Vous connaissez le mot magique pour exciter un taré du city-building ? Je vous le donne, c'est « organique ». Et justement, Memoriapolis a l'air turbo-organique.
Nous sommes en 2024. Project Zomboid, malgré une décennie passée en version anticipée et un moteur graphique des années 1990, reste le meilleur jeu de zombies du marché. Ne serait-il pas temps de lui trouver un concurrent digne de ce nom ?
Souvenez-vous : avant de devenir un guignol d'extrême droite défoncé à la kétamine, Elon Musk nous avait promis qu'il coloniserait Mars en 2025. Au lieu de ça, il a colonisé Twitter avec des clowns fascistes. Décevant. Mais ne vous inquiétez pas : le jeu vidéo, comme d'habitude, va nous permettre de compenser.
L’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt. Ou à ceux qui se couchent tard ? Dans la dépendance du pavillon parental qui abrite le Studio Reissad, c’est la seconde option qui prime. Luca et Léo, les frères fondateurs et artisans principaux de Bodycam, se sont levés aux aurores pour me recevoir. Cette nuit, ils codaient. Il est 11 heures du matin, l’aube, les coqs roupillent sans doute encore.
Si vous avez joué à Civilization, vous avez sûrement déjà envoyé des hallebardiers du Moyen Âge combattre une escouade de Marines du XXIᵉ siècle. Kingmakers décline cette idée farfelue en jeu de shoot/tactique brutal.
Les temps sont durs pour les amiraux de chambre. Bien sûr, on peut toujours prendre la tête d'un groupe aéronaval sur Command : Modern Operations, le coûteux, complexe et austère wargame qui a remplacé Harpoon dans les salles de classe des académies militaires. Mais ce n'est pas vraiment le genre de produit que je conseillerais à mon coiffeur s'il veut simplement se détendre en dirigeant un porte-avions et quelques escouades de chasseurs.