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Aujourd’hui — 20 mai 2024Actualités numériques

La justice britannique autorise Julian Assange à faire appel de son extradition aux États-Unis

20 mai 2024 à 14:04
One more time
Des manifestants portant des banderoles Free Julian Assange

Julian Assange a « remporté une victoire », estiment ses défenseurs. Il a en tout cas obtenu un sursis dans sa lutte contre son extradition du Royaume-Uni, les juges de la Haute Cour de Londres lui ayant accordé l’autorisation de faire appel.

Fin mars, les deux juges de la Haute Cour de Londres avaient donné un délai à la justice états-unienne pour garantir que le fondateur de WikiLeaks bénéficierait, en cas d’extradition, de la protection due aux journalistes pour certaines des accusations le visant. Mais aussi de la protection accordée par le premier amendement.

Les (éventuelles) nouvelles assurances états-uniennes devaient être examinées par la Haute Cour de justice ce lundi 20 mai. Or, résume The Guardian, les avocats des États-Unis n’ont pas réussi à convaincre les juges que leur pays pourrait fournir à Julian Assange les garanties appropriées qu’il sera :

« autorisé à invoquer le premier amendement, que le requérant ne sera pas lésé lors du procès, y compris lors de la condamnation, en raison de sa nationalité, qu’il bénéficiera des mêmes protections du premier amendement qu’un citoyen américain, et que la peine de mort ne sera pas prononcée. »

Une « victoire » pour les défenseurs de Julian Assange

L’équipe de défense de Julian Assange n’a pas contesté l’assurance états-unienne qu’il ne risquait pas la peine de mort, reconnaissant qu’il s’agissait d’une « promesse non ambiguë de l’exécutif ». A contrario, la justice américaine a reconnu que Julian Assange pourrait se prévaloir du premier amendement, mais sans promettre qu’il pourrait en bénéficier, relève Le Monde.

La justice britannique n’ayant pas estimé que des garanties suffisantes avaient été apportées, Julian Assange pourra donc bénéficier d’une audience pour faire appel, sur le fond, de son extradition.

Stella Assange addressing the crowd following Monday's UK court hearing granting an appeal for Julian Assange: “Now is the moment to drop this case…this case is shameful and it is taking an enormous toll on Julian" #FreeAssangeNOW pic.twitter.com/CzT62FIghs

— WikiLeaks (@wikileaks) May 20, 2024

Les soutiens de WikiLeaks se sont succédé au micro, en ce début d’après-midi, pour célébrer ce qu’ils qualifient de « victoire ». Ils se félicitent que la Justice britannique refuse, elle aussi, de « croire » les assurances apportées par les USA.

« Trop, c’est trop » : l’Australie demande un abandon des charges

Ils appellent également Joe Biden, à l’instar d’une vingtaine d’ONG – dont Amnesty International, Human Rights Watch et RSF – à abandonner les poursuites visant le fondateur australien de WikiLeaks.

Le mois dernier, le président américain avait en effet indiqué que son administration avait accepté d’examiner la demande faite par l’Australie d’un abandon des poursuites contre son célèbre ressortissant.

Le Parlement australien avait adopté une motion demandant d’y mettre un terme. Le texte avance que « le gouvernement australien et l’opposition ont déclaré publiquement que cette affaire dure depuis trop longtemps », et « souligne l’importance pour le Royaume-Uni et les États-Unis de mettre un terme à cette affaire afin que M. Assange puisse rentrer chez lui dans son pays ».

« Cette affaire ne peut pas durer indéfiniment », avait déclaré le Premier ministre australien, Anthony Albanese, soulignant que les Australiens de tous bords sont d’accord pour dire que « trop c’est trop », et indiquant avoir soulevé le cas de M. Assange « au plus haut niveau » en Grande-Bretagne et aux États-Unis.

Enfermé depuis 12 ans, incarcéré depuis 5 ans

Si la justice britannique l’envoie finalement aux États-Unis, il lui restera un dernier recours : saisir la Cour européenne des droits de l’Homme. Celle-ci peut, en cas de « risque imminent de dommage irréparable », prononcer des « mesures provisoires », telle une suspension d’extradition, rappelle Libération.

Sous le coup de 18 chefs d’inculpation, dont 17 au titre de l’Espionage Act de 1917, Julian Assange encourt jusqu’à 175 ans de prison, et probablement « au moins 30 à 40 ans » d’après ses avocats. Les procureurs américains avaient de leur côté déclaré que ce ne serait « pas plus de 63 mois » [ndlr : 5 ans et 3 mois].

L’Australien de 52 ans, dont la santé (y compris psychique) n’a cessé de se détériorer ces dernières années, est enfermé depuis 12 ans : de 2012 à 2019 dans l’ambassade d’Équateur à Londres, où il s’était réfugié après avoir brisé le bracelet électronique qu’il devait porter depuis fin 2010, et dans la prison de haute sécurité de Belmarsh depuis cinq ans.

La justice britannique autorise Julian Assange à faire appel de son extradition aux États-Unis

20 mai 2024 à 14:04
One more time
Des manifestants portant des banderoles Free Julian Assange

Julian Assange a « remporté une victoire », estiment ses défenseurs. Il a en tout cas obtenu un sursis dans sa lutte contre son extradition du Royaume-Uni, les juges de la Haute Cour de Londres lui ayant accordé l’autorisation de faire appel.

Fin mars, les deux juges de la Haute Cour de Londres avaient donné un délai à la justice états-unienne pour garantir que le fondateur de WikiLeaks bénéficierait, en cas d’extradition, de la protection due aux journalistes pour certaines des accusations le visant. Mais aussi de la protection accordée par le premier amendement.

Les (éventuelles) nouvelles assurances états-uniennes devaient être examinées par la Haute Cour de justice ce lundi 20 mai. Or, résume The Guardian, les avocats des États-Unis n’ont pas réussi à convaincre les juges que leur pays pourrait fournir à Julian Assange les garanties appropriées qu’il sera :

« autorisé à invoquer le premier amendement, que le requérant ne sera pas lésé lors du procès, y compris lors de la condamnation, en raison de sa nationalité, qu’il bénéficiera des mêmes protections du premier amendement qu’un citoyen américain, et que la peine de mort ne sera pas prononcée. »

Une « victoire » pour les défenseurs de Julian Assange

L’équipe de défense de Julian Assange n’a pas contesté l’assurance états-unienne qu’il ne risquait pas la peine de mort, reconnaissant qu’il s’agissait d’une « promesse non ambiguë de l’exécutif ». A contrario, la justice américaine a reconnu que Julian Assange pourrait se prévaloir du premier amendement, mais sans promettre qu’il pourrait en bénéficier, relève Le Monde.

La justice britannique n’ayant pas estimé que des garanties suffisantes avaient été apportées, Julian Assange pourra donc bénéficier d’une audience pour faire appel, sur le fond, de son extradition.

Stella Assange addressing the crowd following Monday's UK court hearing granting an appeal for Julian Assange: “Now is the moment to drop this case…this case is shameful and it is taking an enormous toll on Julian" #FreeAssangeNOW pic.twitter.com/CzT62FIghs

— WikiLeaks (@wikileaks) May 20, 2024

Les soutiens de WikiLeaks se sont succédé au micro, en ce début d’après-midi, pour célébrer ce qu’ils qualifient de « victoire ». Ils se félicitent que la Justice britannique refuse, elle aussi, de « croire » les assurances apportées par les USA.

« Trop, c’est trop » : l’Australie demande un abandon des charges

Ils appellent également Joe Biden, à l’instar d’une vingtaine d’ONG – dont Amnesty International, Human Rights Watch et RSF – à abandonner les poursuites visant le fondateur australien de WikiLeaks.

Le mois dernier, le président américain avait en effet indiqué que son administration avait accepté d’examiner la demande faite par l’Australie d’un abandon des poursuites contre son célèbre ressortissant.

Le Parlement australien avait adopté une motion demandant d’y mettre un terme. Le texte avance que « le gouvernement australien et l’opposition ont déclaré publiquement que cette affaire dure depuis trop longtemps », et « souligne l’importance pour le Royaume-Uni et les États-Unis de mettre un terme à cette affaire afin que M. Assange puisse rentrer chez lui dans son pays ».

« Cette affaire ne peut pas durer indéfiniment », avait déclaré le Premier ministre australien, Anthony Albanese, soulignant que les Australiens de tous bords sont d’accord pour dire que « trop c’est trop », et indiquant avoir soulevé le cas de M. Assange « au plus haut niveau » en Grande-Bretagne et aux États-Unis.

Enfermé depuis 12 ans, incarcéré depuis 5 ans

Si la justice britannique l’envoie finalement aux États-Unis, il lui restera un dernier recours : saisir la Cour européenne des droits de l’Homme. Celle-ci peut, en cas de « risque imminent de dommage irréparable », prononcer des « mesures provisoires », telle une suspension d’extradition, rappelle Libération.

Sous le coup de 18 chefs d’inculpation, dont 17 au titre de l’Espionage Act de 1917, Julian Assange encourt jusqu’à 175 ans de prison, et probablement « au moins 30 à 40 ans » d’après ses avocats. Les procureurs américains avaient de leur côté déclaré que ce ne serait « pas plus de 63 mois » [ndlr : 5 ans et 3 mois].

L’Australien de 52 ans, dont la santé (y compris psychique) n’a cessé de se détériorer ces dernières années, est enfermé depuis 12 ans : de 2012 à 2019 dans l’ambassade d’Équateur à Londres, où il s’était réfugié après avoir brisé le bracelet électronique qu’il devait porter depuis fin 2010, et dans la prison de haute sécurité de Belmarsh depuis cinq ans.

Le nickel, un enjeu d’indépendance technologique en Nouvelle-Calédonie

20 mai 2024 à 13:12
Une archipelle pour des archipertes ?

L’histoire de la Nouvelle-Calédonie est liée au nickel depuis plus de 200 ans, et c’est encore le cas des émeutes récentes. Ce matériau stratégique est au cœur de la question de l’indépendance technologique, auxquels il faut ajouter les enjeux économiques de l’archipel dont les exportations de nickel sont la principale source de revenus.

En Nouvelle-Calédonie, la situation est loin d’être apaisée et les émeutes continuent depuis la semaine dernière, avec un bilan de six morts pour le moment. L’état d’urgence a été décrété, TikTok banni dans la foulée ; une décision attaquée en justice par la Quadrature du Net et la Ligue des droits de l’Homme. L’archipel est aussi au cœur d’une guerre des temps moderne sur le nickel, un matériau stratégique utilisé pour les batteries des véhicules électriques et dans des aciers inoxydables.

« L’histoire de la Nouvelle-Calédonie se confond avec celle du nickel », explique (.pdf) la Maison de la Nouvelle-Calédonie à Paris. Cette dernière a été créée en 1998 suite à la signature des accords de Matignon-Oudinot. « Elle représente les intérêts des institutions politiques de Nouvelle-Calédonie (gouvernement, Congrès et les 3 provinces) et suit les dossiers administratifs et institutionnels qui lui sont confiés », ajoute-t-elle sur son site.

Petit point historique : « Lorsqu’il découvre, en 1774, cette terre qui lui rappelle son Écosse natale, James Cook pressent déjà la présence de richesses souterraines. L’un des membres de son expédition, John Foster, sait qu’Axel Frederik Cronstedt a trouvé, trois ans auparavant en Suède, un sulfure de nickel. Il observe le sol et note, dans son carnet de voyage, que “l’île recèle les veines métalliques les plus riches”. Mais ce n’est qu’en 1864 que l’ingénieur Jules Garnier repère véritablement du silicate de nickel dans le sud-ouest de la Grande Terre ».

Ressources vs réserves

Pour en revenir à nos moutons, la Maison de la Nouvelle-Calédonie à Paris explique que « Nouvelle-Calédonie possède environ 25 % des ressources mondiales de nickel, mais elle ne détient que 9 % des réserves planétaires, au même niveau que l’Indonésie et l’Afrique du Sud ». Pour autant, la situation est loin d’être la même avec ses concurrents, notamment l’Indonésie, soutenue par la Chine.

Pause sémantique. Les ressources correspondent aux valeurs calculées par les géologues et les scientifiques, c’est un tonnage théorique. Les réserves sont les « amas minéralisés jugés exploitables tant au niveau technique qu’économique ». Les réserves sont ainsi les ressources exploitables à un instant T.

L’Indonésie explose les compteurs, la Nouvelle-Calédonie en 3e ou 4e place


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Farewell Intel Xeon Phi: Support Removed In The GCC 15 Compiler

20 mai 2024 à 13:40
Last week I wrote about Intel aiming to remove Xeon Phi support in GCC 15 with the products being end-of-life and deprecated in GCC 14. While some openly wondered whether the open-source community would allow it given the Xeon Phi accelerators were available to buy just a few years ago and at some very low prices going back years so some potentially finding use still out of them especially during this AI boom (and still readily available to buy used for around ~$50 USD), today the Intel Xeon Phi support was indeed removed...

AMDGPU ISP Firmware Upstreamed In linux-firmware.git

20 mai 2024 à 12:36
It was just earlier this month that AMD Linux kernel graphics driver patches appeared for introducing a new ISP hardware block for Image Signal Processing with new AMD APUs. Already the AMDGPU ISP firmware has appeared in linux-firmware.git indicating that this "ISP" block may be coming in hardware quite soon if not already quietly found within some products...

Julian Assange Wins High Court Victory in Case Against Extradition To US

Par : msmash
20 mai 2024 à 11:59
Julian Assange has won a victory in his ongoing battle against extradition from the UK after judges at the high court in London granted him leave to appeal. From a report: Two judges deferred a decision in March on whether Assange, who is trying to avoid being prosecuted in the US on espionage charges relating to the publication of thousands of classified and diplomatic documents, could take his case to another appeal hearing. Assange had been granted permission to appeal only if the Biden administration was unable to provide the court with suitable assurances "that the applicant [Assange] is permitted to rely on the first amendment, that the applicant is not prejudiced at trial, including sentence, by reason of his nationality, that he is afforded the same first amendment [free speech] protections as a United States citizen, and that the death penalty is not imposed." Legal argument on Monday focused on the issue of whether Assange would be allowed first amendment protections. Assange's team did not contest the assurance around the death penalty, accepting that it was an "unambiguous executive promise." Assange has been indicted on 17 espionage charges and one charge of computer misuse, exposing him to a maximum 175 years in prison, over his website's publication of a trove of classified US documents almost 15 years ago.

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Police Found Ways to Use Facial Recognition Tech After Their Cities Banned It

Par : EditorDavid
20 mai 2024 à 11:34
An anonymous reader shared this report from the Washington Post: As cities and states push to restrict the use of facial recognition technologies, some police departments have quietly found a way to keep using the controversial tools: asking for help from other law enforcement agencies that still have access. Officers in Austin and San Francisco — two of the largest cities where police are banned from using the technology — have repeatedly asked police in neighboring towns to run photos of criminal suspects through their facial recognition programs, according to a Washington Post review of police documents... Austin police officers received the results of at least 13 face searches from a neighboring police department since the city's 2020 ban — and appeared to get hits on some of them, according to documents obtained by The Post through public records requests and sources who shared them on the condition of anonymity. "That's him! Thank you very much," one Austin police officer wrote in response to an array of photos sent to him by an officer in Leander, Tex., who ran a facial recognition search, documents show. The man displayed in the pictures, John Curry Jr., was later charged with aggravated assault for allegedly charging toward someone with a knife, and is currently in jail awaiting trial. Curry's attorney declined to comment. "Police officers' efforts to skirt these bans have not been previously reported and highlight the challenge of reining in police use of facial recognition," the article concludes. It also points out that the technology "has played a role in the wrongful arrests of at least seven innocent Americans," according to the lawsuits they filed after charges against them were dismissed.

Read more of this story at Slashdot.

☕️ Blue Origin envoie six astronautes dans l’espace

20 mai 2024 à 09:47

Ce week-end, la société fondée par Jeff Bezos a envoyé sa septième fournée d’astronautes dans l’espace. Il s’agit pour rappel d’un vol suborbital de quelques minutes au total, avec six personnes à bord.

La société met en avant l’histoire de l’un d’entre eux – Ed Dwight – qui avait « été sélectionné par le président John F. Kennedy en 1961 comme le premier candidat astronaute noir du pays, mais n’a jamais eu l’occasion de voler ».

La capsule est venue se poser sur la terre ferme à l’aide de ses parachutes, tandis que le corps principal de la fusée (le premier et seul étage) est revenu se poser en douceur sur sa base de lancement.

Comme son nom l’indique, NS-25 (NS pour New Shepard) était la 25ᵉ mission de Blue Origin. Cela faisait près de deux ans que la société n’avait pas envoyé d’humains dans l’espace. La dernière fois, c’était en août 2022.

Entre temps, la mission NS-23 était un échec avec la perte du lanceur lors du décollage. La capsule avait activé son système de sécurité et était venue se poser sur la terre ferme sans dommage. En décembre 2023, NS-24 n’avait pas d’équipage à bord.

☕️ Blue Origin envoie six astronautes dans l’espace

20 mai 2024 à 09:47

Ce week-end, la société fondée par Jeff Bezos a envoyé sa septième fournée d’astronautes dans l’espace. Il s’agit pour rappel d’un vol suborbital de quelques minutes au total, avec six personnes à bord.

La société met en avant l’histoire de l’un d’entre eux – Ed Dwight – qui avait « été sélectionné par le président John F. Kennedy en 1961 comme le premier candidat astronaute noir du pays, mais n’a jamais eu l’occasion de voler ».

La capsule est venue se poser sur la terre ferme à l’aide de ses parachutes, tandis que le corps principal de la fusée (le premier et seul étage) est revenu se poser en douceur sur sa base de lancement.

Comme son nom l’indique, NS-25 (NS pour New Shepard) était la 25ᵉ mission de Blue Origin. Cela faisait près de deux ans que la société n’avait pas envoyé d’humains dans l’espace. La dernière fois, c’était en août 2022.

Entre temps, la mission NS-23 était un échec avec la perte du lanceur lors du décollage. La capsule avait activé son système de sécurité et était venue se poser sur la terre ferme sans dommage. En décembre 2023, NS-24 n’avait pas d’équipage à bord.

SONY pourrait ne pas vouloir laisser le marché des consoles portables à MSI, ASUS et Lenovo

20 mai 2024 à 10:19

Avant, mais pas avant avant, nous avions uniquement la Nintendo Switch pour jouer de façon nomade. Mais Valve est passé par là avec la Steam Deck, puis d'autres ont suivi, comme MSI, Lenovo ou encore ASUS avec sa ROG Ally. Mais SONY pourrait bien ne pas vouloir laisser les autres prendre toutes les parts du gâteau du Gaming nomade, surtout que le géant japonais détient un catalogue de jeux énorme. […]

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FALLOUT chez Cowcotland avec le noblechairs HERO !!!

20 mai 2024 à 09:34

On vous propose ce matin une petite vidéo pour le plaisir, qui porte sur le siège Gaming noblechairs HERO Fallout Edition. Un siège qui est aux couleurs de la licence de Bethesda et qui s'offre des broderies qui sont, tout simplement, à tomber par terre. Sachez que nous vous proposons prochainement un concours pour gagner ce modèle. Enjoy et bon lundi à toutes et à tous. […]

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AYANEO AG01 : un dock Radeon OCuLink au design spatial

20 mai 2024 à 11:02

Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com

Prenez un dock GPD DG1 de novembre 2023, décorez le d’un châssis très inspiré par des voyages spatiaux comme on les imagine dans les séries de Science Fiction et vous aurez le AYANEO AG01.

Sur le fond rien ne change vraiment entre ce modèle signé AYA et celui de GPD. A bord des deux docks on retrouve le même circuit mobile AMD Radeon RX 7600M XT. Une puce également employée dans le Oneplayer OneXGPU et qui semble être la plus prisée par ces constructeurs pour des raisons de disponibilité et de tarif.

On retrouvera ici deux finitions avec des coloris différents. La première en nuances de gris et la seconde en rouge et gris sombre. Toutes deux décorées d’un système de LEDs RVB. A l’intérieur le même circuit Radeon piloté par une solution RDNA 3 avec pas moins de 32 CU et 8 Go de mémoire dédiée très rapide GDDR6. La puce RX 7600 XT fonctionnera à 2.3 GHz pour un TGP de 120 watts qui appellera à un refroidissement évidemment actif. 

Point intéressant de cette offre, la possibilité de monter un SSD M.2 2280 « Non documenté » à l’intérieur. On ne sait pas si il sera au – probable – format NVMe ou en SATA3. La connectique vers un se fera via un port OCuLink et le dock proposera également une connectique USB4. Quatre ports vidéo seront proposés avec deux DisplayPort 2.0 et deux HDMI 2.1. Un port USB 3.2 Gen 2 Type-A permettra de connecter un accessoire supplémentaire au dock et un port Ethernet non documenté sera également de la partie.

Il est malheureusement très difficile de savoir quelles sont les dimensions de l’objet même si la ribambelle de ports assez espacés de la connectique laissent entrevoir un objet assez conséquent. Impossible également de savoir la taille du bloc d’alimentation nécessaire à l’ensemble. Pour le moment, il ne s’agit que de rendus 3D sans date ni tarif annoncés.

Le constructeur annonce toutefois que ce AYANEO AG01 est le premier vaisseau de son genre ce qui laisse penser que d’autres versions pourraient apparaitrent dans le futur.

AYANEO AG01 : un dock Radeon OCuLink au design spatial © MiniMachines.net. 2024.

AYANEO AM01S : un MiniPC Ryzen 8040HS un peu moins bête

20 mai 2024 à 10:31

Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com

Le AYANEO AM01S vient d’être annoncé et fait passer les acheteurs du AYANEO AM01 pour des bêta testeurs du concept initial.

Ce AM01 lancé en fin d’année dernière avec un design supposant une mise à la verticale du boitier pour qu’il ressemble à un Macintosh était quelque peu étrange. Tout simplement parce que cette mise à la verticale supposait l’impossibilité de pouvoir utiliser la machine. Livré alors sous Ryzen 3 3200U ou Ryzen 7 5700U puis sous 5800U, le AYANEO AM01 se présentait alors comme un produit milieu ou entrée de gamme assez classique.

Le AYANEO AM01S change quelques détails à la proposition de base. Le premier étant certainement l’apparition d’un écran monté sur une petite charnière pour le rendre lisible même à plat. Ce qui est un peu plus réussi puisque le MiniPC ne cherche plus a imiter un Macintosh mais plutôt une pseudo imprimante Apple type LaserWriter ou autre. La présence du logo « Hello » d’Apple en plus du petit arc-en-ciel de sa pomme finissent de rappeler la marque. Je trouve la blague plus réussie, poser une pseudo mini imprimante sur son bureau avec ce petit écran secondaire est assez drôle.

A l’intérieur de ce MiniPC les choses évoluent également puisqu’on découvrira deux puces : un Ryzen 7 8845HS et un Ryzen 9 8945HS. Des solutions clairement plus musclées sous Zen4 et RDNA3 puissantes et offrant de plus grandes perspectives. On devrait retrouver à l’intérieur deux slots SODIMM DDR5 pour embarquer jusqu’à 64 Go de mémoire vive et probablement deux stockages sur port M.2 2280 en NVMe et/ou SATA3.

Difficile de savoir si cet écran intégré sera réellement piloté par le système comme un affichage primaire ou secondaire. Avec la possibilité de l’utiliser pour afficher des éléments en provenance du PC ou si il sera seulement capable de piloter des éléments internes comme la température du processeur, la mémoire vive embarquée et autres informations du genre.

La connectique est assez large et distribuée de manière assez confidentielle pour respecter le design particulier de l’engin. En face avant – par rapport à l’écran rabattable – on retrouvera des ports cachés par une bande plastique amovible. Pas moins de quatre ports « blancs » qui sont censés être des ports USB 2.0 mais qui peuvent être d’autres formats ainsi qu’un jack audio combo 3.5 mm.

 

A l’arrière on note deux ports USB « noir » qui pourraient être des USB 3.x. deux USB4 au format Type-C, deux HDMI,  et deux Ethernet 2.5 Gigabit. A noter le choix d’une extraction d’air avec ailettes sous la connectique et donc un probable barrage de l’air chaux par les câbles si l’on n’y prête pas attention.

Pas plus d’infos pour le moment.

AYANEO AM01S : un MiniPC Ryzen 8040HS un peu moins bête © MiniMachines.net. 2024.

Ubuntu 24.10 : destination Wayland et chiffrement intégral du disque

20 mai 2024 à 09:17
Une histoire de piaf et de prophétie
Fond d'écran par défaut d'Ubuntu 24.04

Dans sa dernière communication, l’équipe de développement d’Ubuntu a donné plusieurs informations importantes sur la prochaine version de la distribution Linux. La mouture 24.10 devrait être nettement plus riche en nouveautés que la 24.04 LTS du mois dernier.

Ubuntu 24.04, alias Noble Numbat, n’était pas dénuée d’apports. Mais on ne peut pas dire qu’elle ait révolutionné l’informatique, ce qui convient d’ailleurs à une bonne part des utilisateurs. Il s’agissait en fait d’un contexte particulier : l’activation par défaut des framepointers et d’autres éléments, ainsi que le gros problème de sécurité engendré par l’affaire XZ Utils ont entrainé une révision des plans et une compilation de toute la distribution.

Le temps « perdu » a limité le nombre de nouveautés à inclure dans la bêta publique, qui ne dure que deux ou trois semaines. Les plans pour Ubuntu 24.10 – qui s’appellera Oracular Oriole – sont de rattraper le retard et de lisser les nouveautés introduites dans Noble Nombat. Des apports significatifs sont prévus.

Chiffrement intégral du disque et Wayland

Canonical compte réactiver la télémétrie sur les problèmes de configuration rencontrés sur les périphériques. La société ambitionne en effet d’utiliser par défaut le chiffrement intégral du disque basé sur la puce TPM. L’annonce fait étrangement suite à celle de Microsoft, qui s’avance dans la même direction.

Ce retour d’informations interviendra dès l’installation du système. L’installeur, intégralement revu pour Ubuntu 23.10 et amélioré dans la version 24.04 LTS, sera donc à nouveau renforcé. Les informations captées devraient aider Canonical à mieux cerner certains soucis techniques, notamment ceux liés aux pilotes NVIDIA.

L’éditeur compte ainsi préparer le terrain au chiffrement intégral du disque (qui n’interviendra peut-être pas dans la prochaine version) et activer par défaut Wayland pour les possesseurs de GPU NVIDIA.

« Il y a encore quelques problèmes connus avec cette combinaison et en raison de la forte utilisation d’Ubuntu Desktop dans l’IA/ML, VFX et d’autres industries, nous avons conclu qu’il était trop tôt pour faire ce changement dans Ubuntu 24.04 LTS », ajoute Canonical.

L’activation par défaut va, là aussi, permettre la remontée d’informations. L’éditeur évoque une liste de problèmes réduite, qui devrait permettre la même activation par défaut dans Ubuntu 26.04, la prochaine édition LTS du système. Avec Ubuntu 24.10, Wayland devrait donc être actif sur la totalité des configurations, l’ancien serveur graphique X restant disponible en solution de secours.

De multiples autres nouveautés

GNOME 47 sera de la partie. Sa version finale devrait être prête quelques semaines avant la publication de la bêta d’Ubuntu 24.10. Canonical va d’ailleurs profiter de l’intégration renforcée de Wayland dans GNOME à cette occasion.

L’assistant de bienvenue va également être révisé. Canonical poursuit son travail de réécriture pour ses applications intégrées en les passant à la moulinette Flutter. L’assistant va donc être remanié en tenant compte des changements intervenus dans l’installeur, pour donner une continuité dans l’expérience utilisateur. De nouvelles fonctions doivent y être ajoutées, dont la création de comptes utilisateurs.

Puisque l’on parle de Flutter, Canonical ajoute que le travail de migration de GTK3 vers GTK4 continue. Les bénéfices attendus sont de meilleures performances ainsi qu’une prise en charge améliorée de l’accessibilité. Sur ce dernier point, rappelons que l’un des apports d’Ubuntu 24.04 est la possibilité d’activer les options d’accessibilité dès le début du processus d’installation.

Le Centre d’applications sera enrichi lui aussi. La découverte sera facilitée sur un plus grand nombre de catégories. On y trouvera aussi le support des installations tierces de paquets DEB. Enfin, une amélioration est prévue pour les messages de mises à jour pour les snap en cours d’exécution.

Version immuable et embauches massives

Enfin, deux nouvelles d’importance. D’abord, le travail continue sur Ubuntu Core Desktop, la première version immuable du système pour les machines de bureau.

Ensuite, Canonical va embaucher. Dans l’année qui vient, l’entreprise compte faire grandir l’équipe Ubuntu Desktop « d’au moins 50 % ». « Si vous avez la passion et les compétences nécessaires pour être à la pointe de la performance, de la sécurité, de l’immuabilité et de l’accessibilité, alors nous voulons vous connaître », indique l’entreprise.

Ubuntu 24.10 : destination Wayland et chiffrement intégral du disque

20 mai 2024 à 09:17
Une histoire de piaf et de prophétie
Fond d'écran par défaut d'Ubuntu 24.04

Dans sa dernière communication, l’équipe de développement d’Ubuntu a donné plusieurs informations importantes sur la prochaine version de la distribution Linux. La mouture 24.10 devrait être nettement plus riche en nouveautés que la 24.04 LTS du mois dernier.

Ubuntu 24.04, alias Noble Numbat, n’était pas dénuée d’apports. Mais on ne peut pas dire qu’elle ait révolutionné l’informatique, ce qui convient d’ailleurs à une bonne part des utilisateurs. Il s’agissait en fait d’un contexte particulier : l’activation par défaut des framepointers et d’autres éléments, ainsi que le gros problème de sécurité engendré par l’affaire XZ Utils ont entrainé une révision des plans et une compilation de toute la distribution.

Le temps « perdu » a limité le nombre de nouveautés à inclure dans la bêta publique, qui ne dure que deux ou trois semaines. Les plans pour Ubuntu 24.10 – qui s’appellera Oracular Oriole – sont de rattraper le retard et de lisser les nouveautés introduites dans Noble Nombat. Des apports significatifs sont prévus.

Chiffrement intégral du disque et Wayland

Canonical compte réactiver la télémétrie sur les problèmes de configuration rencontrés sur les périphériques. La société ambitionne en effet d’utiliser par défaut le chiffrement intégral du disque basé sur la puce TPM. L’annonce fait étrangement suite à celle de Microsoft, qui s’avance dans la même direction.

Ce retour d’informations interviendra dès l’installation du système. L’installeur, intégralement revu pour Ubuntu 23.10 et amélioré dans la version 24.04 LTS, sera donc à nouveau renforcé. Les informations captées devraient aider Canonical à mieux cerner certains soucis techniques, notamment ceux liés aux pilotes NVIDIA.

L’éditeur compte ainsi préparer le terrain au chiffrement intégral du disque (qui n’interviendra peut-être pas dans la prochaine version) et activer par défaut Wayland pour les possesseurs de GPU NVIDIA.

« Il y a encore quelques problèmes connus avec cette combinaison et en raison de la forte utilisation d’Ubuntu Desktop dans l’IA/ML, VFX et d’autres industries, nous avons conclu qu’il était trop tôt pour faire ce changement dans Ubuntu 24.04 LTS », ajoute Canonical.

L’activation par défaut va, là aussi, permettre la remontée d’informations. L’éditeur évoque une liste de problèmes réduite, qui devrait permettre la même activation par défaut dans Ubuntu 26.04, la prochaine édition LTS du système. Avec Ubuntu 24.10, Wayland devrait donc être actif sur la totalité des configurations, l’ancien serveur graphique X restant disponible en solution de secours.

De multiples autres nouveautés

GNOME 47 sera de la partie. Sa version finale devrait être prête quelques semaines avant la publication de la bêta d’Ubuntu 24.10. Canonical va d’ailleurs profiter de l’intégration renforcée de Wayland dans GNOME à cette occasion.

L’assistant de bienvenue va également être révisé. Canonical poursuit son travail de réécriture pour ses applications intégrées en les passant à la moulinette Flutter. L’assistant va donc être remanié en tenant compte des changements intervenus dans l’installeur, pour donner une continuité dans l’expérience utilisateur. De nouvelles fonctions doivent y être ajoutées, dont la création de comptes utilisateurs.

Puisque l’on parle de Flutter, Canonical ajoute que le travail de migration de GTK3 vers GTK4 continue. Les bénéfices attendus sont de meilleures performances ainsi qu’une prise en charge améliorée de l’accessibilité. Sur ce dernier point, rappelons que l’un des apports d’Ubuntu 24.04 est la possibilité d’activer les options d’accessibilité dès le début du processus d’installation.

Le Centre d’applications sera enrichi lui aussi. La découverte sera facilitée sur un plus grand nombre de catégories. On y trouvera aussi le support des installations tierces de paquets DEB. Enfin, une amélioration est prévue pour les messages de mises à jour pour les snap en cours d’exécution.

Version immuable et embauches massives

Enfin, deux nouvelles d’importance. D’abord, le travail continue sur Ubuntu Core Desktop, la première version immuable du système pour les machines de bureau.

Ensuite, Canonical va embaucher. Dans l’année qui vient, l’entreprise compte faire grandir l’équipe Ubuntu Desktop « d’au moins 50 % ». « Si vous avez la passion et les compétences nécessaires pour être à la pointe de la performance, de la sécurité, de l’immuabilité et de l’accessibilité, alors nous voulons vous connaître », indique l’entreprise.

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