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Asmodee règle l’ardoise d’Embracer

Dans le monde du jeu vidéo, Embracer est connu comme le loup blanc, mais jamais pour les bonnes raisons. La triste réputation du groupe le suit depuis des années, bien souvent lorsqu’il s’agit de relayer des fermetures de studios ou des licenciements. Alors forcément, on sent que ça arrangeait bien leurs affaires d’avoir « séparé leurs activités » en trois groupes distincts il y a quelques mois, annonçant officiellement abandonner le nom d’Embracer et rendant son indépendance financière au colosse du jeu de société Asmodee. Enfin, la lui rendant… avec un petit cadeau empoisonné au passage.

Don’t Starve : The Board Game

Pour faire d’une licence de jeu vidéo un bon jeu de plateau, il y a deux conditions. La première : respecter l’original sans le copier. La seconde ? Être polonais. Alors, écoutez, ça tombe bien…

Voyage, voyage : les jeux de l’autre bout du monde

On parle d'eurogames (dits aussi « à l’allemande », les trucs avec des cubes en bois), on parle d'ameritrash (les trucs avec des dés et des gros monstres), et on peut avoir l’impression que c’est ça, le marché du jeu de plateau : l’Europe et l’Amérique. Quand on fouille un peu, tous les continents sont ludiques.

L’épopée Japon Brand

Si ce nom ne vous dit rien, il y a de fortes chances que vous ayez entendu parler de certains des titres issus de cet étrange assemblage. Des jeux comme Love Letter,  Minivilles ou Time Bomb. Ah, vous voyez ! Et comme cette association vient d’être engloutie par le géant CMON, l’occasion était toute trouvée pour vous présenter cet éditeur pas comme les autres.

Dune Imperium Insurrection

« Ce n’est pas une extension, pas un jeu complètement différent non plus. C’est un stand-alone, au prix fort, qui suit l’intrigue et l’évolution des films de Denis Villeneuve. » Écoute-moi bien, Gégé : tu voudrais ne pas me vendre un jeu que tu ne t’y prendrais pas autrement.

Windmill Valley

Bien enfoui en vous se cache un horticulteur chevronné, un adepte de la main verte, un parangon du jardinage. Ne mentez pas, je vous ai vu accumuler des dizaines d’heures sur Stardew Valley. Alors forcément, si on se met à vous parler culture de tulipes et assemblage de moulins aux Pays-Bas, vous me dites ? Vous me dites qu’il est temps que je prenne mes médicaments. Pas faux.

Dans les coulisses de Cosmoludo

Si je vous parle de jeux abstraits, vous me répondez ? Les échecs ? Oui. Le go ? Certes. Les dames ? En effet. Mais tout ceci est un brin convenu. Et si je je vous disais qu’à l’heure de Kickstarter et de ses tombereaux de plastique, il existe un éditeur qui a fait le pari de se concentrer sur cette niche, que ses jeux sont malins et rapides à apprendre, et qu’en plus ils sont mignons tout plein, vous me dites ? Oui, que mon avis est totalement biaisé, mais là n’est pas la question.

Prey Another Day

La nature est impitoyable. Là, par exemple, Maurice vient de poser une carte et son œil a tressauté. C’est signe qu’il bluffe. Je vais te bouffer Maurice, c’est ça la dure loi de l’apéritif.

Mythwind

Je n’aime pas l’indécision. Quand on me demande si j’aime quelque chose ou pas, j’ai tendance à trancher assez nettement dans l’une ou l’autre des directions, arguments à l’appui. C’est habituellement encore plus vrai dans le cadre du jeu de société. Or là, j’ai un épineux problème : je ne sais pas si j’ai aimé Mythwind.

Nucleum : Australie

Vous voyez, sur cette carte ? L’Australie. Dans deux heures, l’Australie sera toujours sur la carte, mais constellée de chemins de fer, de mines d’uranium et de bâtiments éclairés qui se voient depuis l’espace.

Cyberpunk 2077 : Gangs of Night City

Cyberpunk 2077 : Gangs of Night City, c’est un peu une adaptation d’adaptation. La version jeu de plateau d’un jeu vidéo à succès, lui-même basé sur un jeu de rôle vieux de bientôt quarante ans. Et aujourd’hui, c’est en effet à l’intérieur d’un beau bébé cartonné de plus de deux kilos que Cmon et CD Projekt entendent nous faire vivre les guerres de gangs de Night City, avec ce que ça sous-entend en matière de pisto-flingues du futur, de puces 5G et évidemment, de Keanu Reeves.
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