La semaine dernière, Offworld a publié le patch 1.4 pour Starship Troopers: Extermination, son jeu coopératif rempli de bugs – au sens propre comme au figuré. Comme à chaque fois, ils indiquent avoir travaillé sur l’optimisation, qui était jusqu’à présent plutôt mauvaise. Il y a aussi de nombreux ajustements sur les dégâts des armes, des améliorations d’interface et la correction de nombreux problèmes, dont la liste exhaustive figure dans le billet de blog dédié sur Steam.
Deux jours plus tard, les développeurs ont partagé une roadmap pour les prochains mois, et on peut dire qu’ils sont réalistes, puisque l’optimisation est déjà prévue pour le patch 1.5, ainsi que pour les mises à jour suivantes. On peut aussi voir qu’ils travaillent sur de nouvelles maps, de nouvelles armes et même une nouvelle planète. Espérons qu’ils entretiennent la hype entre-temps, pour conserver leur courbe de joueurs relativement honnête. Sinon, il y aura aussi des adaptations de mode de jeux existants, dont une extension à seize joueurs du Hunt Hive, ce truc un peu pourrave avec des objectifs à réaliser en coop. Plein d’autres ajouts sont également prévus, que vous pouvez retrouver dans le billet de blog dédié sur Steam.
Si vous voulez profiter du tout dernier patch 1.4 de Starship Troopers: Extermination, vous pouvez retrouver le jeu à 29 € sur Steam.
Il y a quelques jours, Tripwire Interactive a annoncé laconiquement sur les réseaux sociaux que Killing Floor 3 arrivera le 24 juillet, soit seulement cinq mois après la bêta très mitigée. Comme beaucoup de joueurs, on avait remonté un manque de maîtrise de la lumière, une direction artistique osef, une absence d’âme, un feeling des armes à revoir, et plus globalement, un manque d’intérêt par rapport au précédent titre.
Néanmoins, les développeurs se sont mis au travail, et on imaginait plutôt avoir des nouvelles pour la fin de l’année. Avec une sortie si tôt, on peine à s’enthousiasmer, même s’ils ont pu partager quelques améliorations sur lesquelles ils ont travaillé. On citera, par exemple, le combat contre les zombies de base, ou contre les Bloats. On doit vous avouer qu’on n’a pas vu de différence flagrante, mais peut-être que l’assemblage de plein de petits détails va augmenter la qualité globale. D’autre part, ils ont également partagé quelques images de deuxniveaux, qui semblent proposer une direction artistique enfin un peu moins lisse.
En attendant le 24 juillet, si Killing Floor 3 vous intéresse, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam ou Epic Games Store.
Voilà maintenant près de 4 ans que le DLC Echoes of the Eye de l’excellent Outer Wilds est disponible sur Steam. Pourtant, le jeu continuait de recevoir régulièrement des mises à jour plus ou moins ambitieuses, permettant de peaufiner l’expérience acclamée par la critique de diverses manières.
Seulement voilà, cette époque touche à sa fin, puisque Mobius Digital a brièvement annoncé au terme de leur dernier ticket de blog Steam dédié à Outer Wilds que le patch n°16 mis en ligne il y a quelques jours serait probablement le dernier.
Et pour cause ! Au détour du paragraphe dédié à cette nouvelle, on apprend que le studio à succès planche à présent sur un tout nouveau projet, et que tout le monde au sein de l’équipe est mobilisé sur ce dernier. Une petite annonce discrète qui s’accompagne d’ailleurs d’une campagne de recrutement récemment menée sur les réseaux du studio.
De quoi mettre l’eau à la bouche, même si on a, à vrai dire, aucune information supplémentaire concernant le titre en question. En attendant, ce patch final d’Outer Wilds qui corrige quelques petits bugs est dès à présent disponible !
Si vous en aviez déjà marre du beau temps, des oiseaux qui chantent et des petites fleurs qui bourgeonnent, sachez que Frostpunk 2 a bénéficié d’une grosse mise à jour gratuite le 9 mai, avec notamment une nouvelle carte, un mode « Sérénité » et trois histoires facultatives qui impliquent probablement toutes de voir mourir vos ouvriers à la suite d’une engelure. ER.
Parfois, le petit monde de la presse jeu vidéo indépendante connaît plus de rebondissements qu'un épisode de soap opera : le 1er mai dernier, plusieurs employés du site spécialisé Giant Bomb annonçaient qu'ils avaient quitté l'entreprise à la suite d'une restructuration du groupe Fandom, auquel elle appartenait depuis 2022 – une nouvelle particulièrement triste dans un milieu à l'actualité déjà bien moribonde, qui débarquait à peu près au même moment où on apprenait que la quasi intégralité des rédacteurs de Polygon cherchaient un nouvel emploi après avoir été licenciés suite à leur rachat par Valnet. Puis neuf jours plus tard, le 10 mai, au beau milieu de la PAX East, deux membres de l'équipe, Jeff Grubb et Jeff Balakar (oui, si vous voulez postuler chez eux, il vaut apparemment mieux s'appeler Jeff), confiaient avoir racheté le site et être devenus indépendants à 100 %. ER.
J’ai une mauvaise nouvelle pour les fans d’Outer Wilds (qui sont des gens que je respecte énormément, parce que lorsque je leur annonce, le visage rougi par la honte, que je n’y ai toujours pas joué, ils ont tous la même réaction : essayer de me convaincre que le jeu est absolument formidable à grand renfort de phrases cryptiques pour éviter de me gâcher le plaisir de la découverte, ce qui donne souvent un monologue aussi enthousiaste qu’incompréhensible). Après la publication de leur seizième patch, disponible depuis début mai, les développeurs de Mobius Digital ont annoncé qu’ils arrêtaient de travailler sur le jeu. La bonne nouvelle, c’est qu’ils préparent un nouveau projet, dont on ne verra sans doute pas grand-chose avant plusieurs années – ce qui devrait enfin me laisser le temps de jouer à Outer Wilds, et de comprendre tous les monologues cryptiques que j’ai eu l’occasion d’entendre depuis 2019. ER
Vous vous réveillez après avoir fait un rêve étrange, avec l’envie irrépressible de regarder par la fenêtre de votre appartement. Mauvaise idée. Votre vie de casanier vous a épargné de gros ennuis, car vos voisins trop curieux se sont subitement trouvés pris d’un terrible mal. Fuir ne semble même pas être une option : il ne vous reste plus qu’à survivre et découvrir la vérité derrière les aberrations cosmiques qui errent désormais dans votre immeuble.
En milieu de semaine dernière, RyseUp, le studio derrière le développement du FPS roguelite nommé Roboquest, a publié une billet de blog Steam pour annoncer la fin des mises à jour sur leur jeu. L’équipe de devs estime en avoir fait le tour et annonce d’ores et déjà travailler sur un nouveau projet sans autre précision. Il est à noter qu’une mise à jour aurait pu voir le jour l’hiver prochain. Il n’en sera finalement rien, et il faudra donc vous contenter de la Super Update et la Endless, qui apportent leur lot de contenus. Egalement, le studio rappelle que Roboquest VR est toujours en développement sans date de sortie de annoncée, si vous êtes nostalgique de cette licence.
Vous aimez les cowboys et les interfaces complètement déjantées ? Réjouissez-vous, car Chambers vient de sortir en accès anticipé, rien que pour vous. On vous en avait parlé lors du Steam Néo Fest d’octobre 2024, à l’occasion de la sortie de sa seconde démo. Il s’agit d’un rétro-FPS avec une direction artistique bien perchée et un gameplay bizarre. On se souvient d’un feeling plutôt correct et d’affrontements gores et nerveux, mais de menus atroces, et d’un univers un peu pesant.
Le jeu est notamment développé sous Godot par JFJ, un YouTuber, et par Mr. Pink, le créateur du déjà très étrange et horrifique Golden Light. A priori, les joueurs ne sont pas spécialement enclins à se lancer dans l’aventure, car malgré les 22 000 spectateurs de la vidéo promo de lancement d’un de ses créateurs, seul un pic de 55 joueurs simultanés a été atteint après la sortie. Et compte tenu de notre expérience sur la démo, on peut vous dire que ce n’est pas étonnant. Non pas que ce soit nul, bien au contraire, mais il faut tout de même un peu s’investir pour rentrer dans le mood, vraiment très spécial.
Si contrairement au grand public, Chambers vous a convaincu, vous pouvez retrouver le jeu en promotion à –20 % sur Steam pour la sortie en accès anticipé, soit 16 € jusqu’au 26 mai.
Découvert l’année dernière, PIGFACE, développé par le dev solo tito, est un rétro-FPS dans lequel vous incarnerez une personne ensanglantée se réveillant dans un entrepôt abandonné. Soudainement, une voix mystérieuse vous sommera de tuer quiconque se dressera sur votre chemin et cerise sur le gâteau, une bombe implantée dans votre tête s’activera si vous n’obéissez pas. À la rédac, on avait bien apprécié la démo pour son gunplay et son ambiance. Cette dernière est d’ailleurs toujours disponible sur sa page itch.io.
Sans nouvelle depuis, ce n’est qu’en début de semaine dernière que l’éditeur Dread XP (The Mortuary Assistant, Red Tape, My Friendly Neighborhood ou encore Dread X Collection) a publié un trailer sur sa chaîne officielle YouTube pour annoncer que PIGFACE rejoint leur catalogue de jeux et dispose désormais d’une page Steam. On y apprend que le synopsis a quelque peu changé, à savoir que vous incarnerez un individu au passé horrible contraint de remplir des contrats d’assassinat pour ne pas voir sa tête exploser. Avec l’argent obtenu à la fin de chaque partie, vous pourrez acheter de nouvelles armes et débloquer des masques offrant des capacités spécifiques.
Pour le moment, PIGFACE n’a pas de date de sortie prévue. En attendant de nouvelles infos, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes intéressé.
Sorti en 2014, The Talos Principle avait surpris les joueurs. En effet, c’était un puzzle game développé par Croteam, uniquement connu pour Serious Sam à cette époque. Étonnamment, les mécaniques de gameplay étaient vraiment chouettes, et le lore, basé sur des réflexions philosophiques, était assez bien mis en œuvre. Onze ans, un DLC et une suite plus tard, Croteam, qui a un peu perdu la main pour les fast-FPS, s’est dit qu’il était temps de sortir un remaster : The Talos Principle: Reawakened. En plus d’un changement de moteur, ils ont ajouté un « petit » chapitre inédit, ainsi que des commentaires de développeurs. Mais si c’est indéniablement un beau produit pour les nouveaux joueurs, il propose tout de même quelques défis pour les anciens – et pas des moindres.
Genre : Puzzle game |Développeur : Croteam | Éditeur : Devolver Digital | Plateforme : Steam|Prix : 39,99 €|Configuration recommandée : Ryzen 7 / Core i5 3 Ghz, 16 Go de RAM, RX 6800 / RTX 3070 |Langues : Français pour le contenu d’origine, anglais sous-titré français pour le reste |Date de sortie : 10/04/2025|Durée de jeu : une bonne vingtaine d’heures minimum pour l’histoire de base et le DLC, et jusqu’à l’explosion du cerveau pour In The Beginning
Test effectué avec une version Steam fournie par l’éditeur.
Copié/collé, mais avec du ray tracing
The Talos Principle: Reawakened est un remaster plutôt sage : le scénario est un copié-collé du jeu d’origine. On incarne un androïde qui se réveille dans un monde bourré de puzzles et d’énigmes, avec une voix spectrale nous dictant nos actions. Mais très rapidement, on peut consulter des terminaux informatiques, qui nous permettent de découvrir qu’on consulte une base de données construite juste avant une sorte d’apocalypse, survenue une dizaine de milliers d’années auparavant. De nombreuses questions philosophiques sont soulevées, et c’est assez bien écrit pour être très intéressant. De même pour le gameplay et les puzzles : ils sont exactement les mêmes qu’en 2014. Si on veut du changement, il faut regarder du côté du moteur graphique, qui passe du Serious Engine 4 à l’Unreal Engine 5. Les textures ont évidemment été retravaillées, et le ray tracing ajouté. Si certains panoramas sont très réussis, notamment grâce aux rayons de soleil, on sent parfois que ce n’est pas à la hauteur, peut-être à cause d’un manque de détails, qui auraient ajouté un peu de crédibilité aux décors. Côté performances, pas de mystère, il faut une machine récente. Mais même avec un PC portable doté d’une RTX 4060, j’ai atteint les 100 FPS en 1080p, ray tracing complet, réglages en moyen, DLSS qualité et génération de frames x2. Enfin, des commentaires des développeurs sont disséminés un peu partout. Ils sont plutôt intéressants, mais deviennent rapidement agaçants si l’on souhaite se concentrer sur les puzzles. J’aurais donc préféré un gros fichier MP3 à côté, que j’aurais pu écouter quand je fais le ménage, ce qui demande, a priori, un peu moins de ressources cognitives.
Je ne vais pas m’étendre sur les puzzles du jeu d’origine et du DLC, car encore une fois, rien n’a bougé depuis onze ans. J’ai beaucoup apprécié l’expérience, qui propose une difficulté progressive et quelques passages un peu plus tendus, notamment pour récupérer les étoiles. En revanche, il arrive que l’on rencontre des tetrominos, jeu que je déteste, donc je n’ai pas spécialement passé de bons moments lorsqu’il fallait les résoudre. Heureusement, il n’y en a pas tant que ça. De petites améliorations de la qualité de vie – notamment la possibilité de mettre des pauses dans l’enregistreur – font de ce The Talos Principle: Reawakened la meilleure manière de découvrir le titre pour les nouveaux joueurs, et sont tout aussi plaisantes pour les vétérans, qui auront sans doute oublié quelques passages.
Combustion des neurones
Le chapitre inédit, In The Beginning, est quant à lui d’une difficulté abyssale. Il propose 18 puzzles, dont 16 ont été construits en collaboration avec des membres de la communauté – a priori des autistes de haut niveau. Alors que la barre avait déjà été relevée pour le DLC Road to Gehenna, on arrive ici dans une autre catégorie. J’ai commencé par l’environnement égyptien, la fleur au fusil, inconscient de ce qui allait me tomber dessus. Mais dès le premier puzzle, je me suis retrouvé à regarder les différents éléments comme une poule devant un couteau, alors que j’avais une vingtaine d’heures du jeu d’origine dans les pattes. J’ai parcouru les autres énigmes, jusqu’à en trouver une qui me paraissait plus abordable. Il m’a fallu une petite heure pour la résoudre. De retour dans le hub, j’ai tenté l’univers médiéval, pour finalement trouver des configurations qui m’ont semblées un peu plus accessibles, mais nécessitant tout de même d’innombrables allers-retours et réinitialisations pour atteindre l’objectif. Je n’ai pas eu le courage de toutes les faire, mais les joueurs en recherche des défis les plus ardus devraient être contents. Comptez de 30 à 40 minutes pour les moins durs, et jusqu’à la rupture d’anévrisme pour les plus compliqués. Si se sentir démuni face à des énigmes peut s’avérer frustrant, la satisfaction d’avoir trouvé la solution avec cette si grande difficulté est particulièrement douce.
Un remaster qui réveille le cerveau
The Talos Principle: Reawakened est un très bon remaster. Le moteur Unreal Engine 5 est plutôt bien maîtrisé par Croteam, et produit un rendu parfois très joli, tout en conservant des performances acceptables si l’on possède une machine récente. Côté gameplay, le jeu d’origine et son DLC sont copiés à la lettre, avec toutefois de petites améliorations de qualité de vie appréciables. C’est donc toujours aussi bien, avec une difficulté progressive, très agréable. Les développeurs ont également ajouté des commentaires dans tous les coins, mais qui deviennent un peu chiants, surtout quand on est concentré sur une énigme. Enfin, l’ajout d’un chapitre inédit, principalement à destination des vétérans, franchit une sacrée marche en termes de difficulté. C’est extrêmement dur, mais très satisfaisant lorsque l’on parvient à résoudre les puzzles. De là à justifier l’achat du remaster pour 40 € uniquement pour ça, peut-être pas, mais c’est indéniablement une bonne pioche pour les nouveaux joueurs fans du genre.
Vous avez du mal à vous y retrouver dans le catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à séparer le bon grain de l’ivraie.
Phasmophobia, Lethal Company, Content Warning… La vague des jeux de coopération qui prétextent l’horreur, mais qui sont en réalité surtout là pour nous faire rire aux éclats, continue de s’abattre sur nous, ce qui n’est absolument pas pour nous déranger. R.E.P.O. persévère dans cette voie en ajoutant un chariot et une bonne dose de physique à une recette désormais bien identifiée.
Avant-hier, l’embargo sur les tests de DOOM: The Dark Ages a été levé. Les Grands Journalistes et certains influenceurs ont donc publié leur avis sur le dernier titre d’id Software. À première vue, c’est une réussite, même si on n’en doutait pas vraiment. Le score Metacritic est actuellement de 85, soit exactement commeDOOM 2016, mais trois points de moins que DOOM Eternal. Si on rentre dans les détails, les critiques semblent partagés sur la nouvelle mécanique principale : la parade. Si tout le monde est d’accord pour dire que ça marche très bien, et qu’elle donne un bon sentiment de puissance, certains, comme GmanLives, la trouvent un peu trop redondante à la longue. Pareil pour les grandes zones à explorer, qui peuvent lasser au bout d’un moment, même si d’autres trouvent ça cool. En revanche, les combats font l’unanimité. Les armes tabassent et le feeling est jouissif. Les mouvements plus lents ne dérangent finalement pas tant que ça, puisque la majorité décrit des affrontements frénétiques, comme chez GameSpot.
D’un autre côté, pour les combats en mécha, IGN trouve que c’est beaucoup trop simpliste, tandis que nos confrères de Gamekult indiquent que les passages à dos de dragon sont franchement nuls à chier. Cependant, il semblerait que ces séquences soient heureusement anecdotiques, et ne rompent pas trop le rythme. D’une manière générale, les (vrais) testeurs ont trouvé le jeu en normal beaucoup trop facile, et conseillent de lancer directement en ultraviolence. Ils ont, pour la plupart, apprécié la possibilité d’ajuster finement cette difficulté en modifiant, par exemple, la fenêtre de parade beaucoup trop clémente de base. Cela montre qu’id Software a sans doute voulu rendre son dernier DOOM le plus accessible et le moins frustrant possible, peut-être pour éviter ce genre de catastrophe.
Sans surprise, la rédac’ de NoFrag n’a pas reçu de clef de la part de Bethesda. On débutera donc l’aventure le 13 mai, puisque comme d’habitude avec les jeux Microsoft, la version deluxe permet de jouer quelques jours avant la date de sortie officielle.
Mais si vous voulez craquer pour DOOM: The Dark Ages sans attendre notre verdict, ni le 15 mai, sachez que notre partenaire Gamesplanet propose 11 % de réduction sur les précommandes – et même sur le jeu après sa sortie – en utilisant le code NOFRAGDOOM, ce qui fait la version normale à 71 € et l’édition premium à 97 €. Si ça vous intéresse, on vous encourage d’ailleurs à jeter un œil du côté de Gamesplanet US, il paraît que c’est encoremoins cher (et le code marche aussi). Le jeu sera également disponible day one sur le Xbox Game Pass.
Ça faisait quelques années, depuis la sortie de DOOM Eternal en 2020 en fait, que je n’avais pas eu à nettoyer la sueur sur les touches ZQSD de mon clavier après avoir passé vingt minutes à les marteler pour venir à bout d’un seul ennemi. Alors pour sa suite The Dark Ages, j’ai pris les devants : j’ai carrément acheté un set de capuchons de clavier, qui ont ensuite fini à la poubelle.
Dans les jeux de société, c’est souvent l’usine, et pourtant on ne travaille pas. Tel un conseil d’administration, on prend des décisions qui reposent sur l'idée de faire travailler des meeples pas vraiment considérés comme des personnes, que l’on rémunère vaguement d’un sou ou d’un point de nourriture. Totalement irréaliste.
Mon petit Perco, je te présente mes excuses. Je me permets de te l’écrire ici parce que je sais que tu vas lire ce papier, et je suis navré que vous autres, lecteurs, deviez assister à ça, mais c’est important.
Je ne m'en étais pas rendu compte, mais Europa Universalis IV date d'il y a... douze ans. Oui, c'était en 2013. Le temps file. Depuis, tous les grands jeux de stratégie historique de Paradox (Hearts of Iron, Victoria, Crusader Kings) ont été mis à jour. C'est donc sans surprise que l'éditeur suédois nous annonce enfin Europa Universalis V.
Et si aucun de ces produits ne vous fait de l’œil, vous pouvez tout de même nous soutenir en ajoutant ?tag=nofrag-21 à la fin de l’URL de n’importe quelle marchandise sur Amazon et ainsi nous permettre de grappiller quelques euros fort utiles.
Et dans tous les cas, si vous trouvez des choses qui vous intéressent, vous pouvez ajouter ?ref=nofrag à la fin de l’URL pour nous faire gagner quelques centimes. Ça arrivera dans notre porte-monnaie virtuel Gamesplanet et nous permettra de nous payer les clefs que les éditeurs ne nous envoient pas !
Il y a quelques jours, nous avons découvert Afterconflict, avec l’annonce d’une démo technique, ainsi que l’édition du titre par Microprose, qui semble ratisser large en ce moment (Dagger Directive, EXFIL, GROUND BRANCH…). Pourtant, le jeu est en développement depuis au moins 2020, date des premiers posts sur le site officiel, et d’une vidéo de gameplay d’un influenceur à l’époque. Il s’agit d’un milsim assez peu original, puisqu’il reprend plus ou moins le même scénario qu’Operation Flashpoint en 2001, ou le futur ’83 : la guerre froide s’est réchauffée, et les Russes se battent contre les USA. Une douce utopie, vue de 2025, finalement.
On a évidemment lancé la démo technique, pour se rendre compte que c’est a priori la même chose que dans la vidéo d’il y a cinq ans, à l’exception du sound design, plutôt correct actuellement. Sinon, niveau contenu, on a uniquement accès à un stand de tir et de grandes étendues de vide. Et ça ne vous aura pas échappé, c’est absolument immonde. Il réussit l’exploit d’être encore plus moche qu’ArmA 3, pourtant sorti en 2013. Ok, c’est une démo technique, mais vu ce qu’ils proposent, on a tout de même l’impression qu’ils se tirent une balle dans le pied. D’un autre côté, ils ont réussi à convaincre un éditeur, donc il y a peut-être un peu plus que quelques brins d’herbe qui se battent en duel, et les posts réguliers sur leur site et YouTube semblent montrer une certaine motivation. Ils ont d’ailleurs partagé une roadmap, indiquant le futur lancement d’une page Patreon, d’une « vraie » démo et d’un test multi avant une sortie en accès anticipé. Pas de date, il faudra attraper les annonces au vol.
Néanmoins, si Afterconflict vous intéresse, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam, et même tester sa démo technique, si vous avez envie de perdre quelques dixièmes à chaque œil et probablement un peu de volonté de vivre.