Après la victoire de la chanson de Nemo représentant la Suisse à l’Eurovision, samedi 11 mai à Malmö, la presse suédoise revient sur les controverses et les manifestations qui ont pesé sur l’événement pour cause de participation israélienne. Des tensions politiques qui, selon elle, interrogent quant à l’avenir du concours.
De 6 000 à 8 000 manifestants propalestiniens, selon la police, ont exprimé leur colère face à la participation d’Israël à la finale de l’Eurovision, peu avant la victoire de la Suisse, samedi 11 mai dans la ville suédoise de Malmö.
À la frontière polono-lituanienne, à peine 100 kilomètres séparent l’enclave russe de Kaliningrad de la Biélorussie, alliée de la Russie dans la guerre en Ukraine. L’hebdomadaire libéral polonais “Newsweek” est allé à la rencontre de Polonais vivant dans le célèbre “corridor de Suwalki”, coincés entre ces deux voisins menaçants. Si la plupart refusent de croire à l’imminence d’une attaque russe, les touristes ont déjà fui.
Le magazine “Zhongguo Xinwen Zhoukan” consacre son dernier numéro à l’inquiétante question du vieillissement de la population chinoise. Et spécule sur les solutions à apporter à cette question, du développement du marché de la “silver economy” à celui d’un système d’assurance vieillesse efficace.
La Suisse a triomphé samedi 11 mai au concours de l’Eurovision, grâce à la prestation de Nemo, premier artiste non binaire à remporter la compétition. Une victoire qui conclut une édition marquée par les tensions et les controverses, en raison notamment de la participation d’Israël, dont la candidate s’est classée 5e en dépit des huées.
Des proches des otages détenus depuis le 7 octobre par le Hamas à Gaza manifestent à Tel-Aviv (Istraël) pour réclamer leur libération, le 11 mai 2024. (Photo by AHMAD GHARABLI / AFP)
Fini les McMansions et autres villas surdimensionnées. Face à la flambée des prix de l’immobilier, les promoteurs américains se remettent à bâtir des maisons de taille modeste, abordables pour les primo-accédants. Le “New York Times” s’est rendu dans l’Oregon pour mesurer l’ampleur du phénomène.
Dans ce nouvel épisode de la chronique phénomène du “New York Times” sur l’amour, proposée en exclusivité et traduite en français par “Courrier international”, un homme découvre qu’en amour il faut parfois apprendre à définir ce dont on a besoin et s’y accrocher. Coûte que coûte.
La capitale italienne est célèbre pour son trafic infernal et l’indiscipline de ses automobilistes, qui causent chaque année de nombreux accidents mortels parmi les piétons. C’est là une caractéristique qui fait partie de l’essence même de la Ville éternelle, avance cet écrivain dans les colonnes d’“Il Venerdì di Repubblica”.
Les trains de nuit font progressivement leur retour sur le réseau ferré hexagonal à la faveur d’un regain de popularité. Une journaliste du “Daily Telegraph” raconte son voyage en famille “sans alourdir son empreinte carbone” sur la ligne qui relie Paris à Cerbère, dans les Pyrénées-Orientales.
Plusieurs centaines d’animaux sauvages ont été transférés samedi 11 mai dans un refuge de la banlieue de San José, après la fermeture vendredi des deux zoos publics du Costa Rica, qui milite pour la conservation de la faune dans son habitat naturel.
Des employés du ministère costaricain de l’Environnement capturent des animaux du zoo Simon Bolivar pour les évacuer, le 11 mai 2024 à San José, après la fermeture de l’établissement le 10 mai au soir. (Photo by Ezequiel Becerra / AFP)
Hier — 11 mai 2024Courrier international - Actualités France et Monde, vidéos, infographies
Après l’invasion de l’Ukraine, quelque 200 000 Russes opposés au régime ont gagné la Serbie. Or les fresques louant Poutine sont nombreuses à Belgrade, et les dissidents russes ont voulu les effacer. Mais ils se sont heurtés à une farouche opposition, raconte ce quotidien néerlandais.
The pigeon flies over the mural of Russian President Vladimir Putin, which has been vandalised with red spray paint, following Russia's invasion of Ukraine, in Belgrade, Serbia, June 20, 2022.
Vendredi 10 mai, l’armée de Moscou a lancé une offensive pour tenter de percer les lignes de défense ukrainiennes dans l’oblast de Kharkiv. Selon les premières informations, 1 775 personnes auraient été évacuées de la région, où la Russie revendique la prise de cinq villages.
Les Kan Imam San sont les descendants du royaume de Champa, qui s’étendait sur l’actuel Vietnam. Ils sont musulmans mais ne prient qu’une fois par semaine. Depuis quelques années, ils se disent menacés par la propagation du sunnisme, qui s’implante à grand renfort d’aides provenant de pays musulmans. Deux journalistes du “Diplomat” ont enquêté.
C’est une première en France. Du 14 au 20 mai, la Fondation Cartier pour l’art contemporain, à Paris, accueille The Centre for the Less Good Idea. L’occasion de découvrir ce projet multidisciplinaire et collaboratif, lancé en 2016, à Johannesburg, par les artistes William Kentridge et Bronwyn Lace.
“A Defence of the Less Good Idea”. Sur scène, Willliam Kentridge, grande figure de l’art contemporain sud-africain, promeut la beauté et la fertilité des “moins bonnes idées”.
Samedi 11 mai, un porte-parole de l’armée israélienne a appelé les habitants de certains quartiers de Rafah à évacuer en vue d’une nouvelle offensive. Ceci, alors que la pression internationale s’accroît sur l’État hébreu pour qu’il cesse ses opérations militaires dans la ville située au sud de la bande de Gaza.
La brasserie vieille de trois siècles, dirigée par un descendant direct de son fondateur, impose sa vision désuète du monde aux gérants de ses pubs, à ses clients et aux habitants de Tadcaster, son fief du nord de l’Angleterre. “The Sunday Times” a exploré cet univers drapé de secrets.
Dans les rues de Tadcaster, on peut entendre l’écho des sabots des chevaux qui tirent la charrette livrant des fûts de bière. Ici, en juillet 2020.
Alors qu’elles jouent souvent un rôle capital dans nos vies, les relations amicales ne sont reconnues ni par la société, ni par l’État. Dans “Die Zeit”, la romancière allemande Paula Fürstenberg appelle à les remettre au centre de nos vies.
Connexion
