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GTA Offline

GTA Online est dans la tourmente. Afin de réduire un peu la triche, véritable sport national sur ce jeu multijoueur, Rockstar a surpris tout le monde en implémentant récemment la technologie BattleEye, déjà utilisée sur PUBG. Résultat : une attaque DDoS bien sale qui paralyse les serveurs de jeu. Qui se trouve derrière cette protestation. Sont-ce les tricheurs, tout fâchés de ne plus pouvoir pourrir le jeu ? Ou alors des joueurs « honnêtes », qui ne veulent pas de cette technologie intrusive (et imparfaite) dans leur jeu favori ? Quoi qu'il en soit, à l'heure où nous publions, l'attaque dure déjà depuis plus de trois jours et la fréquentation des serveurs s'est effondrée. On sait qu'en 2022, les microtransactions sur GTA Online rapportaient plus de 1,5 million de dollars par jour à Rockstar. Les ingénieurs réseau doivent transpirer. A.

Voulons-nous vraiment parler à nos jeux vidéo ?

Nous sommes en 2028 et vous venez de lancer le tout nouveau The Elder Scrolls 7 : Valenwood sur votre nouvelle GeForce RTX 11090, qu'une myriade de Tensor Cores de 14e génération ont rendue plus verveuse que Marcel Proust et Damso réunis. Vous arrivez devant une citadelle fortifiée magnifique, avec du path tracing en 32K. Un garde en armure vous interpelle dans un français à l’accent gascon : « Halte là l’étranger ! On ne t’a jamais vu par ici… Que viens-tu faire chez nous ? »

GPU : du jeu vidéo à l’intelligence des machines

Comprendre comment Nvidia est devenu un nom incontournable de l'IA, c'est une chose. Comprendre pourquoi, c'en est une autre. Parmi tous les spécialistes du GPU, l'entreprise de Jensen Huang a été celle qui a su saisir le mieux, et le plus tôt, l'opportunité qui se présentait à elle. Mais cette opportunité, d'où est-elle venue ? Pourquoi les GPU sont-ils d'aussi bonnes puces pour l'IA ? Et puis d'abord, c'est quoi une « puce pour l'IA » ?

Nvidia, le prince du jeu vidéo devenu roi de l’IA

Dans la grande course à l’intelligence artificielle qui se tient depuis maintenant quelques années, un nom en particulier est devenu parfaitement incontournable : Nvidia. Mais comment un concepteur de puces graphiques, jusqu’ici surtout connu de la population des joueurs et des artistes 3D, en est-il arrivé à « s’approprier » l’IA, au point de devenir (très brièvement) la première capitalisation boursière mondiale ?

Looking for Fael

Il est presque 21 h quand je reçois un message de mon colocataire Fael. « Hey, ça va te sembler un peu bizarre, mais je crois que je me suis perdu dans l'appartement, tu penses que tu pourrais venir m'aider ? » Il parle avec un ton détaché, presque léger, comme si se perdre dans un T4 était la chose la plus naturelle du monde – ce qui donne plus l'impression qu'il s'est enfermé dans les toilettes qu'égaré dans les méandres de La Maison des feuilles. Pourtant, dans l'appartement, Fael demeure introuvable.

Un petit trou dans le porte-monnaie

Concord, le shoot multijoueur édité par Sony, sorti en août dernier sur PlayStation 5 et PC après huit ans de développement, puis retiré de la vente deux semaines plus tard faute de joueurs, a été un four monumental. C'est un fait. Mais quelle est vraiment l'ampleur des dégâts ? Le journaliste Colin Moriarty, qui dit avoir une source en interne, affirme sur Twitter que le jeu a coûté 400 millions de dollars. Un chiffre à prendre avec de grosses pincettes, bien qu'il soit finalement assez proche d'autres titres comparables. Spider-Man 2 par exemple, sorti lui aussi sur PS5 et PC, a coûté 315 millions de dollars. Et le budget du futur GTA 6 pourrait approcher les deux milliards. A.

Château Combo

Catch Up Games est mon éditeur « Nicolas Cage » : un coup une sortie moyenne, un coup une sortie géniale. Bonne nouvelle pour eux, je n’avais pas adoré leur dernier jeu Rivages.

Frostpunk 2

Avant d'entamer ce test, j'ai une question simple : pourquoi est-ce que vous n'aimez pas le bonheur ? Non, parce que si vous êtes ici, si vous avez commencé à lire ce test de Frostpunk 2 en vous disant « Oh, j'ai adoré le premier épisode, voyons voir ce que nous réserve cette suite ! », vous avez un problème.

Mouse : P.I. for hire

Je ne vais pas vous mentir en vous disant que je n'attendais rien de Mouse. Oui, j'avais envie d'y jouer, j'étais persuadé que ce serait l'un de mes jeux de cette Gamescom. Mais, lucide sur mes défauts, je savais que c'était uniquement parce que je suis, comme dirait ackboo, « un gros iencli pour tous les boomer shooters de merde ». Mais Mouse, à ma grande surprise, est davantage qu'un énième boomer shooter. Et ne devrait pas plaire qu'aux ienclis.

Retrouvez-nous lundi 23 septembre à 21 h pour le NoScope #62 : I Am Your Beast et des jeux d’horreur pourris

Lundi soir, le 23 septembre à 21 h, la rédaction de NoFrag enregistrera l’épisode #62 de NoScope. Comme à notre habitude, on commencera par vous parler de l’actualité des FPS des deux dernières semaines. On discutera notamment de Kvark, de Project Borealis: Prologue, de la sortie de Zero Hour, ou encore des rumeurs sur le prochain Battlefield.

Après un petit quizz, on s’attardera un peu sur le test du formidable I Am Your Beast, mais aussi sur ceux de jeux « un peu » moins réussis, que sont Baby Blues Nightmares et Pneumata.

Alors attrapez une poignée de cacahuètes, une choppe de bière tiède, et retrouvez-nous lundi soir à 21 h sur la chaîne Twitch de NoFrag !

Vous pouvez retrouver les anciens épisodes de NoScope en VOD sur la chaîne YouTube NoFragTV et en version podcast sur Soundcloud, mais aussi sur SpotifyDeezerAnchor.fmGoogle PodcastsPocket CastsRadioPublic et Breaker.

La saison 4 de The Finals débute le 26 septembre avec une nouvelle map

En fin de semaine, Embark Studios a publié un teaser pour la saison 4 de The Finals, le jeu free-to-play compétitif basé sur la capture de points et sur la destruction quasi totale des environnements. Malgré un TTK plutôt long, on avait bien apprécié le titre, qui propose réellement quelque chose d’original, d’autant plus que depuis notre test, il s’est pas mal étoffé : nouvelles maps, nouveaux modes de jeu, nouveaux équipements, etc. Et cette saison 4 ne déroge pas à la règle, puisque le 26 septembre, on pourra découvrir la carte Fortune Stadium, le retour de Cashout, mais en mode tournoi classé, de nouveaux sponsors et plein d’autres petites choses, comme des armes ou des équipements. Si vous voulez plus de détails, n’hésitez pas à vous rendre sur la page dédiée du site officiel.

En attendant le 26 septembre et le début de la saison 4, vous pouvez toujours lancer The Finals, pour les derniers jours de la saison 3. En accès free-to-play, il suffit de se rendre sur la page Steam. Si vous cherchez des coéquipiers, n’hésitez pas à faire un tour sur le Discord de NoFrag, ou même le forum, si vous êtes vieux.

Merci à Speeder pour l’info.

Toujours pas de gameplay pour Decadent, un FPS dans l’univers de Lovecraft

On avait découvert Decadent à l’occasion des Lovecraftian Days sur Steam, sponsorisés par l’éditeur Fulqrum Publishing (Forgive Me Father 2Dread Templar). Comme les devs ont l’air de se foutre de notre gueule en ne montrant toujours pas la moindre once de gameplay, on ne va pas trop se casser le cul : le jeu se déroulera dans l’univers du célèbre romancier raciste de Providence, et pour le gameplay, allez voir les promesses sur la page Steam.

La cinématique n’est pas ratée, mais n’indique toujours rien de concret sur le jeu. On ne peut faire que des suppositions, ce qui ne fera pas avancer le schmilblick. Surtout qu’on pense qu’à peu près tout le monde s’en branle.

Pas plus d’info non plus sur la date de sortie, on reste sur un laconique 2025. Si ça vous tente tout de même, vous pouvez toujours ajouter Decadent à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.

Echo Point Nova est toujours aussi moche, mais il arrive le 24 septembre

On n’avait vraiment pas été convaincus par les différentes démos d’Echo Point Nova, le second jeu de Greylock Studio, créateur de l’excellent Severed Steel. La direction artistique, qui semblait en chantier depuis l’annonce du jeu en mars 2023, était finalement déjà définitive : le trailer nous montre toujours des environnements très vides, sans vraiment d’âme ni aucune cohérence. Si par contre, les gunfights très acrobatiques, repris de leur précédent titre, paraissent nerveux et plutôt sympas, on a un peu peur que ça ne suffise pas, même en coopération avec un pote. D’autant plus qu’on avait trouvé la partie jeu de plateforme sur un overboard vraiment à chier. La vidéo s’achève sur la date de sortie : ce sera le 24 septembre.

On peut déjà vous dire qu’on ne sera pas les premiers à se lancer dans l’aventure. D’autant plus qu’elle sera facturée 25 €, avec 10 % de réduc pour la semaine de la sortie, comme le précise le billet de blog. Si au contraire, Echo Point Nova vous tente, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.

[TEST] Baby Blues Nightmare : un jeu d’enfant !

C’est le 16 septembre dernier qu’est sorti Baby Blues Nightmare, la toute dernière copie nouveauté du studio Steelkrill, connu pour leurs jeux d’horreur (The Voidness, Rotten Flesh ou encore The Backrooms 1998). Après avoir découvert le trailer en février dernier, on savait un peu à quoi s’attendre. On ne va pas se mentir, c’est franchement naze. Si se retrouver dans la peau d’un enfant en bas âge semblait plutôt original au départ, un sentiment de lassitude s’installe très vite. Fort heureusement le supplice ne dure vraiment pas longtemps.

Genre : survival horror  | Développeur : Steelkrill Studio | Éditeur : Steelkrill Studio | Plateforme : Steam | Prix : 12,79 € | Configuration recommandée :  Intel Core i7 4790K / AMD équivalent, 8 GB de RAM, GTX 970 Ti / AMD équivalent | Langues : Anglais | Date de sortie : 16/09/2024 | Durée de vie : 1 heure

Test effectué sur une version commerciale

Baby Blues Nightmare 1

Dur, dur d’être un bébé

L’histoire commence dans votre lit de petit marmot. Entouré de vos magnifiques horribles poupées, vous écoutez sagement votre mère qui essaie de vous border en vous racontant l’histoire d’un petit enfant qui collectionnait des poupées effrayantes, parce qu’il se sentait en sécurité avec. Jusqu’au jour où celles-ci ont toutes disparu. Vous vous réveillez en pleine nuit à cause de l’orage, mais aussi parce qu’une grosse dispute éclate dans la maison. Vos poupées ne sont plus là, il faut alors les retrouver. Si l’histoire est un peu vague au départ, il faudra attendre de terminer le jeu pour que tout s’explique.

Dès les premières secondes, on remarque une chose dont on aurait pu se passer. L’ajout du clignement des yeux de l’enfant. Ça ne sert strictement à rien et c’est assez déroutant. Ensuite, c’est par le biais de cette introduction que l’on va découvrir le gros manque d’originalité dans le gameplay. Le développeur se contente de transposer des mécaniques que l’on connaît dans de nombreux jeux, dont principalement les siens, dans un nouveau décor. Et c’est tout. Il n’y a aucune once d’originalité. Même le fait de jouer un enfant en bas âge avait déjà été exploité dans le très bon Among the sleep, qui avait le mérite d’avoir sa propre identité. Ici, le gameplay que procure l’aventure est minimaliste. Marcher, courir, ouvrir des portes et sauter. Oui, un bambin peut apparemment sauter très haut et enchaîner les plateformes, prendre de la hauteur pour ensuite atterrir sans qu’il ne se mette à hurler pour qu’on vienne lui faire un bisou magique. C’est vraiment dommage, car si le studio se spécialise dans les walking sim horrifiques, en aucun cas, il ne se remet en question pour proposer quelque chose de neuf.

Une fois descendu au rez-de-chaussée, alors que vous vous attendiez à voir vos parents, vous vous retrouvez finalement tout seul. Enfin presque : votre principale préoccupation sera dorénavant Red Belly, l’unique menace qui vous poursuivra tout au long du jeu pour vous mettre en pièces. Rassurez-vous, le monstre est aussi lent qu’un nonagénaire en déambulateur. Vous aurez toujours le temps de vous cacher sous une table ou dans les nombreux casiers disséminés un peu partout sur la map. La particularité de ces derniers, c’est que vous ne pouvez pas entrouvrir la porte ni voir entre les grilles. Vous devrez donc patienter gentiment que l’ennemi s’éloigne doucement. Une fois la partie de cache-cache terminée, vous pourrez chevaucher votre tricycle et ainsi fuir les lieux.

Baby Blues Nightmare 5

Loup, y es-tu ? Que fais-tu ? M’entends tu ?

Après la courte introduction évoquée plus tôt, vous passerez tout le reste de l’aventure dans une série de pièces remplies de blocs colorés et de jeux d’enfant en tout genre, et dans lesquelles vous devez retrouver vos fameuses poupées. Attention cependant à ne pas trop faire de bruit en marchant sur des jouets, car ça risquerait d’alerter le méchant monstre qui veut votre peau. Ces passages de poursuite horrifiques ainsi que les nombreux screamers feront baisser votre jauge de sang-froid. Pour pallier cela, vous pouvez compter sur le chocolat. En effet, muni d’un sac à dos, votre bambin pourra ramasser des plaques de chocolat et les manger pour ne plus avoir peur. Il peut également ramasser certains objets de mission qui seront directement mis dans votre inventaire. Vous aurez également la possibilité de sauvegarder à des endroits spécifiques, et un coffre sera à disposition. Dans celui-ci, vous pourrez stocker vos objets ramassés çà et là, mais j’ai trouvé qu’il n’avait aucun intérêt, vu le peu de difficulté du titre.

Baby Blues Nightmare 2

Prendre un enfant par la main

Baby Blues Nightmare est court, très court, même, puisqu’il se termine en une heure. Le niveau principal est vraiment petit et les nombreux indices prennent beaucoup trop le joueur par la main. Une fois la carte en votre possession, elle affichera tous les emplacements où vous devrez aller. À cela, s’ajoutent les traces de sang qui indiquent les passages à prendre, des flèches sur les murs, et même des petits dessins pour vous montrer ce que vous devez faire. Je ne sais pas si c’était un souhait du studio, mais les habitués du genre vont vite tomber dans l’ennui et dans la frustration. Personnellement, je trouve cela totalement ridicule. Mis à part terminer le jeu plus rapidement, ça n’a aucun intérêt. Un autre exemple, le code à quatre chiffres d’une porte est écrit plusieurs fois sur les murs.

Malheureusement, Baby Blues Nightmare rate aussi son sound design. Certes, l’utilisation d’effets sonores qui s’intensifient lors des menaces où l’ajout de douce musique de berceuse fonctionne plutôt bien, mais un petit conseil : ne mettez pas le son du jeu trop fort, puisque lors des jumpscares et des attaques, le son vous détruit littéralement les oreilles. On peut constater exactement le même problème dans leurs précédents jeux, une situation parfaitement incompréhensible – à moins que le développeur ne soit malentendant.

Un nightmare qu’il faut cesser

Une nouvelle fois, Steelkrill Studio ne se mouille pas et nous offre ici un énième jeu d’horreur où toutes les mécaniques sont affligeantes. C’est aussi sans étonnement que toute la clique d’influenceurs écervelés vont trouver le jeu formidable, car ils vont pouvoir hurler comme des idiots au moindre bruit. Malgré le principe d’incarner un enfant en bas âge, ce qui promettait un peu de fraîcheur, le titre manque cruellement d’originalité, et réussit l’exploit de rapidement nous ennuyer, alors qu’il ne dure en tout qu’une petite heure. Rien de bien étonnant, au final, quand on connait les autres productions du studio. Même si vous êtes fan du genre, ne perdez pas de temps avec ce jeu, il y a beaucoup mieux et plus long partout ailleurs.

Vous avez du mal à vous y retrouver dans le catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à trier le bon grain de l’ivraie.

Les bons plans du week-end préparent l’automne

Ça y est, l’automne arrive. Les derniers jours de beau temps sont terminés, et la pluie va redevenir notre quotidien. Pour les bons plans NoFrag du week-end, c’est l’occasion de faire de belles balades, sans se faire emmerder. Pour éviter d’être trop mouillé, il faudra s’équiper d’un joli poncho, ou d’un ciré – uniquement dans le cas où vous seriez Breton. Au cas où, on pourra aussi prendre des bouchons d’oreilles pour éviter de prendre froid. Parce que c’est rigolo de sauter dans les flaques de boue, ces bottes seront indispensables. Évidemment, il ne faudra pas oublier un discret pantalon de circonstance. Si vous n’aimez pas trop les capuches, rassurez-vous, il existe plein d’alternatives toutes plus pratiques et fashion les unes que les autres. Il ne manque plus qu’un séchoir pour s’occuper de tout ça à votre retour, et une bonne tisane. Vous voilà fin prêt pour l’automne !

Les bons plans Amazon

Gothax, plus motivé que jamais, nous a concocté une nouvelle petite liste de plein de trucs pour votre PC :

Enfin, n’oubliez pas que si vous ne trouvez pas votre bonheur parmi les produits proposés dans notre article, vous pouvez tout de même nous soutenir en collant ?tag=nofrag-21 à la fin de l’url de n’importe quelle marchandise sur Amazon et ainsi nous faire gagner quelques euros bien utiles.

Gamesplanet W40K - Spacemarine II - codepromo NOFRAG

Les bons plans Gamesplanet

Apparemment, on a bien fait de mettre en avant Warhammer 40,000: Space Marine 2, car il ne récolte que des éloges, bien que ce ne soit pas un FPS. Alors on continue de le faire, ce serait dommage de ne pas partager les bons plans de notre partenaire Gamesplanet. Avec le code promo NOFRAG, vous avez toujours –15 % au lieu de –10 %, ce qui fait la version Standard à un peu moins de 52 €l’édition Gold à 77 € ou la version Ultra à 85,5 €.

Mais cette semaine, un autre jeu très attendu est sorti : Frostpunk 2. D’après les premiers retours, c’est aussi plutôt pas mal. Ça tombe bien, il est en promo à –15 %, ce qui fait l’édition classique à 39 €, et l’édition deluxe à 64 €.

Et sinon, voici une petite sélection de trucs plus ou moins intéressants :

Comme plus haut pour Amazon, si vous ne trouvez pas votre bonheur dans ces listes de jeux, vous pouvez utiliser le code ?ref=nofrag et le coller à la fin de l’URL du jeu qui vous intéresse. Ça arrivera dans notre porte-monnaie virtuel Gamesplanet et nous permettra de nous payer les clefs que les éditeurs ne nous envoient pas !

Merci à tous pour votre soutien !

Intel a vécu l’été de tous les dangers

Cette année chez Intel, la belle saison n’a pas été l’occasion de prendre beaucoup de repos. L’entreprise vient de vivre quelques mois particulièrement agités, entre controverses liées à la fiabilité défaillante de ses processeurs Core de 13e et 14e génération, lancement à haut risque d’une nouvelle génération de processeurs pour ordinateurs portables, résultats financiers alarmants et changements de plans industriels brutaux. Essayons de résumer la situation.

Voyage, voyage : les jeux de l’autre bout du monde

On parle d'eurogames (dits aussi « à l’allemande », les trucs avec des cubes en bois), on parle d'ameritrash (les trucs avec des dés et des gros monstres), et on peut avoir l’impression que c’est ça, le marché du jeu de plateau : l’Europe et l’Amérique. Quand on fouille un peu, tous les continents sont ludiques.

Nintendo lance « attaque en justice »

Palworld, souvenez-vous, ce Faux-kémon pas si pire en accès anticipé qui a fait couler beaucoup d’encre en début d’année parce qu’il permettait de tirer à l’AK-47 sur les adorables bestioles qui ressemblait à s’y méprendre à celles de Game Freak. Beaucoup de gens ont spéculé sur une action en justice venant de Nintendo pour violation de copyright. Mais retournement de situation ! C’est sur le front des brevets que le consolider décide de prendre le Tauros par les cornes. C’est, en réalité, plutôt une mauvaise nouvelle pour tout le monde. Car si les brevets concernés sont trop larges et que la justice japonaise tranche en faveur de Nintendo, c’est tout un pan de la création qui pourrait être limité à l’avenir. Vous pensez que j'exagère ? Pendant 20 ans, c’est à cause d’une telle intimidation par Namco qu’on était collectivement obligés de se taper des temps de chargement sans minijeux. K.

Inheritors

Préparer sa succession est important. Il faut être précis et spécifique, pour tuer dans l’œuf toute querelle intestine. J’ai déjà clairement défini qui héritera de ma bibliothèque Steam et de ma collection de bols bretons de Pornic. Sinon, c’est le boxon.

Le Vaillant Petit Page

Laïus est le héros d’une série d’aventures pour enfants, Le Vaillant Petit Page, dans lequel il protège le royaume de Mojo des attaques répétées de l’infâme sorcier Ragecuite. Tout allait bien dans le meilleur des mondes, jusqu'à ce que Laïus réalise qu’il vivait en réalité dans un livre, dont il est possible de sortir pour découvrir un nouveau monde en trois dimensions.
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