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Suivi des prix : décembre 2023 – mars 2024

Par : Furolith
22 mars 2024 à 06:00
En ce début 2024, on sent que le marché des composants commence déjà à s’approcher de la fin d’un cycle, et à préparer le débarquement des nouvelles générations de composants (CPU et GPU notamment, mais pas que) prévues pour la fin d'année.

Gaz : un prix en baisse en avril 2024

13 mars 2024 à 12:30
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En avril 2024, les 11 millions de foyers français abonnés au gaz peuvent souffler : la Commission de régulation de l’énergie annonce une baisse importante des tarifs.

Gaz : une importante baisse des prix entre mars et avril 2024

Depuis le début de l’année 2024le prix du gaz ne cesse de diminuer, offrant un répit bienvenu aux ménages français. En avril, 2024, cette tendance se confirme avec une baisse de 4,5% pour les consommateurs de type chauffage. Cette diminution, fruit d’une gestion efficace et d’un marché favorable, marque le quatrième mois consécutif de baisse, soulignant un effort constant pour alléger la charge financière des particuliers.

La Commission de régulation de l’énergie (CRE) joue un rôle clé en publiant mensuellement un prix repère du gaz depuis juin 2023. Ce dernier, bien qu’indicatif, sert de boussole pour les 11 millions d’abonnés désireux de comparer les offres. En avril 2024, le kWh pour le chauffage est estimé à 0,08792 euro TTC.

Bien aidée par la baisse continue du prix de gros

Les fournisseurs d’énergie, libres de fixer leurs tarifs, ont une responsabilité envers leurs clients. La CRE les incite à proposer des offres justes, adaptées à chaque consommation. Malgré l’absence d’obligation, la tendance à la baisse du prix repère est souvent suivie par les acteurs du marché.

L’année 2024 a commencé avec une augmentation des taxes sur le gaz, mais la baisse continue du prix de gros offre un contrepoids significatif. Les consommateurs bénéficient ainsi d’une réduction notable sur leur facture, une évolution positive qui souligne l’importance de rester informé et de comparer les offres pour optimiser ses dépenses énergétiques.

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Décarbonation : Singapour accélère le pas dans le secteur aérien

19 février 2024 à 14:39
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Singapour souhaite s’imposer comme un pionnier dans la lutte contre le changement climatique en ciblant l’un des secteurs les plus difficiles à décarboner : l’aviation. Le ministre des Transports, Chee Hong Tat, a annoncé, lors du salon de l’aéronautique de Singapour, la prochaine obligation, pour l’ensemble des compagnies aériennes opérant sur son sol, d’intégrer dans le réservoir de leurs avions un taux minimal de carburant durable, aussi appelé SAF.

 

SAF : Singapour en première ligne de la décarbonation aérienne

 

L’engagement de Singapour vers les carburants durables (SAF) est un signal fort envoyé au monde entier. Le ministre Chee Hong Tat a précisé que les compagnies aériennes opérant depuis Singapour devront, à partir de 2026, incorporer un minimum de 1% de SAF dans leur carburant, avec l’objectif d’atteindre entre 3 et 5% d’ici 2030. Cette politique vise non seulement à réduire l’empreinte carbone du secteur, mais aussi à stimuler le marché des carburants alternatifs. « Cette décision constituera un signal important pour les producteurs de carburant et les incitera à investir dans de nouvelles installations de production de SAF », a souligné Chee Hong Tat.

 

Le principal obstacle à l’adoption généralisée du SAF réside en effet dans son coût de production qui est actuellement trois à cinq fois supérieur à celui du kérosène fossile. Pour pallier cette problématique, Singapour envisage d’introduire une taxe sur les billets d’avion, dont le montant variera en fonction de la distance parcourue et de la classe de voyage.

 

 

L’Europe suit-elle le rythme ?

 

L’Europe n’est pas en reste dans l’effort de décarbonation de l’aviation. Avec l’adoption de la législation Refuel EU par le Parlement européen en septembre 2023, l’UE impose une incorporation progressive de SAF dans le kérosène, débutant à 2 % en 2025 pour atteindre 70 % en 2050. Cette législation, saluée comme « le plus gros mandat d’incorporation au monde de SAF » par Matteo Mirolo de Transport & Environment (T&E), positionne l’Europe en leader de la transition énergétique dans l’aviation. En outre, cette législation met l’accent sur les carburants de synthèse, ou e-kérosènes, qui devront constituer 35 % du mix en 2050.

La transition vers les SAF et les e-kérosènes représente par conséquent un investissement financier considérable pour les compagnies aériennes qui ne pourront, de facto, pas toutes suivre le pas de la décarbonation. Air France, par exemple, a déjà investi 100 millions d’euros pour incorporer 1 % de SAF en 2022, et estime que la facture pour atteindre les 10 % en 2030 pourrait s’élever à 1 milliard d’euros.

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Prix du gaz : les bonnes nouvelles pour votre facture pour mars 2024

14 février 2024 à 15:52
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La Commission de régulation de l’énergie (CRE) vient de publier, mardi 13 février 2024, le prix repère du gaz pour le mois de mars 2024.

 

Prix du gaz : la tendance à la baisse du marché de gros se confirme pour mars 2024

 

la Commission de régulation de l’énergie (CRE) apporte une lueur d’espoir aux millions de foyers français qui utilisent le gaz naturel. Le mardi 13 février 2024, un communiqué de la CRE a annoncé une baisse significative du prix repère du gaz pour mars 2024, poursuivant ainsi une tendance à la baisse amorcée depuis décembre 2023. La CRE a précisé dans son communiqué que, pour un abonné résidentiel ayant un contrat type incluant cuisson, eau chaude, et chauffage, la part variable hors taxes (HT) du prix du mégawattheure (MWh) connaîtra une baisse de -4,66 euros entre février et mars 2024. Cette réduction s’inscrit dans la continuité d’une diminution notable de 17,29 euros par MWh observée depuis décembre 2023.

La part variable toutes taxes comprises (TTC) suit également cette tendance à la baisse, avec une réduction de 5,59 euros du MWh par rapport au mois de février. « Les prix de marché atteignent aujourd’hui des niveaux particulièrement bas », a souligné la CRE. Ainsi donc, « depuis le 1ᵉʳ décembre 2023, la part variable TTC a baissé de 11,14 euros du MWh», et ce, malgré une hausse de la Taxe Intérieure sur la Consommation de Gaz Naturel (TICGN) en janvier 2024.

 

Des perspectives rassurantes pour 2024

 

La CRE offre une vision optimiste pour l’avenir. « La tendance à la baisse du prix du gaz devrait se poursuivre », annonce-t-elle, basant ses prévisions sur les niveaux actuels particulièrement bas des prix de marché de gros. Si cette tendance à la baisse se confirme, les consommateurs pourront effectivement voir leur facture de gaz diminuer.

 

L’organisme régulateur anticipe un prix repère moyen autour de 120 €/MWh (TTC) pour juillet 2024, ce qui représenterait une baisse d’environ 6 €/MWh par rapport au prix moyen de décembre 2023, y compris avec la hausse annoncée pour le mois de juillet 2024.  «Ce prix moyen resterait également en dessous du niveau moyen du TRV gelé appliqué en (juin) 2023, qui s’élevait à 124,9 €/MWh», précise la CRE. Toutefois, ces estimations doivent être prises avec prudence, les coûts d’approvisionnement étant liés au contexte économique et géopolitique (guerre en Ukraine, conflit entre Israël et le Hamas, attaque des Houthis en mer Rouge), ils ne sont connus qu’un mois avant livraison.

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Prix du Gaz : Bruno Le Maire est-il trop confiant ?

12 février 2024 à 14:31
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Les Français ne cessent de voir leurs factures énergétiques augmenter depuis ces deux dernières années. Après une hausse du prix de l’électricité en février 2024, c’est au tour du gaz d’augmenter en juillet 2024. Bruno Le Maire s’est voulu rassurant auprès de nos confrères de Nice-matin, vendredi 9 février 2024, mais ce dernier semble bien optimiste au vu du contexte économique et géopolitique…

 

Prix du gaz :  une augmentation de 5,5 à 10,4% prévue en juillet 2024

L’annonce par la Commission de régulation de l’énergie (CRE) d’une augmentation moyenne des tarifs de distribution de gaz naturel de 27,5% pour la période 2024-2027 a jeté une ombre d’inquiétude sur les ménages français. Cette hausse, qui se traduira par une première augmentation de 5,5% à 10,4% sur les factures dès juillet 2024, répond, selon le ministre de l’Économie et la présidente de la CRE, Emmanuelle Wargon, à un besoin pressant de couvrir les coûts croissants de distribution et de financer les investissements dans l’indépendance énergétique et la transition écologique.

Face à l’inquiétude légitime des ménages français, Bruno Le Maire, s’est engagé à les rassurer lors d’un entretien accordé à Nice-matin, vendredi 9 février 2024. « Nous sommes sortis en juin (2023) du bouclier tarifaire sur le gaz et les factures n’ont pas flambé. Elles resteront stables. Nous avons opéré une première hausse de tarif début février en rétablissant progressivement la taxe sur la consommation finale d’électricité. Le prix que nous payons, c’est celui de l’indépendance et de la décarbonation ». Cette anticipation s’appuie sur une tendance à la baisse des prix du gaz observée depuis décembre 2023, que le gouvernement espère durable pour compenser l’augmentation des coûts de distribution.

 

Un marché qui reste extrêmement volatil

L’année 2022 a été marquée par une forte volatilité du prix du gaz, conséquence directe de la guerre en Ukraine. Les sanctions économiques imposées à la Russie et l’attaque contre Nord Stream II, ont largement alimenté les craintes d’une interruption de l’approvisionnement en gaz, ce qui avait conduit à une incertitude accrue sur les marchés. En août 2022 par exemple, les prix du gaz ont atteint des sommets, avec des prix spot au TTF supérieurs à 345 euros/MWh, un niveau sans précédent qui a mis en évidence la vulnérabilité de l’Europe vis-à-vis de ses sources d’approvisionnement en gaz. En 2023, bien que les prix aient connu des baisses par rapport aux pics de 2022, ils sont restés élevés par rapport aux standards historiques. Les efforts pour diversifier les sources d’approvisionnement en gaz, notamment par l’augmentation des importations de gaz naturel liquéfié (GNL) et les mesures d’économie d’énergie, ont contribué à une certaine stabilisation des prix observée depuis le mois de décembre 2023.

Toutefois, avec la fin des tarifs réglementés de vente du gaz (TRVG), la guerre en Ukraine, les attaques des Houthis en mer Rouge, et le conflit entre Israël et le Hamas, il semble bien difficile de faire la moindre prévision sur l’évolution du prix du gaz sur le marché. Les prévisions de Bruno Le Maire, et de la présidente de la CRE, Emmanuelle Wargon, restent par conséquent très fébriles puisque ces dernières reposent sur un facteur essentiel, et sur lequel ils n’ont, en réalité, aucune emprise : le marché. Autrement dit, et contrairement à ce que laisse supposer le ministre de l’Économie, la stabilité des factures des ménages français n’est aucunement garantie.

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Prix de l’énergie : qui est le moins cher en Europe ?

23 janvier 2024 à 12:25
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Les variations des prix de l’énergie en Europe suscitent de vives discussions. En pleine reprise économique post-Covid et dans un contexte géopolitique tendu, les tarifs de l’électricité et du gaz sont au cœur des préoccupations des ménages. Hellowatt vient de publier son comparatif : la France se positionne parmi les pays européens qui proposent les tarifs les plus bas sur l’énergie.

 

Prix de l’énergie : des disparités bien marquées en Europe

L’année 2023 a marqué un tournant concernant le prix de l’énergie en Europe. Bien que les marchés de gros aient enregistré une baisse des prix début 2023, les ménages n’ont pas ressenti immédiatement ces effets. En France, le bouclier tarifaire a limité la hausse des prix à +15 % en février 2023 et +10% en août 2023 et il devrait limiter celle prévue pour février 2024 à  +8,6% (pour les options de base, contre 9,8 pour un abonnement HP/HC).

En effet, le prix de l’électricité a considérablement varié selon les pays suivant deux facteurs : l’inflation et les dispositifs d’aide mis en place par les États. En France, par exemple, le chèque énergie exceptionnel de 100 euros, mis en place fin 2021 et dont le nombre de bénéficiaires a été doublé, a permis de soutenir les ménages les plus modestes jusqu’en 2023. C’est surtout le gel des tarifs réglementés pour le gaz jusqu’à fin 2023 et le bouclier tarifaire sur l’électricité qui ont permis à la France de se distinguer de ses voisins européens. En juin 2023, le prix du kWh en France était de 24,50 c€, toujours bien en deçà de celui pratiqué en Allemagne (37,85 c€/kWh), aux Pays-Bas (34,93 c€/kWh) et au Royaume-Uni (46,46 c€/kWh). L’Espagne et l’Italie, quant à elles, bénéficiaient des tarifs inférieurs à la France, grâce notamment à des mesures spécifiques comme le cap de gas en Espagne. Cela lui a permis d’afficher un des tarifs les plus bas d’Europe : 15,18 c€/kWh en juin 2023.

 

Fin progressive du bouclier tarifaire : le dégel des taxes

 

Ces dispositifs d’aide sont progressivement voués à disparaître d’ici à 2025. C’est la fin du fameux quoi qu’il en coûte, et par conséquent, la fin du gel des taxes sur le prix de l’énergie. Autrement dit, même si les prix de l’énergie suivent le cours du marché, les gouvernements ne vont pas se gêner pour augmenter les taxes afin de renflouer les caisses. C’est sur ce principe que Bruno Le Maire compte mettre fin au bouclier tarifaire. Ces taxes financent diverses initiatives, y compris le développement des énergies renouvelables et la construction de nouvelles infrastructures énergétiques. Les consommateurs risquent donc bel et bien de ne pas pouvoir profiter de la baisse du prix de l’énergie, les fournisseurs cherchant, eux aussi, à limiter le coût des taxes susmentionnées.

C’est d’ailleurs ce qui est en cours : l’augmentation de la taxe d’accise, payée par les fournisseurs de gaz, a entraîné une première hausse du prix du gaz en janvier 2024, et une seconde augmentation est prévue en juillet 2024. Si cette hausse reste jusqu’à présent limitée, c’est bien parce que les prix sur le marché ont diminué. Après avoir atteint des sommets en août 2022 (342 euros/MWh), ils sont redescendus à 73 euros/MWh en janvier 2023. Il faut espérer que le marché se stabilise, sans quoi les fournisseurs n’auront d’autres choix que de répercuter leurs taxes sur les factures des consommateurs. L’avantage des taxes, si l’on peut dire, c’est qu’elles sont à l’initiative des gouvernements, qui ont le choix de les augmenter, mais aussi de les rabaisser. En 2023, les taxes constituaient près de 20 % des factures d’électricité des ménages européens, 22% pour la France. Dans certains pays, comme la Pologne, les taxes ont fait grimper de 94% la facture des consommateurs. A contrario, l’Irlande a permis en moyenne de réduire de 41% la facture d’électricité de ses compatriotes en baissant ses taxes.

 

 

 

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Tarifs de l’électricité : quelle hausse au 1er février 2024 ?

22 janvier 2024 à 12:37
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La France se prépare à une importante révision tarifaire de l’électricité. Annoncée par Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, en 2023 puis confirmée le 21 janvier 2024 sur TF1, cette hausse des tarifs, effective dès le 1er février 2024, s’inscrit dans une stratégie globale visant à rééquilibrer les finances publiques et à soutenir l’investissement dans le secteur énergétique.

 

Quelle hausse de tarif pour l’électricité en France ?

L’augmentation des tarifs de l’électricité, attendue et confirmée, est le résultat de la fin du bouclier tarifaire, une mesure mise en place fin 2021 pour limiter l’impact de la hausse des prix de l’énergie sur les consommateurs au lendemain de la crise sanitaire de la Covid-19. Les contrats “heure pleine-heure creuse” verront une augmentation de 9,8%, tandis que les tarifs de base augmenteront de 8,6%. Sur une période de deux ans, cela représente une hausse cumulée de plus de 40%.

Pour les ménages composés de deux personnes, selon les estimations du gouvernement, cette hausse se traduira par une augmentation d’environ 18 euros par mois. Les petites entreprises et les abonnés non résidentiels ne sont pas exonérés, et subiront une hausse variant entre 5,2% et 8%. Et, l’augmentation sera la plus élevée pour les ménages qui détiennent encore un contrat « Effacement jours de pointe » (EJP) qui n’est plus commercialisé par EDF et qui verra ses tarifs grimper de 10,1%.

 

Une augmentation liée à la TIFCE

La principale cause de cette augmentation est le retour de la Taxe Intérieure de Consommation Finale sur l’Électricité (TICFE), qui avait été gelée pendant deux ans. La TICFE passera de 1 euro le MWh à 21 euros le MWh, une mesure destinée à générer des revenus significatifs pour l’État, estimés à 6 milliards d’euros. Ce qui a poussé Emmanuelle Wargon, à la tête de la Commission de Régulation de l’Énergie (CRE) à déclarer sur BFMTV le 22 janvier 2024 que l’augmentation est purement une décision politique. Elle rappelle que les prix de l’électricité ont en effet baissé sur les marchés.

L’augmentation de la TIFCE pourrait également revenir sur le devant de la scène médiatique en 2025. En effet, malgré la hausse de 20 euros annoncée, elle n’a pas atteint son niveau de 2019, lorsqu’elle avait atteint 32 euros le MWh. Bruno Le Maire a évoqué la possibilité que ce niveau puisse être atteint dès février 2025.

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