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Skarven, un rétro-FPS inspiré d’Half-Life et du folklore danois

La semaine dernière, on a découvert un nouveau rétro-FPS low poly qui a l’air intriguant, Skarven. Il s’agit d’un projet de jeu narratif et d’action développé par le studio Mygind Mathorne, composé d’un certain Mygind (peut-être développeur sur Deep Rock Galactic ?) et Bo Mathorne, un réalisateur de films d’animation, connu pour The Backwater Gospel. Côté direction artistique, c’est très chouette et on sent franchement la filiation, même si les pixels sont ici très apparents.

Pour l’instant, on ne peut se baser que sur les promesses de la page Steam, qui indique que les développeurs se sont « inspirés de [leur] amour commun pour Half-Life et l’âge d’or des FPS narratifs ». L’aventure devrait être linéaire, mais proposera des combats, des énigmes, de l’exploration et de la narration environnementale, le tout dans un monde sans temps de chargement. Le tout sera peuplé de créatures a priori belliqueuses, inspirées du folklore danois. Difficile de se faire une idée pour l’instant, puisque la vidéo ne contient aucun gameplay, et aucune fenêtre de sortie n’a pour l’instant été évoquée. On sait uniquement que le développement a commencé en 2024, comme l’indique Mygind sur la page LinkedIn du studio.

En attendant d’en savoir plus, si Skarven vous intéresse, vous pouvez déjà l’ajouter à votre liste de souhaits Steam.

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[TEST] Blood: Refreshed Supply : un patch buggé vendu au prix fort

Blood est (encore) de retour d’entre les morts, cette fois avec Blood: Refreshed Supply, nouveau remaster officiel du chef d’œuvre de Monolith, signé Nightdive Studios. Sur le papier, tout y est : corrections de niveaux, support 4K, framerate débloqué, intégration des mods, nouvelles campagnes, IA retouchée, et bien plus encore… Mais quelques minutes suffisent à comprendre que quelque chose ne va pas. L’illusion est là tant qu’on ne regarde pas de trop près, mais commence à s’effriter dès qu’on gratte un peu la surface.

Genre : Rétro-FPS, action-horreur | Développeur : Monolith / Nightdive Studios | Éditeur : Warner Bros. Games, Atari, Nightdive Studios | Plateforme : Steam | Prix : 27,99 € | Langues : Anglais | Configuration recommandée : CPU Intel Core i5 / AMD Phenom II, GPU Direct X11 / Vulkan 1.1, 2 GB de RAM | Date de sortie : 04/12/2025 | Durée : environ 20 heures avec les campagnes additionnelles.

Test effectué sur une version fournie par l’éditeur.

I live… Again!

Le gameplay reste intact, on retrouve Blood, avec son feeling, sa nervosité, et son ambiance qui fonctionnent encore parfaitement aujourd’hui. Côté gameplay et level design, rien n’a changé… ou presque. Le shotgun reste une merveille de brutalité, la dynamite est toujours suicidaire, et les niveaux conservent leur architecture labyrinthique, leurs secrets absurdes et leur humour noir. L’ajout du support des mods, de Marrow, ou encore Deathwish (pas encore disponible) ainsi que la présence de Cryptic Passage, sont appréciables… même si ce dernier reste séparé, comme si intégrer un add‑on de 1997 relevait de l’exploit.

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I live… Again! (and again, and again, and again, and again)

Un remaster mi-cuit, mi-saignant

Si le gameplay d’origine tient encore admirablement la route, dès qu’on s’intéresse au remaster lui‑même, les ennuis commencent. Les hitboxes, par exemple, sont parfois étranges : j’ai vu des fusées éclairantes et du TNT passer à travers les ennemis comme si de rien n’était. Les animations des armes semblent ralenties, presque molles, comme si Caleb commençait à avoir de l’arthrose. J’ai également remarqué des problèmes de rendu des sprites sur les objets, ou comme par exemple sur les effets de flammes ou d’explosions. Et pour ambiancer le tout, le mixage audio est un désastre : beaucoup de sons se chevauchent, saturent, s’écrasent les uns sur les autres ; cela en devient pénible et m’a agacé à plusieurs reprises pendant les combats un peu chargés. J’ai également rencontré d’autres problèmes désagréables, comme des ennemis qui deviennent parfois invulnérables en tombant au sol, qui apparaissent soudainement à coté de moi, ou des scripts qui se déclenchent quand ils en ont envie. Le nombre de bugs de cette nouvelle édition n’est pas rassurant quand on pense au nombreux problèmes encore présents dans Blood: Fresh Supply. Et comme si tout cela ne suffisait pas, même les cutscenes censées être améliorées peinent à convaincre. Ce n’est pas nul, mais on n’en a franchement rien à carrer.

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Je suis le cerbère de la porte, êtes-vous le maître des clefs ?

J’ai quand même apprécié quelques petits changements dans cette édition. Les bandes‑son interchangeables, par exemple : pouvoir passer d’une OST à l’autre selon l’humeur, ça donne un petit vent de fraîcheur. Les effets météorologiques ajoutés — ou plutôt réintégrés, puisqu’ils avaient été abandonnés à l’époque — apportent un peu de vie aux environnements, même si ça reste discret. J’ai également aimé les modifications apportées au comportement de quelques ennemis qui modifient légèrement la manière de jouer : les bouchers et les gargouilles de pierre peuvent désormais nous toucher même quand on est accroupi, ce qui casse certaines habitudes. Les gargouilles se permettent même maintenant de jeter des os depuis les airs, ce qui rend leurs attaques plus imprévisibles et oblige à bouger davantage. C’est subtil, mais ça a changé le rythme et ma manière d’affronter ces monstres.

One Unit Whole Fresh Supply 1.5

J’avais espéré, lors de l’annonce au PC Gaming Show Tokyo Direct, une mise à jour avec un travail de préservation sur le jeu lui même, et un making‑of à la hauteur de ce monument du FPS. Certes, quelques ajouts sont appréciables, mais ils ne suffisent vraiment pas à compenser le reste. Blood: Refreshed Supply n’est pas la version définitive attendue par la communauté, mais bel et bien un patch payant, avec quelques options en plus et une poignée de bugs offerts. Quand on fait payer ce prix-là pour une mise à jour de Blood, il faut vraiment aimer les bains de sang, d’autant plus avec des alternatives gratuites qui font beaucoup mieux comme NBlood. La communauté l’a compris et les joueurs ont sorti les fourches… et les ont plantées directement dans le cadavre encore tiède de Blood: Refreshed Supply.

Vous vous perdez dans l’immensité du catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à séparer le bon grain de l’ivraie.

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Qui d’autre que Windows pour réparer votre Windows ?

De mémoire d'être humain s'étant vautré toute sa vie dans le capitalisme, Windows est l'un de ces rares produits qui mettent d'accord aussi bien les adeptes de l'économie de marché que ceux du Gosplan : il s'impose à ses victi clients sans trop leur laisser le choix.
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La barre de son, de la télévision à votre PC

Les plus anciens d’entre nous se rappelleront en écrasant une petite larme de termes tels que Gravis UltraSound, Roland MT-32 et Sound Blaster. Trois lettres – EAX – feront resurgir encore plus de souvenirs alors que, depuis déjà quelques années, le son sur PC est entré dans une dimension bien différente. Les systèmes multi-canaux dédiés PC n’existent presque plus et, pour beaucoup d’utilisateurs, le choix se fait entre un casque audio et une paire d’enceintes entourant le moniteur. Il existe pourtant une autre voie, que nous avons explorée…
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Highguard, le free-to-play PvP par d’anciens devs de Titanfall et d’Apex Legends, à peine dévoilé et déjà condamné

Censé être le pinacle du Game Awards 2025, le dernier reveal du showcase a été amené par un Geoff Keighley enflammé, fidèle à sa réputation d’homme sandwich. Avec un enthousiasme proportionnel au nombre de zéro figurants sur le chèque (a priori plutôt élevé), celui-ci nous a survendu le clou spectacle : l’annonce de Highguard. Il n’aura fallu que quelques secondes aux joueurs du monde entier pour constater avec stupeur ce qu’on leur montrait et à peine plus pour qu’ils expriment leur immense déception face au énième hero-shooter générique développé par le studio Wildlight composé d’anciens devs de Titanfall et d’Apex Legends (ça vend du rêve, tout même). Les plus radicaux n’ont pas mâché leurs mots en qualifiant même le jeu de Concord 2, rien que ça !

En dehors de cette mise au pilori que n’avaient certainement pas prévu les devs, Highguard se présente comme un free-to-play PvP où des équipes de trois joueurs mènent une lutte sans merci pour la prise de contrôle d’un continent mythique. Pour ce faire, il vous faudra récupérer le brise-bouclier vous permettant de casser la défense de la base adverse, puis la détruire. Qui dit hero-shooter, dit forcément des personnages avec des capacités spéciales et un ultime comme dans Overwatch, donc attendez-vous à découvrir probablement différentes classes.

Concernant la direction artistique, il est vrai que ça a l’air peu inspiré et très générique, à l’instar de ce qui se fait sur le marché du free-to-play. Du côté du gunplay, ça paraît plutôt mou même si l’action présentée est nerveuse et rapide. À la rédac, ce genre de jeux n’est pas trop notre came, mais on sait reconnaître de bonnes idées. Ici, ce n’est franchement pas le cas, et on aurait pu espérer mieux de la part de vétérans de l’industrie vidéoludique.

Même si l’accueil du public est bien loin d’être chaleureux, le jeu est prévu pour le 26 janvier 2026. Mais ça ne vous coûtera rien d’essayer, si ce n’est quelques précieuses heures de votre vie. En attendant la sortie de Highguard, vous pouvez toujours ajouter ce dernier à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes un tant soit peu emballés.
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Ubisoft à pas de géant

Amazon a compris que le développement de jeu vidéo était une affaire plus complexe que de vendre des rideaux de douche fabriqués en Chine et se désengage du secteur depuis quelques mois. Ubisoft en profite pour ramasser les miettes et vient d'acquérir le studio Amazon Games Montreal, qui prépare March of The Giants. L'équipe sera absorbée dans les nouvelles structures d'Ubisoft et continuera à développer ce MOBA gratuit, actuellement en playtest sur Steam. Deux anciens gros bonnets d'Ubisoft, Xavier Marquis (réalisateur de Rainbow Six Siege) et Alexandre Parizeau (patron des studios à Toronto) font partie du deal et retournent donc travailler pour l'éditeur qu'ils avaient quitté il y a plusieurs années. Bon courage à eux, c'est toujours délicat de revoir un ex. A.
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Silksong ne s’arrêtera pas de chanter

Dans un message à la communauté, Team Cherry fait des bisous aux sept millions de joueurs qui ont acheté Hollow Knight : Silksong, serre la main des millions d'autres qui y ont joué sur le Game Pass, et dévoile ses chantiers pour 2026. La grosse annonce d'abord : il y aura un DLC gratuit pour Silksong, il s'appelle Sea Of Sorrow, enrichira le jeu d'une tonne de nouveau contenu à thème nautique et devrait sortir dans l'année. L'équipe australienne n'oublie pas non plus le premier Hollow Knight et prépare une version Switch 2 (gratos pour ceux qui possèdent déjà la version Switch) ainsi qu'une grosse mise à jour pour la version PC, déjà disponible en version bêta. Elle rajoutera notamment le support des formats 16:10 (pour le Steam Deck) et 21:9 (pour les écrans des riches). A.
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Horses

Dans Horses, on incarne un jeune homme qui va passer deux semaines au vert pour aider un éleveur dans sa petite exploitation agricole. Dans les enclos étriqués, ce ne sont pas des animaux que l’on trouve, mais bien des personnes nues, portant des masques de chevaux.
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Romero Games bricole un jeu indé à partir des morceaux de son défunt précédent projet

En juillet dernier, Romero Games voyait son FPS annoncé en 2022 partir à la benne, Microsoft lâchant le projet comme une vieille merde en même temps que 9 000 de ses salariés. Cela s’était accompagné par le départ de la quasi-totalité des employés du studio irlandais, mais apparemment, il restait tout de même un petit noyau composé des directeurs des différents départements et de John Romero, bien sûr. Il y a quelques jours, nos confrères d’Eurogamer ont rapporté que le cocréateur de DOOM avait accordé une interview, révélant qu’un nouveau titre était en cours de développement.

En effet, le studio est redevenu indépendant et travaille sur un jeu de bien plus petite envergure. John explique que le travail réalisé pour le projet annulé est partiellement sauvé, car ils en réutilisent de nombreux éléments. Les développeurs ne repartent donc pas de zéro. Pour autant, on nous dit que ce nouveau jeu n’aura « rien à voir » avec le précédent. On apprend par ailleurs que ce dernier avait englouti environ 50 millions de dollars jusqu’à son annulation. Comme on ne sait pas ce que c’était avant, on n’est pas plus avancés, mais on suppose que ce sont au moins des briques de gameplay. Apparemment, le design est complètement différent, et les développeurs seraient très enthousiastes. Au cours de l’interview, John affirme qu’il n’a « jamais joué à un jeu comme celui-là », mais on se gardera bien de le croire sur parole. Il nous avait fait le coup pour Daikatana, et a priori, nous ne sommes toujours pas ses putes.

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Sortie de Sanctuary of Sarras, une extension pour le RPG Tainted Grail: The Fall of Avalon

Hier est sorti Sanctuary of Sarras, un DLC pour Tainted Grail: The Fall of Avalon. Il s’agit d’un RPG que l’on avait testé lors de son accès anticipé, mais qui ne nous avait pas franchement convaincus à l’époque : buggé, techniquement à la ramasse et ennuyeux… Mais au fil des années, il s’est apparemment beaucoup amélioré, car à sa sortie en 1.0 en mai 2025, il avait reçu de très bonnes critiques. On n’avait malheureusement pas eu l’occasion de se repencher sur son cas, mais si les Skyrim-like sont votre came, il y a de bonnes chances que ça vous plaise.

Revenons à l’actualité avec l’ajout de ce nouveau contenu (payant). Les développeurs parlent d’une extension plutôt que d’un DLC, compte tenu de ce qu’il apporte. OK, c’est 15 balles, mais on nous annonce 4 nouveaux boss, 12 nouveaux ennemis et une vingtaine de donjons réalisés à la main. Ils ont également ajouté une nouvelle mécanique de progression alternative, proposant un autre arbre de compétences. Un tel tarif ne semble donc pas déconnant. Les joueurs déjà conquis par le jeu de base semblent d’ailleurs ravis, au vu des premiers retours très positifs.

En plus de cette extension, le studio Questline en profite pour déployer le patch 1.15, principalement focalisé sur les performances pour les PC d’entrée de gamme ou vieillissants – ainsi que sur les consoles, qui rentrent donc dans cette même catégorie. Évidemment, il y a aussi tout un tas de corrections de bugs, d’ajustements et d’ajouts de contenu, dont vous pouvez consulter la liste dans le billet de blog Steam dédié.

Si l’extension Sanctuary of Sarras vous tente, vous pouvez la retrouver sur Steam pour un peu moins de 15 €. Et si vous n’avez pas le jeu de base, vous pouvez choper un bundle avec Tainted Grail: The Fall of Avalon et son extension pour moins de 46 €.

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Enfin une nouvelle mécanique dans un puzzle game : Stretchmancer propose d’étirer le décor

Lors du Day of the Devs qui s’est déroulé le 10 décembre dernier, on a pu découvrir Stretchmancer, un puzzle game avec une mécanique de jeu vraiment originale. Le concept est simple : avec la main droite, on peut étirer le décor en le poussant, tandis qu’avec la main gauche, on le tire. Cela permet d’agrandir des passages, de rapprocher des plateformes, etc. Comme l’expliquent les trois développeurs du studio Triangle Wave, il s’agissait initialement d’un projet imaginé lors d’une game jam. Apparemment, ça a convaincu du monde, puisqu’ils l’ont transformé en jeu commercial.

On ne va pas se mentir : la direction artistique est atroce, mais la mécanique intrigue suffisamment pour qu’on y jette un œil dès que possible.

Aucune fenêtre de sortie n’a pour l’instant été annoncée pour Stretchmancer, mais si le concept vous fait de l’œil, vous pouvez d’ores et déjà ajouter le jeu à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.

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Lucid Falls, un jeu d’horreur qui mise avant tout sur ses visuels

À l’occasion du Day of the Devs de la semaine dernière, le studio canadien Eldamar, qui réalisait jusqu’à présent des assets graphiques et des filtres pour l’édition de photos, a présenté son premier jeu, Lucid Falls. Encore un jeu d’horreur, nous direz-vous, mais au moins il a l’air joli. Sur la fiche Steam, on peut aussi lire qu’il devrait proposer un peu plus que de la fuite face à des monstres cauchemardesques : il y aura la possibilité de manipuler la gravité et le temps pour se frayer un passage dans nos « rêves » lucides et résoudre des énigmes.

On peut également voir dans la vidéo que notre personnage tient une masse ; espérons qu’elle ne serve pas uniquement de décoration. À la rédac, on est donc plutôt intrigués, mais sans être trop impatients non plus.

Si vous êtes intéressés par Lucid Falls, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits Steam en attendant une annonce de date de sortie.

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Le FPS coop John Carpenter’s Toxic Commando sortira le 12 mars 2026

Parmi les multiples annonces du Game Awards 2025, Saber Interactive (World War Z et Warhammer 40,000: Space Marine 2), le studio derrière le développement de John Carpenter’s Toxic Commando, a profité de l’occasion pour annoncer que leur jeu sortira le 12 mars 2026 et que les précommandes sont également ouvertes. Dans ce FPS PvE jusqu’à 4 joueurs se déroulant dans un monde envahi de zombies dirigés par le Bourbier Suprême, votre équipe de mercenaires devra remplir diverses missions dans de vastes zones semi-ouvertes. Durant votre exploration, vous pourrez récupérer divers butins (des armes, des ressources et autres matériaux), utiliser des véhicules pour vous déplacer sur la carte et user des vos pouvoirs contre les ennemis.

Outre les séquences de gameplay bien sanglantes, le trailer est également une parfaite démonstration du Swarm Engine, le moteur maison du studio créé à l’origine pour les hordes de zombie de World War Z et utilisé dans d’autres productions par la suite. On peut notamment citer SnowRunner, dont la physique « réaliste » des véhicules a l’air d’être réutilisée dans John Carpenter’s Toxic Commando.

Entretemps, nos confrères d’IGN nous ont gratifié d’une vidéo de gameplay d’environ 25 minutes. En gros, on y aperçoit :

  • Des personnages avec des pouvoirs bien distincts, à l’exemple de celui qui balance des lasers mortels ou l’autre qui utilise un drone dont les tirs peuvent être boostés par son pouvoir
  • Des combats avec des hordes de zombies plutôt impressionnantes (quand il y en a) et des spéciaux que l’on a déjà vu et revu
  • Une mécanique de loot essentielle pour l’obtention d’un meilleur équipement et d’armes via un système de rareté/puissance, ou encore l’utilisation et la réparation de véhicules
  • Divers véhicules à manier ayant des fonctionnalités variées (le grappin pour le 4×4 et l’autodestruction pour le véhicule de police) qui s’embourbent plus ou moins vite (offrant un aspect plutôt réaliste), et associés à un système de progression lié à la conduite de ces derniers
  • Des missions fedex demandant de parcourir la carte pour pouvoir progresser

De plus, les environnements sont plutôt beaux et surtout boueux, parfait pour ceux qui veulent prendre soin de leur peau. Le gunplay, quant à lui, a l’air bon avec l’emploi d’un arsenal varié. À la rédac, on reste assez enthousiastes, même si on se doute que le jeu sera probablement truffé de DLCs d’armes, de skins ou de missions à venir.

Si vous êtes convaincus et être prêts à lâcher du pognon avant la sortie de John Carpenter’s Toxic Commando le 12 mars 2026, vous pouvez précommander les différentes éditions (standard et Blood) sur Steam ou l’Epic Games Store, soit 40 € pour la première et 50 € pour la seconde.

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Frostpunk ressort du congélo

11 Bits Studios vient d'annoncer Frostpunk : 1886, et non, ça n'est pas Frostpunk 3. Il s'agit en fait d'une sorte de remaster du premier épisode. Abandonnant leur moteur propriétaire, les développeurs polonais passent leur city-builder glacé sur la dernière version vrombissante de l'Unreal Engine et en profitent pour y rajouter la prise en charge des mods. Frostpunk 1886 rajoutera environ 30 % de contenu supplémentaire avec de nouvelles lois, de nouveaux bâtiments et une nouvelle orientation politique disponible en plus de la Foi et l'Ordre. Et même si ce n'est qu'un remaster, ils prennent leur temps, puisque le jeu n'est pas prévu avant 2027. A.
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Rhythm Doctor

Je distingue deux écoles de jeux de rythme. La maximaliste, façon Muse Dash ou Guitar Hero, arbore des partitions extrêmement chargées. À moins de connaître une piste par cœur, il est impossible de détourner le regard. L’horizon du pratiquant est de faire un « full combo », de ne jamais se tromper et d’activer ses multiplicateurs de points au bon moment pour obtenir le meilleur score. L’autre école, c’est la théorique. On y trouve les Rhythm Paradise ou Melatonin. On peut, sur le papier, y jouer les yeux fermés, même s’ils peuvent être très difficiles. C’est mon école préférée et Rhythm Doctor en est un nouveau représentant.
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Zone 4: Apophis, le DLC gratuit de Deadzone: Rogue, sortira le 17 décembre

Annoncé durant le IGN Fan Fest 2025: Fall Edition, Zone 4: Apophis (anciennement Apophis), la nouvelle extension gratuite de Deazone: Rogue, s’est trouvée une date de sortie. Ce sera donc le 17 décembre que vous pourrez découvrir les 8 nouvelles missions, le nouveau système de progression des armes, l’élément radiation, les ennemis et boss propres à ce nouveau contenu. Le gameplay a l’air toujours aussi nerveux avec une IA ennemie bien agressive. Ça sera aussi l’occasion pour la rédac de relancer quelques parties en coop pour découvrir cette zone.

Si vous êtes intéressé par Deazone: Rogue et son DLC gratuit prévu pour le 17 décembre prochain, sachez que les devs ont d’ores et déjà informé qu’il y aura une réduction à venir pour les ventes d’hiver à partir du 18 décembre jusqu’au 5 janvier sur Steam et vous pourrez ainsi économiser quelques euros au lieu de payer plein pot.

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DeadCore Redux, le FPS platformer du studio 5 Bits Games, sortira le 15 janvier 2026

Annoncé pour le premier trimestre 2026, 5 Bits Games, le studio indé derrière DeadCore sorti en 2014 et son remaster dévoilé en ce début d’année, a récemment publié une nouvelle bande-annonce sur leur chaîne officielle YouTube. Dans cette dernière, on découvre de nouvelles séquences de gameplay et la date de sortie, fixée au 15 janvier 2026. Pour rappel, DeadCore Redux proposera des graphismes et sons retravaillés, un système de classement, ainsi qu’un nouveau niveau nommé The Gateway. À la rédac, on avait plutôt apprécié la démo qui est d’ailleurs toujours disponible depuis la page Steam, si vous souhaitez vous faire votre propre avis.

En attendant la sortie prévue pour janvier 2026, vous pouvez toujours ajouter DeadCore Redux à votre liste de souhaits Steam. Si ça vous intéresse, vous pouvez également jeter un œil à notre interview d’Antoine, l’un des devs du studio 5 Bits Games, effectué pendant le NoScope spécial du Stunfest 2025.

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Queen’s Domain, le RPG d’action rétro-fantasy à la première personne, se dévoile

Durant le PC Gaming Show: Most Wanted 2025, le studio Freshly Baked Games a dévoilé son nouveau jeu, Queen’s Domain, un RPG d’action et de dark fantasy. Échoué sur les rivages de l’île de Neasied, vous partirez à la recherche de votre père et découvrirez le sombre secret qui entoure ce lieu. Vous pourrez utiliser diverses armes et les améliorer pour combattre ennemis et boss. Et si vous êtes emballés par le concept, une démo est d’ores et déjà disponible depuis la page Steam du jeu.

Les décors ont l’air plutôt beaux et réussis pour du rétro. En termes de gameplay, les ennemis ne semblent pas froncer les sourcils à l’impact des coups et foncent tête baissée sur vous pour mieux se prendre la massue dans la tronche. Le développement du jeu ayant à peine débuté, les devs vont probablement peaufiner cet aspect dans les mois à venir.

En attendant de nouvelles infos sur Queen’s Domain, vous pouvez toujours ajouter le jeu à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes intéressés.

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Hell Let Loose: Vietnam semble trop beau pour être vrai dans son nouveau trailer de gameplay

Il y a quelques jours, Team17, via IGN, a publié un nouveau trailer pour Hell Let Loose: Vietnam, focalisé sur le gameplay. Préparez des draps propres, car ça va tacher. Même si l’on ne voit que de trop courtes séquences, le jeu a l’air d’être extrêmement beau. À tel point qu’il est même difficile de croire qu’il s’agit de vrai gameplay. L’absence d’interface pourrait être un indice, même s’il ne serait pas aberrant de l’avoir masquée pour la vidéo.

On nous montre des passages plutôt impressionnants en bateau et en hélicoptère, le joueur installé derrière des armes montées, ainsi que de jolies explosions. On peut également apercevoir notre personnage, a priori blessé, se faire traîner par un coéquipier tout en tirant avec son flingue. Les échanges de tirs avec des pétoires iconiques de la guerre du Vietnam, telles que la M60, semblent aussi franchement cool, et on a vraiment hâte de mettre les mains sur le jeu. Ah oui, on a oublié : Hell Let Loose: Vietnam est la suite d’Hell Let Loose, un milsim orienté sur le jeu en équipe, mais un peu moins technique que Squad. Et même si le premier a été développé par un autre studio, il a ensuite été repris par Expression Games, qui travaille sur son petit frère. D’où notre engouement.

Si vous aussi êtes impatients de voir tourner Hell Let Loose: Vietnam pour de vrai, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits Steam. Pour l’instant, le jeu est prévu pour 2026, sans plus de précisions.

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