Dans une tribune au « Monde », un collectif de plus de 300 universitaires, parmi lesquels Jean-François Bayart, Judith Butler et Pierre-Cyrille Hautcœur, s’élève contre l’annulation de l’événement. Ils y voient une « atteinte sans précédent à la liberté académique ».
Portés par un espoir de changement, les Irakiens ont massivement voté, malgré les appels de l’influent leader chiite Moqtada Al-Sadr à ignorer le scrutin.
Une vingtaine d’ONG ont jugé « sans fondement » les accusations visant celui qui est surnommé « le poète du hirak », en raison des vers qu’il a déclamés lors des manifestations massives ayant ponctué le mouvement prodémocratie en 2019.
De l’incontournable liste de courses à la playlist musicale, en passant par la liste de souhaits et les recommandations d’ouvrages : les listes sont partout. Mais d’où nous vient cette obsession ? Pour Emma Schmidt, journaliste de la “Frankfurter Allgemeine Zeitung”, la réponse est simple : les listes ont de multiples bienfaits.
Le photographe allemand Reinhard Krause était à Paris en novembre 2015. Au lendemain des attaques terroristes dans la capitale et à Saint-Denis, il a photographié une ville traumatisée pour le compte de l’agence Reuters.
Le jardin des Tuileries à Paris photographié par Reinhard Krause le lendemain des attaques terroristes du 13 novembre 2015 dans la capitale et à Saint-Denis.
La fonte accélérée des glaciers en Asie centrale forme des lacs retenus par des barrages naturels fragiles. Leur rupture soudaine menace des villages entiers, fragilise l’agriculture et nécessite une réponse régionale urgente.
À mesure que la guerre s’éternise, le gouffre entre le front et l’arrière se creuse, relève l’écrivain Pavlo Kazarine, lui-même engagé dans l’armée. Les critiques au sujet de l’implication des uns et des autres fusent, amplifiées par les réseaux sociaux.
Malgré l’absence de Moqtada Sadr et un climat de défiance, les électeurs irakiens ont massivement voté, portés par l’espoir d’un changement dans un pays en quête de stabilité et de réformes.