Non, on déconne. À l’occasion de la sortie de Murky Divers, les développeurs ont eu la super bonne idée de publier une vidéo avec les réactions live de joueurs PAS DU TOUT EXAGÉRÉES !!! OH MY GOD !!! Autant vous dire que ça ne nous donne pas franchement envie de tester ce clone de Lethal Company, mais sous l’eau et limité à quatre joueurs. NoTip : baissez le son avant de lancer la vidéo.
Si vous êtes streamer et que vous aimez en faire des caisses, l’accès anticipé de Murky Divers est actuellement en promo pour sa semaine de lancement à –25 % sur Steam, soit un peu moins de 5 €.
La semaine dernière, nos confrères d’IGN ont pu s’entretenir avec Saber Interactive et Universal à propos de Jurassic Park: Survival. On avait découvert le projet à l’occasion des Game Awards de décembre dernier, qui s’annonçait comme un FPS solo d’action/aventure. Les quelques bribes d’images de gameplay à la fin du trailer ne nous avaient pas vraiment renseignés sur ce qui attendrait les joueurs, et les conjectures allaient bon train. Un walking-sim horrifique ? Un Alien Isolation-like ?
L’article d’IGN ne révèle pas grand-chose sur le gameplay, hormis le fait qu’il y aura sans doute une très grande part d’infiltration. L’un des producteurs indique que le personnage que l’on incarne n’aura pas de super-pouvoir, et qu’il faudra rester discret pour survivre. Du côté du lore, on apprend que l’histoire se déroulera le lendemain des événements du premier film, et que l’on sera amenés à visiter des endroits que l’on ne connaît pas, en plus des lieux iconiques de la série.
Enfin, si aucune fenêtre de sortie n’est pour l’instant annoncée, on sait que ce ne sera pas en 2024, comme le précisent les producteurs. En attendant, si Jurassic Park: Survival vous intéresse, vous pouvez toujours suivre le projet sur le site officiel, sa page Steam ou Epic Games Store.
Il y a quelques jours, un trailer pour A Quiet Place: The Road Ahead est apparu sur la chaîne YouTube officielle de Xbox. Si vous avez bonne mémoire, vous vous souviendrez que Saber Interactive avait annoncé en 2021, être l’éditeur d’une adaptation du film éponyme. À l’origine, ce jeu d’horreur et d’infiltration, a priori basé sur le son, devait sortir en 2022.
Trois ans plus tard, on n’en sait pas beaucoup plus, puisque c’est une bande-annonce en CGI qui a été présentée. On suppose qu’il faudra fouiller des lieux et éviter de faire du bruit pour survivre. Rien de bien folichon ni très original, et ce n’est pas la description sur Steam qui va nous contredire. De là à dire qu’on est sur un schéma classique de cash grab sur une licence à succès, il n’y a qu’un pas…
En attendant d’en savoir plus, ce qui ne saurait tarder vu qu’il est prévu pour cette année, vous pouvez ajouter A Quiet Place: The Road Ahead à votre liste de souhaits depuis sa page Steam s’il vous intéresse.
Comme prévu, Crime Boss: Rockay City est arrivé sur Steam le 18 juin. On ne peut pas dire qu’on attendait vraiment cet événement, puisqu’on avait trouvé le jeu complètement à chier lors de sa sortie il y a un peu plus d’un an. Cependant, à peine arrivé sur la plateforme de Gaben, de nombreuses voix s’élèvent déjà pour célébrer la qualité du jeu. Encore une fois, on ne peut que rester dubitatif face à ce retournement de situation, et il n’est pas difficile d’imaginer que comparé au catastrophique PAYDAY 3, Crime Boss ne peut en ressortir que grandi. Les différents points évoqués parlent notamment du prix plus contenu – 20 € sans promo –, mais aussi des niveaux plus grands, ainsi que beaucoup d’éléments aléatoires. D’autre part, une connexion aux serveurs du jeu n’est pas requise, évitant de petits soucis, comme par exemple, quatre jours sans possibilité de lancer une partie. Enfin, plusieurs avis indiquent qu’ils avaient détesté le jeu à la sortie sur l’Epic Games Store en avril 2023, mais maintenant, ils adorent. Mouais.
Pour finir, tous les DLC, dont Cagnali’s Order dont nous vous avions parlé il y a quelques semaines et qui vient de sortir, sont gratuits pendant quelques jours. D’ailleurs, si vous possédiez le jeu de base sur l’Epic Games Store, c’est aussi le cas pour vous.
En tout cas, les développeurs semblent profiter de l’engouement en surfant sur leur bonne étoile, mais aussi en faisant des bons choix : baisse de prix, cadeaux de DLC, et annonce d’une roadmap pour les mois prochains. Peut-être de quoi fournir aux joueurs une histoire de devs qui partent du fond du trou pour arriver à quelque chose de correct ?
Cela faisait un moment que nous n’avions pas entendu parler de PROJECT WRAITH, un FPS compétitif « pro-consommateur », avec un server browser, un gameplay simple et orienté action, et sans tout le bullshit des FPS modernes comme les micro-transactions. Enfin… c’est comme ça que le décrivent les créateurs. Hier, nous avons appris, via un court teaser, que le jeu avait trouvé un éditeur : ce sera Team17 (Worms, Hell Let Loose, Trepang²…).
En 2021, ils avaient réussi de justesse leur campagne Kickstarter, et a priori, ils ont continué à bosser sur leur jeu. D’ailleurs, on ne l’avait pas vu passer, mais en fin d’année dernière, ils ont publié une vidéo de gameplay :
Peut-être sommes-nous maintenant complètement blasés, mais difficile d’être enthousiasmés par ce qu’on voit. Outre les mouvements et les animations qui semblent corrects, le fait qu’il n’y ait aucun recul sur les armes choque un peu plus maintenant qu’en 2007, dans Promod pour Call Of Duty 4: Modern Warfare. Et on a vraiment du mal à voir qui serait intéressé par la proposition, hormis quelques vieux geeks nostalgiques, pour leurs 20 minutes quotidiennes de liberté, entre le passage d’aspirateur et l’entraînement de foot de leur petit Timéo. Un projet qui sent très fort le Diabotical, le Battalion 1944 ou même le Promod…
Néanmoins, avec maintenant l’appui d’un éditeur solide, il y a de grandes chances que PROJECT WRAITH arrive réellement un jour, même s’il n’y a, pour l’instant, aucune fenêtre de sortie. Si la nostalgie vous envahit, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.
Un peu plus tôt dans la journée, est sorti REPUNK, un walking-sim développé par une seule personne, se déroulant sur Mars. Une fois n’est pas coutume, vous devrez laisser le fusil à pompe de côté pour vous focaliser sur l’exploration. Votre but sera de découvrir ce qui se trame en moins de 48 heures – 48 minutes pour nous –, sous peine de recommencer à zéro. Cela rappelle inévitablement le très bon Outer Wilds, et les rares personnes ayant donné leur avis sur ce petit jeu indé semblent plutôt convaincues.
L’ambiance a l’air plutôt pas mal, et il est probable qu’on y jette un coup d’œil, pour nous reposer entre deux fast-FPS.
Si l’exploration de Mars vous tente, REPUNK est actuellement en promotion à –20 % sur Steam pour sa semaine de lancement, ce qui le fait à un peu plus de 10 €.
Découvert en avril dernier lors de l’ID@XBOX spring showcase 2024, Jump Ship se présentait comme un shooter coop mixé avec une partie pilotage de vaisseau très arcade. Les premières images laissaient entrevoir une mécanique empruntée à l’extraction shooter, mais avec un gameplay très accessible. La vidéo présentée il y a quelques jours nous montre une séquence complète de jeu, du début à la fin de ce qu’on pense être un raid. On voit les joueurs définir leur objectif, puis ils se posent à un endroit pour activer un truc, ce qui leur permet d’aller à un autre endroit pour faire la vraie mission. À la fin, ils récupèrent du matos pour améliorer leur vaisseau, et finissent par du dogfight en atmosphère. Le problème, c’est que toute la partie en FPS est nulle à chier. Les armes semblent un peu molles, mais surtout, les ennemis sont des putains de drones et de robots. Il semble n’y avoir aucune sensation lors de gunfights, malgré le fait que tout le monde joue à la souris. Seuls les mouvements un peu aériens (jetpack, grappin) ont l’air plutôt pas mal.
Même si on s’attendait à ce que la partie en FPS ne soit pas forcément très bien réalisée, on est tout de même un peu déçus de voir à quel point c’est nul pour l’instant. On espère que les développeurs réussiront à rendre les combats un minimum intéressants, car le concept, un peu original, nous tentait bien.
Pour l’instant, Jump Ship est toujours prévu pour sortir en accès anticipé avant la fin de l’année. S’il vous intéresse, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.
Lancée en avril 2023 avec le projet Unrecord, la mode des bodycam FPS a fait des émules. Si on a pu voir apparaître des jeuxd’horreur de-ci de-là reprenant le même concept, en septembre dernier, c’est Bodycam qui avait le plus fait parler de lui. Semblant jouer de sa ressemblance avec Unrecord, il s’annonçait comme son pendant multijoueur, et disponible presque immédiatement. Finalement, compte tenu de l’énorme engouement suscité, les deux jeunes développeurs français du studio Reissad décidaient d’étoffer un peu leur concept, d’agrandir leur équipe et de repousser la sortie. En janvier dernier, lors des playtests, nous avions même pu les interviewer et ainsi avoir un peu plus de précisions sur leurs intentions. Si le concept était très alléchant, il manquait tout de même des composantes importantes : un level design et un game design. Malheureusement, cinq mois après, pour la sortie en accès anticipé, on n’a pas l’impression que le projet ait beaucoup évolué.
Genre : Bodycam FPS |Développeur : Reissad Studio | Éditeur : Reissad Studio | Plateforme : Steam|Prix : 33,32 €|Configuration recommandée : Ryzen 7 3800X / Core i7-10700K, 16 Go de RAM, RX 6600 XT / RTX 3060|Langues : Anglais |Date de sortie en accès anticipé : 12/06/2024 |Durée de vie : deux ou trois heures avant de se lasser
Test effectué sur une version fournie par le développeur.
Illusionnisme et réalisme
Cela ne vous aura pas échappé, Bodycam mise sur le réalisme. C’est même du photoréalisme, principalement basé sur la technologie de photogrammétrie, dont le principe est justement de prendre des photos dans le monde réel, pour en faire des textures à appliquer sur des modèles 3D. Une astuce supplémentaire intervient avec l’effet caméra embarquée, qui permet de salir l’image afin de la faire ressembler à ce que sortent les véritables appareils, notamment ceux des policiers. On n’a donc pas un rendu tel qu’on pourrait le voir en vrai, mais tel qu’on pourrait le voir sur une diffusion d’une caméra embarquée. D’ailleurs, les visages de tous les personnages sont floutés, procédé assez malin pour coller aux vidéos réelles et simplifier le travail sur une partie du corps facilement ratable, comme on peut le voir dans les menus. L’immersion est d’autant plus renforcée par un sound design très cohérent : les coups de feu sont très forts et saturent, afin, encore une fois, de simuler le rendu d’une bodycam. Les ragdolls, lors de la mort des adversaires, sont aussi très réussies. Les corps dévalent les escaliers ou les rochers de façon très crédible. Du côté des armes, on voit qu’un grand soin a été apporté à l’animation, ce qui renforce également l’immersion. Le feedback est très prononcé et donne un super feeling, qu’on rêverait avoir dans beaucoup de milsim, Arma 3 en tête. Les tirs provoquent de violents mouvements difficiles à maîtriser, une sorte de chaos que l’on imagine parfaitement pouvoir être rencontré dans une situation aussi extrême.
Le QWOP du FPS
Bien que Bodycam soit un FPS, la prise en main n’est pas très aisée à appréhender. On a un peu l’impression d’avoir affaire à une sorte de QWOP en 3D, sans vraiment comprendre pourquoi notre personnage penche la tête, ramène son arme contre lui ou met trois plombes à se relever. Après quelques dizaines de minutes, on commence à un peu mieux le maîtriser et les sensations sont plutôt bonnes. Pour le coup, ces mouvements ne sont pas du tout réalistes, mais viennent apporter un peu de lourdeur et un sentiment de puissance lorsque l’on vient à tirer. On se demande donc bien pourquoi on peut trouver une carte avec plein de recoins et de passages exigus, particulièrement inadaptée aux mouvements proposés. Peut-être est-ce parce que c’est l’une des deux seules cartes vraiment conçues par les développeurs du studio ?
Eh oui, on arrive aux limites de ce que propose Bodycam. Actuellement, sur les cinq cartes proposées, trois proviennent directement du magasin d’assets (Russian Building, Worn House et Oil Rig). Le travail a principalement été d’ajouter des éléments de décor et de positionner de petites structures, afin de faire plus réaliste et tenter de bidouiller la map pour en faire quelque chose d’exploitable, comme on peut l’entendre lors de l’interview. Comme Airsoft House, Tumblewood, une carte en forêt, a peut-être entièrement été développée par Reissad. Manque de bol, elle est complètement naze. Trop vaste, illisible et sans choke point. Même après sa modification récente, c’est sans doute la carte la plus inutile. La plateforme pétrolière, quant à elle, beaucoup trop grande, est une autre preuve du manque de vision de l’équipe. En effet, à quoi cela sert-il de proposer quatre ou cinq étages pour un jeu en 5v5 dans lequel on meurt en une ou deux balles ? Restent donc Russian Building et Worn House, toutes deux assez restreintes et plutôt agréables à jouer, mais qu’ils n’ont pas créées. On ressent un cruel manque de level design. D’après ce que l’on a compris, il semblerait pourtant qu’un level designer ait fait partie de l’équipe, mais celui-ci a quitté le studio la veille de la sortie en accès anticipé, a priori pour divergence d’opinions.
Il y a actuellement trois modes de jeu. Tout d’abord, le bête deathmatch, qui sert plus d’échauffement qu’autre chose, puisque les respawn sont aléatoires. Il arrive donc régulièrement d’apparaître face à un ennemi déjà prêt à tirer, et donc de décéder immédiatement. Chouette. Vient ensuite le team deathmatch, très classique, mais efficace. Parfois un peu long quand seuls deux adversaires ont survécu, et qu’ils tournent silencieusement chacun de leur côté de la map. Enfin, les développeurs ont intégré le mode body bomb lors de la sortie en accès anticipé. Une des deux équipes possède une bombe, qu’elle peut activer dès le démarrage de la manche. Il faudra ensuite la défendre jusqu’à l’explosion, tandis que les adversaires tenteront de la désamorcer. Autant vous dire qu’on a rarement vu un principe aussi con. À niveau égal, l’équipe en possession de la bombe est quasiment sûre de gagner, puisqu’il suffit de camper la zone de spawn. C’est peut-être une tentative d’innover et ne pas se retrouver à reprendre le principe de Counter-Strike, c’est-à-dire d’avoir des zones spécifiques dans lesquelles on peut poser la bombe. Malheureusement, on ne peut pas dire que ce soit une réussite.
C’est assez classique avec l’Unreal Engine 5 : il faut une carte graphique récente pour que ça fonctionne à peu près. Bodycam ne déroge pas à la règle, en mettant de côté pas mal de joueurs. Comme d’habitude avec les accès anticipés, on ne va pas trop critiquer ce point, car l’optimisation est souvent un aspect travaillé en fin de projet. Par contre, on peut tout de même pester contre cette UI à la fois horrible, pas pratique et très buggée. Il va falloir vous armer de patience si, comme moi, le jeu se lance en fenêtré à une résolution inférieure à celle de votre écran : le bouton de retour ne fonctionne qu’une fois sur dix. Ce n’est certainement pas très spectaculaire, mais il va falloir retravailler tout ça…
Et maintenant ?
Le lancement a été une franche réussite : plus de 16 000 joueurs simultané la nuit du lancement et 11 000 évaluations en une semaine. Même si elles ne sont pas toutes positives (autour de 71 %), la plupart sont aveuglés par le gunplay très réussi. Le communautarisme doit aussi pas mal aider, car j’ai principalement rencontré des français lors de mes parties. D’autre part, même s’il n’est pas l’instigateur du mouvement, c’est bien Bodycam qui arrive le premier sur le marché. Il reste donc à voir si les développeurs honoreront leurs promesses, matérialisées par une roadmap mise en ligne quelques jours avant la sortie. On devrait donc voir arriver de nouvelles cartes avant la fin du mois, et on aimerait bien qu’elles soient originales, tant qu’à faire. Espérons qu’ils aient vraiment bossé sur le level design. Du côté des modes de jeu, il faudra attendre le troisième trimestre avec un mode zombie, ce qui ne semble assez étrange, vu l’orientation compétitive du projet initial. Mais si ça se trouve, cela se révélera beaucoup plus intéressant que le reste ! Et sinon, de nouvelles armes et de nouveaux skins sont prévus, alors tout est évidemment pardonné.
Rendez-vous dans un an
En arrivant le premier sur le marché, Bodycam frappe un grand coup. Son concept de caméra embarquée, visuellement très impressionnant par son réalisme, convainc aisément. En plus, le gunfeel est très percutant et jouissif, et les mouvements, bien qu’un peu durs à appréhender, sont assez sympas avec un peu d’entraînement. Malheureusement, pour l’instant, il n’y a rien de plus, ce qui fait un peu mal au cul pour le prix. Seules deux cartes issues du store Unreal sont réellement exploitables et uniquement en team deathmatch, car le mode body bomb est aussi équilibré qu’une brique dans une machine à laver. Les cartes entièrement développées en interne ne présentent aucun intérêt et montrent qu’il y a un gros manque de compétences du côté level design et game design. Maintenant que le studio a amassé un petit pactole avec son lancement réussi, il serait temps d’embaucher des gens compétents pour mettre en œuvre leur vision, en plus des très bons animateurs qu’ils ont déjà. En attendant, on ne vous conseille franchement pas de vous lancer dans l’aventure, mais plutôt de patienter jusqu’à l’arrivée de vrai contenu.
Vous avez du mal à vous y retrouver dans le catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à trier le bon grain de l’ivraie.
Comme beaucoup de monde, les bons plans NoFrag du week-end on eu du mal à suivre tous les rebondissements incroyables de cette semaine sur la scène politique. Alors ils ont décidé de se vider la tête, pour repartir sur de bonnes bases. On commence avec un casque à réduction de bruit pour écouter des albums de méditation et un masque de sommeil. Si votre environnement est déjà calme, optez plutôt pour ce très joli galet. Pour être dans les meilleures dispositions, on vous conseille un pouf géant, ou au minimum, un tapis épais. Évidemment, pensez aussi à des vêtements amples et confortables. Rien de tel qu’une petite tisane – et une boule à thé de bon aloi – pour également apaiser l’intérieur de votre corps. Si vous habitez en ville, c’est peut-être aussi le moment de changer de rideaux, pour quelque chose d’un peu plus occultant. Et si vous aviez prévu d’aller faire les courses, n’oubliez pas de vous équiper en conséquence.
Les bons plans Amazon
Cette semaine, notre bon Gothax a parcouru avec attention les rayonnages de notre partenaires Amazon, afin de nous confectionner un PC pour jouer en 1440p et 144Hz. Voici sa sélection :
Enfin, n’oubliez pas que si vous ne trouvez pas votre bonheur parmi les produits proposés dans notre article, vous pouvez tout de même nous soutenir en collant ?tag=nofrag-21 à la fin de l’url de n’importe quelle marchandise sur Amazon et ainsi nous faire gagner quelques euros bien utiles.
Les bons plans Gamesplanet
Cette semaine, on a pas mal échangé avec notre partenaire Gamesplanet. Il nous a notamment informé qu’il proposait des précommandes pour le walking sim horrifique Still Wakes The Deep, qui sort le 18 juin. Il y a une promo de –15 %, ce qui le fait à moins de 30 €. Et notre petit doigt nous dit qu’il y aura sans doute des affaires à faire avec le DLC Forges of Corruption de Warhammer 40,000: Boltgun, qui sort également le 18 juin. En attendant la mise en place de la page, le jeu de base est soldé à –41 %, ce qui le fait à 13 € jusqu’au 16. Et pour rester chez l’Empereur, il y a toujours la réduction sur la précommande de Warhammer 40,000: Space Marine 2, adjoint d’un code promo qui vous permet de l’obtenir encore moins cher. Avec le code NOFRAG, vous avez 15 % de réduction. Vous pouvez donc précommander l’édition standard à 52,29 €, l’édition Gold à 76,94 € et l’édition Ultra à 85,49 €. Et sinon, en ce moment, on vous propose :
Comme plus haut pour Amazon, si vous ne trouvez pas votre bonheur dans ces listes de jeux, vous pouvez utiliser le code ?ref=nofrag et le coller à la fin de l’URL du jeu qui vous intéresse. Ça arrivera dans notre porte-monnaie virtuel Gamesplanet et nous permettra de nous payer les clefs que les éditeurs ne nous envoient pas !
Au beau milieu des annonces du Non-E3, les développeurs russes du PIONER, un MMO FPS très inspiré de S.T.A.L.K.E.R., ont pensé que c’était une bonne idée de sortir une nouvelle vidéo pour détailler leur jeu. Pour rappel, il est en développement depuis 2017 et devait initialement sorti en accès anticipé en 2021 ou 2022. Depuis, on nous avait promis des phases de tests tous les ans sans jamais qu’on les voit arriver. Si la direction artistique et le gunplay semblent vraiment réussis, c’est tout l’aspect décrit comme un MMO, avec des quêtes et des donjons, qui nous avait un peu refroidis. Mais ils avaient aussi expliqué que les joueurs voulant rester en PVE pourraient tout à fait trouver leur compte.
Dans cette vidéo, un narrateur nous explique ce qui est prévu. Il s’attarde notamment sur le fait que contrairement à des jeux comme Gray Zone Warfare, dans lesquels l’univers PVE et PVP sont deux versions d’un même monde, dans PIONER, les zones seront séparées géographiquement, et le matériel de haut niveau ne sera trouvable que dans les zones PVP, également peuplées d’une faune plus dangereuse. Sinon, ils nous montrent un peu plus l’arbre de compétences, qui s’apparente à un RPG classique, et semblent fiers de présenter des PNJ qui racontent leur vie. Ces images font toujours énormément penser à S.T.A.L.K.E.R., puisqu’on y voit des anomalies, des monstres et des armes soviétiques. La vidéo se termine en nous donnant rendez-vous pour l’année prochaine, sans doute pour enfin, le lancement de l’accès anticipé.
En attendant, on ne sait toujours pas précisément sur quelle plateforme PIONER sortira, mais le site officiel parle d’une sortie sur la console de Sony et celle de Microsoft, en plus du PC. A priori, il sera donc au moins disponible sur le store Xbox.
Lundi dernier, nous avons enregistré le NoScope #56. On est rapidement revenus sur les quelques news des dernières semaines, avec notamment la sortie en accès anticipé de Bodycam, les patches d’Escape From Tarkov et l’avenir incertain d’ALARA Prime.
On a enchaîné avec le test de l’excellent Selaco, ce rétro-FPS développé sous GZDoom mais qui met la misère à la plupart des triple A. Et on a terminé avec un gros dossier, les conférences du Non-E3, qui nous ont semblées beaucoup trop prolifiques, avec des lives et des annonces dans tous les sens, sans vraiment de cohérence. Mais on a tout de même vu deux ou trois trucs intéressants.
00:00:00 – Intro 00:01:57 – Les news en vrac (Bodycam, Road to Vostok, Core Decay…) 00:29:51 – Les news tech/business (ALARA Prime) 00:32:16 – Les mises à jour & DLC (Rainbow Six: Siege, Escape From Tarkov, Gloomwood) 00:46:01 – PREVIEW : Selaco 01:11:10 – DOSSIER : les conférences du Non-E3 02:15:01 – À venir 02:17:27 – À quoi on joue
En espérant que ça vous fasse autant marrer à entendre que nous à le faire, on vous donne rendez-vous dans deux ou trois semaines pour un nouveau NoScope !
S’il y a bien un événement qu’il fallait suivre, c’était l’Indie FPS Summer Showcase de ZlimBratSki, un youtuber spécialiste des FPS. Pour l’occasion, la rédaction a mis en place un dispositif exceptionnel : un restream commenté. En plus, on a eu la visite surprise d’un ancien rédacteur, et non des moindres, puisqu’il s’agit de notre très estimé Rutabaga.
Mais on va quand même vous faire un récap des jeux les plus intéressants, car il y en avait une sacrée palanquée. On ne va pas vous faire une description détaillée, comme pour les autres articles, car ce serait trop long. Alors voici un tableau !
Retrouvez la liste de tous les événements du Non-E3 dans notre super guide NoFrag !
Comme prévu, Bodycam, le FPS multijoueur avec une esthétique reprenant les caméras embarquées des policiers, est sorti en accès anticipé le 8 juin. Un lancement plutôt réussi, car il a vu un peu plus de 16 000 joueurs simultanés dans les premières heures. Cependant, les avis sont plutôt mitigés : seulement 67 % sont positifs, ce qui n’est pas terrible. Même l’affreux et vide Incursion Red River, dans un autre registre, fait mieux.
En même temps, ce n’est pas très étonnant. On a pu tester pendant deux petites heures cet accès anticipé, et on a fait le tour de ce qui est proposé. En effet, si le concept fonctionne, à savoir, la vue bodycam et le gameplay viscéral, il n’y a rien d’autre à se mettre sous la dent. Les maps proposées sont des éléments achetées sur le store Unreal, et seulement deux d’entre elles présentent un réel intérêt. On se demande bien ce qu’a branlé le level designer, qui semble d’ailleurs avoir quitté le studio la veille du lancement. Du côté game design, c’est l’encéphalogramme plat, avec un mode bombe complètement déséquilibré, ajouté pour le lancement sans aucune vision précise. Ce qui fait que le team deathmatch est l’unique mode valable. Autant vous dire qu’on est sacrément déçus. Dans tous les cas, on va essayer de rapidement vous proposer une preview pour rentrer un peu plus dans les détails.
En attendant, on vous déconseille fortement de vous lancer dès maintenant dans Bodycam, qui, en plus, est proposé à un prix vraiment élevé pour ce qu’il propose. Même en promo à -10 % sur Steam pour la semaine de sa sortie, ça le fait à 30 €.
Lundi soir, le 10 juin à 21 h, nous enregistrerons le NoScope #56. On reviendra rapidement sur les quelques news des dernières semaines, avec notamment la sortie en accès anticipé de Bodycam, les patches d’Escape From Tarkov et l’avenir incertain d’ALARA Prime.
On enchaînera sans doute avec le gros dossier, les conférences du Non-E3, qui nous ont semblées beaucoup trop prolifiques, avec des lives et des annonces dans tous les sens, sans vraiment de cohérence.
Enfin, on finira en beauté avec le test de l’excellent Selaco, ce rétro-FPS développé sous GZDoom, mais qui met la misère à la plupart des triple A.
Alors enfilez vos claquettes, piochez dans le bol de cacahuètes, et retrouvez nous lundi soir à 21 h sur la chaîne Twitch de NoFrag !
Enfin, n’oubliez pas que si vous ne trouvez pas votre bonheur parmi les produits proposés dans notre article, vous pouvez tout de même nous soutenir en collant ?tag=nofrag-21 à la fin de l’url de n’importe quelle marchandise sur Amazon et ainsi nous faire gagner quelques euros bien utiles.
Les bons plans Gamesplanet
Comme les précédentes semaines, notre partenaire Gamesplanet continue à proposer une réduction sur la précommande de Warhammer 40,000: Space Marine 2. Et en plus, ils nous ont même créé un code promo, ce qui vous permet de l’obtenir encore moins cher. Avec le code NOFRAG, vous avez 15 % de réduction. Vous pouvez donc précommander l’édition standard à 52,29 €, l’édition Gold à 76,94 € et l’édition Ultra à 85,49 €. Et sinon, en ce moment, on vous propose :
Comme plus haut pour Amazon, si vous ne trouvez pas votre bonheur dans ces listes de jeux, vous pouvez utiliser le code ?ref=nofrag et le coller à la fin de l’URL du jeu qui vous intéresse. Ça arrivera dans notre porte-monnaie virtuel Gamesplanet et nous permettra de nous payer les clefs que les éditeurs ne nous envoient pas !
Après notre petite liste des démos à éviter, voici celle des bonnes démos, ou de celle qu’on n’a pas pu tester, et qu’on met ici, dans le doute.
Les démos bien
Sorceress
Genre : Immersive sim / action
On en parlait il y quelques jours pour le lancement de son Kickstarter, Sorceress est un immersive sim orienté action, avec des mouvements très agréables et des combats bien dynamiques. Il est très inspiré de Dark Messiah of Might & Magic, et c’est cool.
Calme, onirique et très joli, Été ne s’adressera pas à tout le monde ici. Mais si derrière l’armure de plate, hérissée de pics sanglais, bat un petit cœur tout mou, vous pourriez être séduit. En plus, il est parfois involontairement comique, lorsque l’on crée des tableaux complètement cons.
Sans doute développé en collaboration avec un lobby secret d’ophtalmologistes, Scroomage propose un gameplay rapide, violent et gore, en noir, blanc et rouge – pour le sang. L’action est difficilement lisible, mais ça participe à son charme.
Est-ce ne notre faute si les bonnes démos ne proposent pas d’exploser ses adversaires à grands coups de fusil à pompe ? Bon, alors vous plaignez pas d’avoir encore un walking sim dans cette liste. En plus, dans While We Wait Here, vous pouvez confectionner des burgers tout secs et l’esthétique est inspirée de la PS One. L’histoire a l’air sympa.
Peripeteia est un projet très intriguant. C’est un immersive sim dans un univers post-apo chez les soviétiques, et dans lequel on est très libre de ce qu’on fait. Le jeu ne nous prend pas par la main. Par contre, le système d’inventaire est infernal et l’IA est complètement cassée.
Cette édition du Steam Néo Fest est, plus encore que les précédentes, bourrée de jeux d’horreur, d’une qualité plus que douteuse. On en a testé quand même un ou deux, dont REVEIL, qui a le bon goût d’être joli, de proposer des énigmes sympas et d’aborder des sujets légers, comme les violences infantiles. Mais ça reste un walking sim d’horreur classique.
Les démos qu’on a pas testé, mais dont la jaquette a attiré notre attention
ELDRIMAR
Genre : Action-RPG
On en parlait cet été, ELDRIMAR est une sorte de Skyrim like avec des dégâts localisés, ce qui change de la tétrachiée de copies ratées que l’on a pu voir jusque là.
Annoncé fin août dernier, nous avons découvert l’existence de Soulslinger: Envoy of Death il y a quelques jours, et qu’il avait une démo. Il s’agit d’un rogue-lite FPS mélangeant l’univers du western et les mythologies autour de la mort. La direction artistique semble plutôt pas mal et les mécaniques de jeu sont classiques, mais pas inintéressantes. Dans un autre style graphique, il pourrait faire penser au sympathique Perish. On nous propose ici de parcourir des niveaux de manière aléatoire, dans lequel il faudra vaincre une vague d’ennemis pour gagner un nouveau pouvoir à choisir entre trois, ou des ressources pour crafter de nouvelles armes et équipements. On continue alors notre aventure en entrant dans un nouveau niveau, et ainsi de suite. Le décès de notre personnage, qui surviendra forcément à un moment ou à un autre, permet de revenir dans un hub – plutôt sympa graphiquement –, qui donne l’opportunité d’améliorer son personnage et de causer avec la Mort en personne.
On a pu tester la démo pendant quelques dizaines de minutes, et malgré un scénario OSEF 2000, on aurait presque envie d’accrocher au titre. Malheureusement, la partie FPS est pour l’instant vraiment ratée, avec un gunfeel aux abonnés absents et des ennemis qui ne réagissent pas vraiment à nos tirs. En plus, l’équipe de développement, composée d’une petite dizaine de personnes, s’est dit que de mettre une aide à la visée par défaut, sans possibilité de la désactiver, serait une bonne idée. En résulte une absence totale de satisfaction quand on tue un ennemi, puisqu’il suffit de vaguement tirer dans sa direction pour qu’il meure. Si les développeurs ont a priori réduit cette aide dans un récent patch de la démo, on espère qu’ils entendront raison en laissant les joueurs décider eux-mêmes s’ils veulent gâcher leur expérience en laissant le PC jouer à leur place. D’autre part, si c’est le tout premier FPS de l’équipe, elle a quelques réalisations à son actif, mais ce n’est pas forcément rassurant. Le seul espoir qui reste pour en faire quelque chose d’intéressant, c’est qu’elle semble plutôt à l’écoute des différentes remarques qu’on peut faire sur son serveur Discord officiel.
Quoi qu’il en soit, Soulslinger: Envoy of Death est prévu pour sortir en accès anticipé à la fin de cette année sur Steam. En attendant, si vous avez des conseils à leur donner pour améliorer le feeling, les développeurs seront sans doute ravis de les lire.
On avait eu un très court aperçu de la future saison 6 de Battlefield 2042 en août dernier, mais DICE a publié, il y a quelques jours, un nouveau teaser et du gameplay pour celle-ci, intitulée Dark Creations. Elle sera disponible dès le 10 octobre prochain. Une nouvelle carte sera proposée, du doux nom de Redacted, et prendra place de nuit, a priori uniquement en intérieur et réservée à l’infanterie : la plus grande partie de la vidéo de gameplay se déroule dans des endroits confinés, des sortes de labos et couloirs étriqués. On peut y voir des soldats avec les yeux jaunes, mais comme ils meurent comme les autres, aucune idée de leur particularité. D’autre part, un nouveau véhicule fait également son apparition, que l’on pourrait décrire comme un scooter des airs : c’est comme une motomarine, mais avec des hélices de drones. Si on a bien tout compris, il ne sera donc pas disponible sur la map Redacted.
La vidéo met évidemment l’emphase sur les nombreux skins et récompenses premium que vous pourrez débloquer avec le battlepass, à tel point que ça en devient comique. À peine prennent-ils le temps d’annoncer les nouveaux équipements de support à lancer et une nouvelle arme ! Enfin, un événement est également prévu pour halloween, et on se doute qu’un monstre sera de la partie.
Vous pourrez retrouver cette nouvelle saison 6 dès le 10 octobre sur Battlefield 2042, que vous l’ayez sur Steam, sur EA Play ou via le Xbox Game pass.
Il fait encore beau, mais cela ne va pas peut-être pas durer. Après avoir glandé comme une loque la semaine dernière, les bons plans NoFrag du week-end vont se dégourdir les jambes en forêt. Pour commencer, il faut une petite veste pour vous protéger du vent. N’oubliez pas le snood pour habiller votre cou délicat. Les chemins seront peut-être boueux, alors choisissez une paire de bottes discrètes. Et prenez une bonne paire de lunettes de soleil, on ne sait jamais. Si vous êtes un gros flemmard, et plein de contradictions, n’hésitez pas à craquer pour ce pratique quad électrique, ou cette magnifique moto-cross. Après votre petite balade, pour éviter de dégueulasser votre logis, investissez dans un décrottoir, ça pourra toujours servir. Et pour l’intérieur des bottes, optez pour le sèche-chaussures, qui sera du plus bel effet au milieu de votre salon. Vous avez maintenant l’équipement parfait pour une bonne promenade !
Les bons plans Amazon
Comme d’habitude, notre expert hardware Gothax nous propose une petite sélection de composants informatiques, idéaux pour augmenter votre e-penis dans tous les FPS. Même si la période est morose, selon lui, il a dégoté quelques petites choses :
Sautez sur les derniers modèles de 6950XT – équivalente à une 3080Ti – avec la XFX à 640 €.
Enfin, n’oubliez pas que si vous ne trouvez pas votre bonheur parmi les produits proposés dans notre article, vous pouvez tout de même nous soutenir en collant ?tag=nofrag-21 à la fin de l’url de n’importe quelle marchandise sur Amazon et ainsi nous faire gagner quelques euros bien utiles.
Les bons plans Gamesplanet
Bon, on a toujours le code promo NOFRAGDAY pour PAYDAY 3, mais comme on l’a trouvé vraiment à chier, on ne vous conseille franchement pas de l’acheter. Après, si vous le voulez vraiment, faites ce que vous voulez ! Par contre, on avait bien aiméStarfield, malgré tous ses défauts, alors on a remis l’image au-dessus. En plus, c’est plus joli. Si vous voulez la version Steam du jeu, utilisez le code NOFRAG pour avoir 14 % de réduction, soit l’édition standard à 59 € ou l’édition premium à 85,49 €.
Notre contact chez notre partenaire Gamesplanet s’est réveillé et nous a envoyé quelques messages. On a frôlé l’accident : une des promos portait sur le remake catastrophique de XIII, qui l’abaissait au même prix que l’original, qui lui, vaut toujours le coup. Heureusement, elle s’est achevée hier, vous épargnant l’envie de le prendre. Mais il y a bien d’autres recommandations, qui seront sans doute beaucoup plus à propos :
Lamplighters League vient de sortir, et il a une réduction de 9 % avec le code promo DOOMSDAY.
le jeu de course Forza Motorsport sort le 10 octobre, mais vous pouvez le précommander avec 15 % de réduction sur chaque édition, qui sont d’ailleurs compatibles à la fois sur PC et console Xbox. La version Premium permet de jouer dès maintenant.
Comme plus haut pour Amazon, si vous ne trouvez pas votre bonheur dans ces listes de jeux, vous pouvez utiliser le code ?ref=nofrag et le coller à la fin de l’URL du jeu qui vous intéresse. Ça arrivera dans notre porte-monnaie virtuel Gamesplanet et nous permettra de nous payer les clefs que les éditeurs ne nous envoient pas !