Cela faisait un moment qu’on ne vous avait pas parlé de Hell Let Loose. Et c’est bien dommage, car il reste l’un des meilleurs représentants de sa catégorie : de bonnes sensations et un gameplay tactique, sans pour autant avoir trop de séquences de balade avant de tomber sur de l’action. La semaine dernière, Team 17 a publié un teaser pour sa prochaine carte Tobruk, située en Afrique du Nord.
Il n’y a pas grand-chose à voir, donc on n’a pas grand-chose à dire, à part qu’elle est prévue pour début 2025.
En attendant, si vous n’avez pas déjà Hell Let Loose, vous pouvez bénéficier d’une promo de –50 % jusqu’à demain sur Steam, ce qui le fait à 25 €.
Disponible depuis le 7 novembre, le lancement du premier épisode VR de la licence Metron’a pas reçu les mêmes éloges que ces prédécesseurs (1, 2 et 3). Développé par le studio Vertigo Games (Arizona Sunshine Remake et 2) et en dépit d’une bande-annonce de lancement aguicheuse, Metro Awakening serait très instable provoquant ainsi des crashs à répétition et une chute de framerate d’après le retour des joueurs. De plus, les graphismes ne semblent pas ouf au regard des textures et de l’apparence des personnages. Côté du gameplay, il est pointé le mauvais alignement de l’arme et l’absence d’interactivité avec l’environnement. Pour rattraper le coup, les devs ont déjà déployé un patch pour résoudre les problèmes de performance et de crash du jeu.
Contrairement aux utilisateurs de Meta Quest et de PS VR où les avis restent dans l’ensemble positif, les notes des joueurs de Steam sont plutôt nuancés en tendant vers le moyen. Probablement que les exigences varient en fonction de la plate-forme. Quoi qu’il en soit, vous savez à quoi vous attendre avec Metro Awakening et il serait peut-être judicieux d’attendre quelques patchs avant de s’y lancer.
Si malgré tout, l’appel du Metro est plus fort que tout, Metro Awakening est disponible pour 40 € environ sur Steam, Meta Quest ou PS VR.
Cela fait maintenant plus de cinq ans que l’on suit les tribulations de Vampire: The Masquerade – Bloodlines 2. Entre reports et changements de studio, on n’a pas pu oublier le projet, qui semble enfin sérieusement se rapprocher d’une vraie sortie. La dernière fois qu’on vous en parlait, c’était pour l’annonce d’un dernier report à Q1 2025, mais sans autre drame, puisque c’était pour débugger et proposer une expérience la plus polish possible. Il y a une petite dizaine de jours, les développeurs ont partagé un nouveau trailer, présentant quelques personnages.
On doit vous avouer que la vidéo ne nous a pas vraiment parlé, car nous ne sommes pas vraiment des experts de la licence. Cependant, peut-être que les fans de l’univers et du jeu de rôle papier seront super hypés de voir Benny, Tolly ou Lou. En tout cas, on a pu entrapercevoir quelques images de gameplay montrant des affrontements un peu bizarres, mais qui pourraient être intéressants. Espérons qu’ils nous en montrent bientôt un peu plus, pour savoir s’ils ont réussi à s’améliorer depuis la présentation tristement banale de février dernier.
En attendant, si Vampire: The Masquerade – Bloodlines 2 vous intéresse, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits depuis Steam, Epic Games Store ou GoG.
C’est par le biais du compte X de KAMI que l’on a appris que Take-Two avait communiqué sur les dates de sorties prévisionnelles de ses futurs titres. Ce qui nous intéresse particulièrement ici, ce sont Borderlands 4 et Judas. Pendant la séance de questions/réponses de la conférence aux actionnaires du 6 novembre dernier, le CEO indique (page 3) que Borderlands 4 est prévu pour l’année fiscale 2026, soit entre avril 2025 et mars 2026. Une date finalement pas si loin pour un projet annoncé uniquement l’été dernier, sans aucun gameplay, lors de la dernière Gamescom.
De son côté, Judas ne bénéficie pas d’autant de confiance, car dans la présentation aux investisseurs publiée le même jour (page 26), on peut voir un laconique « Judas (Ghost Story Games) – TBA ». C’est finalement assez cohérent avec les retours de Geoff Keighley d’avril dernier, puisqu’il indiquait que le jeu n’était encore qu’à un stade d’ébauche. C’est d’autant plus compréhensible que ce n’est pas un bête looter-shooter comme Borderlands, mais un projet d’immersive sim à gros budget dans la lignée des BioShock.
À noter que BioShock 4 reste introuvable dans l’ensemble des documents récapitulant l’événement. On ne doit pas être très loin d’une annulation…
Dans tous les cas, si l’un ou l’autre des deux premiers jeux vous intéresse, vous pouvez les ajouter à votre liste de souhaits depuis leur page Steam respective, ici pour Borderlands 4 et là pour Judas.
Sorti en accès anticipé en février dernier, Nightingale promettait un jeu de survie coopératif dans un univers original. En effet, on devait naviguer de monde en monde, dans un univers victorien avec des pouvoirs magiques. Si l’esthétique semblait pas mal en vidéo lors des présentations, il s’est avéré que le jeu n’était finalement pas si beau une fois clavier/souris en main, trahissant une utilisation maladroite d’assets d’Unreal Engine 5. D’autre part, il était buggé et sans intérêt, car finalement beaucoup trop convenu et sans originalité. Assez logiquement, les joueurs ont trouvé ça nul et ont rapidement déserté les serveurs.
La semaine dernière, nos confrères de Gameindustry.biz rapportaient que le studio Inflexion Games, en charge du développement, se séparait de plus de la moitié de ses développeurs, soit 65 personnes, et fermant notamment sa branche britannique. Cela n’étonnera personne, mais le peu d’engouement pour le jeu ne permettait pas au studio de conserver autant de salariés. Rendez-vous compte : pendant plus de quatre ans, ils ont payé plus d’une centaine de développeurs sur un projet complètement osef, avec pour seule originalité sa direction artistique, qui finalement n’était pas si réussie. Quiaurait pu prévoir ?
Si vous êtes curieux, et que vous voulez voir pourquoi les notes sont moins catastrophiques qu’au lancement, l’accès anticipé de Nightingale est toujours proposé à 29 € sur Steam.
Enfin, n’oubliez pas que si vous ne trouvez pas votre bonheur parmi les produits proposés dans notre article, vous pouvez tout de même nous soutenir en collant ?tag=nofrag-21 à la fin de l’url de n’importe quelle marchandise sur Amazon et ainsi nous faire gagner quelques euros bien utiles.
Les bons plans Gamesplanet
Encore deux semaines avant la sortie de S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl, alors on continue le code promo NOFRAGSTALKER chez notre partenaire Gamesplanet pour avoir une réduction de 20 % sur les précommandes du jeu. Vous pouvez avoir l’édition standard à 48 €, l’édition deluxe à 64 €, et l’édition ultimate à 88 €. La promotion sera valide jusqu’à la fin de l’année, dans le cas ou vous préféreriez attendre notre retour après sa sortie le 20 novembre.
Les Fourmis, un jeu de stratégie inspiré des romans de Bernard Werber, vient de sortir. Si cette phrase ne vous a pas provoqué d’AVC, sachez qu’apparemment, c’est pas mal, et c’est à –10%, soit 36 € pour l’édition standard et 45 € pour l’édition deluxe.
Comme plus haut pour Amazon, si vous ne trouvez pas votre bonheur dans ces listes de jeux, vous pouvez utiliser le code ?ref=nofrag et le coller à la fin de l’URL du jeu qui vous intéresse. Ça arrivera dans notre porte-monnaie virtuel Gamesplanet et nous permettra de nous payer les clefs que les éditeurs ne nous envoient pas !
Hier, GSC Game World a partagé une petite vidéo de gameplay de S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl pour nous parler des armes. Ils nous rappellent que la zone est dangereuse, et qu’il faudra trouver des armes pour se défendre. Il y aura plusieurs types de munitions, et on aura aussi la possibilité d’ajouter des accessoires, tels que des optiques ou des lasers. On devra aussi réparer nos pétoires, sous peine de les voir s’enrayer. Rien que du classique, mais on est toujours contents de voir que ça n’a pas été oublié.
Par contre, les affrontements n’ont pas l’air hyper dynamiques. On dirait presque un gameplay manette au début, mais comme les séquences ne durent pas plus d’une ou deux secondes chacune, il est un peu difficile de bien se rendre compte. D’autre part, on trouve que certaines armes n’ont pas un recul très prononcé, ce qui ne semble pas donner un super gamefeel. Pour autant, la dernière partie de la vidéo insiste sur le fait que les armes auront des gameplays et des ressentis différents, en montrant un fusil sniper doté d’un fusil à pompe sous le canon et d’un très bon sound design. Donc ne paniquons pas tout de suite.
La sortie de S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl approche à grands pas, puisque c’est pour le 20 novembre. En attendant, on vous rappelle que notre partenaire Gamesplanet propose le code promo NOFRAGSTALKER pour bénéficier de –20 % sur les précommandes du jeu (standard, deluxe, ultimate). Mais on vous conseille toujours d’attendre la sortie – même si on est plutôt confiants –, d’autant plus que la promo sera toujours valide après la sortie du jeu. Et il sera aussi disponible sur GoG, Steam, Epic Games Store et le Game Pass.
Edit : il y a quelques heures, une nouvelle vidéo a été publiée sur la chaine de GSC Game World pour indiquer que le jeu était gold. Il n’y aura donc pas de retard !
ANNONCE : compte tenu du peu d’écoutes sur Soundcloud et du fait que contrairement à Spotify et toutes les plateformes de podcast, l’hébergement n’est pas gratuit, nous envisageons d’arrêter la diffusion des NoScope sur Soundcloud. Manifestez-vous en commentaire si vous n’êtes pas d’accord.
Jeudi dernier, la rédaction de NoFrag a enregistré l’épisode #65 de NoScope, notre émission bimensuelle consacrée à l’actualité du FPS. Pour début du mois de novembre, nous revenons sur le démarrage catastrophique de l’accès anticipé de No More Room In Hell 2, le nouveau mode de jeu pour Dead Island 2, ou encore la sortie du free-to-play 1v1 STRAFTAFT.
Après un petit quizz sur la série des Call of Duty qui n’a pas déchaîné les foules, nous avons enchaîné sur le test de Call of Duty 21: Black Ops 6. On a terminé avec un petit retour sur le walking sim While We Wait Here.
00:00:00 – Intro 00:02:19 – Les news (No More Room in Hell 2, Dead Island 2, SULFRUR, STRAFTAFT…) 00:39:04 – Quizz : des faits approximatifs rigolos sur Call of Duty 00:55:13 – Test : Call of Duty 21: Black Ops 6 01:21:30 – Test : While We Wait Here 01:25:19 – À venir
En espérant que ça vous fasse autant marrer à entendre que nous à le faire, on vous donne rendez-vous dans deux ou trois semaines pour un nouveau NoScope !
Vous vous souvenez de Fntastic ? Parce que les gens qui ont précommandé The Day Before, leur jeu de survie sorti tellement pété que Steam l'a retiré de la vente, eux, s'en souviennent. Nés avant la honte, les développeurs de Fntastic sont récemment revenus d'entre les morts en mode « hé les gars allez on oublie tout et on recommence », avant d'organiser un concours offrant à leur communauté de créer les cartes de leur prochain jeu gratuitement. LFS.
De toute l'histoire humaine, même en incluant le punk et Diogène de Sinope, personne n'a jamais atteint un stade de « je n'en ai plus rien à foutre » équivalent à celui des fondateurs de la startup Tales. Passe encore que ces derniers, perchés sur le nuage de kétamine qui flotte au dessus de la Silicon Valley, aient réussi à vendre à des investisseurs crédules la promesse d'une technologie qui permettra, je cite, « de générer un jeu AAA à partir d'un simple prompt IA ». Là bon, c'est n'importe quoi, on est d'accord, mais les promesses n'engagent que les gogos prêts à les croire. Là où ça devient dingue, c'est que pour faire la promotion de leur technologie, ils ont utilisé des images générées par leur moteur qui ressemblent trait pour trait aux jeux sur lesquels le modèle a été entraîné, avec notamment un clone d'Aloy, l'héroïne d'Horizon Zero Dawn. On admire l'audace et on attend la réaction des avocats de Sony. LFS.
Tout le monde sera d'accord pour dire qu'une bonne guerre thermonucléaire globale réglerait bien des problèmes – notamment celui du prix de l'abonnement YouTube qui n'arrête pas d'augmenter. Mais il faut s'y résigner : vu le manque d'enthousiasme de nos dirigeants, il est probable que nous n'aurons jamais la chance de voir notre belle planète illuminée comme un sapin de Noël par des explosions de cinquante mégatonnes.
Alors comme ça, personne n’est d’accord sur le dernier Bioware ? J’arrive une semaine après la bataille (on nous a envoyé une clé sept heures avant la sortie du jeu) et c’est encore le maxi-bordel, mais tenez-vous bon sang ! Pour certains on tient la huitième merveille du monde, pour d’autres c’est un monument en bouse. Qui a raison ? Attention, manipulez cet article avec précaution : ça va trancher.
Dieu créa l’homme à son image, à l’image de Dieu il le créa, il les créa homme et femme. Dieu les bénit et leur dit : « Soyez féconds et multipliez-vous, remplissez la terre et soumettez-la. Soyez les maîtres des poissons de la mer, des oiseaux du ciel, et de tous les animaux qui vont et viennent sur la terre. » Dieu dit, mais il était trop tard : « OK, calmez-vous quand même, c’est pas l'hôtel ici bande de crevards. Ma parole ils sont fadas ! » – Livre de la Genèse 1:1
Une interview de Kojima, c'est toujours une longue trajectoire, un peu comme des montagnes russes ou une montée d'acide. Dans un récent entretien avec le média japonais Anan News, il commence par dire des choses assez justes (« Il faut ne créer que des jeux auxquels on croit, qui ressemblent à ce qu'on voudrait laisser de nous après la mort ») puis détache les petites roues et explique qu'il aimerait bien distraire les défunts en continuant son métier de game designer dans la tombe. Et je trouve ça assez beau. LFS.
Qu'importent les risques d'être accusé d'apologie d'escroquerie, je le dis : l'arnaque montée par Mehmet Aydin et son frère force le respect. Cet ancien rappeur turc a en effet créé un clone de Farmville du nom de Farm Bank, qui comme son nom l'indique à moitié propose aux gens d'investir dans leur ferme. En pratique, l'argent dépensé dans le jeu sous forme de microtransactions devait servir, d'après Aydin, à mettre en place une exploitation agricole bien réelle, qui aurait reversé des dividendes à ses « investisseurs » lorsqu'elle aurait réalisé des profits. Le pitch a incroyablement bien fonctionné, plus de 130 000 joueurs claquant 300 millions de dollars dans l'affaire. Bien sûr, aucune ferme n'a jamais été bâtie, Farm Bank n'étant qu'une banale pyramide de Ponzi : l'argent reversé aux premiers joueurs était celui des derniers arrivés. Comme toujours, cela a fini par se voir et Aydin a été condamné à 88 000 ans de prison. Oui oui, 88 000. Ça peut sembler beaucoup mais il ne faut pas oublier que les Turcs vivent extrêmement vieux grâce aux vertus curatives des eaux du Bosphore. LFS.
Je vivais dans l'ignorance. Pour moi, Studio Seufz, c'était seulement The Longing, ce jeu génial qui consiste à attendre, sans rien faire, pendant des jours, que le roi d'un royaume souterrain se réveille. Que nenni ! The Longing n'était qu'un de leurs nombreux projets annexes, qui vont de l'animation web au dessin animé. Leur projet principal, depuis 2010, est un jeu Flash du nom de Lucky Tower, qui, après deux épisodes à succès, débarque sur Steam dans une version « Ultimate ».
La semaine dernière, nos confrères d’Insider gaming rapportaient les propos d’Andrew Wilson, le CEO d’Electronic Arts lors de la dernière réunion des actionnaires. À une question portant sur les résultats d’Apex Legends, il a révélé qu’Apex Legends 2 n’était pas du tout envisagé, et qu’ils prévoyaient de continuer « à fournir du contenu créatif et innovant » pour tenter d’endiguer la perte de joueurs.
Quelques jours plus tard, on apprenait quelle était l’une des innovations via PC Gamer : Electronic Arts ferme tout accès au jeu depuis Linux, incluant malheureusement les joueurs Steamdeck. Si l’intérêt de jouer à Apex Legends sur une console portable est pour le moins discutable, il n’empêche que cela impacte quelques joueurs. La raison invoquée par les développeurs est que malgré l’infime proportion d’utilisateurs sous Linux, ils ont détecté qu’une partie non négligeable d’exploits et de cheats provenait d’usagers de la plateforme au manchot. D’autre part, dans leur communication officielle, ils indiquent que ces logiciels malveillants passant par Linux sont encore plus difficiles à détecter que ceux sous Windows. Ils expliquent que certains cheats simulent même un changement d’OS pour bénéficier de cette « protection ». On comprend donc que les joueurs légitimes sous Linux, et par extension, sous Steamdeck, sont les victimes collatérales de la lutte contre la triche. Il n’est pas difficile d’imaginer que les efforts à fournir pour protéger l’ensemble des joueurs de cette menace, sont sans doute beaucoup plus coûteux que d’envoyer bouler une partie marginale de leurs clients.
Même si Apex Legends vous en touche une sans faire bouger l’autre, vous pouvez toujours crâner devant les libristes barbus en récupérant le jeu free-to-play depuis sa page Steam.
La nouvelle mise à jour de Six Days in Fallujah, intitulée « Command and Control », sera disponible dès demain. Cette extension introduit une fonctionnalité très attendue : la possibilité pour les joueurs de mener des missions aux côtés de coéquipiers contrôlés par l’IA, que l’on peut désormais commander. Annoncé depuis un moment et reporté à plusieurs reprise, ce système marque un retour et une modernisation du style de jeu « squad-based shooter », popularisé dans les années 2000 par des titres emblématiques comme Rainbow Six, Ghost Recon ou encore SOCOM.
Le studio Highwire Games annonce réinventer et moderniser cette mécanique de gameplay, permettant ainsi aux joueurs de diriger l’escouade IA offrant, selon eux, une expérience immersive mettant en avant la tactique et la coordination. Beaucoup de promesses pour un truc qui ne semble pas si exceptionnel, mais on verra bien ce que ça donne. Comme les cartes sont générées de façon aléatoire, les développeurs ont eu beaucoup de mal à introduire ce système, notamment à cause des défis techniques pour créer des coéquipiers IA réalistes et réactifs. Cette mise à jour permettra aux joueurs d’exécuter des tactiques militaires avancées, telles que des attaques par le flanc, la percée et aussi la sécurisation à 360 degrés.
En plus de cet ajout, les deux premières missions de la campagne solo arriveront avec cette update. Elles plongeront les joueurs au cœur des événements qui ont conduit à la création de Daesh et d’une unité de forces spéciales de l’armée syrienne. Ce seront également les prémisses de la première grande bataille au cours de laquelle Irakiens et Américains ont uni leurs forces pour combattre Al-Qaïda en Irak, qui avait pris le contrôle de la ville de Falloujah. Un sujet léger et consensuel. Enfin, une nouvelle mission procédurale devrait voir le jour. Comme pour toutes les autres, celle-ci pourra être jouée en solo ainsi qu’en coopération. Les équipes comptant moins de quatre joueurs pourront désormais remplir les places vacantes avec les IA.
À la rédac, on avait beaucoup apprécié le titre notamment pour son ambiance sonore et son gameplay en général. On a donc hâte de découvrir tout cela et on espère que l’arrivée de ce patch ramènera plus de monde en jeu puisqu’actuellement, c’est un peu triste.
En attendant le 7 novembre, Six Days in Fallujah est toujours en accès anticipé sur Steam pour 39 €. La version 1.0 est prévue en 2025 avec la sortie sur consoles.
C'est bientôt Noël, l'heure des contes et des belles histoires. Par exemple celle de Asad, Asif et Ash Habib, trois frères passionnés de jeu vidéo mais dénués de la moindre expérience en matière de développement, qui un beau matin se sont dit : « Tiens, si on faisait un jeu de boxe ? » À force de journées passées à apprendre la programmation et la modélisation 3D devant des tutos YouTube, ils ont fini par obtenir quelque chose de vaguement montrable. Ils ont alors quitté leur emploi, commencé à démarcher des fédérations de boxe pour obtenir le droit d'utiliser l'image de sportifs bien réels. Le résultat : Undisputed, qui à lui seul a remis le jeu de boxe à la mode et s'est écoulé à plus d'un million de copies. Certes, le jeu s'est fait descendre par la critique et est jugé « plutôt négativement » sur Steam, mais c'est comme ça avec les contes de Noël, il faut s'intéresser à l'esprit, pas à la lettre. LFS.