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Dead Cells

Courir, bastonner, mourir. Courir, bastonner, mourir. Encore. Et encore. Pour aller plus loin, toujours plus loin. Pour accumuler plus de Cells. Pour obtenir un meilleur stuff. Pour se prouver, avec ses coéquipiers, qu’on est plus forts que le jeu. Jusqu’à la prochaine punition.

L’épopée Japon Brand

Si ce nom ne vous dit rien, il y a de fortes chances que vous ayez entendu parler de certains des titres issus de cet étrange assemblage. Des jeux comme Love Letter,  Minivilles ou Time Bomb. Ah, vous voyez ! Et comme cette association vient d’être engloutie par le géant CMON, l’occasion était toute trouvée pour vous présenter cet éditeur pas comme les autres.

Windmill Valley

Bien enfoui en vous se cache un horticulteur chevronné, un adepte de la main verte, un parangon du jardinage. Ne mentez pas, je vous ai vu accumuler des dizaines d’heures sur Stardew Valley. Alors forcément, si on se met à vous parler culture de tulipes et assemblage de moulins aux Pays-Bas, vous me dites ? Vous me dites qu’il est temps que je prenne mes médicaments. Pas faux.

Dans les coulisses de Cosmoludo

Si je vous parle de jeux abstraits, vous me répondez ? Les échecs ? Oui. Le go ? Certes. Les dames ? En effet. Mais tout ceci est un brin convenu. Et si je je vous disais qu’à l’heure de Kickstarter et de ses tombereaux de plastique, il existe un éditeur qui a fait le pari de se concentrer sur cette niche, que ses jeux sont malins et rapides à apprendre, et qu’en plus ils sont mignons tout plein, vous me dites ? Oui, que mon avis est totalement biaisé, mais là n’est pas la question.

Mythwind

Je n’aime pas l’indécision. Quand on me demande si j’aime quelque chose ou pas, j’ai tendance à trancher assez nettement dans l’une ou l’autre des directions, arguments à l’appui. C’est habituellement encore plus vrai dans le cadre du jeu de société. Or là, j’ai un épineux problème : je ne sais pas si j’ai aimé Mythwind.
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