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Mise à jour des smartphones : Apple s’engage sur cinq ans, Google se moque

6 juin 2024 à 14:26
Des cochonneries devant la porte

Apple n’est « officiellement » plus en tête sur le support logiciel de ses smartphones. Forcée de concrétiser une information sur laquelle elle ne s’était jamais exprimée, l’entreprise table sur un minimum de cinq ans. Google, forte de l’annonce de ses Pixel 8, caracole désormais. Mais la réalité du marché est nettement plus trouble.

Voilà bien des années que Next revient sur l’un des thèmes qui lui tient à cœur : le support logiciel des appareils, et plus particulièrement celui des smartphones.

Dans ce domaine, Apple a été pendant longtemps en tête, voire un « modèle ». Aucun iPhone n’a jamais été supporté moins de cinq ans, aidé par le fait que l’entreprise maitrise à la fois le matériel et le logiciel, contrairement à Android et sa ribambelle de constructeurs. Une période valable d’ailleurs pour les mises à jour majeures d’iOS. La période de support pour les seules mises à jour de sécurité et d’un ou deux ans plus longue. Mais les temps changent.

Apple, Google et Samsung dans un bateau

Mais qu’est-ce qui a changé au juste ? À l’automne dernier, Google a d’abord présenté son Pixel 8 et sa déclinaison Pro. Outre les caractéristiques techniques et les exclusivités logicielles des téléphones maison, Google a surpris tout le monde en annonçant un support de sept ans. Pas seulement des correctifs de sécurité, mais bien sept ans de mises à jour majeures d’Android.

Nous avons été enthousiasmés par cette annonce. Et pour cause : dans le monde Android, de nombreux appareils d’entrée ou même de moyenne gamme ne dépassent pas les trois ou quatre ans. Bien trop peu. Google a donc voulu montrer l’exemple. La sortie du Pixel 8a n’y a rien changé, car lui aussi a ses sept ans de mises à jour d’Android. Parallèlement, Google a affirmé que les pièces détachées pour les réparations seraient disponibles pendant la même durée.

En janvier, la présentation de la gamme S24 s’est accompagnée, elle aussi, par une annonce identique : sept ans de mises à jour majeures pour Android. Jusqu’aux S23, cette période était de cinq ans. Il s’agissait là encore d’un bond important. Tous les ordinateurs ne peuvent pas en dire autant, y compris certains Mac.

Apple confirme un support de « cinq ans minimum »

L’annonce du Pixel 8 n’était pas inaperçue. À la faveur cependant d’un changement réglementaire au Royaume-Uni, la comparaison s’installe. Le Product Security and Telecommunications Infrastructure Bill, ou PSTI, impose en effet plusieurs mesures, dont l’interdiction des mots de passe par défaut et des obligations de transparence. Parmi ces dernières, celle d’indiquer précisément la durée de support logiciel pour les produits connectés à internet, smartphones en tête.

C’est dans ce contexte qu’Apple a révélé, au sein d’une déclaration de conformité au gouvernement britannique, que cette durée était de « cinq ans minimum à compter de la première date de commercialisation » pour ses iPhone.

Dave Kleidermacher, vice-président de l’ingénieur chez Google, a immédiatement réagi :

« Pendant des années, l’iPhone a eu la réputation d’avoir une durée de vie de support plus longue que celle d’Android. Pourtant, Apple ne s’est jamais engagée à offrir une durée de vie minimale à l’achat. Grâce à la réglementation PSTI du gouvernement britannique […], Apple a finalement publié un engagement de durée d’achat – cinq ans – deux ans DE MOINS que les flagships Android de Google (Pixel) et de Samsung »

Temps mort

Techniquement, la déclaration de Dave Kleidermacher est juste. Il ajoute cependant :

« Les consommateurs méritent de connaître les durées de vie minimales du support de sécurité pour leurs appareils électroniques grand public au moment de l’achat, et bravo au gouvernement britannique pour avoir imposé cette transparence. Apple a le mérite de fournir des mises à jour de sécurité pendant plus de 5 ans, et ce depuis longtemps. Mais il est temps de reconnaître qu’iOS n’offre plus les meilleures durées de vie en matière de sécurité dans l’industrie des smartphones. C’est Android qui le fait ».

Rappelons quand même quelques éléments de contexte. D’une part, c’est la première fois que des appareils Android sont supportés aussi longtemps, à l’exception (très) notable et logique du Fairphone 5. Et les seuls appareils supportés sont les Pixel 8 (tous les modèles) et la gamme Galaxy S24 de Samsung. Il s’agit donc de haut de gamme, voire de très haut de gamme, pour des appareils comme le Pixel 8 Pro ou le Galaxy S24 Ultra.

D’autre part, Apple parle d’un support minimal de cinq ans. En pratique, de nombreux appareils ont été mis à jour pendant six ou sept ans, comme le rappellent nos confrères d’iGeneration. Il est arrivé également à Apple de diffuser des mises à jour de sécurité pour des appareils qui n’étaient plus censés en recevoir. En janvier par exemple, pour les iPhone 6s, 7, SE, 8 et X, des appareils ayant entre 7 et 9 ans. L’iPhone XR, sorti en 2018, tourne actuellement sous iOS 17.5, soit la dernière révision du système. Le Pixel 4a, sorti il y a quatre ans, n’aura pas droit à Android 15.

Enfin, cette période de cinq ans minimum est valable pour l’ensemble des modèles, pas uniquement les derniers ou le haut de gamme. Mais Apple ne fait pas non plus d’entrée de gamme, du moins pas de smartphone à moins de 200 euros, alors qu’ils sont légion sur Android. Un marché que Google a largement contribué à créer.

Les smartphones, ces produits jetables

Que des entreprises prennent enfin au sérieux un critère aussi important est une très bonne raison de se réjouir. Un support logiciel limité expose non seulement la clientèle aux dangers d’un système d’exploitation laissé sans correctifs de sécurité, mais engendre une consommation accrue de ressources.

Les smartphones sont encore trop souvent considérés comme des produits presque jetables. Les constructeurs en font leur beurre, la plupart des gammes étant renouvelées chaque année. Et chaque année, il faut trouver des raisons de motiver cette même clientèle à changer d’appareil. Limiter les mises à jour d’Android – et donc l’arrivée de fonctions majeures – était un moyen parmi d’autres. C’est néanmoins moins vrai depuis plusieurs années, car les versions se succèdent sans gros changements pour les utilisateurs.

Google et Samsung sont les premiers gros fabricants à proposer sept ans pour leurs appareils. Mais il faut encore que la pratique s’étende et fasse tache d’huile. Consciente que ses « partenaires » ne jouent pas le jeu, Google passe certaines mises à jour importantes par le Play Store. Mais même ainsi, cela ne règle pas tous les soucis et tous les fabricants doivent jouer le jeu.

Le grand cirque va devoir prendre fin

D’autre part, l’Europe s’apprête à sonner la fin de la récréation. Le 20 juin entrera en vigueur une extension du règlement sur l’économie circulaire. Elle introduira notamment la note de réparation et l’obligation de transparence sur certains aspects. Surtout, elle obligera les constructeurs à proposer des mises à jour logicielles pendant au moins cinq ans après mise sur le marché. Ce qui signifie en pratique six ou sept ans de mises à jour dans la plupart des cas.

Attention, on parle bien de mises à jour de sécurité. Dans l’absolu, rien ne forcera les constructeurs à proposer de nouvelles versions majeures de leur système. Mais l’important concerne bien la sécurité, afin qu’un appareil gardé durant plusieurs années continue d’être protégé. D’autant que le règlement concernera l’intégralité des appareils mis sur le marché après cette date (le changement n’est pas rétroactif).

Il est probable que cette bascule aura un impact important sur la manière dont les constructeurs mettent des appareils sur le marché. L’entretien s’avérant mathématiquement plus couteux, l’une des voies serait le resserrement des gammes et donc la réduction du nombre de modèles proposés. Mais il n’est pas certain que cette perspective enchante particulièrement les entreprises : la durabilité n’est pas toujours retenue comme argument fort dans les stratégies commerciales.

Mise à jour des smartphones : Apple s’engage sur cinq ans, Google se moque

6 juin 2024 à 14:26
Des cochonneries devant la porte

Apple n’est « officiellement » plus en tête sur le support logiciel de ses smartphones. Forcée de concrétiser une information sur laquelle elle ne s’était jamais exprimée, l’entreprise table sur un minimum de cinq ans. Google, forte de l’annonce de ses Pixel 8, caracole désormais. Mais la réalité du marché est nettement plus trouble.

Voilà bien des années que Next revient sur l’un des thèmes qui lui tient à cœur : le support logiciel des appareils, et plus particulièrement celui des smartphones.

Dans ce domaine, Apple a été pendant longtemps en tête, voire un « modèle ». Aucun iPhone n’a jamais été supporté moins de cinq ans, aidé par le fait que l’entreprise maitrise à la fois le matériel et le logiciel, contrairement à Android et sa ribambelle de constructeurs. Une période valable d’ailleurs pour les mises à jour majeures d’iOS. La période de support pour les seules mises à jour de sécurité et d’un ou deux ans plus longue. Mais les temps changent.

Apple, Google et Samsung dans un bateau

Mais qu’est-ce qui a changé au juste ? À l’automne dernier, Google a d’abord présenté son Pixel 8 et sa déclinaison Pro. Outre les caractéristiques techniques et les exclusivités logicielles des téléphones maison, Google a surpris tout le monde en annonçant un support de sept ans. Pas seulement des correctifs de sécurité, mais bien sept ans de mises à jour majeures d’Android.

Nous avons été enthousiasmés par cette annonce. Et pour cause : dans le monde Android, de nombreux appareils d’entrée ou même de moyenne gamme ne dépassent pas les trois ou quatre ans. Bien trop peu. Google a donc voulu montrer l’exemple. La sortie du Pixel 8a n’y a rien changé, car lui aussi a ses sept ans de mises à jour d’Android. Parallèlement, Google a affirmé que les pièces détachées pour les réparations seraient disponibles pendant la même durée.

En janvier, la présentation de la gamme S24 s’est accompagnée, elle aussi, par une annonce identique : sept ans de mises à jour majeures pour Android. Jusqu’aux S23, cette période était de cinq ans. Il s’agissait là encore d’un bond important. Tous les ordinateurs ne peuvent pas en dire autant, y compris certains Mac.

Apple confirme un support de « cinq ans minimum »

L’annonce du Pixel 8 n’était pas inaperçue. À la faveur cependant d’un changement réglementaire au Royaume-Uni, la comparaison s’installe. Le Product Security and Telecommunications Infrastructure Bill, ou PSTI, impose en effet plusieurs mesures, dont l’interdiction des mots de passe par défaut et des obligations de transparence. Parmi ces dernières, celle d’indiquer précisément la durée de support logiciel pour les produits connectés à internet, smartphones en tête.

C’est dans ce contexte qu’Apple a révélé, au sein d’une déclaration de conformité au gouvernement britannique, que cette durée était de « cinq ans minimum à compter de la première date de commercialisation » pour ses iPhone.

Dave Kleidermacher, vice-président de l’ingénieur chez Google, a immédiatement réagi :

« Pendant des années, l’iPhone a eu la réputation d’avoir une durée de vie de support plus longue que celle d’Android. Pourtant, Apple ne s’est jamais engagée à offrir une durée de vie minimale à l’achat. Grâce à la réglementation PSTI du gouvernement britannique […], Apple a finalement publié un engagement de durée d’achat – cinq ans – deux ans DE MOINS que les flagships Android de Google (Pixel) et de Samsung »

Temps mort

Techniquement, la déclaration de Dave Kleidermacher est juste. Il ajoute cependant :

« Les consommateurs méritent de connaître les durées de vie minimales du support de sécurité pour leurs appareils électroniques grand public au moment de l’achat, et bravo au gouvernement britannique pour avoir imposé cette transparence. Apple a le mérite de fournir des mises à jour de sécurité pendant plus de 5 ans, et ce depuis longtemps. Mais il est temps de reconnaître qu’iOS n’offre plus les meilleures durées de vie en matière de sécurité dans l’industrie des smartphones. C’est Android qui le fait ».

Rappelons quand même quelques éléments de contexte. D’une part, c’est la première fois que des appareils Android sont supportés aussi longtemps, à l’exception (très) notable et logique du Fairphone 5. Et les seuls appareils supportés sont les Pixel 8 (tous les modèles) et la gamme Galaxy S24 de Samsung. Il s’agit donc de haut de gamme, voire de très haut de gamme, pour des appareils comme le Pixel 8 Pro ou le Galaxy S24 Ultra.

D’autre part, Apple parle d’un support minimal de cinq ans. En pratique, de nombreux appareils ont été mis à jour pendant six ou sept ans, comme le rappellent nos confrères d’iGeneration. Il est arrivé également à Apple de diffuser des mises à jour de sécurité pour des appareils qui n’étaient plus censés en recevoir. En janvier par exemple, pour les iPhone 6s, 7, SE, 8 et X, des appareils ayant entre 7 et 9 ans. L’iPhone XR, sorti en 2018, tourne actuellement sous iOS 17.5, soit la dernière révision du système. Le Pixel 4a, sorti il y a quatre ans, n’aura pas droit à Android 15.

Enfin, cette période de cinq ans minimum est valable pour l’ensemble des modèles, pas uniquement les derniers ou le haut de gamme. Mais Apple ne fait pas non plus d’entrée de gamme, du moins pas de smartphone à moins de 200 euros, alors qu’ils sont légion sur Android. Un marché que Google a largement contribué à créer.

Les smartphones, ces produits jetables

Que des entreprises prennent enfin au sérieux un critère aussi important est une très bonne raison de se réjouir. Un support logiciel limité expose non seulement la clientèle aux dangers d’un système d’exploitation laissé sans correctifs de sécurité, mais engendre une consommation accrue de ressources.

Les smartphones sont encore trop souvent considérés comme des produits presque jetables. Les constructeurs en font leur beurre, la plupart des gammes étant renouvelées chaque année. Et chaque année, il faut trouver des raisons de motiver cette même clientèle à changer d’appareil. Limiter les mises à jour d’Android – et donc l’arrivée de fonctions majeures – était un moyen parmi d’autres. C’est néanmoins moins vrai depuis plusieurs années, car les versions se succèdent sans gros changements pour les utilisateurs.

Google et Samsung sont les premiers gros fabricants à proposer sept ans pour leurs appareils. Mais il faut encore que la pratique s’étende et fasse tache d’huile. Consciente que ses « partenaires » ne jouent pas le jeu, Google passe certaines mises à jour importantes par le Play Store. Mais même ainsi, cela ne règle pas tous les soucis et tous les fabricants doivent jouer le jeu.

Le grand cirque va devoir prendre fin

D’autre part, l’Europe s’apprête à sonner la fin de la récréation. Le 20 juin entrera en vigueur une extension du règlement sur l’économie circulaire. Elle introduira notamment la note de réparation et l’obligation de transparence sur certains aspects. Surtout, elle obligera les constructeurs à proposer des mises à jour logicielles pendant au moins cinq ans après mise sur le marché. Ce qui signifie en pratique six ou sept ans de mises à jour dans la plupart des cas.

Attention, on parle bien de mises à jour de sécurité. Dans l’absolu, rien ne forcera les constructeurs à proposer de nouvelles versions majeures de leur système. Mais l’important concerne bien la sécurité, afin qu’un appareil gardé durant plusieurs années continue d’être protégé. D’autant que le règlement concernera l’intégralité des appareils mis sur le marché après cette date (le changement n’est pas rétroactif).

Il est probable que cette bascule aura un impact important sur la manière dont les constructeurs mettent des appareils sur le marché. L’entretien s’avérant mathématiquement plus couteux, l’une des voies serait le resserrement des gammes et donc la réduction du nombre de modèles proposés. Mais il n’est pas certain que cette perspective enchante particulièrement les entreprises : la durabilité n’est pas toujours retenue comme argument fort dans les stratégies commerciales.

Deepcool fait évoluer son fleuron aircooling l'Assassin IV, et le fait très bien !

Deepcool a su se faire une sacrée bonne image en matière de refroidissement. Jadis plutôt considéré comme du low cost mal fagoté, la firme fait des productions dont l'usinage n'a à rougir de rien face aux autres marques leader du secteur. Et ce n'est pas son fleuron aircooling qui prouvera le contra...

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6 juin 2024 à 13:43
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Business YouTube et IA : Le Duo Gagnant pour 2024
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Disponible en Aloe Vera ou Sensitive au même prix.
À propos de ce produit
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Historique des prix
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4 juin 2024 à 15:38
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Merci à @Manu_B pour l’info sur le retour de stock





SSD WD SN740 de 2To au format M2 2230

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Conçu pour les nouveaux slots Gen4 x 4 PCle conformité PCle 4.0

Parfait pour le Steam Deck et les autres consoles





Le prix semble varier de 1-2€ en plus ou à moins selon les personnes selon vos « pièces », mais cela reste un très bon prix ;)

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IKEA

Hello à tous,

En plus de l’offre nationale Crazy Mercredi (-50% sur chaque plat chaud avec la carte Ikea Family tous les mercredis jusqu’au 28 Août) disponible en ce moment, IKEA Marseille la Valentine offre également 5€ de réduction sans minimum d’achat valable le jour même

J’ai vu également la meme offre à Lille mais je n’ai pas de renseignements sur le fait que l’offre soit nationale ou non. N’hésitez pas à me dire pour que j’actualise !

Offre disponible à Lille et similaire à Marseille : ikea.com/fr/fr/stores/events/ikea-lille/des-mercredis-encore-plus-crazy--a24d79ba-9cee-4e51-854f-72d5d0db6fb9/

Le solaire flottant pourrait satisfaire 100 % des besoins en électricité de certains pays

6 juin 2024 à 14:59

Le problème, avec les panneaux solaires, c’est qu’il faut trouver un endroit où les poser. Et depuis quelques années maintenant, les ingénieurs ont eu une nouvelle idée : les installer sur des plans d’eau. Des chercheurs révèlent aujourd’hui que l’opération pourrait être 100 % gagnante pour certains pays.

Sur le lac de carrière de Villieu, à Saint-Savin, dans le nord de l’Isère, le projet de centrale solaire flottante 11 mégawatts (MW) mené par Ciel & Terre prend forme. La pose de quelque 20 000 panneaux photovoltaïques en un seul îlot au milieu du lac a commencé en janvier. Et la production devrait démarrer dès cet été. En Haute-Marne, G Energy a lancé l’installation de la plus grande centrale solaire flottante sur bassin d’Europe. Pas moins de 74 MW annoncés pour une mise en service prévue début 2025.

Des scénarios réalistes pour le solaire flottant

Restés rares jusqu’ici dans notre pays, les projets de photovoltaïque flottant semblent désormais vouloir se multiplier en France. Et une équipe internationale de chercheurs confirme aujourd’hui le potentiel de la technologie. Leurs résultats publiés dans la revue Nature Water suggèrent même que certains pays pourraient répondre à tous leurs besoins en électricité rien qu’avec des panneaux solaires photovoltaïques flottants.

Les chercheurs ont simulé la production électrique de systèmes photovoltaïques flottants sur près de 68 000 lacs et réservoirs à travers le monde en utilisant les données climatiques disponibles pour chaque emplacement. Des étendues d’eau qui ne se trouvent pas à plus de 10 km d’un centre de population et pas dans une zone protégée. Des lacs et des réservoirs qui ne sont ni asséchés ni gelés plus de six mois par an. Et dont seulement 10 % de la superficie serait recouverte de solaire flottant, jusqu’à un maximum de 30 km2.

À lire aussi Comment une centrale solaire flottante est-elle assemblée ?

Le solaire flottant : un fort potentiel, mais des précautions à prendre

Dans ces conditions, les installations photovoltaïques flottantes pourraient produire, dans le monde, quelque 1 302 térawattheures (TWh) par an. Un chiffre à comparer avec la consommation d’électricité en France métropolitaine qui était d’environ 445 TWh en 2023.

Rappelons l’un des avantages soupçonnés des panneaux solaires flottants sur le photovoltaïque à terre : pouvoir maintenir des cellules plus au frais et les rendre ainsi plus efficaces. Mais les chercheurs mettent aussi en avant d’autres avantages. Pour l’environnement, cette fois. Comme la réduction de l’évaporation — avec une surface protégée du soleil et du vent — ou la réduction de la prolifération des algues — qui accèdent moins à la lumière et aux nutriments.

Reste toutefois à s’assurer des impacts sur l’environnement et sur les écosystèmes. En particulier concernant des installations qui seraient posées sur des lacs naturels. En attendant que des études viennent le confirmer, la part de 10 % de la superficie couverte est estimée « probablement sûre ». Et pour un déploiement durable du photovoltaïque flottant, les chercheurs suggèrent de viser en priorité les plans d’eau artificiels. Une façon à la fois de limiter l’impact sur la nature et de profiter d’infrastructures existantes. Sachant que les installations sur des réservoirs hydroélectriques pourraient, en plus, permettre d’optimiser l’efficacité des panneaux et la fiabilité du système.

Des pays à faibles revenus pourraient profiter du solaire flottant

Les chercheurs précisent que cinq pays pourraient répondre à l’intégralité de leurs besoins en électricité à partir du solaire flottant. Surtout des pays à fort niveau d’ensoleillement et à faibles revenus. Parmi eux, la Papouasie-Nouvelle-Guinée — grâce à son positionnement près de l’équateur et à ses vastes étendues d’eau —, l’Éthiopie et le Rwanda. D’autres, comme la Bolivie et les Tonga, s’en rapprocheraient de très près, répondant respectivement à 87 % et 92 % de leur demande en électricité. Et de nombreux pays, principalement d’Afrique, des Caraïbes, d’Amérique du Sud et d’Asie centrale, pourraient satisfaire entre 40 % et 70 % de leur demande annuelle d’électricité grâce au photovoltaïque flottant.

En Europe, la technologie est moins prometteuse. En France, nous ne devons pas nous attendre à produire plus de 5 % de nos besoins grâce au solaire flottant. Mais pour la Finlande ou même le Danemark, l’idée pourrait rester intéressante avec un potentiel de production respectif de 17 % et de 7 % de la demande en électricité.

L’article Le solaire flottant pourrait satisfaire 100 % des besoins en électricité de certains pays est apparu en premier sur Révolution Énergétique.

Mon chateau ma bataille

Par : ackboo
6 juin 2024 à 14:38
PCGamesN rapporte que Hooded Horse, l'éditeur PC le plus chaud du moment (ils viennent notamment de publier Workers & Resources : Soviet Republic et Manor Lords), a signé Cataclismo. Le pitch est assez classique : il va falloir récolter des ressources pour se bâtir une belle forteresse, puis la défendre contre des vagues d'ennemis – du Tower Defense avec un peu de STR, en somme. Mais la partie construction de château se fait façon Lego, avec plus d'une centaine de pièces différentes, et un moteur physique sophistiqué gère l'ensemble pour simuler, par exemple, des écroulements de remparts réalistes. Vous y rajoutez une direction artistique épurée mignonne comme tout, et ça devrait avoir son petit succès. Une démo est déjà disponible, avec une sortie annoncée au 16 juillet. A.

Une percée scientifique majeure dans les maladies inflammatoires de l’intestin

Des chercheurs ont découvert le rôle essentiel d’un gène dans le dérèglement du système immunitaire de l’intestin. Des médicaments utilisés en cancérologie soulagent cette inflammation. Spectaculaire.

© photo SEBASTIAN KAULITZKI/SCIENCE PHOT/Science Photo Library/AFP

Image d’illustration de la maladie de Crohn.

Que faut-il retenir de la conférence internationale sur le cancer qui s’est déroulée à Chicago ?

Confirmation des progrès dans le traitement des différentes formes de cancer du poumon, soins palliatifs et vaccin à ARN messager… Voici quelques-unes des avancées que l’on peut retenir parmi celles présentées à la conférence annuelle de l’American Society of Clinical Oncology à Chicago.

© PHOTO NEMES LASZLO/SCIENCE PHOTO LIBRA/Science Photo Library/AFP

Confirmation des progrès des traitements du cancer du poumon et arrivée des premiers vaccins à ARN messager font partie des éléments à retenir de la conférence annuelle d’oncologie qui vient de se terminer à Chicago.

SpaceX a réussi un autre exploit : ne pas détruire le Starship dans l’atmosphère

6 juin 2024 à 14:54

Deux grandes avancées ont été obtenues avec le Starship ce 6 juin 2024. Le premier étage Super Heavy a pu amerrir convenablement dans le golfe du Mexique. Quant à l'étage supérieur, il a survécu à la rentrée atmosphérique et à finir sa course dans l'océan Indien.

ASRock Unveils Motherboards For Ryzen 9000 At Computex 2024: X870E Taichi and X870E Taichi Lite

6 juin 2024 à 14:20

During Computex 2024, ASRock held an event to unveil some of its upcoming X870E motherboards, designed for AMD's Zen 5-based Ryzen 9000 series processors. ASRock's announcement includes a pair of Taichi-branded boards, the X870E Taichi and the lighter X870E Taichi lite, which uses AMD's Promontory 21 chipset for AM5.

The current flagship model announced from ASRock's X870E line-up for Ryzen 9000 is the ASRock X870E Taichi. ASRock is advertising a large 27-phase power delivery through 110A SPS, suggesting this board is designed for overclockers and all-around power users. Two PCIe 5.0 x16 slots provide high-speed bandwidth for cutting-edge graphics cards and other devices. The four DDR5 DIMM slots allow users to experience the most advanced memory technology for faster and more powerful configurations.

The storage offering is impressive, with three Hyper M.2 slots supporting PCIe Gen5 x4. Also present are two USB4 Type-C ports that deliver expansive and high-bandwidth connectivity with solid networking capabilities, including a Realtek 5 GbE LAN and Wi-Fi 7 CNVi. The audio setup includes a Realtek ALC4082 codec and ESS SABRE9218 DAC supporting high-fidelity sound. The BIOS flashback feature is also a nice touch, and we believe this should be a feature on all mid-range to high-end motherboards, which provides an easy way to update the firmware without installing a CPU. The X870E Taichi is a premium motherboard with a slew of features to help attain superior performance and be future-proof for emerging technologies.

The ASRock X870E Taichi Lite offers a streamlined alternative to the X870E Taichi, retaining key features like the 27-phase power delivery with 110A smart power stages, dual PCIe 5.0 x16 slots operating at x16 or x8/x8, four DDR5 DIMM slots, and three Hyper M.2 slots (PCIe Gen5 x4). It includes Realtek 5GbE LAN, Wi-Fi 7, and the ALC4082 codec with ESS SABRE9218 DAC for high-quality audio as the more premium Taichi; the Taichi Lite features a simpler silver-themed design, while the standard Taichi has a more intricate gold-accented and fanciful aesthetics.

In terms of availability, there's no actual release date, and according to Andreas Schilling from HawrdwareLUXX, the X870E and X870 motherboards aren't expected to be launched at the same time as the Ryzen 9000 series featuring Zen 5 cores. We will investigate this and contact the motherboard vendors to confirm the situation. Still, as X870E/X870 barely differ from the current X670E/X670 motherboards, and as they are all AM5 socketed, users can use these with Ryzen 9000 processors when they launch.

Forgive Me Father 2 publie une vidéo de gameplay montrant son accès anticipé

Par : Stuka
11 octobre 2023 à 16:09

Dans l’attente de sa sortie en accès anticipé prévue pour la semaine prochaineForgive Me Father 2 nous montre un peu plus de son gameplay à travers une vidéo d’une dizaine de minutes.

Le jeu est très joli, avec des armes qui ont un bon feeling, et une atmosphère sombre à souhait. De ce qu’on en voit, et de ce qu’on a pu essayer dans la démo, les défauts du premier opus seront probablement toujours là, à savoir un level design trop étriqué et un gameplay qui pêche par sa répétitivité. En revanche, les développeurs semblent avoir retiré les one-liners débiles qui nous sortaient de l’action. Il y a du progrès.

Vous pouvez toujours essayer la démo de Forgive Me Father 2, disponible sur sa page Steam, et ajouter le jeu à votre liste de souhaits si vous êtes intéressés.

[TEST] My Friendly Neighborhood : de la survie, de l’horreur, de l’humour… et des puppets

Par : BstGr
11 octobre 2023 à 12:53

Annoncé en 2021 et sorti le 18 juillet, My Friendly Neighborhood nous avait intrigué par son originalité. Développé par les frères Szymanski – mais pas David –, il promettait de mélanger les styles avec de la survie, de l’horreur et de l’humour. Maintenant que nous avons pu nous plonger dans cet univers de puppets, nous pouvons dire que c’est une réussite, notamment pour son ambiance fabuleuse et ses graphismes cartoon plutôt réussis.

Genre : survie, horreur, humour| Développeurs : John SzymanskiEvan Szymanski | Éditeur : DreadXP | Plateforme : Steam | Configuration recommandée : Quad Core 2.5 GHz, 12 Go de RAM, NVIDIA 980 TI | Prix : 28,99 € | Langues : Anglais, sous-titres en français | Date de sortie : 18 juillet 2023 | Durée de vie : environ 5 heures mais peut être prolongé selon les fins. 

Puppetss

Une immersion très rapide

Après une très courte scène d’intro où l’on voit rapidement des chaînes de télévision défiler et quelques plans brefs de la ville, je me retrouve dans ma petite camionnette, tout seul et livré à moi-même. Cette entrée en matière colle plutôt bien à l’originalité du jeu : très peu de blabla inutiles, on est tout de suite jeté dans le grand bain. La seule info à disposition, c’est une demande d’intervention au niveau du toit du studio de télévision, suite à des perturbations sur les ondes. On est donc totalement dans la peau de Gordon, on n’en sait pas plus que lui et on va découvrir le terrain en même temps que lui. Pourtant, les choses se compliquent rapidement quand on sonne au comptoir pour parler à un réceptionniste et qu’on est accueilli par… une chaussette qui parle. Déjà, là, on sent que c’est mal barré pour Gordon. Les choses ne vont pas en s’arrangeant quand on comprend que la chaussette n’est pas de notre côté, et semble tout faire pour ne pas qu’on aille sur le toit pour débrancher l’antenne. La suite de l’aventure consiste à explorer le quartier et ses quelques immeubles disponibles dans ce semi-open world. Le but est d’essayer de progresser un peu à tâtons, en résolvant des énigmes tout en essayant de ne pas se faire agresser par des puppets qui semblent nous en vouloir sans trop de raison.

Ricky the sock
Notre meilleure ennemie la chaussette

Un jeu pas forcément évident et parfois rageant

My Friendly Neighborhood étant décrit comme un jeu de survie et d’horreur, je pense qu’il peut être bien de rajouter également que c’est un jeu de réflexion. En effet, le jeu fait plus appel à notre bon sens et à notre logique qu’à nos réflexes reptiliens. Les combats ne font clairement pas partie de ses points forts. On a certes un “pistolet”, mais celui-ci ne balance que des lettres, et ne possède pas un gunfeel franchement mémorable. Du côté du corps-à-corps, on nous flanque d’une clé à molette pour nous défendre, mais malheureusement, les affrontements ne sont pas très fluides. Il y a beaucoup de combats, mais principalement contre des marionnettes. Cependant, on se retrouve quelques fois à se battre contre des boss, qui sont des gros monstres sans trop de forme. Pour les vaincre, il faut la jouer malin, car vous n’avez qu’un nombre de places limité dans votre inventaire, qui est fortement inspiré de la licence des Resident Evil. Vous devrez donc parfois faire le choix entre un objet qui peut-être important plus tard et une potion de soin.

Et le choix peut s’avérer cornélien, car la difficulté est plutôt élevée. Les quatre points de vie de notre personnage peuvent rapidement s’envoler, d’autant plus qu’il n’est pas possible de sauvegarder à tout moment. Il faut, d’une part, trouver une machine de sauvegarde, mais aussi des jetons, dans un hommage aux machines à écrire de Resident Evil – encore lui ! En fonction de notre aisance à parcourir les couloirs du studio, on sera plus ou moins frustré par cette méthode. Heureusement, les développeurs ont pensé à ceux qui voudraient juste profiter de l’ambiance, car un mode de difficulté « Friendly » apporte tout un tas d’options d’accessibilité personnalisables, comme des ennemis plus faibles, des checkpoints plus fréquents, et la suppression des jetons. Après, ce système de sauvegarde est, en lui-même, une des mécaniques du jeu, à vous de voir si vous préférez la conserver afin d’avoir l’expérience prévue initialement par les auteurs.

checkpoint
Pour sauvegarder… faut payer

Une ambiance de folie

Le côté horreur, vachement mis en avant par le studio de développement, est en fait focalisé sur l’ambiance étouffante et stressante. Alors oui, comparée à une histoire de Tchoupi, on peut dire que c’est de l’horreur, mais si vous vous attendez à un titre dans la veine d’Outlast ou Resident Evil, vous allez être déçu. D’autre part, de nombreux traits d’humour viennent ponctuer l’aventure, notamment avec les interventions souvent ambiguës de notre amie ennemie la chaussette. Cela balance assez bien avec le sentiment d’oppression, tout en restant tout à fait cohérent avec l’univers. On est toujours un peu surpris par la suite des événements, ce qui permet de ne jamais s’ennuyer.

Un bon mélange

My Friendly Neighbourhood possède une superbe ambiance, mêlant habilement plusieurs genres. Il manie l’horreur, avec un sentiment d’oppression et un stress permanent, mais parvient également à intégrer une bonne dose d’humour, toujours à propos et parfaitement cohérente avec cet univers de marionnettes déjantées. Une originalité qui transpire également dans le style graphique réussi, et le gameplay loufoque, bien qu’il soit parfois un peu frustrant. Si vous arrivez à passer outre les voix plus que désagréables des puppets, il y a de grandes chances pour que comme moi, vous appréciez l’expérience !

Vous avez du mal à vous y retrouver dans le catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à séparer le bon grain de l’ivraie.

Des bonnes démos du 9 au 16 octobre pour le Steam Néo Fest

Par : Estyaah
11 octobre 2023 à 09:01

Après notre petite liste des démos à éviter, voici celle des bonnes démos, ou de celle qu’on n’a pas pu tester, et qu’on met ici, dans le doute.


Les démos bien

Sorceress

Genre : Immersive sim / action

On en parlait il y quelques jours pour le lancement de son Kickstarter, Sorceress est un immersive sim orienté action, avec des mouvements très agréables et des combats bien dynamiques. Il est très inspiré de Dark Messiah of Might & Magic, et c’est cool.

Sorceress sur NoFrag // Steam

Été

Genre : Walking sim / peinture

Calme, onirique et très joli, Été ne s’adressera pas à tout le monde ici. Mais si derrière l’armure de plate, hérissée de pics sanglais, bat un petit cœur tout mou, vous pourriez être séduit. En plus, il est parfois involontairement comique, lorsque l’on crée des tableaux complètement cons.

Été sur NoFrag // Steam

Scroomage

Genre : rétro-PFS

Sans doute développé en collaboration avec un lobby secret d’ophtalmologistes, Scroomage propose un gameplay rapide, violent et gore, en noir, blanc et rouge – pour le sang. L’action est difficilement lisible, mais ça participe à son charme.

Scroomage sur Steam

The Gap

Genre : Walking sim

Un joli walking sim d’anticipation sur le thème de la mémoire. Sympa si on est sensible au sujet abordé.

The Gap sur NoFrag // Steam

While We Wait Here

Genre : Rétro walking sim

Est-ce ne notre faute si les bonnes démos ne proposent pas d’exploser ses adversaires à grands coups de fusil à pompe ? Bon, alors vous plaignez pas d’avoir encore un walking sim dans cette liste. En plus, dans While We Wait Here, vous pouvez confectionner des burgers tout secs et l’esthétique est inspirée de la PS One. L’histoire a l’air sympa.

While We Wait Here sur Steam


Les démos bof

Peripeteia

Genre : rétro FPS / immersive sim

Peripeteia est un projet très intriguant. C’est un immersive sim dans un univers post-apo chez les soviétiques, et dans lequel on est très libre de ce qu’on fait. Le jeu ne nous prend pas par la main. Par contre, le système d’inventaire est infernal et l’IA est complètement cassée.

Peripeteia sur NoFrag // Steam

REVEIL

Genre : Walking sim horrifique

Cette édition du Steam Néo Fest est, plus encore que les précédentes, bourrée de jeux d’horreur, d’une qualité plus que douteuse. On en a testé quand même un ou deux, dont REVEIL, qui a le bon goût d’être joli, de proposer des énigmes sympas et d’aborder des sujets légers, comme les violences infantiles. Mais ça reste un walking sim d’horreur classique.

REVEIL sur NoFrag // Steam


Les démos qui étaient dispos avant et dont on a déjà parlé alors on les refait pas, faites pas chier

The Talos Principle 2, ça a l’air bien : The Talos Principle 2 a sorti une démo

Soulslinger: Envoy of Death, c’est moyen : Soulslinger: Envoy of Death, un nouveau rogue-lite qui souffle le chaud et le froid

Wizordum, ça ne casse pas trois pattes à un canard, mais ça se laisse jouer : Wizordum sortira en accès anticipé le 15 novembre

RoboCop: Rogue City, les stutters ont été réglés, mais ça reste un nanard : Une démo pour RoboCop: Rogue City

Transience, très bien fini, prometteur, mais on se demande ce que vient faire le bullet time dans le jeu : Des nouvelles de Transience et une démo surprise


Les démos qu’on a pas testé, mais dont la jaquette a attiré notre attention

ELDRIMAR

Genre : Action-RPG

On en parlait cet été, ELDRIMAR est une sorte de Skyrim like avec des dégâts localisés, ce qui change de la tétrachiée de copies ratées que l’on a pu voir jusque là.

ELDRIMAR sur NoFrag // Steam

Zero Grounds

Genre : multijoueur

Sans doute une tentative de surf sur la vague de BattleBit Remastered, mais avec du zéro-G.

Zero Grounds sur Steam

Project Regolith

Genre : Puzzle-game en coop

Pourquoi pas ?

Project Regolith sur Steam

The Burst

Genre : VR

Clairement orienté action, le gameplay de The Burst a l’air pas mal. Par contre, c’est un peu laid.

The Burst sur NoFrag // Steam


La liste n’est évidemment pas exhaustive, n’hésitez pas à parler des démos qui vous ont plu en commentaires !

Des démos nulles du 9 au 16 octobre pour le Steam Néo Fest

Par : Stuka
11 octobre 2023 à 07:36

Quatre mois ce sont écoulés depuis le dernier Steam Néo Fest, alors c’est reparti pour un tour ! Parce que chez NoFrag, on est comme ça, on va d’abord parler de tous les trucs nazes.


Backrooms Break

Genre : Horreur / Rogue-lite

On vous en avait déjà parlé, et comme prévu, c’est plus un concept qu’un jeu. Les sensations de tir et les destructions des environnements sont sympathiques, mais pas plus de cinq minutes.

Backrooms Break sur NoFrag // Steam

Pine Harbor

Genre : Horreur

Un jeu d’horreur décevant, avec des armes en mousse et des monstres ridicules.

Pine Harbor sur NoFrag // Steam

UNITED 1944

Genre : Free-to-play PvP

Ce n’est pas aussi pourri qu’on le suspectait grâce à un gunfeel correct. Mais, soyez rassurés, c’est extrêmement ennuyeux.

UNITED 1944 sur NoFrag // Steam

Darkblade Ascent

Genre : Hack & Slash / Rogue-lite

Si vous aimez taper sur des squelettes moches avec une seconde d’input lag en jouant un personnage avec des chaussures en ciment, allez-y, Darkblade Ascent a été fait spécifiquement pour vous !

Darkblade Ascent sur Steam

Sentry

Genre : Tower Defense en co-op

Le peu d’espoir qu’on avait dans ce jeu s’est volatilisé après en avoir fait l’essai. Les armes sont des nerfs, les ennemis ne sont pas intéressants à affronter et le gameplay est aussi profond qu’un pédiluve.

Sentry sur NoFrag // Steam

Unawake

Genre : First person slasher

Un simulateur de clic gauche, avec des saccades et des doublages dégueulasses en prime. Magnifique.

Unawake sur Steam

Pneumata

Genre : Horreur

Le seul commentaire qu’a reçu Pneumata à la rédac’ est ceci : 🤮. En fait, il s’avère que c’est pas si nul, mais ne perdez pas votre temps là-dessus.

Pneumata sur NoFrag // Steam

Hellbreach: Vegas

Genre : Vagues de zombies

Tiens donc, c’est nul ! On ne s’y attendait tellement pas… Les ennemis ne réagissent à a vos tirs et c’est très moche, mais vous pouvez jouer en coop jusqu’à quatre ! La chance !

Hellbreach: Vegas sur NoFrag // Steam


La liste n’est évidemment pas exhaustive, n’hésitez pas à parler des démos qui vous ont déplu en commentaires !

Burning Lands, le Squad-like au Vietnam, publie une nouvelle vidéo de gameplay

Par : Stuka
10 octobre 2023 à 09:18

On vous en parle régulièrement depuis février dernier, Burning Lands est un Squad-like pendant la guerre du Vietnam. Les développeurs, Zero Hour Interactive, viennent de publier une nouvelle vidéo de gameplay de quatre minutes.

Le projet a toujours l’air aussi prometteur, malgré de sévères problèmes de performance, surtout considérant le petit nombre de joueurs semblant participer à l’affrontement présenté.

La campagne de financement Kickstarter est encore affichée comme « bientôt en ligne », mais en attendant, vous pouvez ajouter Burning Lands à votre liste de souhaits sur Steam.

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