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☕️ Firefox 146 supporte la mise à l’échelle fractionnée pour Wayland

La nouvelle mouture de Firefox apporte plusieurs évolutions notables. L’une des plus importantes est l’arrivée de la mise à l’échelle fractionnée pour Wayland. Dans les grandes lignes, c’est l’ensemble de l’affichage qui devrait être plus efficace et réactif sur les sessions Wayland. Un changement important, qui réjouit particulièrement Michael Larabel, de Phoronix.

Firefox 146 présente d’autres améliorations sous le capot. La version Mac contient ainsi désormais un processus GPU dédié, qui servira pour WebGPU, WebGL ainsi que le propre moteur WebRender du navigateur. Mozilla indique dans les notes de version que cet ajout permettra de redémarrer silencieusement le processus GPU en cas d’erreur fatale, plutôt que d’entrainer un plantage du navigateur. Sous Windows, le support de l’ancienne API Direct2D est supprimé (il reste disponible dans la version ESR).

Mozilla a également ajouté un système de sauvegarde sous Windows, à destination en particulier des personnes sous Windows 10. En plus du service de synchronisation habituel, Firefox peut maintenant lancer une sauvegarde une fois par jour. Le fichier comprend notamment les favoris et mots de passe, avec possibilité d’y glisser d’autres catégories de données. Il peut aussi être protégé par un mot de passe et est alors chiffré. Ce fichier peut ensuite servir pour une installation neuve du navigateur, y compris sur un autre appareil.

Parmi les autres nouveautés, signalons la disponibilité des Firefox Labs pour l’ensemble des utilisateurs, l’arrivée dans l’Union européenne d’un widget météo pour la page Nouvel onglet, une nouvelle version de la bibliothèque graphique Skia pour améliorer les performances et la compatibilité, ou encore le masquage automatique des propriétés CSS inutilisées dans l’Inspecteur pour réduire l’encombrement.

Enfin, Firefox 146 corrige treize failles de sécurité, dont cinq de gravité élevée.

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Infomaniak, nouvel acteur sur la scène des chatbots avec Euria

« L’Europe doit investir »
Infomaniak, nouvel acteur sur la scène des chatbots avec Euria

Infomaniak vient de lancer son IA maison. L’entreprise suisse insiste particulièrement sur la dimension souveraine, sécurisée et autonome de son infrastructure, ainsi que sur la récupération de la chaleur générée pour chauffer des logements à Genève.

Infomaniak se présente comme un nouvel acteur dans la cour rapidement grandissante des fournisseurs de solutions IA. Le produit se nomme Euria, un chabot qui entre en concurrence directe avec ChatGPT, Claude et autre Mistral. Le nom est d’ailleurs l’acronyme de « Éthique, Universelle, Responsable, Indépendante et Autonome ». Après un lancement discret en juin dans kDrive, le chatbot prend ses aises.

Un modèle freemium et une tarification agressive

Le nouveau service est disponible via une page web, ou par l’application mobile sur Android et iOS. Comme souvent avec les chatbots, on trouve une version gratuite pour répondre aux questions, bloquée une fois un palier atteint (ce point n’est pas clairement précisé). Après quoi, il faudra l’une des formules payantes de la kSuite (à partir de 19 euros par an).

On note d’ailleurs qu’Infomaniak n’a pas créé de formule payante spécifique pour son nouveau service. On peut en outre utiliser Euria sans créer de compte, mais le chatbot en réclamera rapidement un après quelques requêtes (trois dans notre cas). On note dans l’ensemble des réponses assez rapides.

Euria est multimodal. Les demandes peuvent être faites textuellement ou par la voix, on peut lui envoyer des documents et autres fichiers, lui demander des transcriptions audio, d’interpréter des tableaux et autres graphiques, de lancer des recherches sur le web ou encore des raisonnements plus complexes. Infomaniak explique que le raisonnement et la recherche web sont utilisés automatiquement en fonction du contexte, mais on peut forcer la recherche en la demandant explicitement au chatbot. Des évolutions sont déjà prévues, dont la génération d’images, des agents et de la mémoire pour le contexte.

Infomaniak promet le respect des données

Côté sécurité et confidentialité, Infomaniak assure que des chiffrements sont appliqués « à toutes les étapes ». Il faut comprendre pendant le transport et au repos, mais Infomaniak peut accéder aux données sur ses serveurs. Point important, l’entreprise ajoute que les données traitées ne sont jamais utilisées « pour entraîner des modèles d’intelligence artificielle, établir des profils ou alimenter des systèmes tiers ».

Un mode éphémère est proposé pour aller plus loin, l’entreprise assurant alors qu’aucune trace n’est laissée et que rien ne peut être récupéré, y compris par Infomaniak. Tous les traitements ont lieu dans le datacenter D4 situé en Suisse, inauguré en début d’année.

Des modèles open source

Infomaniak n’a cependant pas développé de modèle maison. À la place, l’entreprise se sert de plusieurs modèles open source. Si l’annonce n’en parle pas, l’entreprise nous a répondu, par la voix de Thomas Jacobsen, son responsable communication et marketing : elle se sert de Mistral (nous avons demandé des précisions sur le modèle) et Qwen3 (Alibaba) pour la partie texte, et de Whisper d’OpenAI pour l’audio.

« Notre stack évolue en permanence afin d’intégrer les meilleurs modèles open source disponibles au moment où ils deviennent pertinents. Nous contribuons et suivons de près l’évolution d’Apertus, et nous étudions déjà la possibilité d’adopter le prochain modèle de Mistral. Dans nos choix technologiques, l’impact écologique joue également un rôle essentiel : nous cherchons systématiquement le meilleur compromis entre performance et consommation de ressources »

Infomaniak en profite pour lancer un cri d’alarme à ce sujet : « À ce jour, aucun des modèles les plus performants n’est européen. Ce constat doit nous interpeller : l’Europe doit investir pour rattraper son retard et bâtir ses propres modèles d’IA souverains, éthiques et neutres en carbone. Plus les utilisateurs choisiront des acteurs locaux, plus nous aurons les moyens de construire cette indépendance technologique », a déclaré Marc Oehler, CEO d’Infomaniak.

Enfin, Infomaniak met en avant l’aspect écologique de son datacenter, utilisé par Euria, dont la chaleur est récupérée et réinjectée dans le réseau de chauffage urbain. L’objectif est d’atteindre la pleine puissance en 2028 et alors de chauffer jusqu’à 6 000 logements à Genève en hiver, de fournir jusqu’à 20 000 douches chaudes par jour et ainsi d’éviter la combustion de 3 600 tonnes de CO₂ en gaz naturel.

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☕️ Firefox 146 supporte la mise à l’échelle fractionnée pour Wayland

La nouvelle mouture de Firefox apporte plusieurs évolutions notables. L’une des plus importantes est l’arrivée de la mise à l’échelle fractionnée pour Wayland. Dans les grandes lignes, c’est l’ensemble de l’affichage qui devrait être plus efficace et réactif sur les sessions Wayland. Un changement important, qui réjouit particulièrement Michael Larabel, de Phoronix.

Firefox 146 présente d’autres améliorations sous le capot. La version Mac contient ainsi désormais un processus GPU dédié, qui servira pour WebGPU, WebGL ainsi que le propre moteur WebRender du navigateur. Mozilla indique dans les notes de version que cet ajout permettra de redémarrer silencieusement le processus GPU en cas d’erreur fatale, plutôt que d’entrainer un plantage du navigateur. Sous Windows, le support de l’ancienne API Direct2D est supprimé (il reste disponible dans la version ESR).

Mozilla a également ajouté un système de sauvegarde sous Windows, à destination en particulier des personnes sous Windows 10. En plus du service de synchronisation habituel, Firefox peut maintenant lancer une sauvegarde une fois par jour. Le fichier comprend notamment les favoris et mots de passe, avec possibilité d’y glisser d’autres catégories de données. Il peut aussi être protégé par un mot de passe et est alors chiffré. Ce fichier peut ensuite servir pour une installation neuve du navigateur, y compris sur un autre appareil.

Parmi les autres nouveautés, signalons la disponibilité des Firefox Labs pour l’ensemble des utilisateurs, l’arrivée dans l’Union européenne d’un widget météo pour la page Nouvel onglet, une nouvelle version de la bibliothèque graphique Skia pour améliorer les performances et la compatibilité, ou encore le masquage automatique des propriétés CSS inutilisées dans l’Inspecteur pour réduire l’encombrement.

Enfin, Firefox 146 corrige treize failles de sécurité, dont cinq de gravité élevée.

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Infomaniak, nouvel acteur sur la scène des chatbots avec Euria

« L’Europe doit investir »
Infomaniak, nouvel acteur sur la scène des chatbots avec Euria

Infomaniak vient de lancer son IA maison. L’entreprise suisse insiste particulièrement sur la dimension souveraine, sécurisée et autonome de son infrastructure, ainsi que sur la récupération de la chaleur générée pour chauffer des logements à Genève.

Infomaniak se présente comme un nouvel acteur dans la cour rapidement grandissante des fournisseurs de solutions IA. Le produit se nomme Euria, un chabot qui entre en concurrence directe avec ChatGPT, Claude et autre Mistral. Le nom est d’ailleurs l’acronyme de « Éthique, Universelle, Responsable, Indépendante et Autonome ». Après un lancement discret en juin dans kDrive, le chatbot prend ses aises.

Un modèle freemium et une tarification agressive

Le nouveau service est disponible via une page web, ou par l’application mobile sur Android et iOS. Comme souvent avec les chatbots, on trouve une version gratuite pour répondre aux questions, bloquée une fois un palier atteint (ce point n’est pas clairement précisé). Après quoi, il faudra l’une des formules payantes de la kSuite (à partir de 19 euros par an).

On note d’ailleurs qu’Infomaniak n’a pas créé de formule payante spécifique pour son nouveau service. On peut en outre utiliser Euria sans créer de compte, mais le chatbot en réclamera rapidement un après quelques requêtes (trois dans notre cas). On note dans l’ensemble des réponses assez rapides.

Euria est multimodal. Les demandes peuvent être faites textuellement ou par la voix, on peut lui envoyer des documents et autres fichiers, lui demander des transcriptions audio, d’interpréter des tableaux et autres graphiques, de lancer des recherches sur le web ou encore des raisonnements plus complexes. Infomaniak explique que le raisonnement et la recherche web sont utilisés automatiquement en fonction du contexte, mais on peut forcer la recherche en la demandant explicitement au chatbot. Des évolutions sont déjà prévues, dont la génération d’images, des agents et de la mémoire pour le contexte.

Infomaniak promet le respect des données

Côté sécurité et confidentialité, Infomaniak assure que des chiffrements sont appliqués « à toutes les étapes ». Il faut comprendre pendant le transport et au repos, mais Infomaniak peut accéder aux données sur ses serveurs. Point important, l’entreprise ajoute que les données traitées ne sont jamais utilisées « pour entraîner des modèles d’intelligence artificielle, établir des profils ou alimenter des systèmes tiers ».

Un mode éphémère est proposé pour aller plus loin, l’entreprise assurant alors qu’aucune trace n’est laissée et que rien ne peut être récupéré, y compris par Infomaniak. Tous les traitements ont lieu dans le datacenter D4 situé en Suisse, inauguré en début d’année.

Des modèles open source

Infomaniak n’a cependant pas développé de modèle maison. À la place, l’entreprise se sert de plusieurs modèles open source. Si l’annonce n’en parle pas, l’entreprise nous a répondu, par la voix de Thomas Jacobsen, son responsable communication et marketing : elle se sert de Mistral (nous avons demandé des précisions sur le modèle) et Qwen3 (Alibaba) pour la partie texte, et de Whisper d’OpenAI pour l’audio.

« Notre stack évolue en permanence afin d’intégrer les meilleurs modèles open source disponibles au moment où ils deviennent pertinents. Nous contribuons et suivons de près l’évolution d’Apertus, et nous étudions déjà la possibilité d’adopter le prochain modèle de Mistral. Dans nos choix technologiques, l’impact écologique joue également un rôle essentiel : nous cherchons systématiquement le meilleur compromis entre performance et consommation de ressources »

Infomaniak en profite pour lancer un cri d’alarme à ce sujet : « À ce jour, aucun des modèles les plus performants n’est européen. Ce constat doit nous interpeller : l’Europe doit investir pour rattraper son retard et bâtir ses propres modèles d’IA souverains, éthiques et neutres en carbone. Plus les utilisateurs choisiront des acteurs locaux, plus nous aurons les moyens de construire cette indépendance technologique », a déclaré Marc Oehler, CEO d’Infomaniak.

Enfin, Infomaniak met en avant l’aspect écologique de son datacenter, utilisé par Euria, dont la chaleur est récupérée et réinjectée dans le réseau de chauffage urbain. L’objectif est d’atteindre la pleine puissance en 2028 et alors de chauffer jusqu’à 6 000 logements à Genève en hiver, de fournir jusqu’à 20 000 douches chaudes par jour et ainsi d’éviter la combustion de 3 600 tonnes de CO₂ en gaz naturel.

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Il fait trop chaud et les centrales électriques ont le pied sur la pédale de frein

Avec les températures clémentes, des centrales disponibles ne seront pas activées cette semaine. À la clé, des baisses de charge et des arrêts qui contrastent avec la vague de froid survenue fin novembre.

Alors que l’hiver est généralement par moments synonyme de tension sur le réseau, de prix élevés et de centrales fossiles qui soutiennent l’équilibre production-consommation, la situation de cette seconde semaine de décembre n’a rien à voir avec celle d’un hiver plus classique. Puisqu’un degré de moins entraîne un appel de production supplémentaire de 2 500 mégawatts (MW), la consommation a dépassé les 70 000 MW fin novembre durant la vague de froid. Cette semaine, c’est tout l’inverse. Des pics à 18 degrés à Toulouse lundi, 19 °C à Ajaccio : la demande baisse largement.

Pour prévoir la demande et équilibrer le réseau, RTE se réfère à une « température de référence » de 5,8 ce lundi. La température de référence est calculée par Météo-France et est basée sur les températures horaires moyennes observées pour chaque jour de l’année au cours des trois dernières décennies, redressées de la dérive climatique pour être représentatives du climat de la décennie en cours. À l’inverse, pendant la vague de froid, la température de référence était de 7,4 °C lundi 24 novembre, avec une pointe anticipée à 72,3 GW. Ce jour-là, produisaient notamment 52 GW de nucléaire et 5 GW de gaz.

À lire aussi La pompe à chaleur serait redoutablement efficace même par grand froid en France

Quand des centrales doivent s’arrêter à cause de la météo

Avec ces variations de température, la consommation fait le yo-yo : ces prochains jours, RTE anticipe une demande qui plongera jusque sous les 60 000 MW à la mi-décembre. Avec cette demande en nette diminution, ce sont les centrales de production qui doivent s’adapter. Il est possible de suivre leur disponibilité sur ce lien

À date (dimanche 7 décembre, 17 h), 51 GW (35 % du parc) étaient non utilisables (à cause des conditions météo comme la nuit pour les panneaux solaires) et inutilisables (par exemple pour cause de maintenance). Seulement 44 % produisaient (68 GW) et 31 GW (21 %) étaient disponibles pour être activés.

Avec des disparités entre modes de production. L’éolien profitait d’un fort vent (17 GW de production, maximum utilisable), le nucléaire à 71 % de production (10 % disponible et 20 % à l’arrêt), l’hydro et le gaz largement à disposition (respectivement 35 et 84 % à disposition du réseau, prêts à produire). Alors que le système est habituellement mis à rude épreuve en hiver, ce début décembre est contre-intuitivement une période de rude épreuve inversée : écrêtements, baisses de charge et arrêts qui n’auront pas à rougir devant ceux du printemps.

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'Colleges Oversold Education. Now They Must Sell Connection'

A tenured USC professor is arguing that universities need to fundamentally rethink their value proposition as AI rapidly closes the gap on human instruction and a loneliness epidemic grips the generation most likely to be sitting in their lecture halls. Eric Anicich, an associate professor at USC's Marshall School of Business, wrote in the Los Angeles Times that nearly three-quarters of 16- to 24-year-olds now report feeling lonely, young adults spend 70% less time with friends in person compared to two decades ago, and a growing majority of Gen Z college graduates say their degree was a "waste of money." Anicich points to a recent Harvard study finding that students using an AI tutor learned more than twice as much as those in traditional active-learning classes, and did so in less time. The implication is stark: if instruction becomes abundant and cheap, colleges must sell what remains scarce -- genuine human community. He notes that his doctoral training included zero coursework on teaching, a norm he says persists across academia. His proposal: fund student life as seriously as research labs, hire professional "experience designers," and treat rituals and collaborative projects as core curriculum rather than amenities.

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EN DIRECT, budget de la « Sécu » : le PS prêt à voter pour un texte « pas idéal », Olivier Faure considère qu’un rejet serait « un échec personnel »

L’Assemblée poursuit l’examen en nouvelle lecture du PLFSS. Après les questions au gouvernement, les députés voteront sur la partie dépenses du texte, puis sur le budget de la « Sécu » dans son ensemble, dans un vote prévu pour la fin de la journée.

© Julien Muguet pour « LE MONDE »

Le premier ministre, Sébastien Lecornu, à l’Assemblée nationale, à Paris, le 9 décembre 2025.
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« Je pense qu’ils sont faibles » : la nouvelle attaque verbale de Donald Trump contre les dirigeants européens

Dans un entretien à « Politico », Donald Trump lance sa charge la plus virulente contre l’Europe et ses dirigeants, dans la droite ligne de la stratégie de sécurité nationale dévoilée par la Maison Blanche.

© Alex Brandon / AP

Donald Trump, le 8 décembre 2025 à la Maison Blanche.
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Australie : les adolescents de moins de 16 ans sont officiellement interdits de réseaux sociaux

Facebook, Instagram, YouTube, TikTok, Snapchat et Reddit ont l’interdiction de conserver les comptes d’utilisateurs d’Australie de moins de 16 ans ou d’en permettre la création. Les plateformes de streaming Kick et Twitch ainsi que les réseaux sociaux Threads et X sont aussi concernés.

© AFP

Un garçon de 13 ans montre un message sur son téléphone portable provenant de la plateforme Snapchat, après que son compte a été bloqué pour vérification d’âge, à Sydney, le 9 décembre 2025.
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