Ces technos sécuritaires qu’on ne verra pas aux Jeux olympiques de Paris
Les industriels de la sécurité fourmillaient d'idées pour mieux sécuriser les Jeux olympiques de Paris, à l'été 2024. Un peu trop, d'ailleurs, aux yeux de leurs détracteurs.
Les industriels de la sécurité fourmillaient d'idées pour mieux sécuriser les Jeux olympiques de Paris, à l'été 2024. Un peu trop, d'ailleurs, aux yeux de leurs détracteurs.
La SNCF mène des expérimentations sur la vidéosurveillance algorithmique (VSA) dans trois gares, à Paris et Marseille. Les tests ont déclenché une action de La Quadrature du Net devant la Cnil, avec l'espoir d'y mettre fin.
Les Jeux olympiques de Paris 2024 seront marqués cet été par la mise en place de zones de sécurité dans les lieux qui accueillent les épreuves sportives. Pour y accéder, la possession d'un QR Code sera obligatoire. Une initiative temporaire, mais qui s'inscrit dans un mouvement sécuritaire plus large, rappelle cet article de The Conversation.
L'emploi opérationnel de la vidéosurveillance algorithmique (VSA) aura lieu à deux occasions, entre le 19 et le 21 avril, en Île-de-France. Pour un concert de Black Eyed Peas et pour un match de football. Un déploiement discret, en amont des Jeux olympiques de Paris, mais qui soulève des interrogations et des craintes pour l'avenir.