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[TEST] CULTIC: Chapter Two : Harder, Better, Faster, Stronger

Sorti en 2022, CULTIC est une référence du rétro-FPS. Fortement inspiré par Blood, mais aussi Resident Evil 4, on y flingue cultistes et autres monstruosités à tour de bras, avec de courts passages horrifiques dispatchés tout au long de l’aventure. Et depuis, on attendait avec impatience la suite, vendue sous forme de DLC : CULTIC: Chapter Two. Cette fois-ci, Jason Smith n’était pas tout seul au développement, mais accompagné de Nick – auteur du très bon mod MARROW pour Blood – pour le level design. Si la qualité de ce DLC est indéniable et surpasse celle du premier chapitre, il sera sans doute plus clivant auprès des joueurs, et simplement parce que Jasozz a pu aller au bout de sa vision pour CULTIC.

Genre : Rétro-FPS, action-horreur | Développeur : Jasozz Games | Éditeur : 3D Realms | Plateforme : Steam | Prix : 9,75 € | Langues : Anglais | Configuration recommandée : CPU AMD Ryzen 5 3600 / Intel i5-9600, GPU NVIDIA GeForce GTX 1070, 8 GB de RAM | Date de sortie : 18/09/2025 | Durée : Environ huit heures

Test effectué sur la version Steam.

Cultic blood stuff
Cultic Condemned
Cultic Movies
Cultic Sniped

Retour en terrain connu, mais pas que

L’esthétique sombre et poisseuse du premier chapitre revient, avec tout de même de petits changements sur le contraste et les couleurs, qui apportent un peu plus de variété visuelle que les tons presque exclusivement ocres de l’épisode précédent. Pour peu qu’on aime les gros pixels, la direction artistique est très réussie. Idem pour la nouvelle bande son qui s’accorde bien avec ce qu’il se passe à l’écran, et découvrir les nouveaux morceaux est toujours un plaisir.

Cultic riot cop
Contre eux, M. Molotov est votre meilleur ami.

Évidemment, ce chapitre 2 reprend les bases de gameplay posées par le premier, à savoir le dynamitage, l’immolation, ou plus simplement l’abattage à l’arme à feu de cultistes, zombies, et créatures encore moins recommendables. Le feeling des armes est excellent, les animations et le sound design profitant d’un soin tout particulier. Le revolver et le shotgun semi-automatique d’Interlude – niveau publié pour nous faire patienter jusqu’à la sortie de cette nouvelle campagne – viennent s’ajouter à l’arsenal du détective étoffant encore nos déjà nombreuses options offensives. Et on en a bien besoin avec les nouveaux ennemis, dont certains sont très coriaces, comme les flics en combinaison anti-émeute. De manière générale, le challenge a été relevé dans ce DLC, à tel point que, dans les difficultés les plus élevées, le côté survival horror est franchement appuyé.

Cultic dark
Oui, c’est par là. T’inquiète, tout va bien se passer.

Ainsi, notre combat contre le culte débute avec peu de munitions, et la nécessité d’économiser nos cartouches pour ne pas se retrouver démuni aux pires moments. Il m’est arrivé à plusieurs reprises d’avoir recours à la hachette pour éliminer les ennemis les moins dangereux. Les sections horrifiques sont également plus nombreuses, et plus intenses : espaces clostrophobes, visibilité réduite, pas d’autre son que le bruit de nos pas… L’anxiété monte rapidemment. Parfois, il ne se passera rien, mais souvent, on fera une mauvaise rencontre. Pas de jump scare pour autant, on voit toujours la menace arriver quelques secondes à l’avance. Après la première cutscene – oui, on a maintenant droit à quelques sympathiques mises en scène –, CULTIC: Chapter Two donne plus de place à ce qu’on aime par dessus tout : la violence !

Cultic Shotgun
Le classique, toujours aussi efficace, surtout avec toutes les améliorations.

Un côté excessif

En plus des adversaires plus énervés, l’augmentation de la difficulté vient de leur très grand nombre. Il n’est pas rare de devoir affronter une vingtaine d’ennemis à la fois, et ce à plusieurs reprises par niveau. Dans ces moments d’action intense, le jeu nous donnera systématiquement les outils pour nous en sortir, et combiner le dash, la glissade, et toutes nos armes pour venir à bout de ces situations est un réel plaisir. À noter que le gap de difficulté entre Standard et Hard est assez significatif : si certains combats sont véritablement compliqués à négocier en Hard, en Standard, c’est une promenade de santé.

Cultic Map
Il n’y a pas de carte à proprement parler, mais suffisamment d’indices sont présents pour nous mettre sur la bonne voie.

Les niveaux sont aussi bien plus longs que ceux du premier chapitre, certains m’ayant pris jusqu’à cinquante minutes, sans spécialement chercher les secrets. Le level design est bien pensé, faisant qu’on ne se perd pas, ou peu. Des indices sous forme de notes papier nous aident à savoir ce que l’on doit chercher, pour le cas où on n’aurait pas déjà récupéré un objet simplement en parcourant le niveau. Les développeurs se sont aussi accordés pas mal de libertés dans le design des environnements : une ville du Far West, le bayou, un abattoir, une foire médiévale… Tout y passe, et ce n’est pas pour nous déplaire. L’utilisation récurrente de grands espaces ouverts, ou offrant plus de verticalité, vient cependant noircir le tableau.

Cultic Invisble wall
Apparemment, ces tuiles sont la marche de trop.

En effet, le pathfinding des ennemis a parfois du mal à suivre, et Jasozz a régulièrement recours à des spawns dans notre dos pour nous surprendre, ce qui est un peu ridicule dans des endroits où il est parfaitement impossible qu’on n’ait pas vu venir la menace. C’est dommage, car cela jure avec les séquences plus maitrisées où un monstre traverse soudainement un mur pour venir nous chercher des noises. L’autre défaut lié aux grandes cartes, que j’ai trouvé encore plus embêtant, est la présence de barrières invisibles qui nous empêche d’accéder à des zones comme le toit d’un bâtiment. Ça casse un peu l’exploration et la recherche de secrets. Un autre point de frustration à relever concerne les combats de boss. Ces derniers sont très bien modélisés en 3D, leur conférent un caractère encore plus irréels que les sprites des autres ennemis, mais certains ont trop de points de vie. Il en résulte des affrontements qui ne sont pas foncièrement difficiles, mais simplement longs.

Un DLC bien réalisé, mais qui en fait un peu trop par moment

Cultic: Chapter Two est une très bonne suite qui pousse tous les curseurs à fond. La dimension horrifique, déjà présente dans le premier chapitre, est bien plus développée à travers des séquences anxiogènes à souhait, et un démarrage de l’aventure qui emprunte au genre du survival horror. Le déluge de violence est lui aussi encore plus poussé : plus d’armes, plus d’ennemis, plus de difficulté. Les niveaux plus grands et plus longs offrent une agréable diversité autant dans les environnements que dans les challenges à relever. Le seul vrai reproche qu’on fera à ce DLC est que, justement, certaines zones sont trop grandes et ne s’accordent pas avec le reste du game design, mieux adapté à des espaces plus restreints.

Vous vous perdez dans l’immensité du catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à séparer le bon grain de l’ivraie.

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Télex

Mina the Hollower, le projet de Yacht Club Games où l'on incarne une souris mimi dans un monde de dark fantasy victorienne pas du tout mimi, est repoussé. Le jeu initialement prévu au 31 octobre n’a pas de nouvelle date, mais le studio évoque un retard d’au moins plusieurs semaines. K.
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Messenger

Souvent, je regrette l'âge d'or du lecteur Flash, durant lequel des développeurs indépendants fourmillant d'idées accouchaient régulièrement de jeux géniaux, gratuits et jouables sur à peu près n'importe quel PC. Et puis parfois, un petit jeu sur navigateur surgit de nulle part pour me rappeler cette douce période : aujourd'hui, c'est Messenger qui m'a emplie de nostalgie.
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CloverPit

Je demande aux personnes rayées des casinos de bien vouloir poser ce magazine, d’éteindre ce PC, de jeter ce téléphone ou cette tablette le plus loin possible à travers les astres.
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L’angle mort-vivant

L’année dernière, GOG annonçait tambour battant une belle prise, à savoir la trilogie originale Resident Evil dans toute leur splendeur pixelisée et anguleuse. Une collaboration qui semble cependant avoir demandé un peu de persuasion. Marcin Paczynski, responsable chez GOG, s’est exprimé auprès de The Game Business pour parler un peu de leur fonds de commerce, la mise à disposition des jeux rétro sur PC, et a évoqué ces négociations étonnantes. « Capcom disait, genre, on a tous ces remakes qui représentent une bien meilleure expérience, se souvient-il. Ils ne voyaient pas vraiment l’attrait de ressusciter les versions originales. » Merci à lui d’avoir insisté. Quant aux dirigeants de Capcom, on ne peut que les inciter à jeter un œil sur la scène indépendante contemporaine. Une scène remplie à ras bord de cette splendeur pixelisée et anguleuse. K.
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Beneath, le FPS d’horreur lovecraftien, sortira le 27 octobre

Depuis la démo de septembre qui n’avait pas été une franche réussite, le studio Camel 101 s’est probablement terré dans les profondeurs des abysses pour peaufiner Beneath, leur FPS d’horreur et de tentacules de Cthulhu. On aurait pu penser que les devs s’apprêteraient à annoncer un report pour se donner un peu de répit, mais il n’en est rien. Il y a deux jours, le chaîne officielle YouTube de l’éditeur Wired Productions a diffusé un nouveau trailer bourré d’action pour dévoiler la date de sortie du jeu. Ce sera donc le 27 octobre prochain.

De plus, si vous souhaitez redonner une seconde chance à Beneath, une démo « améliorée » est disponible à l’occasion du Steam Néo Fest d’octobre. Donc n’hésitez pas à nous partager vos retours dans l’espace commentaires.

En attendant le 27 octobre prochain, vous pouvez toujours ajouter le jeu à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes intéressé.

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Cœur en peine

Heart Machine a décidé de ranger le défibrillateur et de ne pas pratiquer l’acharnement thérapeutique sur Hyper Light Breaker, leur roguelike sorti en accès anticipé en janvier. Le studio angelin se sépare aussi d’une partie de ses effectifs, comme l’annonce le site Game Developer. C’est la deuxième fois en moins d’un an qu’Heart Machine procède à des licenciements, bien qu’à l’époque, le studio escomptait qu’un lancement réussi d’Hyper Light Breaker puisse provoquer un rebond. Las, le jeu est étrillé à la sortie tant par la critique que par les joueurs. Il bénéficiera néanmoins d’encore une mise à jour en janvier sous la forme d’un « point final satisfaisant », comme le décrit un porte-parole d’Heart Machine. Reste Possessor(s), leur projet édité chez Devolver et prévu pour le 11 novembre. Un titre qui sonne de plus en plus comme celui de la dernière chance. K.
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ROG Xbox Ally : le futur de Xbox ressemble au passé de Windows

Les nouvelles consoles-PC portables lancées cet automne par Asus et Microsoft sont porteuses de contrastes. En un sens, on peut n'y voir que des évolutions mineures des premières ROG Ally et Ally X, lancées respectivement en 2023 et 2024. En un autre, elles sont le symbole de la révolution en cours au sein de la marque Xbox, elle qui ne place définitivement plus la console au centre de son identité. Après quelques semaines d'utilisation, on penche cependant bien plus volontiers vers la première de ces deux visions.
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Canard PC Jeux de Plateau : hors-série n°17

Notre hors-série jeu de plateau est disponible en kiosque, et bientôt en ligne pour nos abonnés numériques. C’est la meilleure période de l’année, celle où l’on peut acheter des jeux de plateau AUSSI pour les autres. C’est un cadeau absolument sans risque, car si des gens sont déçus, vous pourrez toujours rappeler que tata Monique, elle, a acheté un coffret Scorpio.
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Opus Anima

Il y a des trucs dont on n’arrive pas à se détacher. Des habitudes de jeunesse incrustées comme un reliquat de sauce tomate dans un top en dentelle blanche. Vingt ans plus tard, alors que je n’imagine plus aller au ciné voir un de ses films après tant de déceptions, que la simple vue de Johnny Depp me donne envie de cramer quelque chose, j’ai toujours ce petit truc en moi qui s’éveille chaque fois que j’entends « burtonien ».
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Le poids des chaînes

Le 8 octobre dernier, j’aurais aimé être une petite souris sur le plateau #TEAMG1, l’émission phare de la chaîne Game One. Pendant la pause publicitaire, une partie des personnes sur place découvrent avec stupeur l’article de BFM Tech&Co annonçant l’arrêt programmé à la fin novembre ou début décembre de la chaîne fondée en 1998. Game One, détenue par Paramount Networks France, fait les frais d’un plan de restructuration après la fusion de la maison mère avec le groupe Skydance Media. Un projet dans lequel la petite chaîne française, « du plancton » dans ce monde de gros poissons (pour citer Marcus, qui a déploré la décision sur Twitch), n’aura aucune place. Même si les plus belles années de ce média étaient indubitablement derrière lui, la situation demeure triste pour une chaîne pionnière qui revendiquait, par-dessus le marché, 2 millions d’euros de bénéfices annuels. K.
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Battlefield 6

Dans toute guerre, il y a un enjeu, une tension palpable à tout moment. La sortie de Battlefield 6 est une guerre, et ce qui est dans la balance n’est pas très rigolo : des milliers d’emplois chez Electronic Arts, ni plus ni moins. Face à cette menace, les développeurs ont fait ce qui convenait, se replier sur leurs positions et prendre le moins de risques possible.
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Des FPS pour le Steam Néo Fest d’octobre 2025

C’est reparti pour le Steam Néo Fest, comme tous les trois mois. Cette année, on a encore moins de temps que d’habitude pour vous faire une sélection, alors n’hésitez pas à partager vos trouvailles en commentaires. On n’a pas encore eu le temps de se pencher sur les démos, mais celles qui nous tentent le plus sont celles de Painted in Blood (parce que ça a l’air bien) et Painkiller (parce que ça a l’air nul).


Painted in Blood

Genre : Rétro-FPS

Il arrive dans moins de 10 jours, et on l’attend de pied ferme. On a tout de même lancé la démo pour voir ce que ça donnait, et c’est très prometteur… si on parvient à résoudre la première énigme. Sinon, côté visuels, déplacements et combats, c’est du tout bon !

Painted in Blood sur NoFrag // Steam // Date de sortie : 23/10/2025

Road to Vostok

Genre : Extraction shooter solo

Le fameux extraction shooter solo développé par un développeur solo, aux ambitions énormes. Mais le truc, c’est qu’il est vachement fort, et même s’il ne tient plus trop les deadlines initiales, le projet semble bien avancer. Cette nouvelle démo est la dernière avant l’arrivée de l’accès anticipé. Bon, pour l’instant, aucune date n’a encore été définie, mais on peut voir sur la roadmap que deux phases de test sont prévues d’ici là.

Road to Vostok sur NoFrag // Steam // Date de sortie : Non connue

Shell Soldier

Genre : Fast-FPS

Comme prévu lors du Brutal Indies Unleashed Showcase, Shell Soldier sort sa démo. Il s’agit d’un fast-FPS avec du bullet time, qui semble pas mal s’inspirer de F.E.A.R. ou Severed Steal. Intéressant sur le papier.

Shell Soldier sur NoFrag // Steam // Date de sortie : Non connue

Painkiller

Genre : Coopération

Le seul rapport avec le jeu mytique de People Can Fly, c’est son nom et l’arme de corps à corps. Pour le reste, on est sur un jeu coop qui ne donne pas très envie. Dites nous si c’est pas si nul, finalement.

Painkiller sur NoFrag // Steam // Date de sortie : 21/10/2025

’83

Genre : Milsim

La démo est arrivée un peu en avance, mais uniquement sur des créneaux à la con, histoire que seules quelques personnes puissent se rendre compte à quel point c’était moche. On a pu le constater avec une certaine hilarité hier, en découvrant que la pixélisation dégueulasse n’était pas un effet de style, mais bien parfaitement involontaire. Difficile de se concentrer sur le gameplay avec une technique visuelle aussi à la ramasse, mais on a tout de même pu entrevoir un concept qui tient la route — sans pour autant soutenir la comparaison avec des jeux sortis depuis une dizaine d’années. On comprend maintenant pourquoi les financeurs avaient préféré tirer la prise quand Antimatter Games travaillait dessus.

’83 sur NoFrag // Steam // Date de sortie : Q4 2025 en accès anticipé

Citizen Pain

Genre : First Person Slasher

On dirait que les First Person Slasher ont le vent en poupe : Citizen Pain nous place dans un univers dark fantasy donner de grands coups d’épée et de pied dans nos adversaires. Ça a l’air moins technique qu’un Chivalry, mais c’est peut-être tout de même sympathique.

Citizen Pain sur NoFrag // Steam // Date de sortie : 05/12/2025

Klostyn

Genre : Rétro-FPS

Développé sous Godot Engine, Klostyn est un rétro-FPS qui tâche, et il est adoubé par David Szymanski, le papa de Dusk. C’est donc sans doute plutôt correct.

Klostyn sur NoFrag // Steam // Date de sortie : Non connue

Project Warlock: Lost Chapters

Genre : Rétro-FPS

Suite directe du premier épisode, Project Warlock: Lost Chapters nous permettra d’incarner à nouveau le maître sorcier qui est prêt à en découdre. À l’aide d’armes et de sorts inédits, le Warlock voyagera dans différents environnements afin d’abattre les divers ennemis et boss qui les peuplent. Reprenant les mêmes mécaniques de gameplay et la direction artistique de Project Warlock, ce nouvel épisode s’annonce plutôt fun sans pour autant révolutionner le genre. À la rédac, on a plutôt apprécié la démo qui se déroule dans l’univers de la piraterie et avons hâte d’en voir davantage.

Project Warlock: Lost Chapters sur NoFrag // Steam // Date de sortie : Non connue

Aerial_Knight’s DropShot

Genre : Fast-FPS

Le concept avait l’air marrant et la direction artistique était plutôt pas mal, mais c’est parfaitement injouable, car on ne peut pas régler la sensibilité de la souris. En plus, c’est une sorte de railshooter sans grand intérêt.

Aerial_Knight’s DropShot sur NoFrag // Steam // Date de sortie : Non connue

Bullet Ballet

Genre : Rétro-FPS

Avec sa direction artistique plutôt jolie et inspirée de la bande dessinée, Bullet Ballet est un rétro-FPS se déroulant dans le Far West qui nous narre l’aventure de Johnny en quête de réponses sur le passé de son père. En voyant ce jeu, il est difficile de ne pas se souvenir d’un certain Fallen Aces, un rétro-FPS embrassant la thématique du polar, sorti en accès anticipé il y a un an. Sinon, le gameplay a l’air pas mal, avec des projections d’hémoglobine un poil abusé et un univers des cow-boys qui semble bien retranscrit, comme Outlaws et Wanted 3D: Dead or Alive.

Bullet Ballet sur NoFrag // Steam // Date de sortie : Non connue

Tales of the Bullet Knight

Genre : Rétro-FPS

On ne va pas vous mentir, on a juste été attirés par l’esthétique un peu atypique de Tales of the Bullet Knight. Ça ressemble à un rétro-FPS plutôt classique, mais si ça se trouve, c’est à chier.

Tales of the Bullet Knight sur NoFrag // Steam // Date de sortie : Non connue

SPORTAL

Genre : Rétro-FPS

Emprisonné dans un monde où les mythiques monstres des films des années 90 coexistent, SPORTAL est un roguelite à la première personne où vous devrez survivre en utilisant les équipements de sport tels que la batte de baseball, la crosse de hockey, le club de golf, les balles… ainsi que des tenues qui y sont associées. Original par sa thématique liée au monde sportif et des figures du cinéma d’horreur, les mécaniques de gameplay semblent toutefois classiques et plairont probablement aux aficionados de rétro-FPS.

SPORTAL sur NoFrag // Steam // Date de sortie : Non connue

It Consumes

Genre : Arena-FPS

Prévu pour le 21 janvier 2026, It Consumes est un FPS roguelite où vous devrez affronter des hordes d’ennemis en les repérant uniquement à l’aide des échos d’un cœur. À chaque victoire, vous pourrez améliorer votre arsenal et votre artefact pour lutter efficacement contre les prochaines vagues d’ennemis. Les mécaniques paraissent plutôt basiques, à voir si ce clone de Devil Daggers dans le noir arrivera à se distinguer auprès des joueurs.

It Consumes sur NoFrag // Steam // Date de sortie :21/01/2026

Crisol: Theater of Idols

Genre : Survival Horror

FPS horrifique s’inspirant du folklore hispanique, Crisol: Theater of Idols vous mettra dans la peau d’un soldat nommé Gabriel qui aura la particularité d’utiliser son sang comme munitions pour ses armes. Missionné pour découvrir les secrets de l’île de Tormentosa, vous devrez combattre des marionnettes humanoïdes tout en prêtant attention à la gestion de votre sang pour ne pas crever comme une merde et ne pas vous retrouver à sec. À l’instar des robots, on espère que ces ennemis ne seront pas des éponges à balles et ressentiront bien l’impact de nos tirs. À la rédac, on est pas fans de jeux d’horreur mais Crisol: Theater of Idols reste malgré tout intriguant de part son univers et son gameplay.

Crisol: Theater of Idols sur NoFrag // Steam // Date de sortie : Non connue

The Last Caretaker

Genre : Survie & Craft

Ah, le jeu de survie réglementaire de tout article récapitulatif de NoFrag. Il se pourrait que l’un des rédacteurs serait possiblement intéressé. On verra d’ici quelques jours s’il a lancé la démo. Pour savoir ce que c’est, consultez nos précédentes news, on n’a pas que ça à faire.

The Last Caretaker sur NoFrag // Steam // Date de sortie : 06/11/2025

The Midnight Walkers

Genre : Extraction / zombies

Découvert à cause d’une vidéo de présentation absolument atroce, on ne s’attend pas à grand chose avec The Midnight Walkers, un extraction shooter contre des zombies dans des endroits un peu restreints. Si ça se trouve, ce n’est pas aussi nul qu’il n’en a l’air.

The Midnight Walkers sur NoFrag // Steam // Date de sortie : 21/11/2025

Pathologic 3

Genre : Enquête

Après un prologue sorti en mars dernier, Pathologic 3 nous présente une démo, avant une sortie en janvier prochain. D’après notre expert Stuka, le prologue était chouette, car il proposait une approche différente des précédents jeux. À voir.

Pathologic 3 sur NoFrag // Steam // Date de sortie : 09/01/2026

Forefront

Genre : Battlefield-like en VR

C’est Battlefield, mais en VR. Et il paraît que c’est pas mal.

Forefront sur NoFrag // Steam // Date de sortie : Non connue

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Télex

Expedition 33, le FRPG qui a pris tout le monde par surprise, a passé le seuil des 5 millions d’exemplaires vendus en 5 mois. Une bonne moyenne mensuelle. L’occasion pour les Montpelliérains de Sandfall Interactive d’annoncer l’arrivée prochaine de contenu supplémentaire, dont une nouvelle zone. K.
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Atchik atchik atchik ? Hack hack hack !

Le 11 octobre, le groupe de hackers Crimson Collective revendique avoir siphonné des serveurs de Nintendo, screenshot à l’appui. Mais avant de crier à un nouveau Gigaleak (cette fuite de données aux proportions historiques qui avait touché le constructeur dès 2018), il convient de rappeler que les flibustiers annoncent n’avoir infiltré que les serveurs de Nintendo Topics, comprendre : le site institutionnel à destination du grand public. Donc à moins que les pirates n’aient pas révélé entièrement leur main ou que Nintendo ait été bien malavisé de mettre des fichiers trop sensibles sur ces serveurs, il n’y a pas de raison de s’attendre à d’énormes scoops dans les jours à venir. Par contre, une semaine avant la sortie de Légendes Pokémon : Z-A, on constate que la ROM est déjà largement partagée en ligne. Mais ça, c’est presque devenu une tradition pour les jeux de la licence. K.
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Bye Sweet Carole

Lorsque Charles Burns a imaginé sa bande dessinée X’ed Out, dans laquelle un personnage aux airs de Tintin s’aventure dans une ville peuplée de créatures mutantes, ce dernier a choisi de s'inspirer d’éléments qu’il avait intériorisés durant sa petite enfance. Par exemple, dans Le Secret de la licorne, il y a une scène où Tintin se fait enlever et se réveille dans une cave du château de Moulinsart, où se trouve un interphone fixé au mur. Charles Burns, alors trop jeune pour savoir lire, ne connaît pas encore le concept d’interphone, et voit juste un phylactère flotter au beau milieu de nulle part : « J’avais l’impression de voir une bouche désincarnée collée au mur, et c’était vraiment terrifiant », a-t-il confié à ce sujet.
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Miams

Parlons un peu d’histoire. L’origine de certains jeux reste mystérieuse, ou se perd dans les limbes. Pas celle du Yam's, même si elle paraît parfois plus tenir de la légende que d’autre chose.
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Plan B : Terraform

Je vais vous parler d'un jeu indé, développé par des Français, dans lequel il faut terraformer une planète d'inspiration martienne en changeant lentement la composition de son atmosphère, en modifiant son climat, puis en y faisant pousser des forêts entières.
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Charité bien désordonnée

Vous vous souvenez peut-être de Pico Park ? Ce petit titre de plateforme coopératif de 2021 et sa suite de 2024 ont connu un vrai succès, notamment chez les streameurs. Mais la licence avait en réalité commencé en 2016 dans un jeu aujourd’hui intitulé Pico Park : Classic Edition. Cet épisode est gratuit depuis 2021, mais contient moins de niveaux et, surtout, ne propose que du multijoueur local. Enfin, c’était le cas jusqu’à la mise à jour du 13 septembre dernier qui actualise les graphismes et ajoute le multijoueur en ligne. « Attention, par contre, le jeu va devenir payant dans une semaine ! », prévient Teco, le développeur japonais qui s’en occupe. Le 5 octobre suivant, il publie un nouveau message qui explique en substance : « Oups, en fait, quand un jeu devient gratuit sur Steam, on ne peut pas le rendre à nouveau payant. Bon, ben, cadeau, j’imagine. » K.
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