Au pouvoir depuis 2021 et portée par un espoir d’ouverture politique, Samia Suluhu Hassan s’enfonce dans l’autoritarisme, muselant l’opposition et réprimant violemment la jeunesse qui manifeste.
Photo aérienne montrant des milliers de personnes allumant les lumières de leurs téléphones portables à l’occasion du premier anniversaire de l’effondrement de la verrière de la gare ferroviaire de Novi Sad, en Serbie, le 1er novembre 2025.
De plus en plus de célibataires passent leurs mots doux à la moulinette de l’IA, et sollicitent ChatGPT pour converser en ligne. Au point que lorsque arrive la toute première rencontre, certains ont l’impression de s’être fait “chatfisher”, raconte le quotidien britannique “The Guardian”.
De la Silicon Valley aux quartiers résidentiels américains, les croyances dans le paranormal et l’adhésion aux thèses apocalyptiques se répandent comme une trainée de poudre, observe, incrédule, l’hebdomadaire britannique “The Spectator”.
À deux heures de Stockholm, la ville d’Eskilstuna est au bord de la fronde. Une entreprise chinoise prévoit d’y lancer la production d’un composant essentiel aux batteries de voiture électrique, présenté comme un pilier de la transition écologique. Les habitants, eux, redoutent des émanations suspectes et des risques sanitaires à long terme, explique le quotidien “Dagens Nyheter”.
Les relations entre les deux pays sont exécrables depuis que l’ex-président mexicain a demandé des excuses au roi d’Espagne pour les abus infligés aux peuples autochtones. Sans demander pardon, le gouvernement espagnol a reconnu “de la douleur et de l’injustice” dans la conquête du pays, ouvrant la voie à un dégel.
Le ministre espagnol des Affaires étrangères, José Manuel Albares, ici à Hangzhou, en Chine, le 15 octobre, a reconnu le 1er novembre « de l’injustice envers les peuples autochtones ».
De la Bretagne aux Carpates, du Danemark à la Calabre, les campagnes européennes inventent mille stratégies pour survivre : bistrots de village, primes à l’installation, forêts retrouvées, voire révoltes paysannes… Chronique d’un continent en quête d’enracinement.
Dans le département de La Guajira, dans le nord de la Colombie, un chantier de parc éolien a été mis en suspens du fait de l’hostilité d’une partie des Amérindiens Wayuu. Un géant colombien de l’énergie tente de donner un nouveau souffle au projet, mais la méfiance de communautés locales est un obstacle difficile à surmonter.
La capitalisation de Nvidia dépasse les PIB de l’Inde, du Japon et du Royaume-Uni. Le fabricant de puces pour l’intelligence artificielle a passé cette semaine la barre des 5 000 milliards de dollars de valorisation. Apple ou OpenAI tutoient aussi des sommets. Le spectre d’une bulle spéculative se rapproche, explique “Le Temps”.
Le PDG de Nvidia, Jensen Huang, lors d’une conférence de l’entreprise américaine numéro un dans le monde pour les puces avancées, à Washington, le 28 octobre 2025.
La rencontre entre les présidents Donald Trump et Xi Jinping, le 30 octobre en Corée du Sud, et la trêve qui en est ressortie sont source de soulagement, constate “The Economist”. Pour autant, estime l’hebdomadaire britannique, le bras de fer entre les deux superpuissances est loin d’être fini.
L’administration fédérale est partiellement fermée depuis le 1er octobre en raison d’un bras de fer budgétaire entre démocrates et républicains. Si cette paralysie s’éternise, c’est qu’aucun camp ne veut céder dans une épreuve de force qui affecte de plus en plus le pays.
Bouteilles hors de prix, processions funèbres et pluie de billets : dans les boîtes de nuit de la métropole nigériane, les plus aisés affichent leur richesse dans des mises en scène d’un goût douteux. Cela modifie radicalement la culture de la fête, déplore “New Lines Magazine”.
En 2010, le Japonais Itaru Sasaki a eu l’idée d’installer une vieille cabine téléphonique dans son jardin. Une cabine reliée à rien, mais dans laquelle il a parlé pendant des heures à une proche décédée, une sorte “de confessionnal où l’on peut déverser ce qu’on a sur le cœur”, raconte un journaliste de “The Observer”. Après le tsunami de 2011, des foules ont afflué et le modèle s’est même exporté.
Une femme ayant perdu ses camarades de collège lors du séisme et du tsunami du 11 mars 2011 leur parle à l’approche du dixième anniversaire de la catastrophe au moyen du “téléphone du vent” installé à Bell Gardia sur les pentes du Kujira-yama, dans la ville d’Otsuchi.
La musique traditionnelle du nord de l’Inde fait un retour sur la scène culturelle du pays. Mais pour la vivre vraiment, de petits concerts, les “baithaks” sont organisés, chez les particuliers, pour recréer le lien sacré entre musiciens et auditeurs. Le site “The Print” raconte.
Face à l’interdiction par l’Empire tsariste de l’alphabet latin, au XIXe siècle, des Lituaniens avaient organisé un vaste réseau de contrebande de livres et de journaux dans leur langue. Le média en exil russe “Republic” revient sur cette résistance culturelle, terreau de la lutte pour l’indépendance.
Souhaiter le pire au nouvel amour de son ex, demander un peu de confiance en soi ou un emploi : sur le site de commerce en ligne Etsy, des “sorcières” en tout genre vendent leurs services. “The Wall Street Journal” explore ce phénomène en vogue auprès d’une jeunesse américaine confrontée à une conjoncture politique et économique incertaine.
La chroniqueuse de l’hebdomadaire britannique “The Spectator” a pris son courage à deux mains pour se lancer dans la préparation de rillettes, “un délice absolu”.
Depuis l’effondrement de l’auvent de la gare de Novi Sad, le 1er novembre 2024, la contestation des étudiants ne faiblit pas en Serbie. Ce qu’ils réclament ? Un système judiciaire indépendant et des institutions transparentes et responsables. Pour cette spécialiste des droits humains, ce mouvement peut permettre d’affronter les pages sombres de l’histoire récente du pays.
Le conseil de sécurité des Nations unies a adopté vendredi une résolution déclarant que le plan d’autonomie du Sahara occidental sous souveraineté marocaine présenté par Rabat constituait la solution la plus réaliste pour mettre fin à un conflit de 50 ans dans ce territoire.
Un drapeau du Sahara occidental flotte à un poste de contrôle tenu par des membres des forces de sécurité sahraouies à l’extérieur du camp de réfugiés de Dakhla, à environ 170 km au sud-est de la ville algérienne de Tindouf, le 14 janvier 2023.