est un casque audio qui comprend trois caractéristiques extrêmement rarement vues ensemble : de type fermé (jusque-là, tout va bien), avec des transducteurs planaires magnétiques (rien à signaler donc) et le tout pour… 160€ environ. C’est là que toute l’intrigue entre en jeu : comment est-ce possible et peut-on imaginer que des transducteurs planaires puissent faire descendre le prix aussi bas, alors que le coût de fabrication est bien plus élevé que des transducteurs dynamiques ? Kiwi Ears annonce qu’il s’agit de transducteurs à la conception ‘’light’’ au format propriétaire de 72 x 89mm. Alors gros bluff marketing ou coup de pied dans la fourmilière ? On vous donne notre avis sur ce casque !
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Test carte mère MSI B850MPOWER : une référence très solide ?

On commence la journée avec le test d'une carte mère pour les derniers processeurs AMD, donc pour les Ryzen 7000 et Ryzen 9000, avec la MSI B850MPOWER. Une carte mère au patronyme qui fait dresser les poils, au format Micro ATX, et qui semble offrir tout ce que l'on attend d'une bonne carte mère aujourd'hui. Elle est à découvrir ici même : Test carte mère MSI B850MPOWER, ou en cliquant sur la source. […]

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SONY PlayStation 5 : les fuites de métal liquide ne seraient plus qu'un mauvais souvenir !

Il semblerait que la PlayStation 5 de SONY connaisse un petit souci technique persistant, mais qui touche principalement les toutes premières unités produites. En cause, le très bon choix de SONY d'utiliser du métal liquide entre l'APU et le dissipateur. Si ce métal liquide offre une bien meilleure conductivité thermique que la pâte classique, il présente aussi des risques spécifiques. Le problème se manifeste surtout lorsque la PS5 est installée en position verticale pendant de longues périodes, un peu comme certaines cartes graphiques RTX 5000. […]

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Akasa Kepler : un serveur fanless au format Micro-ATX

Akasa a sans doute un petit peu de difficultés ces dernières années sur le marché. Comme beaucoup d’autres, l’annonce brutale de la fin des NUC chez Intel a dû rendre sa situation compliquée. Le fabricant de boitier s’était en effet largement spécialisé dans la construction de solutions dédiées aux minimachines de la marque et avait développé toute une gamme de produits.

Akasa

Akasa a poursuivi son développement avec les produits Asus tout en se développant vers d’autres secteurs. L’Akasa Kepler se présente donc comme le fruit de cette évolution sur le marché. Il s’agit d’un rack de serveur 2U pensé pour fonctionner silencieusement avec en son cœur une carte mère Micro-ATX. La solution est complète et comme vous pouvez le voir sur l’image ci-dessus, le boitier embarque sa propre alimentation. 

Akasa Kepler

Le dispositif interne est classique. Un dissipateur en aluminium vient coiffer le processeur et propose à son sommet deux caloducs qui vont transporter la chaleur dégagée vers le côté du boitier Kepler. Akasa indique que l’ensemble est prévu pour assurer un fonctionnement parfait avec des puces Intel Core de 12e, 13e et 14e génération ainsi que des Core Ultra de 15e génération du moment que celles-ci restent dans un TDP de 35W max. Le châssis est donc compatible avec les cartes mère Micro-ATX et Mini-ITX avec des sockets LGA1851 et LGA1700.

Le boitier est fourni avec une alimentation tout aussi passive qui propose 150W pour alimenter l’ensemble. Le Akasa Kepler est surtout pensé pour des usages spécialisés. On retrouve ici différents métiers qui vont du broadcast vidéo à l’enregistrement audio en passant par des solutions industrielles de contrôle ou de gestion de machines outils. Mais aussi les équipements médicaux et autres installations qui redoutent le brassage d’air lié à une ventilation.

Le boitier propose dans un châssis mesurant 48.18 cm de large pour 30.75 cm de profondeur et 8.7 cm d’épaisseur. Il propose quatre baies de stockage 2.5″ acceptant des unités de 9 mm d’épaisseur dans des caddies disposés en façade. Le boitier propose deux ports USB 3.2 Type-A, un bouton de démarrage et deux LED témoins de stockage et d’activité. A l’arrière, on retrouve quatre ouvertures pour des baies PCIe low-profile qui serviront à communiquer avec d’autres éléments.

Ce produit n’est pas commercialisé de manière classique. Akasa le produit à la demande et l’ajoute donc à son catalogue. D’autres boitiers sont disponibles chez le fabricant et en particulier des versions de son Maxwell RC Pro pour les nouveaux NUC Asus Revel Canyon et Cyber Canyon. Beaucoup de leurs produits sont distribués en France sur RueDuCommerce. Il faudra que je me penche sur ces modèles.

Boitier Akasa Kepler

Caractéristique Détails
Matériau Acier noir sablé (SGCC) avec dissipateur thermique en aluminium
Format de carte mère Micro-ATX, Mini-ITX
Socket supportés Intel® LGA1851, LGA1700
TDP maximum supporté 35 W
Dimensions (L x P x H) 481.8 × 307.5 × 87 mm
Baies de stockage 4 × 2.5″ SATA SSD/HDD avec verrou (hauteur max 9,5 mm)
I/O avant 4 × baies 2.5″ SATA SSD/HDD, 2 × USB 3.2 Gen 1 Type-A, voyant d’alimentation, voyant HDD, bouton d’alimentation
I/O arrière 4 × slots PCIe low-profile, ouverture I/O carte mère, entrée AC + interrupteur
Bloc d’alimentation 150 W fanless, AC-DC, sortie multi-voltage
Code produit A-ATX11-M1B

Alimentation passive 150W

Caractéristique Détails
Puissance de sortie 150 W (refroidissement par convection à 40 °C)
Tensions de sortie +3.3 V, +5 V, +5 V standby, +12 V, -12 V
Tension d’entrée 90–264 VAC
Dimensions (P × L × H) 198.0 × 97.0 × 40.5 mm
Température de fonctionnement -10 °C à 70 °C
Efficacité énergétique 83 %
PFC PFC actif (Classe D)
EMI EN 55022 Classe B
Protections Protection surtension, protection court-circuit, protection surchauffe
Normes et directives de sécurité Normes ITE ; BS IEC 62368-1, UL 62368-1 approuvées

Akasa Kepler : un serveur fanless au format Micro-ATX © MiniMachines.net. 2025

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☕️ FreeBSD 15.0 se modernise et permet les builds reproductibles

L’équipe de FreeBSD vient d’annoncer la disponibilité de la version finale pour la quinzième édition majeure du système Unix.

La plupart des évolutions sont largement liées à la modernisation générale des paquets. On trouve cependant plusieurs améliorations notables, dont une génération des artefacts (images d’installations, de machines virtuelles et autres) sans requérir de droits administrateur. On peut également voir une implémentation native d’inotify, ou encore le passage à la version 2.4.0-rc4 de ZFS.

FreeBSD 15 introduit surtout deux changements majeurs. D’abord, l’introduction d’une nouvelle méthode pour l’installation et la gestion du système, basée sur le gestionnaire de paquets pkg. Lors de l’installation, les utilisateurs peuvent choisir entre la nouvelle méthode et l’ancienne (distribution sets). L’équipe précise cependant que cette dernière sera supprimée avec FreeBSD 16.

L’autre grande nouveauté est l’arrivée des builds reproductibles. Aussi appelée compilation déterministe, cette méthode permet de s’assurer que le code binaire pourra être reproduit par d’autres personnes. Il s’agit d’une étape importante pour la confiance, car la conséquence principale est que les utilisateurs peuvent s’assurer notamment que les images fournies par l’équipe sont bien ce qu’elles prétendent être et correspondent aux sources.

Signalons également une progression significative du support des ordinateurs portables par le système grâce à l’initiative FreeBSD-on-laptops, surtout pour le matériel Wi-Fi et graphique.

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☕️ FreeBSD 15.0 se modernise et permet les builds reproductibles

L’équipe de FreeBSD vient d’annoncer la disponibilité de la version finale pour la quinzième édition majeure du système Unix.

La plupart des évolutions sont largement liées à la modernisation générale des paquets. On trouve cependant plusieurs améliorations notables, dont une génération des artefacts (images d’installations, de machines virtuelles et autres) sans requérir de droits administrateur. On peut également voir une implémentation native d’inotify, ou encore le passage à la version 2.4.0-rc4 de ZFS.

FreeBSD 15 introduit surtout deux changements majeurs. D’abord, l’introduction d’une nouvelle méthode pour l’installation et la gestion du système, basée sur le gestionnaire de paquets pkg. Lors de l’installation, les utilisateurs peuvent choisir entre la nouvelle méthode et l’ancienne (distribution sets). L’équipe précise cependant que cette dernière sera supprimée avec FreeBSD 16.

L’autre grande nouveauté est l’arrivée des builds reproductibles. Aussi appelée compilation déterministe, cette méthode permet de s’assurer que le code binaire pourra être reproduit par d’autres personnes. Il s’agit d’une étape importante pour la confiance, car la conséquence principale est que les utilisateurs peuvent s’assurer notamment que les images fournies par l’équipe sont bien ce qu’elles prétendent être et correspondent aux sources.

Signalons également une progression significative du support des ordinateurs portables par le système grâce à l’initiative FreeBSD-on-laptops, surtout pour le matériel Wi-Fi et graphique.

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Marché mondial des cartes graphiques : AMD et Intel progressent, NVIDIA recule légèrement

Le cabinet d'analyse John Peddie Research vient de publier ses chiffres de parts de marché des cartes graphiques des trois "gros" du marché mondial : AMD, Intel et NVIDIA pour le 3e trimestre 2025. Durant le dernier trimestre, il se serait ainsi écoulé 12,02 millions de cartes graphiques dédiées dan...

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Russia Still Using Black Market Starlink Terminals On Its Drones

schwit1 shares a report from Behind The Black: In its war with the Ukraine, it appears Russia is still managing to obtain black market Starlink mini-terminals for use on its drones, despite an effort since 2024 to block access. [Imagery from eastern Ukraine shows a Russian Molniya-type drone outfitted with a mini-Starlink terminal, reinforcing reports that Russia is improvising satellite-linked UAVs to extend their communication and operational range.] SpaceX has made no comment on this issue. According to the article, Ukraine is "exploring alternative European satellite providers in response, seeking more secure and controllable communications infrastructure for military operations." While switching to another satellite provider might allow Ukraine to shut Starlink down and prevent the Russians from using it within its territory, doing so would likely do more harm to Ukraine's military effort than Russia's. There isn't really any other service comparable at this time. And when Amazon's Leo system comes on line it will face the same black market issues. I doubt it will have any more success than SpaceX in preventing Russia from obtaining its terminals. Overall this issue is probably not a serious one militarily, however. Russia is not likely capable of obtaining enough black market terminals to make any significant difference on the battlefield. This story however highlights a positive aspect of these new constellations. Just as Russia can't be prevented from obtaining black market terminals, neither can the oppressed citizens in totalitarian nations like Russia and China be blocked as well. These constellations as designed act to defeat the censorship and information control of such nations, a very good thing.

Read more of this story at Slashdot.

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