Charlie Guillemot, progéniture de notre cher Yves Guillemot, avait terminé ses études en 2014. La même année, il prenait la co-direction du Studio Ubisoft Owlient, grâce à ses incroyables capacités transmises de père en fils depuis des générations : son nom de famille. Après avoir quitté l’entreprise de Papa suite à une affaire un peu sombre en 2020 pour créer son studio NFT / IA générative, le voici rappelé à la rescousse dans la task force pour sauver Ubisoft en 100 jours. D’après BFM, il prend la co-responsabilité du comité avec Marie-Sophie de Waubert, dans la boîte depuis plus de 20 ans, donc pas vraiment le « nouveau souffle » vanté par Yves. Il semblerait que cette annonce n’ait pas été bien reçue par les employés, puisque certains d’entre eux auraient indiqué à nos confrères d’Insider Gaming que la majorité des membres étaient justement responsables de l’état déplorable de la société. Sympa l’ambiance.
Quoi qu’il en soit, ils devraient bientôt savoir à quelle sauce ils seront mangés, car 100 jours, c’est un tout petit peu plus que la durée du préavis de licenciement. On leur souhaite bon courage.
Le 22 mai, comme prévu, 1047 Games a ouvert les vannes de l’open bêta de son free-to-play Splitgate 2. Mais a priori, ils n’avaient pas prévu que des joueurs rejoignent les serveurs : sous le poids de tentatives de connexion, tout s’est écroulé. Quelques-uns ont semble-t-il tout de même réussi à tester, puisqu’il y a 57 % d’avis positifs. Mais on n’a pas eu la chance de notre côté, car on est restés bloqués sur l’écran de démarrage. En revanche, ils n’ont pas oublié de proposer des packs de cosmétiques allant de 5 à 60 €.
Pour rappel, il s’agit d’un jeu compétitif en 4 vs 4 avec un gameplay un peu aérien, et surtout, des portails comme dans Portal. On avait testé vite fait une précédente alpha, et on n’avait pas trouvé ça terrible, principalement à cause d’un gunfeel pas ouf. Malheureusement, on ne saura jamais s’ils ont amélioré ce point, puisque les serveurs sont hors ligne.
Quoi qu’il en soit, si vous voulez tenter l’aventure des serveurs injoignables, vous pouvez retrouver gratuitement l’open bêta de Splitgate 2sur Steam.
Et si aucun de ces produits ne vous fait de l’œil, vous pouvez tout de même nous soutenir en ajoutant ?tag=nofrag-21 à la fin de l’URL de n’importe quelle marchandise sur Amazon et ainsi nous permettre de grappiller quelques euros fort utiles.
Et dans tous les cas, si vous trouvez des choses qui vous intéressent, vous pouvez ajouter ?ref=nofrag à la fin de l’URL pour nous faire gagner quelques centimes. Ça arrivera dans notre porte-monnaie virtuel Gamesplanet et nous permettra de nous payer les clefs que les éditeurs ne nous envoient pas !
Après le succès de The Witcher 3, Andrzej Sapkowski, l'auteur polonais des romans The Witcher, avait traîné CD Projekt en justice pour leur demander 16 millions d'euros de royalties. Pensant que les jeux vidéo feraient un four, il avait à l'origine vendu sa licence pour une somme fixe. Le contentieux s'est réglé à l'amiable, mais le romancier y a gagné une réputation de vieux monsieur jaloux, méprisant notre hobby. Interrogé par PC Gamer, le patron de CD Projekt Adam Badowski a voulu rétablir la vérité : « C'est un homme très intelligent et un ami. Nous dinons régulièrement ensemble et avons d'excellentes conversations. » Il précise que, si l'écrivain ne joue toujours pas aux jeux The Witcher, il s'y intéresse de près et connait parfaitement leur contenu. Soyons donc rassurés : The Witcher 4, prévu (au plus tôt) pour 2027, n'est pas développé dans l'hostilité et l'amertume. A.
(Crédit photo : Niccolò Caranti - CC BY-SA 4.0)
D'après le site MP1ST, 2K prépare une annonce concernant la franchise BioShock d'ici à la fin de l'été. Deux candidats possibles : BioShock 4 (qui a plus ou moins fuité en juillet dernier) ou le remake d'un des précédents épisodes. A.
On était un peu passé à côté du test de Fateforge, un joli bébé de quatre kilos financé sur Kickstarter et sorti chez nous l’été dernier. La boîte française est désormais entre nos mains et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle est imposante. Il fallait voir ma tête quand Perco s’est ramené avec son cabas plein à craquer, qui faisait des bruits de pions et de cartes quand il se baladait.
Au cours d'une carrière, il y a assez peu de moments où l'on a l'occasion d’écrire que le meilleur Prey depuis le Prey de 2017, c’est un jeu burlesque qui nous fait incarner l’employée d’une compagnie d’assurance ayant pour mission de secourir des chats dans l’espace. Eh bien pour moi, figurez-vous que ce moment est enfin arrivé.
Vous le savez si ce n’est pas la première fois que vous lisez Canard PC : parfois, ça nous arrive d’aimer des trucs un peu bizarres. On a consacré deux pages dans le dernier hors-série à un jeu de gestion du parc d’éoliennes du Venezuela et là, vous tenez devant votre visage une page consacrée à un jeu où l'on gère une PME qui fait des conserves de poisson en Espagne. Eh oh, c’est vous qui avez payé pour ce magazine hein, c’est pas moi.
En cherchant des vidéos d’activités extra-professionnelles à suggérer au sein de la rédac, on est tombé sur OUT FISHING, un FPS centré sur la passion de la pêche où c’est la truite qui essaie de nous fumer. Le jour, vous pourrez améliorer votre équipement et tenter d’attraper de plus grosse prise pour vous faire de la thune. La nuit, c’est une autre paire de manches, car vous serez victime d’hallucinations et ferez la rencontre de créatures étranges peuplant une forêt hantée. Afin de parfaire cette expérience de terreur psychologique, Mūn Mūn Games, le studio derrière le développement du jeu, explique vouloir s’inspirer de franchises horrifiques tels que Alan Wake, Mundaun ou Silent Hill. Du coup, on est un peu refroidis car on pensait que ça serait un moment plaisir. Au lieu de ça, on risque fortement de se retrouver avec des membres souffrant d’ichthyophobie.
Comme vous le savez, l’horreur ne fait pas l’unanimité au sein de la rédac. Même si le gameplay sur la pêche paraît plutôt réussi, le court extrait de gunplay nous effraie tout autant que les différentes séquences horrifiques. Mais si vous n’êtes pas rebuté, vous pouvez ajouter OUT FISHING à votre liste de souhaits Steam, en attendant l’annonce d’une date de sortie.
On vous en a parlé brièvement pendant le dernier NoScope, il y a comme une odeur de pourri chez Bungie. Il y a quelques jours, l’artiste Antireal dénonçait l’utilisation de son travail sans autorisation dans Marathon, le futur extraction shooter sans âme des créateurs de Destiny.
the Marathon alpha released recently and its environments are covered with assets lifted from poster designs i made in 2017.@bungie.net @marathonthegame.bungie.net
Dès le lendemain, le directeur artistique s’excusait en disant « c’est pas nous, c’est un ancien employé », pour se dédouaner. Une excuse bancale, mais qui pourrait passer si ce n’était pas une habitude. Le souci, c’est que ce n’est pas la première fois que ça arrive, comme l’explique très bien le YouTuber Zil dans sa vidéo sur le sujet :
Il considère – et ce n’est pas le seul – que c’est le résultat d’une mentalité de merde dans le studio. Des anciens employés ont d’ailleurs révélé que l’ambiance n’était pas géniale au bureau.
Bungie n’avait clairement pas besoin de cette pub, les retours des influenceurs sur la version alpha n’étant déjà pas fameux. En tout cas, rien de suffisamment intriguant pour nous donner envie de nous y intéresser. Mais si contrairement à nous, vous êtes curieux de voir le résultat, vous pouvez toujours ajouter le jeu à votre liste de souhaits sur Steam en attendant sa sortie, prévue – pour l’instant – pour le 23 septembre.
Découvert l’année dernière, Alkahest, un FPS action-RPG s’inspirant de grands noms tels que Dishonored et Dark Messiah of Might & Magic, refait parler de lui sur la chaîne YouTube de nos confrères d’IGN avec une nouvelle vidéo. En effet, cette dernière est devenue l’objet d’un débat houleux entre les joueurs : une partie se plaint de l’absence de gameplay, un an après la première vidéo, tandis que l’autre pense que c’en est. C’est évidemment une erreur, le trailer n’est qu’une longue séquence précalculée pour montrer l’intention des développeurs, et en aucun cas une vraie situation en jeu. En plus de compter sur des fanboys de la première heure, le studio Push On est désormais soutenu par l’éditeur HypeTrain Digital (Void Train, PAPER HEAD ou Pathologic 3) qui a probablement vu des choses un peu plus concrètes.
N’étant qu’en début de développement, Alkahest n’a toujours pas de date de sortie annoncée. En attendant du vrai gameplay, qui devrait tout de même être montré cette année, selon l’équipe de dev, vous pouvez toujours ajouter ce dernier à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes intéressé.
Comme l’année dernière, le Warhammer Skulls 2025 a été l’occasion de voir des annonces de nouveaux jeux, ou de nouveaux contenus pour d’anciens jeux qu’on apprécie à la rédaction. Voici un petit récapitulatif des informations à retenir de cette édition.
On commence avec Big Fan Games, qui reprend la licence Boltgun, et annonce Warhammer 40,000: Boltgun 2, la suite du rétro-FPS dans l’univers des Space Marines sorti en 2023. À l’époque, on l’avait trouvé sympa grâce à son très bon feeling, mais pas très original, un peu lassant à la longue et doté d’une difficulté en dents de scie un peu étrange. Pas de quoi réfréner les ardeurs d’Auroch Digital, qui se sont donc remis au travail sans doute peu après la publication du premier, tout en développant le DLC Forges of Corruption.
Pour l’instant, on n’a pas grand-chose à se mettre sous la dent : on peut seulement vous dire que la direction artistique ressemble beaucoup au précédent opus, que le gunfeel a l’air tout à fait correct, et que le gore semble toujours au centre des préoccupations de l’équipe artistique, pour notre plus grand plaisir. Mais par contre, impossible de dire que c’est un nouveau titre, ça aurait très bien pu être la présentation d’un DLC. Espérons qu’ils mettent à profit le temps qui leur reste avant la sortie, prévue pour 2026, en travaillant sur le game design, afin de nous produire un jeu un peu plus novateur que le précédent.
En attendant d’en savoir plus, vous pouvez toujours ajouter Warhammer 40,000: Boltgun 2 à votre liste de souhaits depuis sa page Steam. Sinon, vous pouvez aussi retrouver le premier Boltgun à –50 %, soit 11 € tout seul, ou 14 € avec son DLC Forges of Corruption.
Du côté de Fatshark, on peut noter l’arrivée de Warhammer: Vermintide 2 dans le Game Pass, et un rappel que le troisième niveau de la campagne Verminous Dreams avait été publiée en décembre dernier sous forme de DLC gratuit. Mais le plus intéressant est évidemment l’annonce d’un DLC pour Warhammer 40,000: Darktide : Arbites Class. C’est une nouvelle classe – sans dec ? – proposant un personnage plus ou moins inspiré de Judge Dread, doté d’un fusil à pompe et d’un petit chien.
Pour tout vous avouer, au moins la moitié de la rédac s’en bat les steaks, et pas de bol, c’est une partie de cette moitié qui rédige l’article. Ce qu’on peut vous dire, c’est que vous aurez accès à 80 nœuds de talents à choisir comme vous voulez, ou l’un des trois arbres prédéfinis. Ça fera sans doute plaisir aux fans, qui trouveront bien un moyen d’acheter ce DLC pour 12 putains d’euros, dès le 23 juin. Au même moment, même les moins riches pourront profiter d’une mise à jour, puisqu’elle sera gratuite, et proposera un remaniement de la difficulté. Pour plus de détails, allez consulter le billet de blog Steam.
On termine cette news avec quelques trucs en vrac vraiment indispensables : Games Workshop annonce une collaboration avec RUST, sans doute pour des skins, à la manière de ce qu’ils avaient fait avec Call of Duty l’année dernière. Mais ce n’est pas tout, puisqu’on aura également des autocollants à mettre sur nos armes de Counter-Strike 2 ! Incroyable ! Et enfin, même si ce n’est pas un « vrai » FPS, on reste dans le thème avec la sortie surprise du typing game gratuit Warhammer 40,000: Boltgun – Words of Vengeance, pour les curieux.
Un peu plus tôt dans la journée, GLUM est sorti en accès anticipé comme prévu. Quand le jeu avait été annoncé en 2023, la direction artistique ne nous avait pas vraiment convaincus. Mais en février dernier, la démo avait révélé un gameplay plus profond que prévu. Pour rappel, on y incarne un gobelin bien vénère, qui donne des coups de pied dévastateurs dans tout ce qui bouge – et aussi ce qui ne bouge pas. Au-delà d’envoyer valdinguer les ennemis dans les airs ou dans des pièges à la manière d’un Dark Messiah of Might & Magic, on peut également se propulser pour faire des sauts incroyables. L’expérience nous avait donc plutôt plu, malgré des visuels enfantins et une musique absolument atroce.
D’après l’équipe de développement, l’accès anticipé propose entre une et trois heures de gameplay dans un unique environnement. Pour prolonger la durée de jeu sans trop se casser le cul, les développeurs proposent un mode arène où il faut survivre à 20 vagues d’ennemis de plus en plus coriaces. Rien de bien excitant, mais ça peut permettre de s’occuper en attendant la suite. Ils annoncent d’ores et déjà qu’une mise à jour majeure est prévue pour cet été, et que toutes les futures grosses updates apporteront de nouveaux biomes, ennemis et capacités. Ils ciblent une sortie en version finale d’ici un an, mais ne s’interdisent pas de faire évoluer la date selon les retours de la communauté, comme ils le précisent sur leur serveur Discord. Pour le moment, le contenu est donc un peu léger, comme le signalent les quelques joueurs sur Steam, mais tous semblent satisfaits de l’expérience.
Si mettre vos pieds dans le plat est votre passion, vous pouvez retrouver l’accès anticipé de GLUM à –20 % sur Steam, soit 10 € jusqu’au 5 juin.
Maintenant que Nintendo a pulvérisé les barrières de la décence en annonçant que le 1392ᵉ recyclage de Super Mario Kart coûtera 80 dollars, tout le monde craint que d'autres éditeurs suivent la tendance. Interrogé à ce propos au PAX East début mai, Randy Pitchford, patron de Gearbox, s'est montré évasif sur le prix de Borderlands 4. Quelques jours plus tard, à un fan lui implorant sur Twitter de ne pas mettre le jeu à 80 €, il a répondu cette perle : « Si tu es un vrai fan, tu trouveras le moyen de payer 80 dollars. Starflight sur Sega Genesis était à 80 dollars en 1991, et j'ai réussi à me l'acheter alors que j'étais payé au salaire minimum comme vendeur de glace ». Pour mémoire, Randy Pitchford est tellement riche que lorsque son assistant personnel lui a volé trois millions de dollars, il a mis plusieurs années à s'en rendre compte. A.
Il y a quelques semaines, nous apprenions que Cloud Imperium Games s’était rapproché du groupe Lactalis, géant de l’agro-alimentaire français, notamment spécialisé dans les produitslaitiers. D’après nos sources, des fermiers mayennais auraient été aperçus dans les locaux de CIG à Manchester ces derniers mois. Ils auraient été sollicités par la direction du studio pour trouver de nouveaux moyens de traire les joueurs de Star Citizen. Il faut croire que cette collaboration incongrue a porté ses fruits, puisque le 15 mai dernier, la commercialisation des Flightblades était lancée. Une opportunité unique d’acheter des composants pour améliorer les performances de certains de ses vaisseaux, avec de la monnaie sonnante et trébuchante. Attention, choisissez bien, car chaque blade est spécifique à son vaisseau. Pas question de l’utiliser sur un autre modèle : il faudra repasser à la caisse. Leur prix ? Seulement de 8,64 € à 37,80 €, selon la catégorie de l’engin de destination. Une aubaine ! Mais profitez-en rapidement, car les prolos pourront y avoir accès avec du crédit in-game à partir de juin prochain, et viendront réduire à néant votre avantage en jeu.
De manière assez surprenante, de nombreux joueurs se sont plaints, estimant qu’il s’agissait de pay-to-win. Très à l’écoute de la communauté, comme à son habitude, CIG a rapidement répondu pour rassurer tout le monde : « Après réflexion, nous avons décidé que les composants les plus petits, tels que les flight blades ou les racks de bombes, auraient dû être disponibles dans le jeu en même temps qu’ils apparaissent dans la boutique ». Ah, la tuile ! Quel dommage que tout soit déjà sur le store en ligne, et qu’il ne soit plus possible de faire machine arrière. Vraiment pas de chance.
Si on prend un peu de recul, on peut aussi considérer que l’achat des nouveaux vaisseaux avec de l’argent réel est du pay-to-win, mais les fans de Star Citizen ne sont pas à une incohérence près. Pour rappel, à l’introduction d’un nouveau modèle, il est impossible de l’avoir sans payer, puisqu’il faut attendre en général deux patchs majeurs, soit trois à six mois pour qu’il soit disponible dans les magasins en jeu et payable avec de la monnaie in-game, comme l’indiquent plusieurs posts sur reddit. Mais il faut croire que c’est la bonne solution, puisque le projet a mobilisé plus de 800 millions de dollars depuis son lancement. À plus de le Verse !
Il y a des idées qui, aussitôt formulées, paraissent évidentes. De celles qu’on se maudit de ne pas avoir eues avant, pour embrasser la richesse. Alors on gratte son Super Banco, et sa mélancolie, devant le Rendez-vous des Amis.
Au hasard de nos pérégrinations sur Bluesky, nous sommes tombés sur Carlcadium, un dev solo qui travaille sur un projet de FPS avec du parkour : Liquid Lungs. Il le vend comme un mélange de Mirror’s Edge, de Titanfall et d’une pointe de Max Payne. Avec une telle accroche, impossible de rester indifférent. D’autant qu’il explique régulièrement ses progrès sur sa chaîne YouTube au travers de devlogs assez accessibles.
La direction artistique est clairement inspirée du mythique jeu de parkour de DICE, et même si on sent que le développement est dans ses débuts, les bases semblent correctes. Par contre, niveau gunfeel, ce n’est pas encore ça, on dirait une agrafeuse. Il manque clairement un vrai sound design, ainsi qu’un gros travail sur le recul et le feedback visuel. Mais comme le développeur l’indique, ce qui est présenté n’est pas du tout représentatif du résultat final : ce n’est encore qu’un prototype. S’il parvient à tenir le rythme, il pourrait aboutir à un jeu plutôt cool.
En attendant d’en voir un peu plus, si Liquid Lung vous intrigue, vous pouvez consulter les précédents devlogs sur la chaîne YouTube du développeur, et ajouter le jeu à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.
Il y a un an, Izual testait le premier épisode de Duck Detective en concluant par ces mots : « Duck Detective : The Secret Salami a mis au point une formule quasi parfaite, dont on voudrait plusieurs suites [...] avec des solutions mieux amenées. » Duck Detective a aujourd’hui une suite, avec des solutions mieux amenées en prime – ce qui m’amène à deux déductions : soit Izual est devenu consultant pour le studio Happy Broccoli, soit les développeurs se sont dit que Canard PC ne pouvait être qu'un média d'autorité dans le marché très fermé des jeux d’enquête qui mettent en scène des palmipèdes.
Une clameur de joie s'est élevée des cours de récré américaine mercredi 21 mai, puisque Fortnite et ses microtransactions sont de retour sur l'App Store aux États-Unis. Après une longue bataille judiciaire qui leur a probablement coûté trois fois le PIB du Nicaragua, Epic et son président Tim Sweeney peuvent se déclarer victorieux et vont enfin vendre leurs 2000 skins Fortnite aux bambins texans sans reverser une dîme de 30% à Apple. Le jeu était déjà réapparu chez nous l'année dernière, grâce à une loi de l'Union européenne, mais restait banni de la boutique Apple aux US depuis 2020. La fin des royalties sur les microtransactions devrait encourager les autres éditeurs d'apps sur iPhone et iPad à nous en proposer toujours plus, ce qui est évidemment une merveilleuse nouvelle. A.
D'après le créateur original de l'univers de Cyberpunk, Mike Pondsmith, qui est allé visiter les locaux de CD Projekt, la suite de Cyberpunk 2077 se déroulera dans deux villes distinctes : Night City, bien sûr, mais aussi une nouvelle cité ressemblant à « un Chicago qui aurait mal tourné ». A.