Les conservateurs du Parti populaire européen (PPE) conservent leur première place dans l’Hémicycle, avec une projection de 186 députés, tandis que les partis nationalistes ou souverainistes devraient occuper un quart de l’assemblée.
Le président du Parti populaire européen (PPE), Manfred Weber, et la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, au soir des élections européennes, à Bruxelles, le 9 juin 2024.
La liste conduite par Marie Toussaint n’a réuni que 5,5 % des suffrages, le pire score des Verts depuis 2004. EELV part en position de faiblesse dans les discussions avec ses partenaires en vue des élections législatives, prévues les 30 juin et 7 juillet.
Les militants, les élus et les ministres réunis, dimanche soir, pour la soirée électorale ne s’attendaient pas à l’annonce présidentielle. Certains y voient un coup de génie, d’autres, la fin du macronisme.
La tête de la liste « Besoin d’Europe », Valérie Hayer, à la soirée électorale de la majorité présidentielle pour les élections européennes, à la Maison de la Mutualité, à Paris, le 9 juin 2024.
Alors que sa liste a été distancée par celle de Raphaël Glucksmann, le chef de file de LFI, Jean-Luc Mélenchon, est déjà parti en campagne pour les nouvelles législatives à venir, qu’il souhaite rassemblées à gauche, mais à condition que cela soit derrière sa bannière.
Les Etats-Unis appellent Israël et le Hamas à appliquer « sans délai » l’accord de cessez-le-feu à Gaza qui est sur la table depuis plusieurs jours, sans préciser de date.
Un homme marche au milieu de débris, après des frappes israéliennes dans le camp de réfugiés de Nousseirat, dans le centre de la bande de Gaza, le 9 juin 2024.
Selon les autorités ukrainiennes, deux civils sont morts dans les régions de Kherson et de Kharkiv. Par ailleurs, la Russie aurait aussi procédé à vingt-six bombardements dans la région de Soumy, selon l’administration militaire de la région.
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