Vue lecture
Killing Floor a déjà 15 ans
Alors que Tripwire nous tease régulièrement un peu de son Killing Floor 3, les développeurs viennent de publier une vidéo pour fêter les 15 ans de Killing Floor, premier du nom. On y apprend que l’équipe avait été surprise de l’accueil positif à la sortie du jeu, alors qu’ils pensaient avoir fait de la merde, et qu’ils étaient au bord du gouffre financièrement. Mais ils étaient plus jeunes et avaient de l’énergie. Cela sous-entend qu’ils n’en ont plus maintenant, ce qui est toujours rassurant à entendre pendant la phase de développement. Mais pas de panique, ils ont troqué leur hargne et leur motivation contre des compétences glanées à gauches et à droite au fil de débauchages d’experts auprès d’autres studios. Et ils sont aussi beaucoup plus nombreux.
Tripwire nous explique également qu’une phase de prototypage s’est déroulée pour Killing Floor 3, permettant d’itérer sur certains aspects et abandonner les idées de chiotte. On croise les doigts pour que ce soit assez différent des deux premiers opus, et ainsi nous intéresser un peu plus.
En attendant Killing Floor 3, qui n’a toujours pas de date de sortie, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam, ou vous reporter sur Killing Floor 2, actuellement en promo jusqu’au 23 mai à –95 % sur Steam, soit 1,39 €.
Les performances de The Finals déçoivent les investisseurs
Dans le rapport financier du premier trimestre 2024 de Nexon, société mère d’Embark Studio, on apprend que The Finals, ce free-to-play compétitif basé sur la destruction des cartes, n’atteint pas les objectifs qui lui ont été fixés. En effet, à plusieurs reprises, on peut lire qu’il a enregistré des « performances inférieures aux attentes ». Si le lancement avait explosé les compteurs, la courbe de joueurs s’était progressivement tassée autour des 22 000. Le lancement de la saison 2, dans lequel beaucoup d’espoirs ont été placés, a malheureusement « enregistré un taux de fidélisation et un chiffre d’affaires inférieurs aux prévisions ». On peut effectivement constater sur SteamDB un pic à plus de 48 000 joueurs, mais de nouveau une chute jusqu’à atteindre environ 18 000 personnes simultanément, au moment où l’on écrit la news deux mois plus tard.
Si ces chiffres semblent tout de même très respectables, il faut savoir que derrière ce type de jeu, il faut gérer une grosse infrastructure serveurs, et surtout, toute une équipe de développeurs. Or, ça coûte cher. Sans doute un peu trop pour Nexon, qui voit cette courbe d’un mauvais œil. Un cas que l’on pourrait peut-être rapprocher de celui de Yagger en juin 2023. Ils avaient annoncé la fermeture du free-to-play The Cycle: Frontier, pour raisons économiques. Bon, il y avait beaucoup moins de joueurs (dans les 3000), et ils expliquaient que cela ne suffisait pas à payer les 145 développeurs. Chez Embark Studios, ils sont 300. Mais ils travaillent actuellement sur deux autres projets, dont un extraction shooter TPS free-to-play. The Finals ne va donc probablement pas être coupé demain, puisqu’il est encore pas mal peuplé, et les développeurs peuvent facilement être réallouées à d’autres projets. D’autant plus que le rapport financier annonce la sortie de la troisième saison en juin.
Mais une nouvelle map et quelques modes de jeux supplémentaires pourront-ils inverser la tendance ? Pas sûr, quand on voit la quasi indifférence dans laquelle est sorti Terminal Attack en début du mois. Une situation qui ne nous étonne pas vraiment. Bien que le titre soit plutôt sympa à joueur, notre expert Stuka n’avait pas réellement trouvé de profondeur, et s’interrogeait sur sa longévité. Si vous voulez le faire mentir, vous pouvez jouer à The Finals gratuitement en vous rendant sur sa page Steam.
[PREVIEW] Harvest Hunt : Cache-cache dans le maïs avec ta grand-mère en déambulateur
Après un changement de nom et un report de 10 mois, Harvest Hunt est toujours prévu pour le 22 mai prochain. Pour faire simple, il s’agit d’un jeu de cache-cache dans les champs avec un monstre peu aimable, à la sauce rogue-lite. On débloque ainsi de nouveaux outils et améliorations à chaque run, et des modificateurs déterminés au hasard viendront faciliter, ou perturber, notre récolte. Ah, et c’est chiant comme la pluie.
Genre : Rogue-lite infiltration / horreur | Développeur : Villainous Games Studio | Éditeur : Neonhive Games | Plateforme : Steam | Prix : Inconnu | Configuration recommandée : Ryzen 7 3800XT, 64 Go de RAM, RTX 3070 Super | Langues : Anglais | Date de sortie : 22/05/2024 | Durée de vie : rejouabilité infinie (sic)
Test effectué sur une version fournie par l’éditeur.
On aimait bien les screenshots
Harvest Hunt nous raconte l’histoire d’un village maudit dont les champs sont hantés la nuit par une créature nommée le Devourer. De prime abord, on pourrait se dire que si la chose en question ne rode dans les champs que la nuit, on s’en fiche un peu. Mais, puisqu’évidement il y a un mais, c’est la nuit qu’il est possible de récolter de l’Ambrosia, une espèce de plante apparemment très importante. Le jeu nous abreuve de lore à travers des textes que l’on débloque après chaque run. Au départ, ça marche à peu près pour attiser notre curiosité, tout comme la direction artistique en cel-shading. L’atmosphère se veut sombre et pesante, avec de jolis effets de lumières. Malheureusement, on se rend vite compte que c’est la partie la plus réussie de Harvest Hunt. Au bout de dix minutes, la pauvreté du gameplay devient bien plus terrifiante que l’épouvantail qui nous pourchasse.
Mais où est la moissonneuse batteuse ?!
La structure du jeu est somme toute classique pour un rogue-lite : on spawn sur une map, on ramasse des trucs dispatchés aléatoirement, et on débloque de nouveaux bonus et utilitaires. La particularité de Harvest Hunt est que c’est avant tout un jeu d’infiltration, avec un peu de combat nul. Enfin… l’infiltration n’a pas grand intérêt non plus. Les développeurs nous disent de jouer comme on le souhaite. Cela se traduit par le fait qu’on peut se balader sur l’unique map disponible pour ramasser de l’Ambrosia et partir quand on le veut, ou se la donner avec le Devourer et tenter de le bannir pour encore plus d’Ambrosia.
Et le problème, c’est qu’on s’emmerde ! On avance à deux à l’heure, et le sprint s’apparente plus à une marche rapide qu’à une course. Au moins, ce pseudo-sprint d’asthmatique en béquilles nous permet d’aller suffisamment vite pour que le monstre ne nous rattrape pas. Il n’empêche que se débarrasser du Devourer pendant une run est fort pénible, et peu stimulant. En effet, il faut l’endommager à trois reprises pour qu’il lâche une effigie, qu’il faut ensuite amener à un endroit spécifique. Pour cela, on peut utiliser des fourches disséminées çà et là, ou des outils qu’on peut acheter avec nos points de vie entre les runs. Les plus utiles étant des haches de lancer qui permettent de faire tomber une effigie d’un seul coup. La fourche, elle, est particulièrement frustrante à cause de sa portée d’une vingtaine de centimètres. Cela fait que, quand on veut donner un coup, on a moins d’une chance sur deux d’attendre notre cible avant que la bestiole ne nous attrape. Et si on se fait avoir, il faut marteler les clics de la souris jusqu’à ce que le monstre arrête de nous crier dessus et daigne partir. Par contre, si on le touche tout de suite, on peut l’immobiliser et le taper trois fois de suite pour qu’il laisse tomber l’item dont on a besoin. Et, je répète, mais il faut faire ça trois fois pour le bannir. C’est d’un ennui abyssal. On s’amuse plus à regarder l’herbe pousser, sans personne qui essaie de nous hurler dans les oreilles.
Encore un jeu pour streamer ?
Si le concept de jeu de cache-cache en rogue-lite aurait pu être intéressant, le gameplay terriblement ennuyeux et répétitif d’Harvest Hunt en fait un jeu dont on fait le tour en trente minutes. Les mécaniques d’infiltration sont simplistes, les phases d’affrontement avec notre poursuivant sont poussives et frustrantes, et on n’a rapidement plus envie de suivre la narration puisqu’au final, on s’en fout. On a du mal à comprendre qui pourrait être intéressé par Harvest Hunt, à part peut-être des YouTubers surjouant la moindre frayeur.
Vous avez du mal à vous y retrouver dans le catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à trier le bon grain de l’ivraie.
L’art de la bande-annonce de jeu vidéo
STRIDE: Fates, un jeu de parkour avec un flic monté sur ressort, est sorti
Suite de Stride et sorti l’année dernière exclusivement sur Quest, Stride: Fates est désormais disponible sur Steam et PlayStation Store, depuis le 16 mai. Dans ce jeu de parkour, vous incarnerez un agent d’une unité spéciale équipé d’un grappin et d’armes de toutes sortes, ayant pour mission de démanteler des réseaux mafieux et corporatistes. Du côté de nos amis consoleux, les avis sont plutôt positifs ce qui n’est pas le cas sur la plateforme Gaben avec des avis plutôt négatifs. Il est reproché un jeu d’acteurs horrible, des contrôles qui manquent de précision (notamment la mécanique pour attraper/jeter les objets), l’absence d’options graphiques, l’impossibilité de réassigner les touches, de multiples bugs et une sombre histoire concernant l’utilisation d’IA pour l’aspect artistique qui a marqué particulièrement cet utilisateur.
Si vous souhaitez incarner un yamakasi avec un skin de flic des forces spéciales, Stride: Fates est disponible sur Steam, Playstation Store et Quest à moins de 30 €.
Les bons plans NoFrag du week-end s’investissent dans l’HAO, l’humour assisté par ordinateur
Cette semaine, les bons plan NoFrag du week-end ont découvert une toute nouvelle discipline liée à l’IA : l’humour assisté par ordinateur, ou HAO. Vous avez sans doute vu de bien belles charades, mais pour en arriver à des résultats aussi impressionnants, il faut du matos. Pour commencer, enfilez une tenue adéquate. Ensuite, on prépare un corpus pertinent. On peut, par exemple, s’orienter vers un domaine que l’on connaît, ou au contraire, que l’on fuit. Il faudra évidemment se baser sur les plus grands de ce monde, et ne pas oublier les classiques. On ajoutera quelques touches subtiles, pour finir sur un zeste d’absurdité. C’est bien beau d’avoir de la matière sur laquelle travailler, mais il va falloir ingérer tout ça. Et comme le beau temps revient, il n’y a pas 36 solutions pour éviter de faire flamber votre appartement. Voilà, vous êtes prêts pour être un roi de l’humour sans presque aucun effort !
Les bons plans Amazon
Notre expert en hardware, Gothax, nous a déniché, comme à son habitude, toute une série de matériel qui habillerait à merveille votre PC :
- La carte graphique Sapphire Pulse Radeon RX 7900 XTX AMD 24 Go GDDR6 à 1091 €.
- Ou chez les verts, la carte graphique PNY GeForce RTX 4080 Super 16GB à 1130 €.
- Le boîtier Cooler Master MasterBox TD500 Mesh V2 à 110 €.
- L’alimentation MSI MPG A850G PCIE5 à 130 €.
- Le CPU Intel Core i5-14600KF à 330 €.
- Ou le très bon AMD Ryzen 7 7800x3D à 389 €.
- La carte mère B760M A Elite X AX à 209 €.
- 32 Go de RAM DDR 5 CORSAIR VENGEANCE (2x16Go) 6000MHz CL30 Intel XMP à 129 €.
- Le SSD NVMe M.2 Lexar NM790 SSD interne 2To à 140 €.
- Ou le WD_BLACK SN770, 1 To à 80 €.
- Et si vous êtes parfois en déplacement, le HP Victus 15-fa1002sf (Indice de réparabilité 6.6/10) à 950 €.
Enfin, n’oubliez pas que si vous ne trouvez pas votre bonheur parmi les produits proposés dans notre article, vous pouvez tout de même nous soutenir en collant ?tag=nofrag-21 à la fin de l’url de n’importe quelle marchandise sur Amazon et ainsi nous faire gagner quelques euros bien utiles.
Les bons plans Gamesplanet
Enfin ! On a eu des nouvelles de notre partenaire Gamesplanet ! Et on apprend que de nombreux titres plutôt importants viennent de sortir. Bon, ce ne sont pas des FPS, mais tout le monde n’a pas d’aussi bons goûts que les membres de la rédac’. Alors c’est parti :
- V Rising est sorti la semaine dernière, et les gens ont l’air de l’apprécier. La réduction est de 20 %, ce qui le fait à 28 €.
- Fabledom, un jeu city builder, également très bien noté et sorti il y a quelques jours, est à –45 %, soit un peu moins de 12 €.
- Gatekeeper, un rogue-lite coop vue de dessus en cel shading, apparemment très réussi, est à –10 %, soit 13,5 €.
- Men of War II, un jeu de stratégie très attendu, semble plutôt décevoir, mais il bénéficie de 11 % de réduc, ce qui le fait à 40 €.
- Ghost of Tsushima DIRECTOR’S CUT est sorti il y a deux jours et met tout le monde d’accord, sauf les membres de 172 territoires, dont les DROM français, qui ne peuvent pas savoir. Pour les autres, il est à –10 %, soit 54 €.
Et en jeu en vue subjective, me direz-vous ?
- Insurgency: Sandstorm est à –71 %, soit un peu moins de 9 €.
- L’intriguant Blacktail est aussi à –71 %, soit un peu moins de 9 €.
- The Forgotten City, le jeu d’enquête dans la Rome antique, est à –70 %, soit un peu moins de 8 €.
- How 2 Escape, le sympathique puzzle game coopératif asymétrique (PC/mobile) français est à –56 %, soit un peu moins de 7 €.
- Ghostrunner est à 8 €, et Ghostrunner 2 est à 10 €.
Comme plus haut pour Amazon, si vous ne trouvez pas votre bonheur dans ces listes de jeux, vous pouvez utiliser le code ?ref=nofrag et le coller à la fin de l’URL du jeu qui vous intéresse. Ça arrivera dans notre porte-monnaie virtuel Gamesplanet et nous permettra de nous payer les clefs que les éditeurs ne nous envoient pas !
Merci à tous pour votre soutien !
Windows sur ARM : cette fois, c’est la bonne ?
Heat : Heavy Rain
Certains l’aiment shogun
Préparez-vous à un voyage gastronomique sans précédent avec la sortie de PO’ed: Definitive Edition
Dévoilé le 1er avril, il n’aura pas fallu attendre longtemps pour le studio Nightdive de sortir ce rétro-FPS peu ragoutant, PO’ed: Definitive Edition, ce 16 mai. Au menu, un cuistot vénère équipé d’un jetpack et d’armes plus atypiques les unes que les autres, pour affronter une horde d’aliens au design très douteux, dans des niveaux ouverts en 3D. Par exemple, si vous êtes un amateur de spécialités « cul »inaires, vous aurez le plaisir de rencontrer cette paire de fesse avec des jambes, qui vous attaquera avec ce qui semble être une flatulence. Pour apprécier dans les meilleures conditions votre plat de résistance, cette édition s’accompagne d’améliorations sur le gameplay, de corrections de bugs, du support écran large et d’un nouveau mode de difficulté.
On ne va pas se le cacher, ce jeu ne met pas l’eau à la bouche par la qualité de ses graphismes, et encore moins par son gunplay. À la rédac, on n’arrive toujours pas à comprendre ce qui a motivé les devs à plancher sur PO’ed. Du côté de Steam, les avis ne se bousculent pas au portillon, avec trois évaluations au moment où l’on écrit la news.
Si vous avez un quelconque intérêt pour PO’ed: Definitive Edition, ce dernier est disponible sur Steam au prix de 19,50 €, et sur GoG pour un euros de moins.
Microsoft entre Xbox et Activision-Blizzard
Laysara : Summit Kingdom
Lara et la matière
La sortie de Mullet Mad Jack relance la tendance de la coupe mulet
Êtes-vous nostalgique de l’univers des animés des années 90′, ou bien souhaitez-vous simplement changer d’air après une très mauvaise expérience vidéoludique ? Eh bien, sachez que Mullet Mad Jack, un rétro-FPS avec une bonne dose d’action frénétique, est sorti comme prévu ce 15 mai accompagné de sa bande-annonce de lancement. Dans un futur dominé par des robots mégalos, vous incarnerez un modérateur du nom de Jack devant sauver une belle influenceuse pour se voir récompensé d’une magnifique paire de Sneakers. Problème, vous ne disposerez que de 10 secondes de vie, qui seront récupérables qu’en enchaînant des meurtres stylés et sanglants. Avec sa composante rogue-lite, vous pourrez bénéficier de bonus temporaires, ainsi que d’armes améliorables et diverses. De plus, chaque étage visité aura des pièces générées aléatoirement, comprenant des pièges, des ennemis et un boss.
À la rédac, notre expert Loulou a très apprécié la proposition du studio HAMMER95, et si vous souhaitez en savoir davantage, le test est déjà disponible.
À l’occasion de sa sortie, Mullet Mad Jack est en promotion sur Steam à moins -10 % jusqu’au 24 mai, soit moins de 18 €, si vous êtes intéressé.
Le FPS Rythmique Robobeat est sorti
Depuis son annonce en 2022, le FPS rythmique Robobeat n’a jamais vraiment suscité beaucoup d’intérêt au sein de la rédac’. Sans doute à cause du manque d’originalité de la proposition et de la présence de concurrents déjà bien installés tels que Metal: Hellsinger, BPM: Bullets Per Minute ou Gun Jam. Et ce n’est pas parce qu’on peut facilement importer de la musique que ça va nous faire changer d’a…
BEST GAME EVER !!§! Plus sérieusement, le feeling est très sympa : les armes ont de la patate et les mouvements (dash, double-saut, glissade) vraiment nerveux. Et malgré la sobriété artistique, l’aspect est plutôt réussi, notamment lorsque l’on se fait toucher. La composante rogue-lite fonctionne aussi très bien : il y a des armes aléatoires, des bonus temporaires, etc. Et ajouter une musique est extrêmement simple. Il suffit de choisir un fichier mp3 sur son PC, et c’est bon (pour les titres avec une rythmique fixe, au moins). Par contre, ce n’est pas facile de coller au rythme. Mais une fois dedans, comme pour les autres jeux du genre, on se laisse emporter avec plaisir.
Si comme nous, vous hésitez, testez donc la démo, qui vous donnera un bon aperçu de ce que Robobeat peut proposer. Et si vous êtes convaincu, il est actuellement à –20 % pour la semaine de sa sortie sur Steam, soit un peu moins de 16 €.