Fired Employee Accessed NCS' Computer 'Test System' and Deleted Servers
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With the highly integrated nature of PCs these days, the Mini-ITX form-factor has become a very viable option for high-performance gaming system. With plenty of motherboards available for both AMD and Intel's latest platforms, equipping an ITX system with a CPU is easy enough. But the small size of the form factor means that housing an ultra-wide flagship-level graphics card remains an issue. For this year's Computex trade show, Antec was showing off their solution to the problem of giant video cards: the Performance 1M case, a Mini-ITX case with a separate chamber just for a large video card.
Antec's Performance 1M is a dual-chamber Mini-ITX chassis that splits off the video card from the rest of the system. The primary chamber houses a Mini-ITX motherboard and an SFX power supply, while the secondary chamber houses a huge graphics card. Notably, the two chambers are bridged using a PCIe riser cable, allowing the motherboard chamber to be far shorter than even a half-height PCIe card, while the video card chamber can hold a triple-slot video card parallel to the motherboard chamber, cutting down on wasted space. For Antec's Computex demo, the company had a triple-slot ASUS GeForce RTX 4090 installed to showcase how this worked.
Antec's decision to allocate most of the case's volume to th video card chamber does come with a slight catch, however: it doesn't leave much space for a CPU cooler in the motherboard chamber. The short motherboard chamber means that system builders will have to use a low-profile cooler; these are readily available, but it does leave less thermal headroom overall for high-end CPUs. So there are still trade-offs for being able to accommodate a high-end video card.
Otherwise, the Performance 1M chassis from Antec look very stylish and are traditionally well built from stainless steel and aluminum. The chassis can be equipped with two 120-mm or two 140-mm coolers for extra airflow (which will help performance), one 2.5-inch SATA SSD, and even some RGB bling. To make the PC built inside a Performance 1M case more convenient to use, there are two USB Type-C ports on the front.
Of course, housing a GeForce RTX 4090 graphics card in a Mini-ITX chassis has its peculiarities when it comes to dimensions and Antec's Performance 1M measures 424×175×260mm, which is pretty large. On the other hand, for an ultra-high-performance gaming system, this is pretty compact.
Antec's Performance 1M Mini-ITX chassis will be available in gunmetal gray and matte black colors sometimes later this year. Pricing is something that the company is thinking about now, though keep in mind that we are talking about unique premium products.
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Pas plus tard que ce matin, nous vous causions d’un prototype en immersion cooling de chez Thermaltake qui ne risquait pas d’arriver de sitôt sur nos étals. Dans le même genre, la création d’ASUS n’est pas mal non plus. Dans la plus pure lignée de la mode consistant à mettre des écrans secondaires u...
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Chères lectrices, chers lecteurs,
À l’heure où toutes nos certitudes se dissolvent dans l’absurde, quoi de mieux qu’une ouverture du poing dev en toute sobriété pour une fois ? Nous le savons, nous, l’équipe de dev, sommes un des derniers bastions de stabilité dans ce monde qui se retourne.
Déjà importants hier, nous voilà devenus indispensables aujourd’hui.
Contrairement à ce qui est inscrit sur la façade, le poing dev est un havre de paix et d’amour, et surtout, de profondeur d’analyse.
Mettez-vous à l’aise, faites comme chez vous, ô visiteurs venus de contrées lointaines en TCP/IP.
J’en suis désolé par avance, mais sur ce billet, nous allons causer politique.
Next, c’est un peu une petite cité.
Nous avons nos petites citoyennes et nos petits citoyens – vous – ceux qui versent consciencieusement leur eisphora (et qu’on aime en secret), ceux qui usent le pavé sans drachme débourser (et qu’on aime aussi, dans le secret espoir que ce soit un jour réciproque).
Et tous ces petits citoyens donc, ils doivent pouvoir s’exprimer.
Mettons qu’on dise que ce serait dans une Agora. Tiens !
Cette réflexion profonde et complètement unique dans l’histoire de l’humanité nous a amené à travailler la partie dans laquelle vous étalez vos idées comme de la confiture, vos peines et vos joies, parfois votre bile aussi.
Pour commencer, nous avons ajouté une fonction qui vous permet de héler une comparse ou un congénère depuis votre commentaire (usage déconseillé avec con vénère, par contre).
Selon la syntaxe maintenant consacrée (je vous propose d’arrêter ici les jeux de mots stériles), en tapant « @ » vous allez maintenant voir une petite liste en autocomplétion apparaître, triée selon la fame du moment, et d’avertir la cible au moyen d’une petite notification bien méritée.
Coolos non ?
Vous allez pouvoir vous arroser d’interjections en tous genres, ou simplement poster un max pour remonter dans cette liste.
Être en haut de cette liste-là, c’est un gage de sérieux et de qualité pour vous, qui augmentera votre employabilité de 23 %, et votre taux de dates réussis de 31 %.
C’est pas rien, tout ça grâce à Next et à son abonnement au prix exceptionnel de 7 euros 99 et un centime (notez ici l’innovation marketing majeure pour allier prix psychologique et rentabilité).
Chose inutile mais toutefois bien pratique, vous pouvez vous auto-alpaguer, et dévoiler votre vie intime comme jamais, à la manière des usages de l’époque.
@monpseudo : n’oublie pas d’acheter le café, et d’aller chercher Kevin au Judo à 19h.
Et paf, une petite notification.
Tiens, d’ailleurs, le saviez-vous ?
Il existe une association pour sauver les Kevin.
Si des Kevin nous lisent, n’hésitez pas à vous rapprocher des vôtres, ils ont l’air cools comme Kevin.
À toutes fins utiles, la Kevinophobie n’a pas sa place ici, on nous a avertis que le ban serait immédiat en cas de débordement en commentaires.
On s’égare un peu, aussi, passons à la deuxième feature de dingo.
Vous pouvez maintenant suivre quelqu’un.
Alors, pas dans la rue, ça ne se fait pas, mais sur Next, c’est possible depuis la page profil de l’objet de votre fascination, et c’est socialement toléré.
Si vous avez un faible pour tout ce que raconte José, vous le suivez, et dès que José il parle d’escargots – la passion à José – et bien vous avez l’info en notif et en direct.
C’est révolutionnaire, et presque pas creepy du tout.
D’ailleurs, bon à savoir, Next est un site bien connu pour les amateurs d’escargots, si vous ne lisez pas la dernière découverte gastéropode de José ici, vous ne l’aurez nulle part ailleurs.
Mine de rien, c’est une pierre de plus dans notre jardin.
Vous allez nous dire que c’est un peu half-ass, ce développement.
Que c’est cool, mais que du coup le centre de notifs est un peu surchargé de notifs, qu’il manque une vue adaptée, un truc vraiment digne de s’appeler une Agora par exemple, et que décidément, Next c’était mieux avant.
Nonobstant l’alliance inhabituelle d’anglicismes désagréables et d’esprit chagrin bien français, vous n’avez pas complètement tort.
On va y travailler dur, du côté des bonnes nouvelles, nous avons en tête des idées absolument chouettes.
Petit bémol, cela risque de prendre un peu de temps, n’est pas Zuck qui veut après tout.
Troisième feature, maintes fois annoncée, et maintenant prodée, @Ness_01 est maintenant à l’œuvre pour détecter les propos les plus lourds émanant de vos doigts gourds dans un bruit sourd.
Si vous dépassez la ligne, Ness_01 poucave direct à un modérateur humain, qui décidera au pif coké si ça passe ou pas.
La méthode pourra être perfectionnée plus tard dès que nos guidelines de modération seront plus précises et établies (ou qu’on sera à court de coke).
C’est de l’humour naturellement, @Ness_01 ne laisse passer que des cookies par le petit soupirail.
Mais c’est très bon les cookies, et elle nous aime très fort. C’est vraiment une chic IA.
Tout ceci n’est qu’une V1, et on va peut-être se fendre d’un petit billet technique d’explications un jour, histoire de satisfaire vos désirs toujours plus grands de connaissance et de transparence.
D’ailleurs, si on devient tous parfaitement transparents, qu’on ne se voit plus du tout, est-ce que ça reste réellement intéressant comme société ? Vous avez deux heures, et oui, pour la question du fond à droite près du radiateur, on peut quand même s’entendre ou s’écrire. Juste on ne se voit plus.
Entre deux débats philosophiques majeurs, nous avons aussi réglé de vilains insectes à droite à gauche, et revus de petits détails graphiques.
Également à souligner, la petite notif au clic sur « Offrir un article » est beaucoup plus claire, pour que votre générosité éclate enfin au grand jour, au vu et au sus de tous.
Il est maintenant de nouveau possible de signaler une erreur depuis votre lit (ou depuis ailleurs, d’ailleurs, tant que vous avez un téléphone mobile).
Bon, c’est possible qu’il reste des bestioles à droite à gauche, mais pas de panique, il nous reste quelques bidons de Fly-tox.
On continue notre mission divine, accrochez-vous à vos chaises roulantes, lectrices et lecteurs de nos cœurs, ça va continuer à swinguer sec.
Next vaincra
Chères lectrices, chers lecteurs,
À l’heure où toutes nos certitudes se dissolvent dans l’absurde, quoi de mieux qu’une ouverture du poing dev en toute sobriété pour une fois ? Nous le savons, nous, l’équipe de dev, sommes un des derniers bastions de stabilité dans ce monde qui se retourne.
Déjà importants hier, nous voilà devenus indispensables aujourd’hui.
Contrairement à ce qui est inscrit sur la façade, le poing dev est un havre de paix et d’amour, et surtout, de profondeur d’analyse.
Mettez-vous à l’aise, faites comme chez vous, ô visiteurs venus de contrées lointaines en TCP/IP.
J’en suis désolé par avance, mais sur ce billet, nous allons causer politique.
Next, c’est un peu une petite cité.
Nous avons nos petites citoyennes et nos petits citoyens – vous – ceux qui versent consciencieusement leur eisphora (et qu’on aime en secret), ceux qui usent le pavé sans drachme débourser (et qu’on aime aussi, dans le secret espoir que ce soit un jour réciproque).
Et tous ces petits citoyens donc, ils doivent pouvoir s’exprimer.
Mettons qu’on dise que ce serait dans une Agora. Tiens !
Cette réflexion profonde et complètement unique dans l’histoire de l’humanité nous a amené à travailler la partie dans laquelle vous étalez vos idées comme de la confiture, vos peines et vos joies, parfois votre bile aussi.
Pour commencer, nous avons ajouté une fonction qui vous permet de héler une comparse ou un congénère depuis votre commentaire (usage déconseillé avec con vénère, par contre).
Selon la syntaxe maintenant consacrée (je vous propose d’arrêter ici les jeux de mots stériles), en tapant « @ » vous allez maintenant voir une petite liste en autocomplétion apparaître, triée selon la fame du moment, et d’avertir la cible au moyen d’une petite notification bien méritée.
Coolos non ?
Vous allez pouvoir vous arroser d’interjections en tous genres, ou simplement poster un max pour remonter dans cette liste.
Être en haut de cette liste-là, c’est un gage de sérieux et de qualité pour vous, qui augmentera votre employabilité de 23 %, et votre taux de dates réussis de 31 %.
C’est pas rien, tout ça grâce à Next et à son abonnement au prix exceptionnel de 7 euros 99 et un centime (notez ici l’innovation marketing majeure pour allier prix psychologique et rentabilité).
Chose inutile mais toutefois bien pratique, vous pouvez vous auto-alpaguer, et dévoiler votre vie intime comme jamais, à la manière des usages de l’époque.
@monpseudo : n’oublie pas d’acheter le café, et d’aller chercher Kevin au Judo à 19h.
Et paf, une petite notification.
Tiens, d’ailleurs, le saviez-vous ?
Il existe une association pour sauver les Kevin.
Si des Kevin nous lisent, n’hésitez pas à vous rapprocher des vôtres, ils ont l’air cools comme Kevin.
À toutes fins utiles, la Kevinophobie n’a pas sa place ici, on nous a avertis que le ban serait immédiat en cas de débordement en commentaires.
On s’égare un peu, aussi, passons à la deuxième feature de dingo.
Vous pouvez maintenant suivre quelqu’un.
Alors, pas dans la rue, ça ne se fait pas, mais sur Next, c’est possible depuis la page profil de l’objet de votre fascination, et c’est socialement toléré.
Si vous avez un faible pour tout ce que raconte José, vous le suivez, et dès que José il parle d’escargots – la passion à José – et bien vous avez l’info en notif et en direct.
C’est révolutionnaire, et presque pas creepy du tout.
D’ailleurs, bon à savoir, Next est un site bien connu pour les amateurs d’escargots, si vous ne lisez pas la dernière découverte gastéropode de José ici, vous ne l’aurez nulle part ailleurs.
Mine de rien, c’est une pierre de plus dans notre jardin.
Vous allez nous dire que c’est un peu half-ass, ce développement.
Que c’est cool, mais que du coup le centre de notifs est un peu surchargé de notifs, qu’il manque une vue adaptée, un truc vraiment digne de s’appeler une Agora par exemple, et que décidément, Next c’était mieux avant.
Nonobstant l’alliance inhabituelle d’anglicismes désagréables et d’esprit chagrin bien français, vous n’avez pas complètement tort.
On va y travailler dur, du côté des bonnes nouvelles, nous avons en tête des idées absolument chouettes.
Petit bémol, cela risque de prendre un peu de temps, n’est pas Zuck qui veut après tout.
Troisième feature, maintes fois annoncée, et maintenant prodée, @Ness_01 est maintenant à l’œuvre pour détecter les propos les plus lourds émanant de vos doigts gourds dans un bruit sourd.
Si vous dépassez la ligne, Ness_01 poucave direct à un modérateur humain, qui décidera au pif coké si ça passe ou pas.
La méthode pourra être perfectionnée plus tard dès que nos guidelines de modération seront plus précises et établies (ou qu’on sera à court de coke).
C’est de l’humour naturellement, @Ness_01 ne laisse passer que des cookies par le petit soupirail.
Mais c’est très bon les cookies, et elle nous aime très fort. C’est vraiment une chic IA.
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D’ailleurs, si on devient tous parfaitement transparents, qu’on ne se voit plus du tout, est-ce que ça reste réellement intéressant comme société ? Vous avez deux heures, et oui, pour la question du fond à droite près du radiateur, on peut quand même s’entendre ou s’écrire. Juste on ne se voit plus.
Entre deux débats philosophiques majeurs, nous avons aussi réglé de vilains insectes à droite à gauche, et revus de petits détails graphiques.
Également à souligner, la petite notif au clic sur « Offrir un article » est beaucoup plus claire, pour que votre générosité éclate enfin au grand jour, au vu et au sus de tous.
Il est maintenant de nouveau possible de signaler une erreur depuis votre lit (ou depuis ailleurs, d’ailleurs, tant que vous avez un téléphone mobile).
Bon, c’est possible qu’il reste des bestioles à droite à gauche, mais pas de panique, il nous reste quelques bidons de Fly-tox.
On continue notre mission divine, accrochez-vous à vos chaises roulantes, lectrices et lecteurs de nos cœurs, ça va continuer à swinguer sec.
Next vaincra
On se doute bien que l’ombre ne fait pas bon ménage avec la production d’électricité via des panneaux solaires. Il en est de même pour l’orientation et l’inclinaison. Afin de mettre des chiffres sur ses certitudes, nous avons effectué plusieurs relevés. Nous en avons profité pour nous « amuser » un peu avec la technologie bifaciale au passage.
Il y a plusieurs mois, nous avons publié un premier article sur le kit Play de Sunology. Nous avions alors détaillé les caractéristiques techniques du panneau chinois DMEGC de 405 watts et du micro-onduleur Hoymiles HM-400.
Avec du retard sur le planning, il est temps de passer aux mesures de production d’électricité. Il ne s’agit pas de vous donner un relevé sur x mois avec un joli chiffre de production (qui ne veut pas dire grand-chose dans l’absolue tant les paramètres sont nombreux), mais plutôt de vous expliquer l’influence de l’ombre, de la position et de l’inclinaison sur la production d’électricité, avec des relevés chiffrés.
Mais commençons par un détour sur le mode de fonctionnement du panneau solaire. Vincent Arrouet, cofondateur de Sunology, nous indique que ses panneaux, comme « plus de 98 % des panneaux photovoltaïques dans le monde, sont basés sur une approche en demi-cellules (half cut). Les (demi) cellules sont réparties sur deux moitiés du panneau ». 108 au total, donc 54 de chaque côté avec notre panneau DMEGC.
Dans la liste des avantages des demi-cellules, on retrouve une réduction de la température de chaque cellule (et donc d’avoir un point chaud), mais aussi (et surtout) une séparation des zones de production. Pour faire simple, de l’ombre sur une moitié du panneau n’affecte pas la seconde moitié, contrairement à des panneaux full-cell avec des cellules entières.
Dans le cas du panneau Sunology, on voit clairement les deux zones, à gauche et à droite, sur la photo ci-dessous (avec une ligne centrale, sur laquelle sont d’ailleurs branchés les connecteurs à l’arrière). Chaque zone est ensuite divisée en trois, avec deux rangées de demi-cellules à chaque fois.
Le panneau est donc divisé en six zones de 18 demi-cellules, soit un total de 108 demi-cellules. Le compte est bon.
Mais pourquoi des demi-cellules et pas six zones de neuf cellules ? Cela tient à la malice de l’électricité : en série, les tensions de chaque cellule s’additionnent, tandis qu’en parallèle, ce sont les intensités qui s’additionnent. Dans le premier cas, il faut des tensions identiques sur tous les éléments, cela signifie que l’intensité de la cellule la plus faible est prise par défaut. Dans le second cas, c’est la même chose avec la tension.
Sur un panneau full-cell avec 3 groupes de 18 cellules, la tension de chaque groupe est donc la somme de celle des 18 cellules. Si maintenant, nous séparons nos cellules sur 6 zones, on a donc des groupes de 9 cellules. Conséquence directe : la tension est deux fois plus basse qu’avec les groupes de 18.
Si maintenant, on passe sur des demi-cellules pour nos groupes, on revient à 18 cellules, et donc à une tension identique à celle des panneaux full-cell. L’intensité de chaque groupe de demi-cellules est du coup deux fois moins importante qu’avec des cellules complètes, mais ils sont deux fois plus nombreux. La production totale théorique est donc la même dans les deux cas, mais avec six groupes au lieu de trois.
Sur des panneaux avec des demi-cellules, chaque zone est indépendante pour la production d’électricité : de l’ombre sur l’une d’entre elle ne pénalise pas les autres. Par contre, au sein d’une même zone, l’ensemble des demi-cellules se calent sur celle qui produit le moins de courant. En effet, l’intensité doit pour rappel être la même dans l’ensemble des demi-cellules du circuit.
Si une demi-cellule est défectueuse ou à l’ombre et produit donc moins, c’est comme si toutes les demi-cellules du groupe étaient à l’ombre ou défectueuses. Plus il y a de zones, moins la perte est importante en cas d’ombre partielle ou de défaut. Six zones, c’est donc bien mieux que trois.
Le branchement interne d’un panneau est important à comprendre pour saisir les différences que nous avons mesurées en fonction de l’ombre.
Alors qu'on attendait des informations fraiches de Blackwell sous la forme de GeForce au Computex, NVIDIA a plutôt attaqué sa conférence par un versant très IA. On s'en serait malgré tout douté, puisque c'est actuellement, le levier majeur de crosisance de l'entreprise fondée par son boss encore aux...
While Realtek is best known in the enthusiast space for for its peripheral controllers such as audio codecs and network controllers, the company also has a small-but-respectable SSD controller business that tends to fly under the radar due to its focus on entry-level and mainstream drives. But Realtek's stature in the SSD space is on the rise, as the company is not only planning new PCIe Gen5 SSD controllers, but also their first high-end, DRAM-equipped SSD controller.
For this year's Computex trade show, Realtek laid out a new SSD controller roadmap that calls for the company to release a trio of new SSD controllers over the next couple of years. First up is a new four-channel entry-level PCIe 4.0 controller, the RTS5776DL, which will be joined a bit later by a PCIe 5.0 variant, the RTS5781DL. But most interesting on Realtek's new roadmap is the final chip being planned: the eight-channel, DRAM-equipped RTS5782, which would be the company's first high-end SSD controller, capable of hitting sequential read rates as high as 14GB/second.
Realtek NVMe SSD Controller Comparison | |||||||||
RTS5782 | RTS5781DL | RTS5776DL | RTS5772DL | RTS5766DL | |||||
Market Segment | High-End | Mainstream | Entry-Level | ||||||
Error Correction | 4K LDPC | 2K LDPC | |||||||
DRAM | DDR4, LPDDR4(X) | No | No | No | No | ||||
Host Interface | PCIe 5.0 x4 | PCIe 5.0 x4 | PCIe 4.0 x4 | PCIe 4.0 x4 | PCIe 3.0 x4 | ||||
NVMe Version | NVMe 2.0 | NVMe 2.0 | NVMe 2.0 | NVMe 1.4 | NVMe 1.4 | ||||
NAND Channels, Interface Speed | 8 ch, 3600 MT/s |
4 ch, 3600 MT/s |
4 ch, 3600 MT/s |
8 ch, 1600 MT/s |
4 ch, 1200 MT/s |
||||
Sequential Read | 14 GB/s | 10 GB/s | 7.4 GB/s | 6 GB/s | 3.2 GB/s | ||||
Sequential Write | 12 GB/s | 10 GB/s | 7.4 GB/s | 6 GB/s | 2.2 GB/s | ||||
4KB Random Read IOPS | 2500k | 1400k | 1200k | - | - | ||||
4KB Random Write IOPS | 2500k | 1400k | 1200k | - | - |
Diving a bit deeper into Realtek's roadmap, the RTS5776DL is traditional DRAM-less PCIe Gen4 x4 controller with four NAND channels, and is aimed at entry-level drives. The controller's NAND support is quite modern, however, supporting the latest ONFI/Toggle standards, which will allow it to hit NAND transfer rates up to 3600 MT/second. Across four channels, that's enough bandwidth to fully saturate a PCIe 4.0 x4 connection with sequential read/writes, while random 4K IOPS can burst as high as 1.2 million. Engineering samples of the controller are set to emerge in Q4 2024, so do not expect actual drives based on this chip to emerge for sale until the second half of next year at the earliest.
Realtek is also preparing the RTS5781DL, which can be thought of as a PCIe 5.0 version of their DRAM-less controller platform. The RTS5781DL features the same four-channel NAND layout and 3600 MT/sec max NAND transfer rates, which with the additional bandwidth afforded by PCIe 5.0, shifts the performance bottleneck back to the NAND. Overall, Realtek expects drives with its first PCIe Gen5 SSD controller to hit sustained transfer rates up to 10GB/second, and up to 1.4 million random read/write IOPS. The company aims to make engineering samples of this controller available in the first quarter of 2025, so actual drives will hit the market in late 2025 at best.
Finally, the pinnacle of Realtek's roadmap will be its RTS5782, which is the company's first high-end SSD controller. Besides including support for on-drive DRAM (DDR4/LPDDR4X) for higher performance, the back-end of the RTS5782 will feature an eight NAND channel design that supports transfer rates up to 3600 MT/second. Drives built with the controller are expected to be able to sustain 14GB/second sequential read rates and 12GB/second sequential writes, while the 4K random IOPS performance jumps to 2.5 million 4K read and write IOPS.
Unfortunately, the RTS5782 is also the farthest out of the three controllers, as it's still in the planning stages at Realtek. Consequently, for the moment the company isn't offering any guidance on when the new controller will be ready. No doubt the company will have more to show off next year for Computex 2025.
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Many companies showed off a range of concept designs during Computex 2024, but perhaps Noctua had one of the coolest. Noctua, primarily known for its air coolers, had a pumpless prototype that showcased Thermisiphon cooling. It looks like a conventional AIO cooler on the surface but is much more efficient, cooler, and quieter than traditional water coolers.
Touching quickly on Thermosiphon cooling, it uses the natural laws of thermodynamics to use heat (the CPU) as a source to turn the liquid to the top, evaporating through the system. This evaporated liquid rises and is pushed into the condenser (radiator), which, in the case of Noctua's cooler, is cooled by fans and turned back into liquid, which then flows back toward the CPU. Not only does Theromsiphon technology use gravity to help aid the flow of liquid, but it is also a highly efficient way of distributing heat as vaporization can absorb heat better, and it doesn't feature any moving parts in the mechanism, aside from the fans, of course.
As with traditional AIO CPU coolers, Noctua's Thermosiphon design has a 240mm radiator with a pair of 120cm Noctua fans, which cools the vapor down and sends it back to the evaporator. While this isn't a new concept and vapor chamber cooling has been used for many years in CPUs and even laptop coolers, Thermosiphon is certainly a technology Noctua thinks it can leverage to ensure better cooling performance and robust reliability.
Speaking to Noctua at Computex 2024, they informed me of the benefits and pitfalls of the Thermosiphon technology. In terms of the pros, Thermosiphon cooling in itself has no moving parts, which not only improves reliability but also means there is less to go wrong. Another positive is that even the quietest AIO CPU coolers can be quite noisy, as the water pump that circulates the fluid can cause vibrations, which in turn makes noise. The biggest drawback of implementing Thermosiphon cooling for PCs is that conventional tubing can wear out over time. While adding metal tubing would last longer, it's not flexible, although Noctua said they have discussed this with system integrators.
Although Noctua's Thermosiphon is currently just a proof of concept and sis in the early development stage, there's no launch date or indication it will hit the market. It's an interesting design, and we hope it does eventually come to market.
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