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[tinyBuild Connect 2024] Level Zero: Extraction, zéro nouveauté à l’horizon mais un teasing

Pendant le tinyBuild Connect 2024, les devs du studio DOGHOWL Games n’avaient visiblement pas grand chose de très intéressant à partager sur Level Zero: Extraction, hormis ce court teasing annonçant la date du 09 juin. On pourrait donc s’attendre soit à l’annonce d’une date de sortie officielle, ou à une sortie en accès anticipé, mais de pas de quoi sauter au plafond. Pour rappel, sentant le bon filon de l’extraction shooter, le studio avait changé de fusil d’épaule concernant le concept de base de leur jeu. Il n’était plus question d’une équipe de quatre scientifiques tentant de fuir deux aliens (contrôles par des joueurs), mais de trois équipes de mercenaires devant ramasser plein de babioles inutiles et s’extraire par la suite, en évitant les deux aliens (contrôlés par des joueurs également). Faute à un gunplay manquant cruellement de punch, la rédac n’avait pas été convaincue au visionnage d’une précédente bande-annonce et à ce jour, on ne l’est toujours pas.

Prévu courant 2024 et en attendant l’annonce du 09 juin, vous pouvez toujours ajouter Level Zero: Extraction à votre liste souhaits Steam, si vous êtes intéressé.

[tinyBuild Connect 2024] SAND, un enfer pour les aventuriers ammophobes

Lors du live tinyBuild Connect 2024, les studios Hologryph et TowerHaus ont dévoilé quelques minutes de gameplay de SAND, leur jeu multi en PvPvE se déroulant sur une planète désertique nommée Sophie. À bord de votre Trampler customisable (une base robotique mobile) servant à vous déplacer et à stocker vos ressources, vos coéquipiers et vous-même devrez explorer les ruines d’une ancienne colonie humaine dévastée par une catastrophe écologique. Durant votre périple, vous serez confronté à d’autres aventuriers et leurs Tramplers, ainsi qu’à des créatures hostiles et des menaces environnementales non-dévoilés. De plus, les devs ont d’ores et déjà annoncé qu’une bêta arrivera prochainement. Si vous êtes intéressé, vous pouvez vous y inscrire depuis la page Steam du jeu.

Aux premiers abords, le gunplay et la session d’abordage des Tramplers ont l’air pas mal, ce qui n’est pas rappeler Sea of Thieves d’une certaine façon. Par contre, ça risque d’être chiant à mourir de parcourir des régions désertiques pour récupérer des ressources et abattre des ennemis à la longue. Il reste à espérer que la gameplay soit assez varié avec la présence d’événements spécifiques tels que des aléas climatiques, des ennemis spéciaux, des quêtes temporaires,…

Pour le moment, SAND n’a pas de date de sortie annoncée. En attendant de profiter des dunes à perte de vue sur votre Trampler, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits Steam. Vous pouvez également vous inscrire à la prochaine session de playtest depuis la page de ce dernier.

The Astronauts nous parle du futur de Witchfire

La semaine dernière, les développeurs de l’excellent Witchfire, sorti en accès anticipé en septembre dernier, ont publié un nouveau billet de blog sur leur site officiel. Ils font un retour sur comment ils ont imaginé la mise à jour Ghost Galleon et quels en étaient les objectifs. Comme d’habitude, ils en tartinent des paquets pour juste expliquer qu’il fallait surtout réduire la frustration des joueurs en leur proposant un système plus prédictible et plus juste : Gnosis pour gérer la montée en difficulté, suppression de l’impression d’aléatoire pour les calamités, etc. Après ce petit post-mortem, ils nous parlent des futures mises à jour de Witchfire. Si une grosse carte est bien en préparation, ce sera plutôt pour la fin de l’année. Mais rassurez-vous, la prochaine update devrait proposer une carte plus petite, avec un gameplay vendu comme très différent, penchant « davantage vers l’horreur et la terreur que tout ce [qu’ils ont] fait jusqu’à présent ». D’autre part, les développeurs nous expliquent qu’ils cherchent à retravailler les Arcanes, qui sont les bonus récupérés à chaque groupe de monstres vaincus, et parmi lesquels il faut choisir. Ils souhaitent que les joueurs puissent bénéficier de plus de synergies entre ceux-ci et les armes ou les pouvoirs, afin qu’il y ait un vrai sentiment de « build », à l’image d’un RPG.

D’autres éléments seront présents dans les prochaines mises à jour, comme de nouvelles armes, pouvoirs et équipements. Si vous voulez plus de précisions, vous pouvez consulter l’article de blog sur le site de The Astronauts (en anglais).

Pour l’instant, comme pour la précédente update, ils ne préfèrent pas donner de date. En attendant, si le très bon Witchfire vous intéresse, vous pouvez trouver son accès anticipé sur l’Epic Games Store uniquement, en promo à –10 %, soit un peu moins de 33 € jusqu’au 13 juin.

Arc

Chrome reste, de loin, le navigateur Internet le plus utilisé sur nos beaux PC, mais quelques rivaux courageux tentent toujours de dépasser les 5 % de parts de marché.

GHOSTWARE: Arena of the Dead sortira le 10 juin

Issue de l’idée saugrenue des développeurs de Daev Team de vouloir nous faire jouer à un FPS en arène contre des bots, GHOSTWARE: Arena of the Dead sortira d’accès anticipé le 10 juin prochain. Ce que nous avions pu en voir l’année dernière ne nous avait pas du tout convaincu : un gameplay moyen, une direction artistique hideuse, et une histoire écrite par un collégien.

Cependant, le trailer d’annonce montre que du travail a été fait pour améliorer l’expérience, notamment l’aspect graphique, avec des décors variés et bien plus détaillés qu’auparavant. Alors, si vous aimez flirter avec des PNJ, partir à l’aventure avec des compagnons, et êtes trop mauvais pour vous taper sur Quake Live avec les quatre cents cinquante PGM qui y jouent encore, vous pouvez retrouver GHOSTWARE: Arena of the Dead sur Steam à 15 € ; jusqu’à l’inévitable augmentation de prix.

Harold Halibut

Harold Halibut est un chouette film d’animation qui raconte l’histoire d’un homme à tout faire dans une station spatiale échouée dans des eaux hostiles, et qui se lie d’amitié avec une adorable créature extraterrestre. Je pourrais m’extasier longtemps sur la singularité de sa direction artistique, sur la beauté de ses décors, sur la caractérisation de ses personnages. Le problème, c’est que Harold Halibut est vendu comme un jeu.

Killing Floor a déjà 15 ans

Alors que Tripwire nous tease régulièrement un peu de son Killing Floor 3, les développeurs viennent de publier une vidéo pour fêter les 15 ans de Killing Floor, premier du nom. On y apprend que l’équipe avait été surprise de l’accueil positif à la sortie du jeu, alors qu’ils pensaient avoir fait de la merde, et qu’ils étaient au bord du gouffre financièrement. Mais ils étaient plus jeunes et avaient de l’énergie. Cela sous-entend qu’ils n’en ont plus maintenant, ce qui est toujours rassurant à entendre pendant la phase de développement. Mais pas de panique, ils ont troqué leur hargne et leur motivation contre des compétences glanées à gauches et à droite au fil de débauchages d’experts auprès d’autres studios. Et ils sont aussi beaucoup plus nombreux.

Tripwire nous explique également qu’une phase de prototypage s’est déroulée pour Killing Floor 3, permettant d’itérer sur certains aspects et abandonner les idées de chiotte. On croise les doigts pour que ce soit assez différent des deux premiers opus, et ainsi nous intéresser un peu plus.

En attendant Killing Floor 3, qui n’a toujours pas de date de sortie, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam, ou vous reporter sur Killing Floor 2, actuellement en promo jusqu’au 23 mai à –95 % sur Steam, soit 1,39 €.

Looot

Des Vikings, du compétitif, des petits meeples à poser sur une carte… ah je sens que l’on va aller à la baston, peut-être même sur les rivages de l’améritrash ! Comment ça un puzzle game à tuiles tiré de jeux à colorier ?

Les performances de The Finals déçoivent les investisseurs

Dans le rapport financier du premier trimestre 2024 de Nexon, société mère d’Embark Studio, on apprend que The Finals, ce free-to-play compétitif basé sur la destruction des cartes, n’atteint pas les objectifs qui lui ont été fixés. En effet, à plusieurs reprises, on peut lire qu’il a enregistré des « performances inférieures aux attentes ». Si le lancement avait explosé les compteurs, la courbe de joueurs s’était progressivement tassée autour des 22 000. Le lancement de la saison 2, dans lequel beaucoup d’espoirs ont été placés, a malheureusement « enregistré un taux de fidélisation et un chiffre d’affaires inférieurs aux prévisions ». On peut effectivement constater sur SteamDB un pic à plus de 48 000 joueurs, mais de nouveau une chute jusqu’à atteindre environ 18 000 personnes simultanément, au moment où l’on écrit la news deux mois plus tard.

The Finals 2

Si ces chiffres semblent tout de même très respectables, il faut savoir que derrière ce type de jeu, il faut gérer une grosse infrastructure serveurs, et surtout, toute une équipe de développeurs. Or, ça coûte cher. Sans doute un peu trop pour Nexon, qui voit cette courbe d’un mauvais œil. Un cas que l’on pourrait peut-être rapprocher de celui de Yagger en juin 2023. Ils avaient annoncé la fermeture du free-to-play The Cycle: Frontier, pour raisons économiques. Bon, il y avait beaucoup moins de joueurs (dans les 3000), et ils expliquaient que cela ne suffisait pas à payer les 145 développeurs. Chez Embark Studios, ils sont 300. Mais ils travaillent actuellement sur deux autres projets, dont un extraction shooter TPS free-to-play. The Finals ne va donc probablement pas être coupé demain, puisqu’il est encore pas mal peuplé, et les développeurs peuvent facilement être réallouées à d’autres projets. D’autant plus que le rapport financier annonce la sortie de la troisième saison en juin.

Mais une nouvelle map et quelques modes de jeux supplémentaires pourront-ils inverser la tendance ? Pas sûr, quand on voit la quasi indifférence dans laquelle est sorti Terminal Attack en début du mois. Une situation qui ne nous étonne pas vraiment. Bien que le titre soit plutôt sympa à joueur, notre expert Stuka n’avait pas réellement trouvé de profondeur, et s’interrogeait sur sa longévité. Si vous voulez le faire mentir, vous pouvez jouer à The Finals gratuitement en vous rendant sur sa page Steam.

[PREVIEW] Harvest Hunt : Cache-cache dans le maïs avec ta grand-mère en déambulateur

Après un changement de nom et un report de 10 moisHarvest Hunt est toujours prévu pour le 22 mai prochain. Pour faire simple, il s’agit d’un jeu de cache-cache dans les champs avec un monstre peu aimable, à la sauce rogue-lite. On débloque ainsi de nouveaux outils et améliorations à chaque run, et des modificateurs déterminés au hasard viendront faciliter, ou perturber, notre récolte. Ah, et c’est chiant comme la pluie.

Genre : Rogue-lite infiltration / horreur | Développeur : Villainous Games Studio | Éditeur : Neonhive Games | Plateforme : Steam | Prix : Inconnu | Configuration recommandée : Ryzen 7 3800XT, 64 Go de RAM, RTX 3070 Super | Langues : Anglais | Date de sortie : 22/05/2024 | Durée de vie : rejouabilité infinie (sic)

Test effectué sur une version fournie par l’éditeur.

Harvest Hunt DA

On aimait bien les screenshots

Harvest Hunt nous raconte l’histoire d’un village maudit dont les champs sont hantés la nuit par une créature nommée le Devourer. De prime abord, on pourrait se dire que si la chose en question ne rode dans les champs que la nuit, on s’en fiche un peu. Mais, puisqu’évidement il y a un mais, c’est la nuit qu’il est possible de récolter de l’Ambrosia, une espèce de plante apparemment très importante. Le jeu nous abreuve de lore à travers des textes que l’on débloque après chaque run. Au départ, ça marche à peu près pour attiser notre curiosité, tout comme la direction artistique en cel-shading. L’atmosphère se veut sombre et pesante, avec de jolis effets de lumières. Malheureusement, on se rend vite compte que c’est la partie la plus réussie de Harvest Hunt. Au bout de dix minutes, la pauvreté du gameplay devient bien plus terrifiante que l’épouvantail qui nous pourchasse.

Harvest Hunt Narration
La narration se présente sous forme de d’écrits d’anciens habitants du village que notre personnage tente de reconstituer, parce que le joueur serait trop con pour le faire seul.

Mais où est la moissonneuse batteuse ?!

La structure du jeu est somme toute classique pour un rogue-lite : on spawn sur une map, on ramasse des trucs dispatchés aléatoirement, et on débloque de nouveaux bonus et utilitaires. La particularité de Harvest Hunt est que c’est avant tout un jeu d’infiltration, avec un peu de combat nul. Enfin… l’infiltration n’a pas grand intérêt non plus. Les développeurs nous disent de jouer comme on le souhaite. Cela se traduit par le fait qu’on peut se balader sur l’unique map disponible pour ramasser de l’Ambrosia et partir quand on le veut, ou se la donner avec le Devourer et tenter de le bannir pour encore plus d’Ambrosia.

Harvest Hunt Random
L’aléatoire pour les bonus / malus n’est pas toujours très cohérent. Les fiends sont des pièges qui servent au monstre pour nous repérer, et là, ils devraient nous faire perdre l’audition et de la sante, sauf qu’il n’y en aura pas du tout…

Et le problème, c’est qu’on s’emmerde ! On avance à deux à l’heure, et le sprint s’apparente plus à une marche rapide qu’à une course. Au moins, ce pseudo-sprint d’asthmatique en béquilles nous permet d’aller suffisamment vite pour que le monstre ne nous rattrape pas. Il n’empêche que se débarrasser du Devourer pendant une run est fort pénible, et peu stimulant. En effet, il faut l’endommager à trois reprises pour qu’il lâche une effigie, qu’il faut ensuite amener à un endroit spécifique. Pour cela, on peut utiliser des fourches disséminées çà et là, ou des outils qu’on peut acheter avec nos points de vie entre les runs. Les plus utiles étant des haches de lancer qui permettent de faire tomber une effigie d’un seul coup. La fourche, elle, est particulièrement frustrante à cause de sa portée d’une vingtaine de centimètres. Cela fait que, quand on veut donner un coup, on a moins d’une chance sur deux d’attendre notre cible avant que la bestiole ne nous attrape. Et si on se fait avoir, il faut marteler les clics de la souris jusqu’à ce que le monstre arrête de nous crier dessus et daigne partir. Par contre, si on le touche tout de suite, on peut l’immobiliser et le taper trois fois de suite pour qu’il laisse tomber l’item dont on a besoin. Et, je répète, mais il faut faire ça trois fois pour le bannir. C’est d’un ennui abyssal. On s’amuse plus à regarder l’herbe pousser, sans personne qui essaie de nous hurler dans les oreilles.

Encore un jeu pour streamer ?

Si le concept de jeu de cache-cache en rogue-lite aurait pu être intéressant, le gameplay terriblement ennuyeux et répétitif d’Harvest Hunt en fait un jeu dont on fait le tour en trente minutes. Les mécaniques d’infiltration sont simplistes, les phases d’affrontement avec notre poursuivant sont poussives et frustrantes, et on n’a rapidement plus envie de suivre la narration puisqu’au final, on s’en fout. On a du mal à comprendre qui pourrait être intéressé par Harvest Hunt, à part peut-être des YouTubers surjouant la moindre frayeur.

Vous avez du mal à vous y retrouver dans le catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à trier le bon grain de l’ivraie.

L’art de la bande-annonce de jeu vidéo

On les regarde parfois sans trop se poser de questions. Pourtant, une bande-annonce de jeu vidéo efficace relève d’une méthodologie réfléchie. Pour en savoir plus, nous avons discuté des coulisses des trailers avec ceux qui les fabriquent au quotidien, qui nous ont parlé de la partie immergée de l'iceberg : celle qui implique d'envoyer 300 versions d'un trailer à un même client, ou de voir un plan très important gâché à cause d'un ennemi peu coopératif.

STRIDE: Fates, un jeu de parkour avec un flic monté sur ressort, est sorti

Suite de Stride et sorti l’année dernière exclusivement sur Quest, Stride: Fates est désormais disponible sur Steam et PlayStation Store, depuis le 16 mai. Dans ce jeu de parkour, vous incarnerez un agent d’une unité spéciale équipé d’un grappin et d’armes de toutes sortes, ayant pour mission de démanteler des réseaux mafieux et corporatistes. Du côté de nos amis consoleux, les avis sont plutôt positifs ce qui n’est pas le cas sur la plateforme Gaben avec des avis plutôt négatifs. Il est reproché un jeu d’acteurs horrible, des contrôles qui manquent de précision (notamment la mécanique pour attraper/jeter les objets), l’absence d’options graphiques, l’impossibilité de réassigner les touches, de multiples bugs et une sombre histoire concernant l’utilisation d’IA pour l’aspect artistique qui a marqué particulièrement cet utilisateur.

Si vous souhaitez incarner un yamakasi avec un skin de flic des forces spéciales, Stride: Fates est disponible sur Steam, Playstation Store et Quest à moins de 30 €.

Les bons plans NoFrag du week-end s’investissent dans l’HAO, l’humour assisté par ordinateur

Cette semaine, les bons plan NoFrag du week-end ont découvert une toute nouvelle discipline liée à l’IA : l’humour assisté par ordinateur, ou HAO. Vous avez sans doute vu de bien belles charades, mais pour en arriver à des résultats aussi impressionnants, il faut du matos. Pour commencer, enfilez une tenue adéquate. Ensuite, on prépare un corpus pertinent. On peut, par exemple, s’orienter vers un domaine que l’on connaît, ou au contraire, que l’on fuit. Il faudra évidemment se baser sur les plus grands de ce monde, et ne pas oublier les classiques. On ajoutera quelques touches subtiles, pour finir sur un zeste d’absurdité. C’est bien beau d’avoir de la matière sur laquelle travailler, mais il va falloir ingérer tout ça. Et comme le beau temps revient, il n’y a pas 36 solutions pour éviter de faire flamber votre appartement. Voilà, vous êtes prêts pour être un roi de l’humour sans presque aucun effort !

bons plan développeurs

Les bons plans Amazon

Notre expert en hardware, Gothax, nous a déniché, comme à son habitude, toute une série de matériel qui habillerait à merveille votre PC :

Enfin, n’oubliez pas que si vous ne trouvez pas votre bonheur parmi les produits proposés dans notre article, vous pouvez tout de même nous soutenir en collant ?tag=nofrag-21 à la fin de l’url de n’importe quelle marchandise sur Amazon et ainsi nous faire gagner quelques euros bien utiles.

Gamesplanet S20

Les bons plans Gamesplanet

Enfin ! On a eu des nouvelles de notre partenaire Gamesplanet ! Et on apprend que de nombreux titres plutôt importants viennent de sortir. Bon, ce ne sont pas des FPS, mais tout le monde n’a pas d’aussi bons goûts que les membres de la rédac’. Alors c’est parti :

Et en jeu en vue subjective, me direz-vous ?

Comme plus haut pour Amazon, si vous ne trouvez pas votre bonheur dans ces listes de jeux, vous pouvez utiliser le code ?ref=nofrag et le coller à la fin de l’URL du jeu qui vous intéresse. Ça arrivera dans notre porte-monnaie virtuel Gamesplanet et nous permettra de nous payer les clefs que les éditeurs ne nous envoient pas !

Merci à tous pour votre soutien !

Windows sur ARM : cette fois, c’est la bonne ?

Après des mois et même des années d’annonces plus ou moins floues, les choses se concrétisent enfin pour les premières puces Qualcomm Snapdragon X, qui vont faire très prochainement leur première apparition dans des ordinateurs portables Windows. C’est un moment important pour le système d’exploitation de Microsoft, qui tient peut-être là enfin une vraie chance de s’émanciper de l’architecture x86 à laquelle il est menotté depuis ses tout débuts.

Heat : Heavy Rain

Vous connaissez la gigantesque arnaque des imprimantes à jet d’encre ? Elles ne coûtent pas très cher à l’achat compte tenu de la technologie et de la taille du bestiau, mais dès qu’il faut remplacer les cartouches, souvent encore à moitié pleines, il faut hypothéquer biens et famille. Si l’on est ici à mille lieues des pratiques crapuleuses des fabricants de ces objets du diable, je ne peux néanmoins m’empêcher de ressentir une certaine familiarité dans le cas présent.

Neotopia

Il faut que vous compreniez l’une des bases de la religion des joueurs de jeux de plateau : l’apéro. Toutes les formes d’apéro, y compris ceux avec des pions, des jetons, des cartes. Non, on ne les mange pas.

Certains l’aiment shogun

Le nouveau Assassin's Creed, autrefois nommé Assassin’s Creed Codename Red en interne, a désormais un vrai nom : Assassin’s Creed : Shadows. Les premières images de gameplay seront dévoilées lors de la conférence Ubisoft Forward du 10 juin, mais pour le moment, on sait que ça se passera dans le Japon féodal, plus précisément durant l'époque Sengoku – et que ce sera un projet à grande échelle qui lorgnera plutôt du côté de Valhalla que de Mirage. Si on se fie à la première bande-annonce, les environnements ont l'air à tomber par terre, tandis que les dialogues sont à se taper la tête contre un mur : « Qui sers-tu ? – Nous agissons dans l'ombre... – ... pour servir la lumière » peut-on entendre de la bouche de trois personnages. Pas de doute c'est bien une grosse production Ubi, mais probablement celle qui me donne le plus envie depuis longtemps. Sortie prévue pour le 15 novembre 2024. ER.

INDIKA

Conte vaguement interactif, simulateur de marche à la troisième personne, jeu d’art et d’essai ? Ce qu’est INDIKA n’est pas clair au lancement, et guère plus quand déroule son générique de fin. Qu’importe, il faut bien essayer le LSD une fois dans sa vie.

Préparez-vous à un voyage gastronomique sans précédent avec la sortie de PO’ed: Definitive Edition

Dévoilé le 1er avril, il n’aura pas fallu attendre longtemps pour le studio Nightdive de sortir ce rétro-FPS peu ragoutant, PO’ed: Definitive Edition, ce 16 mai. Au menu, un cuistot vénère équipé d’un jetpack et d’armes plus atypiques les unes que les autres, pour affronter une horde d’aliens au design très douteux, dans des niveaux ouverts en 3D. Par exemple, si vous êtes un amateur de spécialités « cul »inaires, vous aurez le plaisir de rencontrer cette paire de fesse avec des jambes, qui vous attaquera avec ce qui semble être une flatulence. Pour apprécier dans les meilleures conditions votre plat de résistance, cette édition s’accompagne d’améliorations sur le gameplay, de corrections de bugs, du support écran large et d’un nouveau mode de difficulté.

On ne va pas se le cacher, ce jeu ne met pas l’eau à la bouche par la qualité de ses graphismes, et encore moins par son gunplay. À la rédac, on n’arrive toujours pas à comprendre ce qui a motivé les devs à plancher sur PO’ed. Du côté de Steam, les avis ne se bousculent pas au portillon, avec trois évaluations au moment où l’on écrit la news.

Si vous avez un quelconque intérêt pour PO’ed: Definitive Edition, ce dernier est disponible sur Steam au prix de 19,50 €, et sur GoG pour un euros de moins.

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