Vue lecture
Grosses armées et speed painting
Netfric & Chill
Cachez vos incels, l’épileptique Don’t Stop, Girlypop! sortira le 29 janvier 2026
Alors que les vidéos de présentation laissaient penser que Don’t Stop, Girlypop! n’avait aucun feeling et allait être nul à chier, on avait été surpris par la qualité de la démo – toujours disponible. Les sensations étaient finalement excellentes, grâce à des mouvements très vifs, un bon air control et un gunfeel très correct. La semaine dernière, le studio australien Funny Fintan Softworks a publié une nouvelle vidéo pour annoncer la date de sortie : ce sera le 29 janvier 2026.
Comme vous pouvez le constater, la direction artistique n’a pas changé : le côté girly est toujours un poil exagéré. Le parti pris est radical, mais on avait trouvé ça très amusant. Évidemment, si vous pensez que le rose, c’est pour les filles, et qu’elles devraient retourner à la cuisine plutôt que de développer des FPS, on vous déconseille formellement ne serait-ce que de regarder le trailer. En effet, il est fortement probable que votre pénis se nécrose et que vous développiez une grosse paire de loches.
En attendant la sortie de Don’t Stop, Girlypop! prévue pour le 29 janvier prochain, vous pouvez toujours tester la démo depuis sa page Steam, et ajouter le jeu à votre liste de souhaits si vous êtes convaincus.
[TEST] The Berlin Apartment : un joli walking sim empreint de nostalgie
Dans la frénésie de toutes les sorties des AAA et autres rétro-FPS sanglants, il arrive qu’un petit walking sim fasse son trou, en proposant un concept intéressant. The Berlin Apartment est l’un d’entre eux, et il nous avait déjà fait de l’œil lors de la sortie d’une démo en début d’année. Sans grande surprise, le reste de la production est tout aussi réussi et on a passé un bon moment à suivre ces différentes tranches de vie.
Genre : Walking sim narratif | Développeurs : btf | Éditeurs : btf, ByteRockers’ Games, PARCO GAMES | Plateforme : Steam | Prix : 25,50 € | Langues : Anglais, Allemand, sous-titres en français | Configuration minimale : Core i5-2300 2.8 GHz / AMD Phenom II X4 3.4 GHz, RX 560 / GTX 950, 4 Go de RAM | Date de sortie : 17/11/2025 | Durée : un peu moins de 4 heures
Test effectué sur une version fournie par l’éditeur.
Un concept original
Dans The Berlin Apartment, on incarne une petite fille accompagnant son père, qui restaure un appartement berlinois, situé dans l’ancienne RDA (Allemagne sous domination soviétique). L’histoire est divisée en plusieurs chapitres, qui démarrent de la même manière : notre protagoniste trouve un vestige des précédents habitants, ce qui nous propulse dans un souvenir. On change alors de point de vue, puisqu’on incarne un personnage d’une autre époque. On commence avec des échanges épistolaires via des avions en papier envoyés au-dessus du mur de Berlin, peu avant sa chute, on continue avec un vieux monsieur en 1933 qui rassemble ses affaires pour fuir les nazis, puis c’est au tour d’une famille le soir de Noël 1945, et enfin, d’une écrivaine à la fin des années 60. Toutes les histoires sont intéressantes, et abordent des sujets rarement vus dans les jeux vidéo. L’ambiance est globalement chaleureuse, mais on sent tout de même beaucoup de nostalgie, voire des regrets au travers des différents récits. Et même s’il est parfois frustrant d’attendre la fin d’une tirade avant de pouvoir interagir avec un nouvel objet, la narration est assez efficace pour faire ressentir de l’empathie pour les personnages. D’autre part, le doublage anglais est d’excellente facture.
À l’Est, rien de nouveau
Du côté du gameplay, le jeu propose de fouiller à gauche et à droite, mais jamais vraiment de réfléchir. Il y a parfois quelques choix à réaliser, mais cela reste anecdotique : on est dans un walking sim narratif, sans plus de prétention, et ce n’est pas un point négatif. C’est calme, mais pas si lent, compte tenu de la taille finalement assez restreinte des environnements. Ils sont d’ailleurs très jolis, car la direction artistique avec son effet dessiné, un peu pastel, est franchement réussie. Du côté des performances, il n’y a évidemment rien à dire, ça tournera normalement sur n’importe quelle patate, sachant qu’un framerate à 60 FPS sera largement suffisant pour profiter du titre.
Une chouette expérience
The Berlin Apartment est un walking sim narratif plutôt classique dans son gameplay, mais original dans sa narration. La visite de plusieurs époques à travers des personnages ayant vécu dans un même lieu est vraiment réussie. On ressent la nostalgie et les regrets des protagonistes qui vivent à l’est du mur de Berlin. En plus, l’esthétique est très chouette, et ce n’est pas très long. Alors si vous appréciez le genre, c’est sans doute une bonne idée de tenter l’expérience.
Vous vous perdez dans l’immensité du catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à séparer le bon grain de l’ivraie.
Tripwire tente d’améliorer les performances de Killing Floor 3 avec Operation Breakout, mais c’est toujours insuffisant
Malgré des avis toujours très mitigés et une base de joueurs très instable — moins de 1000 joueurs simultanés en moyenne — Tripwire Interactive tente tant bien que mal de maintenir Killing Floor 3 en vie, en publiant le 4 décembre la mise à jour Operation Breakout.
Au programme de ce patch, on notera le retour du Stalker — vous savez, le Zed camouflé — une nouvelle map (la prison), un nouveau personnage, des modes de jeu hebdomadaires, ainsi qu’une nouvelle SMG. Si vous vous sentez le courage de lire l’intégralité du patch notes, c’est par ici. La mise à jour semble également se focaliser sur une tentative d’amélioration des performances, qui restent le gros point noir de Killing Floor 3 à l’heure actuelle. D’après les premiers retours de la communauté, les performances seraient légèrement meilleures, mais ça serait toujours insuffisant pour tenir la comparaison face à Killing Floor 2. On aurait bien du mal à vous recommander de passer à la caisse en l’état.
Mais si vous voulez soutenir les développeurs ou tenter votre chance malgré l’état discutable du jeu, une promotion de -33 % est en cours jusqu’au 18 décembre, ce qui fait tomber son prix à 27 € environ.
Un retour dans la douleur et le sang pour la sortie de Blood: Refreshed Supply
Depuis son annonce au PC Gaming Show Tokyo Direct, Blood: Refreshed Supply, le nouveau remake du FPS culte Blood développé par NightDive, a divisé la communauté de joueurs. Le premier camp considérait cette nouvelle édition comme une arnaque pure et simple (un patch vendu à un prix prohibitif), sachant qu’il existait déjà un premier remake du même studio datant 2019, Blood Fresh Supply. L’autre camp qui n’en a strictement rien à carrer de tout ça, était simplement heureux et satisfait de pouvoir jouer à ce jeu avec leurs configs actuelles.
Sorti ce 4 décembre après un passage au PC Gaming Show: Most Wanted 2025, vous vous doutez bien que le colère ne s’était pas estompée. Ni la réduction proposée aux possesseurs du premier remake en plus de la promotion de précommande, ni le travail habituel du studio NightDive (tentant de le justifier dans un billet de blog Steam), n’auront convaincus. Les joueurs se déchirent dans l’espace des commentaires et il en résulte un avis global moyen.
Pour enfoncer le dernier clou dans le cercueil et parfaire une image déjà bien écornée, quelqu’un (un éditeur, on le suppose) a eu la brillante idée de délister Blood Fresh Supply en plus de Blood: One Unit Whole Blood (déjà délisté depuis quelques années) de toutes les plateformes de vente. Ainsi, vous pouvez désormais vous recueillir sur ces deux pages Steam (1 et 2), en vous remémorant de bons souvenirs et en lâchant un « c’était mieux avant ».
Peu importe où vous vous positionnez dans ce conflit, si vous souhaitez vraiment vous procurer Blood: Refreshed Supply, sachez que la rédac ne vous juge pas (on n’est pas vos darons !) mais on vous conseille malgré tout de ne pas l’acheter plein pot. Si vous êtes plutôt indécis et patients, l’un de nos experts vous proposera un test dans les semaines à venir.
Les développeurs du rétro-FPS Boltgun sont sur un nouveau projet : Starship Troopers: Ultimate Bug War!
Durant le PC Gaming Show: Most Wanted 2025 qui s’est déroulé jeudi dernier, le studio Auroch Digital (Warhammer 40 000: Boltgun) avec l’appui de l’acteur Casper Van Dien alias Johnny Rico, a dévoilé son rétro-FPS Starship Troopers: Ultimate Bug War!. Il sera toujours question d’éradiquer la menace arachnide avec l’arsenal bien connu de la licence Starship Troopers. Le gunplay a l’air plutôt bourrin, vu que l’on pourra étaler des litres et des litres de slime verdâtre sur le champ de bataille. Les environnements, quant à eux, paraissent ouverts et variés, à l’exemple de la planète Klendathu ou des ruines d’anciennes colonies humaines. Sans grandes prétentions, cette nouvelle aventure pourrait être sympa à jouer.
Starship Troopers: Ultimate Bug War! est prévu courant 2026. En attendant une date de sortie plus précise pour l’annihilation d’insectes géants, vous pouvez toujours ajouter le jeu à votre liste de souhaits Steam et vous engager dans l’infanterie mobile !
Atomic Heart tease l’arrivée de son dernier DLC
Après avoir visité une base sous-marine dans Enchantment Under the Sea, le studio Mundfish a récemment publié une nouvelle vidéo pour teaser le prochain et dernier DLC d’Atomic Heart. On y voit notre héro P-3 et sa femme Katya dont la conscience a été transférée à l’intérieur d’une des jumelles, se battre contre l’armée robotique de CHAR-les, le méchant de l’histoire principale. Cette nouvelle aventure permettra donc de conclure définitivement l’arc narratif de ce premier opus. Sans autres informations, on peut supposer qu’il y a aura de nouvelles armes, capacités et ennemis qui seront dévoilés prochainement.
En attendant l’annonce de la date de sortie de ce prochain contenu, vous pouvez toujours vous procurez l’une des éditions d’Atomic Heart et ses DLCs en profitant d’une promotion à -70 % et -30 % jusqu’au 8 décembre sur Steam.
Les devs de Clockwork Revolution n’ont rien à dire, mais ils le disent quand même
Pendant le PC Gaming Show Most Wanted 2025, on a pu apercevoir une petite minute de séquences du futur RPG d’inXile Entertainment, Clockwork Revolution. On ne peut pas dire que ce soit vraiment intéressant, car elles ne durent jamais plus d’une seconde, contrairement à juin dernier, où l’on pouvait au moins comprendre ce qu’il se passait. En plus, c’est entrecoupé par une interview de deux personnes du studio, atteignant des sommets de platitude, et n’apportant strictement aucune information. On nous fait même croire à une date de sortie, pour finir sur un laconique « in due time » (« en temps voulu » dans la langue de Booba).
On rappelle que Clockwork Revolution est un RPG dans la veine de The Outer Worlds, prenant place dans une sorte d’univers steampunk avec de la manipulation du temps. D’après les créateurs, il y aura de l’humour, et c’est le jeu le plus complexe qu’ils n’ont jamais réalisé. Au-delà du battage de couilles que l’on peut ressentir dans cette vidéo, le projet avait su attirer notre attention grâce à ses mécaniques de gameplay et son esthétique particulière, qui fait un peu penser à BioShock Infinite. Il n’y a plus qu’à prier pour ce que soit intéressant, contrairement au titre de Cloud Chamber.
Pour l’instant, Clockwork Revolution n’a pas encore de date de sortie, mais des rumeurs pointeraient vers une publication en 2026. Cependant, il ne faut pas oublier que c’est Xbox Game Studios à l’édition, alors on n’est pas à l’abri d’une annulation surprise pour maintenir les quotas de licenciements l’année prochaine. En attendant, vous pouvez toujours l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam s’il vous intéresse.
Une démo pour Fracture Point, un petit extraction shooter solo pas inintéressant
Il y a quelques jours, l’unique développeur de Fracture Point, une sorte de roguelite et extraction shooter en solo, a sorti une démo de son jeu. Les précédentes présentations laissaient entrevoir un gameplay assez violent, mais parfois un peu brouillon, avec des effets visuels empêchant un peu de lire l’action. Néanmoins, il paraissait plutôt intéressant, alors on a essayé la démo.
Graphiquement, on sent que c’est un peu amateur : ce n’est pas très beau, même s’il y a plein d’effets modernes. On a quelques fois du mal à voir où l’on tire, à cause de la fumée qui sort du canon. En revanche, le feeling est assez agréable. Les armes ont de la patate et un bon sound design. Le gameplay, quant à lui, est très classique : on rentre dans un immeuble, et le niveau de difficulté augmente à chaque étage visité. Il y a également plus de chances de trouver du bon loot, qui permettra ensuite d’améliorer compétences et équipement si on ne meurt pas. Le level design est simple, mais efficace, et l’expérience est globalement sympathique. Cela fait un peu penser à Check & Clean pour la partie tactique, mais en plus profond et mieux réalisé.
Si vous voulez voir ce que Fracture Point a dans le ventre, vous pouvez tester la démo en vous rendant sur la fiche Steam du jeu, et l’ajouter à votre liste de souhaits si vous êtes convaincus.
Un lancement difficile pour Transience, le FPS d’action/infiltration de BigfryTV
Le 4 décembre, Transience, l’aboutissement de trois ans de travail de l’influenceur BigfryTV et son équipe, est sorti sur Steam. On vous en parle maintenant depuis un moment : c’est un jeu d’action/infiltration fortement inspiré des titres solo d’il y a 15 ou 20 ans, comme Max Payne ou Splinter Cell. On nous promet des gadgets, mais également des bons gunfights, qu’on imagine qualitatifs vu le passif du créateur du projet. En effet, depuis de nombreuses années, il teste des jeux – principalement des FPS –, et ne mâche pas ses mots quand c’est nul. On suppose donc qu’il a acquis une certaine expertise en la matière, et qu’il sait ce qu’il faut faire, et surtout, ce qu’il ne faut pas faire.
Malheureusement, il semblerait que quelques problèmes majeurs soient passés entre les mailles du filet, car 24 heures après la sortie, les avis Steam sont mitigés : seulement 59 % des avis sont positifs. Les critiques pointent du doigt des incohérences dans les visuels, qui oscillent entre plutôt corrects et absolument dégueulasses. Lors des cinématiques, par exemple, on se croirait propulsé dans les années 2010, principalement à cause des visages. Du côté de la narration, beaucoup ont envie de frapper la tête de notre personnage contre tous les murs possibles pour qu’il ferme enfin sa grande gueule. C’est hélas impossible, puisque Bigfry explique qu’ils ont voulu faire une sorte de monologue à la Max Payne tout au long du jeu. La différence, c’est que dans Max Payne, il ne causait quasiment que dans les cutscenes. Un autre point très négatif remonté est l’attitude complètement débile des ennemis, en particulier sur la première heure, dans des appartements : ils viennent un à un prendre leur balle dans la tête comme des Lemmings. Dans une vidéo publiée il y a quelques heures, l’influenceur analyse ces critiques et tente d’expliquer les choses. D’après lui, il a fait l’erreur de faire une séquence d’introduction beaucoup trop calme et beaucoup trop longue, ce qui fait que la pleine expérience n’arrive qu’après les deux premières heures.
Il assure que les IA ont un comportement plus intéressant, car ils peuvent se coordonner et contourner le joueur quand les niveaux sont un peu plus ouverts. D’autre part, les développeurs du studio ont déjà publié un premier patch destiné à régler quelques problèmes, notamment le fait que les ennemis pouvaient détecter le joueur, pourtant théoriquement invisible et inaudible. Un peu gênant pour un jeu d’infliltration. Apparemment, certains rencontrent aussi des problèmes de performance, que l’on peut facilement attribuer à l’utilisation de l’Unreal Engine 5, mais qui sont en cours d’investigation au studio Resurgence. De notre côté, on a testé quelques dizaines de minutes pour constater un framerate un peu juste sur une machine d’entrée de gamme, nécessitant de baisser les options graphiques, mais aucun soucis sur un PC équipé d’une carte graphique de bourrin. Il est encore beaucoup trop tôt pour nous prononcer sur le jeu, mais il en ressort tout de même un fort sentiment d’amateurisme, principalement du côté graphique. Le feeling sur les premiers affrontements semble correct, mais il faudra qu’on essaye encore un peu. Et surtout, que l’on expérimente au-delà des niveaux tutoriaux, dans lesquels on n’a pas encore tout notre équipement.
En attendant, si vous voulez vous faire une idée, Transience est à –10 % sur Steam pour sa sortie, soit 17 € jusqu’au 18 décembre. N’hésitez pas à rusher un peu la première mission, histoire de voir si c’est mieux après et savoir si ça vaut le coup de continuer ou de vous faire rembourser !
FEROCIOUS est sorti, mais comme on s’en doutait, ce n’était pas une bonne idée
Après avoir testé la démo de FEROCIOUS en juin dernier, on s’était dit qu’il y aurait encore quelques années de développement avant de le voir débarquer, vu son état déplorable. Apparemment, l’éditeur TinyBuild n’était pas de cet avis, et a peut-être décidé de couper le robinet à fric, puisqu’il annonçait le mois dernier que le jeu allait arriver le 4 décembre. On n’osait pas trop y croire, car l’ampleur du travail à réaliser, même pour une équipe d’une dizaine de personnes, semblait incompatible avec seulement six mois de crunch. Il faut croire qu’on avait raison, car FEROCIOUS récolte des avis mitigés depuis sa publication hier soir. Seuls 51 % sont positifs, et les joueurs sont globalement d’accord pour dire que ça fait très amateur, dans le mauvais sens du terme. On est bien loin des présentations vidéo qui faisaient penser à une sorte de Far Cry avec des dinos. L’esthétique est étrangement ratée, les animations sont risibles, les ennemis semblent bêtes à manger du foin, le système d’inventaire est apparemment mal branlé et l’interface est très moche.
On s’attendait à une sortie en accès anticipé, mais on doit avouer qu’on n’avait plus suivi le projet de manière assidue depuis la démo. En l’état, on n’a certainement pas envie de tenter l’aventure, puisque FEROCIOUS ne semble pas avoir changé d’un iota depuis qu’on l’avait testé.
Si, au contraire, vous êtes persuadé qu’il peut être intéressant, vous pouvez retrouver FEROCIOUS à –20 % sur Steam pour sa sortie, soit 20 € jusqu’au 18 décembre.
ROUTINE sort 13 ans après son annonce et semble mettre tout le monde d’accord
Comme prévu, ROUTINE est sorti hier, après plus de 13 ans de développement. Alors oui, il n’a pas été continu, et les développeurs ont dû par moments arrêter de bosser dessus pour se trouver un « vrai » travail et ne pas mourir de faim, mais tout de même… Il s’agit d’un jeu d’horreur nous mettant dans la peau d’un cosmonaute sur une base lunaire. Mais celle-ci semble dans un bien piteux état et des robots sanguinaires en parcourent les couloirs. Il se pourrait qu’il y ait également des créatures plus ou moins organiques, mais pas franchement beaucoup plus accueillantes. L’esthétique est vraiment très réussie, entre le rétrofuturiste et le NASApunk, et l’ambiance est franchement folle. La plupart des joueurs sont d’ailleurs conquis, puisqu’il y a 90 % d’avis positifs sur Steam.
Même si on n’est pas forcément tous fans d’horreur à la rédaction, on ne pouvait pas l’ignorer, notamment parce que sa direction artistique nous attirait particulièrement. Et le début de l’aventure nous a complètement happés : l’univers est crédible, les effets visuels sont très beaux et le gameplay est très correct. Les déplacements ne sont pas très rapides, mais on reste tout de même bien maîtres de nos mouvements. Petite remarque néanmoins : il est possible de remapper les touches, à l’exception de WASD. Il faudra donc obligatoirement utiliser un layout anglais pour utiliser ZQSD. Les déviants utilisant d’autres configurations peuvent bien aller se faire foutre, cependant. Pour en revenir à notre expérience, il y a des phases d’exploration, un peu de puzzles, de la déduction, et du cache-cache. À voir sur la longueur, mais pour l’instant, c’est excellent.
Si vous êtes intéressés par ROUTINE, sachez que notre partenaire Gamesplanet propose une réduction de 20 % jusqu’au 10 décembre, ce qui le fait à 20 €, au lieu des 22,5 € sur Steam. Cela ne fait pas une grande différence, mais au passage, on gagne quelques centimes sur le site, ce qui nous permet d’obtenir des clefs de jeux à tester, ou de vous en offrir pendant les NoScope, comme hier !
La Grille de Maîtresse Paule Cul n° 473
I’m Not a Robot
DOSBox Pure Unleashed
Soyez prêts à sortir les RAM
NoScope #82 : Outlaws, The Berlin Apartment & Call of Duty 22: Black Ops 7
Ce soir, nous avons enregistré le 82ᵉ numéro de NoScope sur notre chaîne Twitch. Comme à notre habitude, nous sommes, avec toute la bienveillance qui nous caractérise, sur l’actualité des FPS de ces dernières semaines. On a notamment parlé de l’annonce de l’extraction shooter PUBG: Black Budget, des premières séquences de gameplay pour Fatekeeper, ou encore des retours encourageants de la pré-alpha de Bellum.
Après un petit quiz sur les jeux qu’on aime refaire à Noël, on a rapidement fait le point sur les jeux qu’on a testés récemment : Outlaws + Handful of Missions: Remaster, The Berlin Apartment et Call of Duty 22: Black Ops 7.
00:00:00 – Intro
00:01:11 – Les actus FPS : annonce de PUBG: Black Budget, un extraction shooter
00:04:50 – Les actus FPS : la sortie catastrophique en 1.0 sur Steam d’Escape From Tarkov
00:08:41 – Les actus FPS : du gameplay sympa pour Fatekeeper
00:13:37 – Les actus FPS : une démo pour Devoid, un hommage indé à Dishonored
00:17:03 – Les actus FPS : les retours de la pré-alpha de Bellum sont encourageants
00:27:29 – Les actus FPS : une très bonne démo pour l’étrange There Are No Ghosts At The Grand
00:29:46 – Les actus FPS : Total Chaos est enfin sorti
00:33:57 – Les actus FPS : S.T.A.L.K.E.R. 2 reçoit son patch 1.7 et améliore son IA
00:39:43 – QUIZ : les FPS qu’on aime jouer à Noël
01:03:55 – TEST: Outlaws + Handful of Missions Remaster
01:09:20 – TEST : The Berlin Apartment
01:11:22 – TEST : Call of Duty 22: Black Ops 7
01:24:09 – À venir
01:33:34 – À quoi on joue ? (lecture, Bodycam & Squad Fireteam)
Et si vous n’aimez pas nos tronches, l’émission est également disponible en version podcast sur Soundcloud (jusqu’à la publication de l’émission suivante), mais aussi sur Spotify, Deezer, Anchor.fm ou Pocket Casts.
En espérant que ça vous fasse autant marrer à entendre que nous à le faire, on vous donne rendez-vous dans deux ou trois semaines pour un nouveau NoScope !
![[TEST] The Berlin Apartment : un joli walking sim empreint de nostalgie 1 The Berlin Apartment 01 scaled](https://nofrag.com/wp-content/uploads/2025/12/The-Berlin-Apartment-01-scaled.jpg)
![[TEST] The Berlin Apartment : un joli walking sim empreint de nostalgie 2 The Berlin Apartment 04](https://nofrag.com/wp-content/uploads/2025/12/The-Berlin-Apartment-04.jpg)
![[TEST] The Berlin Apartment : un joli walking sim empreint de nostalgie 3 The Berlin Apartment 02 scaled](https://nofrag.com/wp-content/uploads/2025/12/The-Berlin-Apartment-02-scaled.jpg)
![[TEST] The Berlin Apartment : un joli walking sim empreint de nostalgie 4 The Berlin Apartment 05](https://nofrag.com/wp-content/uploads/2025/12/The-Berlin-Apartment-05.jpg)
![[TEST] The Berlin Apartment : un joli walking sim empreint de nostalgie 5 The Berlin Apartment 06](https://nofrag.com/wp-content/uploads/2025/12/The-Berlin-Apartment-06.jpg)
