À l’occasion d’un live de 2 heures dispensé par le studio Remedy Entertainment, on apprend que FBC: Firebreak, le FPS coopératif où vos amis et vous-même devrez lutter contre des anomalies farfelues, sortira le 17 juin. Plusieurs éditions seront prévues et le collector vous donnera accès à des cosmétiques absolument indispensables, des sets d’armures et des packs de voix pour seulement une dizaine d’euros supplémentaires ! Quelle affaire ! De plus, les devs annoncent d’ores et déjà que du contenu supplémentaire arrivera après la sortie du jeu.
Si vous êtes motivé, vous pouvez vous taper les deux heures de live et consulter le billet de blog Steam pour en apprendre davantage. En attendant la sortie, vous pouvez ajouter FBC: Firebreak à votre liste de souhaits depuis sa page Steam ou Epic Games Store, si vous êtes intéressé. Il sera aussi disponible dans le Xbox Game Pass.
Dans le courant de la semaine, Pulsatrix, le studio derrière le FPS horrifique A.I.L.A, a dévoilé un court extrait de gameplay sur leur chaîne officielle YouTube (en anglais ici). Pour rappel, vous incarnerez un testeur de jeux vidéo générés par une IA nommée A.I.L.A qui créera des expériences de plus en plus troublantes. Dans l’extrait publié, le héros se retrouve dans une forêt obscure et habitée par des hommes arbres qui ne font pas particulièrement peur. En revanche, le gunplay lui, est effrayant, avec une IA ennemie bête comme ses pieds et qui semble encaisser pas mal de dégâts. Du côté des graphismes, on ne peut pas dire qu’ils rendent honneur à la précédente bande-annonce.
Initialement, A.I.L.A était prévu courant 2025, mais ni la page Steam, ni la bande-annonce, ne le mentionnent. En attendant de nouvelles infos sur la date de sortie, vous pouvez ajouter le jeu à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes intéressé.
Lundi soir à 21 h, nous enregistrerons en direct sur Twitch, le 73e épisode de NoScope, notre émission presque bimensuelle. Cette fois-ci, pas de test (sauf surprise), alors on va un peu plus développer les actualités des dernières semaines. On vous parlera évidemment de la destruction dans Battlefield 10, des premiers retours mitigés sur Marathon, ou encore de la sortie surprise de The Elder Scrolls IV: Oblivion Remastered. Il y aura aussi un petit quiz, comme d’habitude, avec un jeu à gagner dans le catalogue de notre partenaire Gamesplanet, ainsi qu’un jeu surprise…
Alors n’attendez plus pour bloquer votre soirée et préparer les provisions de popcorn, et rejoignez-nous sur Twitch lundi 28 avril à 21 heures.
Découvert lors du live Nacon Connect 2025, le standalone RoboCop: Rogue City – Unfinished Business, toujours développé par le studio Teyon (Robocop: Rogue City), nous permettra de vivre de nouvelles aventures d’Alex Murphy, alias Robocop, entrecoupées de flashbacks de son passé d’humain. En ce début de semaine, les devs nous donnent des nouvelles en publiant un billet de blog Steam pour dévoiler un peu plus le lore du jeu et la date de sortie prévue pour le 17 juillet prochain.
Suite à l’assaut de l’OmniTower par une équipe de mercenaires surarmés, l’OCP envoie Robocop faire le ménage. En chemin, notre héros rencontrera une nouvelle alliée nommée Miranda et découvrira l’objectif du chef des mercenaires qui semble bien le connaître. Toujours aussi bourrin, Robocop ne fera pas dans le détail et rencontrera une sacrée résistance avec des ennemis humains et robotiques dotés des dernières technologies présentes dans la tour. Fort heureusement, il pourra compter sur son fidèle auto-9 et une nouvelle arme, le cryo canon, qui s’intègrera à l’arsenal existant.
RoboCop: Rogue City – Unfinished Business sortira le 17 juillet prochain. En attendant, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes intéressé. Également, RoboCop: Rogue City est actuellement en promotion à -80 % sur Steam jusqu’au 29 avril, soit moins de 10 €. Et n’hésitez pas à jeter un œil sur le test de notre expert MathMoite sur la trame principale du chapitre Rogue City.
Après une petite semaine à récupérer du veau pascal, notre expert Gothax est allé dénicher quelques pépites dans les rayonnages de notre partenaire Amazon. Voici sa petite liste :
Et si aucun de ces produits ne vous fait de l’œil, vous pouvez tout de même nous soutenir en ajoutant ?tag=nofrag-21 à la fin de l’URL de n’importe quelle marchandise sur Amazon et ainsi nous permettre de grappiller quelques euros fort utiles.
Et dans tous les cas, si vous trouvez des choses qui vous intéressent, vous pouvez ajouter ?ref=nofrag à la fin de l’URL pour nous faire gagner quelques centimes. Ça arrivera dans notre porte-monnaie virtuel Gamesplanet et nous permettra de nous payer les clefs que les éditeurs ne nous envoient pas !
Annoncé en Août 2024 par un trailer peu évocateur, HUNGER se dévoile un peu plus dans une vidéo avec un peu de gameplay, et plus d’infos sur ce en quoi consistera le prochain jeu des créateurs de Hell Let Loose. Les développeurs de Good Fun Corporation ont dû se dire que troppeu de jeu du genre se sont plantés récemment, et ont donc décidé de faire leur extraction shooter. Et comme ils sont très malins, ils semblent s’être très, très fortement inspiré d’un certain Hunt: Showdown 1896, puisque lui, au moins, il tourne encore.
Pour se différencier un peu, tout de même, HUNGER remonte un peu plus loin dans le temps, à savoir l’époque des guerres napoléoniennes. Le gameplay semble être un peu plus axé sur le corps-à-corps, avec le même principe d’armes à feu lentes à recharger. Et comme Hunt, c’est du PvPvE contre des zombies / monstres humanoïdes. La description sur la page Steam met l’accent sur le côté progression des personnages et résolution de quêtes, avec la possibilité de faire des builds spécialisés. Cependant, le screenshot qui montre un semblant d’arbre de compétences est peu encourageant.
Incroyable, on peut ramper 20 % plus vite ! C’est sûr, que c’est vachement plus intéressant que les traits dans Hunt.
Vous l’aurez compris, on est assez peu enthousiaste : le gameplay présenté est inintéressant, le côté RPG présenté est tout à fait banal, et vouloir raconter des histoires dans un extraction shooter est pour le moins saugrenu. Hunger est toujours prévu pour sortir en accès anticipé en 2025.
Le 21 avril, les développeurs de Delta Force ont publié la saison 1, Eclipse Vigil, sur l’ensemble des plateformes. Ils en ont profité pour également faire disparaître la mention d’accès anticipé, sans en faire trop de publicité. C’est assez étonnant, car le passage en « 1.0 » est souvent une occasion marketing permettant de faire revenir les joueurs à moindre frais. Cela dit, le jeu était déjà très stable et avait de bonnes performances. Du côté des nouveautés, il n’y a pas de nouvelles maps, mais on peut maintenant jouer sur la Ligne de front de nuit en mode Havock (Battlefield-like). Pareil pour le mode extraction avec la carte Barrage, aussi jouable de nuit. Sinon, il y a un nouvel opérateur avec ses capacités spéciales et plein de nouvelles armes.
Il y a aussi une tétrachiée d’ajustements et de corrections de bugs ; la liste complète est disponible sur le billet de blog Steam dédié.
Si la fréquentation semble plutôt stable, les notes des joueurs sur Steam s’infléchissent pour approcher les 50 % d’avis positifs sur les 30 derniers jours. Et les commentaires sont quasiment tous les mêmes : le jeu est bourré de cheaters. Malgré une communication agressive sur les actions entreprises par l’équipe de dev pour endiguer la situation, on a du mal à imaginer une méthode efficace dans un free-to-play, puisqu’une personne bannie peut immédiatement créer un nouveau compte. À la rédac, on n’a pas pris le temps de refaire un tour sur le jeu depuis quelques mois, donc on n’a pas pu le constater. N’hésitez pas à faire un retour sur l’état du jeu en commentaire.
Si vous voulez tester la nouvelle saison Eclipse Vigil sur Delta Force, vous pouvez retrouver le jeu gratuitement sur Steam ou l’Epic Games Store.
À moins d’un mois de la sortie de DOOM: The Dark Ages, id Software a dévoilé une nouvelle bande-annonce sur leur chaîne YouTube. En première partie de vidéo, on en découvre un peu plus sur l’histoire du Slayer et de certains personnages, aussi bien alliés qu’ennemis. La réputation de notre héros semble faire de l’ombre à un puissant adversaire, un démon cornu qui est bien décidé à réduire en cendres cette civilisation humaine et revendiquer sa place de roi des enfers en tuant le Doom Guy.
La second partie du trailer est axée sur du gameplay avec de nouvelles armes dont un canon faisant office de bazooka, un fusil plasma, une tourelle sur l’épaule (à l’instar du lance-flamme/lance-grenade de DOOM Eternal) et une arbalète géante qui semble être l’équivalent du BFG. Les devs nous ont épargné les séquences à dos de dragon et ont préféré montrer le mecha avec une arme lourde. Pour terminer, le studio fait monter la pression en dévoilant le casque du Slayer endommagé et ensanglanté traversant un portail (spoiler de ouf, le Doom Guy ne meurt pas), ainsi qu’un titan ressemblant fortement à Cthulhu.
À la rédac, on a toujours hâte de pouvoir jouer prochainement à ce nouvel opus et d’essayer les nouvelles mécaniques de gameplay proposées par id Software. En attendant le 15 mai prochain, vous pouvez ajouter DOOM: The Dark Ages à votre liste de souhaits Steam. Bien que précommander soit l’un des maux du jeu vidéo moderne, sachez que notre partenaire Gamesplanet propose le code promo DOOMFRAGpour la précommande, ce qui le fait à un peu moins de 71 €, si vous êtes tenté. Également, le titre sera disponible dans le Xbox Game Pass le jour de sa sortie.
Après un jeu de plateforme 2D sorti en 2023, Obelisk Studio se lance dans un FPS d’action-horreur. Displacement se déroulera sur une planète glacière où la population locale s’est mis à s’entre-tuer à coups de haches et autres piolets. Notre objectif : s’échapper en conservant ce qu’il nous reste de santé mentale. Si rien de tout cela n’est très original, dont le choix cornélien entre devenir fou ou non, on admettra volontiers que le jeu a de la gueule.
La direction artistique est très réussie et parfaitement cauchemardesque. Les combats seront focalisés sur le corps-à-corps, avec des animations assez convaincantes dans le trailer. On espère que ce sera toujours le cas clavier-souris en main, et que ça ne tournera pas à 20 fps. La particularité de gameplay intéressante consiste en la gestion de la température. Notamment grâce à un outil nous permettant de geler ou chauffer l’environnement et les ennemis, pour résoudre des puzzles, ou tout simplement ne pas mourir frigorifié. Plus concrètement, Obelisk Studio dit s’être inspiré de Condemned et Bioshock pour leur game design, ce que l’on conçoit aisément à la vue du trailer.
Malheureusement, les développeurs sont à la limite d’abandonner le projet et espèrent que le trailer suscitera suffisamment d’engouement pour leur permettre de trouver un éditeur. Si Displacement vous intéresse, on vous encourage donc vivement à ajouter le jeu à votre liste de souhaits sur Steam pour le faire gagner en visibilité.
Il y a quelques jours, du gameplay de la bêta fermée de La Quimera, développé par Reburn (nouveau nom de 4A Games Ukraine), est apparu sur la toile chez plein de créateurs de contenu. On a choisi un joueur clavier/souris pour souffrir un peu moins, mais ça rame du cul. On ne peut pas tout avoir. On y voit une mission linéaire jouée en solo, mais on sait qu’on pourra subir cela à trois joueurs. Après une cinématique et de longs passages de dialogues complètement soporifiques, on nous montre un gameplay absolument à chier dans des niveaux « couloir » sortis d’un autre temps. Les ennemis possèdent leur petite barre de vie et sont de sacs à PV sans aucune réaction à vos balles. En même temps, la plupart sont des robots, donc pourquoi s’emmerder ? Évidemment, on aura aussi l’XP gagnée écrite en gros lors de la mort de notre adversaire, pour niquer encore un peu plus l’immersion. L’interminable séquence s’achève sur un combat de boss, lui aussi atrocement long, toujours dans une minuscule zone délimitée par des barrières magiques. Et la cinématique de fin nous fait revenir quinze ans en arrière avec des animations faciales risibles et une mise en scène pourrave.
C’est ignoble de bout en bout, et même si ce n’est que la bêta fermée, le jeu est censé sortir demain. Ce qui veut dire qu’on n’aura sans doute pas beaucoup mieux. Comment est-ce possible que des gens aient pu laisser le projet arriver jusque-là ?
Si vous souffrez d’une maladie neurodégénérative et que par conséquent, La Quimera vous intéresse, sachez que le jeu sort le 25 avril sur Steam.
Dans une note Steam à destination de la communauté, les développeurs du prochain Battlefield ont partagé leur « philosophie pour la destruction ». Ils indiquent vouloir ajouter de la profondeur au gameplay afin de permettre de nouvelles tactiques. D’après leur description, vous pourrez détruire des bâtiments avec les explosifs adéquats, et les balles pourront finir le travail. Les gravats générés ne disparaîtront pas magiquement du champ de bataille, et ils pourront donc servir d’éléments de défense et de couvert. Ils évoquent des éléments visuels pour repérer les éléments destructibles, mais ils parlent également d’éléments sonores, ce qui est un peu plus intriguant. L’explication la plus probable est que l’on pourra toquer contre les murs pour savoir s’ils sont porteurs. En tout cas, la courte vidéo associée au post montre de bien jolies choses, qui font inévitablement penser au regrettéBattlefield Bad Company 2. Espérons cependant qu’ils parviennent à endiguer les problèmes de performances que cela semble engendrer.
Si l’optimisation et la stabilité paraissent être le point de douleur principal des premiers retours des bêta-testeurs, on nous indique qu’ils ont aussi fait remonter des milliers de commentaires sur le gameplay. A priori, l’équilibrage est encore à revoir, mais les sensations seraient déjà plutôt correctes. Les développeurs de Battlefield Studios expliquent devoir également ajuster les mouvements comme la roulade de combat (sic), le vault et le sprint accroupi. Si le premier semble assez peu réaliste, le dernier témoigne d’une volonté de proposer une mécanique de gameplay un poil moins arcade. En effet, on peut rencontrer ce type de mouvement dans Escape From Tarkov, Hell Let Loose ou Arma Reforger.
Ça fuyait de partout depuis quelques semaines, The Elder Scrolls IV: Oblivion Remastered a bien été annoncé, puis sorti dans la foulée un peu plus tôt dans la journée. Inutile de vous présenter ce RPG, considéré comme le Messie des DLC cosmétiques. Vous choisissez votre race, votre classe, vos points de compétences, et en avant Guingamp ! L’une des particularités, qui avait agacé bon nombre de joueurs, était les niveaux adaptatifs pour les ennemis. Ce qui faisait qu’on pouvait rencontrer un rat niveau 50 en fin d’aventure, capable de vous étaler, malgré votre épée bâtarde enflammée +25 et une armure complète de renvoi de dégâts à 33 %. Mais qu’importe, c’est le jeu de toute une génération, celle de la Xbox 360, c’est donc cet épisode qu’il fallait remastériser, et non pas le bien meilleur Morrowind.
Heureusement, les équipes de Bethesda Game Studios et de Virtuos ne se sont pas cantonnées aux graphismes, puisqu’ils indiquent avoir retravaillé le gameplay. Ils promettent de meilleures sensations et un équilibrage du système de progression. Et ils ont ajouté un sprint, histoire de moderniser un minimum l’expérience. Heureusement, ils n’ont pas touché à ce qui fait l’essence même d’un jeu Bethesda : les bugs. D’autre part, comme ça tourne sous Unreal Engine 5, les performances ne sont pas formidables, comme le soulignent la majorité des mauvaises critiques sur Steam. Malgré tout, c’est un immense succès, puisque au moment où l’on écrit ces lignes, plus de 142 000 joueurs sont actuellement en partie.
Pour en savoir plus sur cette nouvelle version, voici la présentation officielle, qui détaille tous les changements :
Également, suite la mise à jour de la page Steam, on apprend un peu plus sur le synopsis du jeu, à savoir que vous devrez choisir entre deux factions (Aegis Industries et Volga Battalion) ayant pour objectif retrouver et récupérer les vestiges du mystérieux Project Wraith. Outre le customisation d’équipements et les quatre modes de jeu vus et revus, il est mentionné un système météorologique dynamique et de dégâts réalistes pour récompenser le skill.
Les devs ont initialement prévu une sortie pour 2025, mais la page Steam du jeu n’en fait nullement mention. En attendant plus de précisions sur la date de sortie du jeu, vous pouvez ajouter WRAITH OPS à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes emballé.
Découvert en fin d’année dernière, COVENANT, développé par le studio Legion composé d’anciens devs ayant travaillé sur les licences telles qu’Apex Legends, Call of Duty, Halo, Destiny, Battlefield, et même DOOM, refait parler de lui à l’occasion du Galaxies Gaming Showcase 2025. Dans ce nouveau trailer, on y voit surtout un succession de panoramiques des divers environnements que nous pourrons explorer, et quelques extraits de gameplay. Dans cet univers sombre, vous incarnerez un messenger, un ange guerrier envoyé par les Composers pour découvrir la vérité derrière la disparition de l’un des vôtres, Malach, et d’une entité nommée la Creation.
En sa qualité de soulslike, la difficulté sera relevée avec des ennemis et des boss aux coups dévastateurs. Vous risquez donc de mourir un nombre incalculable de fois si vous êtes néophyte dans ce genre de jeu. Pour les autres, ce sera une partie de « plaisir » jusqu’à atteindre la satisfaction orgasmique d’avoir déboîté un boss. La direction artistique est toujours très marquée dark fantasy et semble plutôt pas mal, espérons qu’autant d’attention sera portée au gunfeel.
Le développement de COVENANT ayant à peine débuté, aucune date de sortie n’est prévue pour le moment. En attendant de nouvelles news, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.
Invité au Galaxies Gaming Showcase 2025, le studio Remedy Entertainment a profité de l’occasion pour dévoiler une nouvelle bande-annonce de FBC: Firebreak, un FPS coopératif se déroulant dans l’univers du jeu Control. Bien que vous pourrez jouer seul (si vos amis sont des boulets), il est question ici de rappeler l’importance de la synergie d’une équipe. Par exemple, l’un des joueurs pourra utiliser son arme pour libérer son coéquipier de l’emprise de post-it ou d’une masse rose envahissante, voire éteindre des feux. Il est également intéressant de constater que l’on pourra interagir avec l’environnement meurtrier (blizzard, radiation, pièges en tout genre…), que ce soit en tirant dans le sprinkler ou en profitant des flammes émanant d’énormes ventilos.
Vous l’aurez compris, trouvez vite des amis pour former une équipe au risque que la situation dégénère vite. Sinon, FBC: Firebreak est toujours prévu pour l’été 2025 et si vous souhaitez en apprendre davantage, un live dispensé par les devs est programmé pour le 24 avril.
En attendant de nouvelles infos, vous pouvez ajouter FBC: Firebreak à votre liste de souhaits depuis sa page Steam ou Epic Games Store, s’il vous intéresse. Il sera aussi disponible dans le Xbox Game Pass.
À l’occasion du Galaxies Gaming Showcase 2025, Pixel Maniacs, le studio derrière ChromaGun et sa suite ChromaGun 2: Dye Hard, a dévoilé un court trailer mélangeant gameplay et cinématiques avec une touche d’humour. Contrairement au premier épisode, le studio a désormais l’appui de l’éditeur PM Studios et il sera toujours question d’un puzzle game, dont les énigmes se résoudront avec un pistolet tirant des balles de peintures. À la rédac, durant le Steam Neo Fest de février dernier, on avait bien apprécié la démo qui est d’ailleurs toujours disponible depuis la page Steam du jeu, si vous souhaitez occuper votre temps libre du week-end de Pâques.
Hormis cela, la bande-annonce ne nous apprend pas grand chose et on aurait pu penser qu’une date de sortie serait révélée. Rappelant fortement la franchise Portal, la direction artistique du jeu a l’air plutôt originale surtout lors de l’exploration des mondes parallèles. Quant au gameplay, il semble très intéressant avec la résolution d’énigmes plus tordues les unes que les autres.
Prévu pour courant 2025 et attendant l’annonce d’une date de sortie, vous pouvez toujours ajouter ChromaGun 2: Dye Hard à votre liste de souhaits Steam et jouer à la démo, si vous êtes intéressé.
Il y a quelques jours, le trailer de Scary Cargo est apparu sur la toile, avec un titre de vidéo plutôt évocateur : « Gameplay Reveal ». Mais si cette vidéo recèle la moindre once de gameplay, alors je suis le pape. Ce n’est qu’une cinématique de bout en bout, avec de prétendus joueurs simulant une partie et criant « OH MY GOD » toutes les 4,4 secondes en moyenne (on a compté). Parce qu’en plus, n’allez pas imaginer que le concept est original : c’est uniquement un rip-off de Lethal Company ou R.E.P.O. Si quelques observateurs ne sont pas dupes, la plupart des messages sous la vidéo sont désolants de stupidité. Ils s’extasient sur le fait que le jeu fait peur ou que c’est beau, et ont l’air très impatients de jeter leur argent au premier développeur solo opportuniste. D’après les messages sur Steam, il semblerait qu’il soit Chinois, mais même son pseudo sur la fiche Steam est louche : il a choisi le nom d’un homme d’affaires turc.
Depuis qu’il a révélé son « jeu », plus de 21 000 personnes l’ont wishlisté, ce qui nous conforte dans l’idée que l’humanité est vouée à sa perte. Le problème, c’est qu’il est maintenant motivé à réellement faire son machin pourri. Croisons les doigts pour qu’il ne fasse pas d’accès anticipé, ou pire, de campagne Kickstarter.
Cela fait maintenant quatre ans que l’on suit le développement de Militsioner, un jeu à la frontière entre le walking sim et l’immersive sim. La semaine dernière, les développeurs ont partagé, via IGN, une séquence presque ininterrompue d’une dizaine de minutes pour nous montrer quelques possibilités d’interactions. Pour rappel, le but du jeu est de fuir une petite ville des pays de l’Est, placée sous la surveillance d’un policier géant. A priori, son humeur influera sur l’environnement et nos capacités d’action, et il faudra donc discuter avec lui pour qu’il soit dans les meilleures dispositions possibles.
Dans cette séquence, on découvre qu’on sera guidé dans nos actions, grâce à une sorte d’arborescence indiquant les chemins possibles. Cela met bien en valeur l’aspect immersive sim, avec des choix vraiment différents pour atteindre les objectifs. On était déjà enthousiastes avec les précédentesprésentations, cette dernière ne fait que conforter notre sentiment. Visuellement, c’est très correct, mais le framerate est un peu limite, ce qui laisse craindre une optimisation pas encore au top. D’un autre côté, aucune date de sortie n’a encore été annoncée, ils ont peut-être encore le temps de se pencher dessus. Par contre, Militsioner a maintenant un éditeur : c’est Critical Reflex, le même que pour les walking sim horrifiques THRESHOLD et Mouthwashing, notamment.
En attendant d’avoir une fenêtre de sortie, vous pouvez toujours ajouter Militsioner à votre liste de souhaits depuis sa page Steam s’il vous intéresse.
On avait découvert Deadzone: Rogue lors de la sortie de sa démo en novembre dernier. Les développeurs de Tribes 3: Rivals, nous proposaient une variante roguelite de son feu extraction shooter pourri Starsiege: Deadzone. Mais malgré un feeling correct, l’IA de merde et les niveaux un peu nuls ne nous avaient pas convaincus. Malgré tout, il y a une dizaine de jours, les créateurs ont annoncé la sortie de l’accès anticipé pour le 29 avril prochain. Mais une chose a retenu notre attention dans ce billet de blog : « fort de plus de 100 000 whishlists et d’une note de plus de 90 % ». Comment est-ce possible pour une démo aussi pourrave ? Les gens ont-ils toujours plus un goût de merde ?
Par déontologie journalistique (promis, ce n’est pas une insulte), nous avons voulu vérifier si l’expérience avait été retravaillée. Surprise, c’est bien le cas. Alors oui, les ennemis sont toujours des putains de robots, mais ils sont maintenant beaucoup plus vifs, et il y a rapidement un certain challenge. Pareil pour les environnements : ce n’est toujours pas très inspiré, mais ça fonctionne plutôt bien au final. Et il semble que le feeling se soit également légèrement amélioré, alors qu’il n’était déjà pas trop mal. D’autre part, l’aspect roguelite avec les armes de différents niveaux de puissance et effets aléatoires, associées à des augmentations de capacités temporaires, accroche immédiatement. Enfin, cerise sur le gâteau, il apparaît qu’il soit possible de jouer en coopération. On n’irait pas jusqu’à dire que c’est un sans faute, mais force est de constater que c’est une bien meilleure expérience qu’il y a six mois. Et vu le nombre de wishlist, il est fort probable que le titre ait son petit succès lors de sa sortie. Il sera proposé à 20 € pendant deux semaines, puis à 25 €.
En attendant le 29 avril pour le lancement de l’accès anticipé, vous pouvez toujours tester la démo de Deadzone: Rogue en vous rendant sur sa page Steam.
Après la sortie de la dernière mise à jour de décembre 2024, les devs du jeu Gloomwood sont restés bien silencieux depuis, et ce n’est que dans le courant de la semaine que ces derniers ont publié un billet de blog Steam pour annoncer le déploiement d’une nouvelle mise à jour, The Research. Désormais, vous pouvez vous transformer en Goatman, Bat Barber ou Crowman,et bénéficier de leurs capacités. Pour ce faire, il vous faut au préalable user de votre scie à os sur le cadavre de ces créatures pour récupérer les parties nécessaires à la création d’un sérum. En dehors de ça, vous disposez également d’un journal de bord répertoriant moult informations (carte, recettes de sérum, état de santé…).
Avec cette nouvelle mise à jour, l’action prime davantage sur la discrétion et vous permet d’abattre avec moins de difficulté vos ennemis. Il semblerait même que vos semblables monstrueux vous rejoignent durant vos confrontations. Les devs ont d’ores et déjà annoncé que de nouvelles transformations arriveront plus tard, dont des créatures de plus petites tailles.
Actuellement, Gloomwood est toujours en accès anticipé et bénéficie d’une réduction de -25 % dans le cadre des Lovecraftians Days de Steam, soit un peu moins de 15 €, si vous êtes intéressé.