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Ad Mortem publie son premier devlog et montre son système de combat

Un mois après avoir mené à bien sa campagne de financement, le studio britannique Head On Studios semble être motivé et publie son premier devlog consacré à Ad Mortem.

La vidéo présente le jeu dans son état actuel de pré-alpha et dévoile les ambitions des développeurs : proposer un système de combat réaliste et dynamique, où chaque coup est une action déclenchée en temps réel plutôt qu’une simple animation. L’objectif affiché est d’offrir davantage de contrôle et de profondeur aux affrontements, en mettant l’accent sur la stratégie et la précision des armes et des mouvements.

Le devlog s’attarde ensuite sur les mécaniques principales du gameplay. On y découvre les attaques de base, les enchaînements de combos, ainsi que les feintes et morphs destinés à déstabiliser l’adversaire. Les systèmes défensifs, tels que le blocage, la parade et la riposte, sont également détaillés, aux côtés de fonctionnalités plus spécifiques comme le bash, le turncap (limitation de rotation) et la gestion des déplacements. L’ensemble est pensé pour limiter le clic droit, clic gauche à gogo, et favoriser une approche plus tactique. On sent qu’ils se sont plus inspirés des techniques de Mordhau que des combats plus casu de Chilvary 2.

La vidéo se termine en mettant en avant des éléments avancés qui, selon l’équipe, enrichissent l’expérience : le système de rage, les compétences propres aux classes et les arts d’armes, offrant une variété de styles selon le personnage choisi. Les développeurs insistent toutefois à la fin du devlog sur le caractère évolutif de ces mécaniques, encore en cours de développement.

À la rédaction, on trouve ce système de combats exigeant plutôt réussi, et on est curieux de voir comment le studio va intégrer celui-ci dans le gameplay. En attendant, vous pouvez ajouter Ad Mortem à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.

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Luna Abyss dévoile de nouvelles séquences de gameplay et confirme sa sortie courant 2026

Sans nouvelles depuis notre dernière news de 2023, Luna Abyss, le FPS d’action et bullet hell, sort de son silence durant le PC Gaming Show: Most Wanted 2025 avec une nouvelle bande-annonce de gameplay. On y découvre diverses armes, dont certaines manquent cruellement de patate, des alliés, des ennemis, des environnements plutôt beaux et une sortie prévue courant 2026. De plus, le studio Bonsai Collective est désormais édité par Kwalee et se nomme Kwalee Labs (on peut donc supputer que le studio d’origine a été probablement racheté par l’éditeur).

Il sera toujours question d’incarner une prisonnière devant explorer les entrailles de Luna, une lune factice peuplée de créatures étranges et agressives. Au cours de votre périple, il vous faudra récupérer une ancienne technologie et découvrir les secrets d’une colonie perdue. Le jeu a l’air plutôt intéressant et son univers est pour le moins original, que ce soit dans le design des ennemis ou des niveaux. Le gunplay, quant à lui, semble inégal en fonction de l’arme utilisée.

En attendant l’annonce d’une date de sortie officielle, vous pouvez toujours ajouter Luna Abyss à votre liste de souhaits Steam ou Epic Games Store, si vous êtes intéressé.

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PVKK, le simulateur de vie dans un bunker de défense planétaire, sortira en été 2026

À l’occasion du PC Gaming Show: Most Wanted 2025, Bippinbits, le studio derrière le développement de PVKK, a diffusé une courte vidéo pour annoncer que leur jeu de simulation de défense planétaire sortira finalement courant de l’été 2026. En termes de gameplay, rien de nouveau, si ce n’est que l’on pourra améliorer les commandes de visée de notre immense canon pour dézinguer l’envahisseur avec une précision mortelle.

Pour rappel, dans un monde dystopique, vous incarnerez un artilleur qui aura le choix de suivre aveuglement les ordres de sa hiérarchie afin de pouvoir améliorer son bunker et autres éléments, ou de les refuser pour découvrir les secrets qui se cachent derrière votre mission de défense et votre ennemi.

Si vous êtes plutôt emballé par le concept, vous pouvez toujours ajouter PVKK à votre liste de souhaits Steam en attendant une date de sortie plus précise.

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Voleur lance « pied de biche », c’est très efficace

Fini les vols d’œuvres d’art et de bijoux (enfin, sauf au Louvre), les cambrioleurs d’aujourd’hui se concentrent sur les vraies valeurs : les cartes Pokémon. Une bande de malfrats a ainsi récemment été filmée en train de dépouiller un magasin en Californie, et l’objectif était clairement de choper des shiny pour faire de la money. Bilan ? 100 000 dollars de butin en quelques instants, tout en ignorant royalement tous les articles sportifs de collection tout autour.  La protection des stock de cartes chez les revendeurs devient même  un véritable sujet de sécurité partout dans le monde. J’imagine que lorsque la police leur tombe dessus, ils  lancent une Pokéball en hurlant « Vas y Évasor ! », avant d’être abattus de 243 balles en pleine tête. P.
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News Tower

Cela va vous paraître dingue, mais il fut un temps où Le Monde et Libération avaient plus d’influence sur la société française que Tibo InShape. C’est cette période, fort heureusement révolue, que nous fait revivre News Tower.
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J’irai cracher sur vos tombes

Il faut laisser les morts tranquilles. Tenez, prenez le cadavre de la franchise Postal, par exemple. Nous étions tous ravis qu’il soit six pieds sous terre et que les nouvelles générations ne subissent plus son humour scatologique nul. Enfin, sauf pour les développeurs de Goonswarm Games, qui s’étaient mis en tête de le ressusciter à la demande de… ben de personne en fait. Heureusement, l’IA générative est là et le jeu semblait en être rempli jusqu’à la moelle, suffisamment pour provoquer une bronca des joueurs (bronca qui aurait dû démarrer à « Postal ») et convaincre l’éditeur Running With Scissors de retirer son soutien au projet. Pour l’éditeur, cela « a causé un préjudice considérable à [leur] marque et à la réputation de [leur] entreprise ». On rappelle juste que dans Postal : Bullet Paradise, on pouvait pisser sur des tombes et que les bonus étaient des zizis en or. P.
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Morsels

Je n’ai pas besoin de tout comprendre pour avancer dans la vie. Par exemple, je mourrai sans savoir pourquoi les gens mettent de l'adoucissant dans leur lave-linge. J’ai testé : les chats ressortent toujours aussi rêches.
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Skate Story

J'ai le cœur qui bat à mille à l'heure alors que j'arpente une ville fantôme remplie de mirages, à la recherche d'une énième lune à manger. J'ai enchaîné les tricks sur un skate pour combattre un œil sanglant, redonné l'inspiration à un pigeon en plein syndrome de la page blanche, discuté avec un buste de philosophe coiffé d'une casquette vert fluo, avant de me fracasser en morceaux en loupant une rampe. En un mot comme en cent : j'ai joué à Skate Story.
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Grosses armées et speed painting

Se lancer ou se relancer dans Warhammer 40,000 en 2026, c’est évidemment la certitude de parties épiques dans les ténèbres d’un lointain futur où il n’y a que la guerre, mais c’est aussi surtout la garantie de voir gonfler subitement sa pile de peinture. Et pas qu’un peu.
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Netfric & Chill

Netflix rachète Warner Bros. pour 82,7 milliards de dollars. Je répète, pour que vous soyez sûr d’avoir bien lu : 82,7 FUCKING MILLIARDS DE DOLLARS. Et encore, simplement pour sa branche « Streaming & Studios », regroupant Warner Bros. Motion Picture Group, DC Studios et HBO, le groupe ayant été scindé entre cet aspect et une branche network pour les chaînes sportives et d’information. Cela veut aussi dire que les studios Avalanche, TT Games, NetherRealm et Rocksteady changent de mains. On pourrait écrire également sous cette forme : une plateforme qui n’a jamais réussi à percer dans le JV rachète, à la marge, tout un tas de studios mal en point et déjà plombés par des licenciements et des annulations de projets. Vu les économies que Netflix devra mener si cette opération est validée par les autorités de la concurrence (et c’est un gros si), l’ambiance ne va pas être festive chez les développeurs. Oh, et puis finalement, quand on y pense, c’est quoi 80 milliards de dollars ? À peine ce qu’a coûté le pari du Metavers à Méta, ou le prix de 64 Go de RAM en 2026, une paille quoi. La preuve, dès le lendemain, choqué par ce vil prix, la Paramount a decidé d’annoncer une volonté de prise de contrôle hostile, en offrant publiquement 40 dollars par action, soit un total de 108,4 milliards de dollars, qui dit mieux ? Bref, on marche sur la tête, l’argent n’a plus aucune réalité et il faut retirer le chéquier aux patrons des grands groupes. P.
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Cachez vos incels, l’épileptique Don’t Stop, Girlypop! sortira le 29 janvier 2026

Alors que les vidéos de présentation laissaient penser que Don’t Stop, Girlypop! n’avait aucun feeling et allait être nul à chier, on avait été surpris par la qualité de la démo – toujours disponible. Les sensations étaient finalement excellentes, grâce à des mouvements très vifs, un bon air control et un gunfeel très correct. La semaine dernière, le studio australien Funny Fintan Softworks a publié une nouvelle vidéo pour annoncer la date de sortie : ce sera le 29 janvier 2026.

Comme vous pouvez le constater, la direction artistique n’a pas changé : le côté girly est toujours un poil exagéré. Le parti pris est radical, mais on avait trouvé ça très amusant. Évidemment, si vous pensez que le rose, c’est pour les filles, et qu’elles devraient retourner à la cuisine plutôt que de développer des FPS, on vous déconseille formellement ne serait-ce que de regarder le trailer. En effet, il est fortement probable que votre pénis se nécrose et que vous développiez une grosse paire de loches.

En attendant la sortie de Don’t Stop, Girlypop! prévue pour le 29 janvier prochain, vous pouvez toujours tester la démo depuis sa page Steam, et ajouter le jeu à votre liste de souhaits si vous êtes convaincus.

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[TEST] The Berlin Apartment : un joli walking sim empreint de nostalgie

Dans la frénésie de toutes les sorties des AAA et autres rétro-FPS sanglants, il arrive qu’un petit walking sim fasse son trou, en proposant un concept intéressant. The Berlin Apartment est l’un d’entre eux, et il nous avait déjà fait de l’œil lors de la sortie d’une démo en début d’année. Sans grande surprise, le reste de la production est tout aussi réussi et on a passé un bon moment à suivre ces différentes tranches de vie.

Genre : Walking sim narratif | Développeurs : btf | Éditeurs : btf, ByteRockers’ Games, PARCO GAMES Plateforme : Steam | Prix : 25,50 € | Langues : Anglais, Allemand, sous-titres en français | Configuration minimale : Core i5-2300 2.8 GHz / AMD Phenom II X4 3.4 GHz, RX 560 / GTX 950, 4 Go de RAM  | Date de sortie : 17/11/2025 | Durée : un peu moins de 4 heures

Test effectué sur une version fournie par l’éditeur.

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Un concept original

Dans The Berlin Apartment, on incarne une petite fille accompagnant son père, qui restaure un appartement berlinois, situé dans l’ancienne RDA (Allemagne sous domination soviétique). L’histoire est divisée en plusieurs chapitres, qui démarrent de la même manière : notre protagoniste trouve un vestige des précédents habitants, ce qui nous propulse dans un souvenir. On change alors de point de vue, puisqu’on incarne un personnage d’une autre époque. On commence avec des échanges épistolaires via des avions en papier envoyés au-dessus du mur de Berlin, peu avant sa chute, on continue avec un vieux monsieur en 1933 qui rassemble ses affaires pour fuir les nazis, puis c’est au tour d’une famille le soir de Noël 1945, et enfin, d’une écrivaine à la fin des années 60. Toutes les histoires sont intéressantes, et abordent des sujets rarement vus dans les jeux vidéo. L’ambiance est globalement chaleureuse, mais on sent tout de même beaucoup de nostalgie, voire des regrets au travers des différents récits. Et même s’il est parfois frustrant d’attendre la fin d’une tirade avant de pouvoir interagir avec un nouvel objet, la narration est assez efficace pour faire ressentir de l’empathie pour les personnages. D’autre part, le doublage anglais est d’excellente facture.

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À l’Est, rien de nouveau

Du côté du gameplay, le jeu propose de fouiller à gauche et à droite, mais jamais vraiment de réfléchir. Il y a parfois quelques choix à réaliser, mais cela reste anecdotique : on est dans un walking sim narratif, sans plus de prétention, et ce n’est pas un point négatif. C’est calme, mais pas si lent, compte tenu de la taille finalement assez restreinte des environnements. Ils sont d’ailleurs très jolis, car la direction artistique avec son effet dessiné, un peu pastel, est franchement réussie. Du côté des performances, il n’y a évidemment rien à dire, ça tournera normalement sur n’importe quelle patate, sachant qu’un framerate à 60 FPS sera largement suffisant pour profiter du titre.

Une chouette expérience

The Berlin Apartment est un walking sim narratif plutôt classique dans son gameplay, mais original dans sa narration. La visite de plusieurs époques à travers des personnages ayant vécu dans un même lieu est vraiment réussie. On ressent la nostalgie et les regrets des protagonistes qui vivent à l’est du mur de Berlin. En plus, l’esthétique est très chouette, et ce n’est pas très long. Alors si vous appréciez le genre, c’est sans doute une bonne idée de tenter l’expérience.

Vous vous perdez dans l’immensité du catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à séparer le bon grain de l’ivraie.

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Tripwire tente d’améliorer les performances de Killing Floor 3 avec Operation Breakout, mais c’est toujours insuffisant

Malgré des avis toujours très mitigés et une base de joueurs très instable — moins de 1000 joueurs simultanés en moyenne — Tripwire Interactive tente tant bien que mal de maintenir Killing Floor 3 en vie, en publiant le 4 décembre la mise à jour Operation Breakout.

Au programme de ce patch, on notera le retour du Stalker — vous savez, le Zed camouflé — une nouvelle map (la prison), un nouveau personnage, des modes de jeu hebdomadaires, ainsi qu’une nouvelle SMG. Si vous vous sentez le courage de lire l’intégralité du patch notes, c’est par ici. La mise à jour semble également se focaliser sur une tentative d’amélioration des performances, qui restent le gros point noir de Killing Floor 3 à l’heure actuelle. D’après les premiers retours de la communauté, les performances seraient légèrement meilleures, mais ça serait toujours insuffisant pour tenir la comparaison face à Killing Floor 2On aurait bien du mal à vous recommander de passer à la caisse en l’état.

Mais si vous voulez soutenir les développeurs ou tenter votre chance malgré l’état discutable du jeu, une promotion de -33 % est en cours jusqu’au 18 décembre, ce qui fait tomber son prix à 27 € environ.

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Un retour dans la douleur et le sang pour la sortie de Blood: Refreshed Supply

Depuis son annonce au PC Gaming Show Tokyo Direct, Blood: Refreshed Supply, le nouveau remake du FPS culte Blood développé par NightDive, a divisé la communauté de joueurs. Le premier camp considérait cette nouvelle édition comme une arnaque pure et simple (un patch vendu à un prix prohibitif), sachant qu’il existait déjà un premier remake du même studio datant 2019, Blood Fresh Supply. L’autre camp qui n’en a strictement rien à carrer de tout ça, était simplement heureux et satisfait de pouvoir jouer à ce jeu avec leurs configs actuelles.

Sorti ce 4 décembre après un passage au PC Gaming Show: Most Wanted 2025, vous vous doutez bien que le colère ne s’était pas estompée. Ni la réduction proposée aux possesseurs du premier remake en plus de la promotion de précommande, ni le travail habituel du studio NightDive (tentant de le justifier dans un billet de blog Steam), n’auront convaincus. Les joueurs se déchirent dans l’espace des commentaires et il en résulte un avis global moyen.

Pour enfoncer le dernier clou dans le cercueil et parfaire une image déjà bien écornée, quelqu’un (un éditeur, on le suppose) a eu la brillante idée de délister Blood Fresh Supply en plus de Blood: One Unit Whole Blood (déjà délisté depuis quelques années) de toutes les plateformes de vente. Ainsi, vous pouvez désormais vous recueillir sur ces deux pages Steam (1 et 2), en vous remémorant de bons souvenirs et en lâchant un « c’était mieux avant ».

Peu importe où vous vous positionnez dans ce conflit, si vous souhaitez vraiment vous procurer Blood: Refreshed Supply, sachez que la rédac ne vous juge pas (on n’est pas vos darons !) mais on vous conseille malgré tout de ne pas l’acheter plein pot. Si vous êtes plutôt indécis et patients, l’un de nos experts vous proposera un test dans les semaines à venir.

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Les développeurs du rétro-FPS Boltgun sont sur un nouveau projet : Starship Troopers: Ultimate Bug War!

Durant le PC Gaming Show: Most Wanted 2025 qui s’est déroulé jeudi dernier, le studio Auroch Digital (Warhammer 40 000: Boltgun) avec l’appui de l’acteur Casper Van Dien alias Johnny Rico, a dévoilé son rétro-FPS Starship Troopers: Ultimate Bug War!. Il sera toujours question d’éradiquer la menace arachnide avec l’arsenal bien connu de la licence Starship Troopers. Le gunplay a l’air plutôt bourrin, vu que l’on pourra étaler des litres et des litres de slime verdâtre sur le champ de bataille. Les environnements, quant à eux, paraissent ouverts et variés, à l’exemple de la planète Klendathu ou des ruines d’anciennes colonies humaines. Sans grandes prétentions, cette nouvelle aventure pourrait être sympa à jouer.

Starship Troopers: Ultimate Bug War! est prévu courant 2026. En attendant une date de sortie plus précise pour l’annihilation d’insectes géants, vous pouvez toujours ajouter le jeu à votre liste de souhaits Steam et vous engager dans l’infanterie mobile !

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Atomic Heart tease l’arrivée de son dernier DLC

Après avoir visité une base sous-marine dans Enchantment Under the Sea, le studio Mundfish a récemment publié une nouvelle vidéo pour teaser le prochain et dernier DLC d’Atomic Heart. On y voit notre héro P-3 et sa femme Katya dont la conscience a été transférée à l’intérieur d’une des jumelles, se battre contre l’armée robotique de CHAR-les, le méchant de l’histoire principale. Cette nouvelle aventure permettra donc de conclure définitivement l’arc narratif de ce premier opus. Sans autres informations, on peut supposer qu’il y a aura de nouvelles armes, capacités et ennemis qui seront dévoilés prochainement.

En attendant l’annonce de la date de sortie de ce prochain contenu, vous pouvez toujours vous procurez l’une des éditions d’Atomic Heart et ses DLCs en profitant d’une promotion à -70 % et -30 % jusqu’au 8 décembre sur Steam.

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Les devs de Clockwork Revolution n’ont rien à dire, mais ils le disent quand même

Pendant le PC Gaming Show Most Wanted 2025, on a pu apercevoir une petite minute de séquences du futur RPG d’inXile Entertainment, Clockwork Revolution. On ne peut pas dire que ce soit vraiment intéressant, car elles ne durent jamais plus d’une seconde, contrairement à juin dernier, où l’on pouvait au moins comprendre ce qu’il se passait. En plus, c’est entrecoupé par une interview de deux personnes du studio, atteignant des sommets de platitude, et n’apportant strictement aucune information. On nous fait même croire à une date de sortie, pour finir sur un laconique « in due time » (« en temps voulu » dans la langue de Booba).

On rappelle que Clockwork Revolution est un RPG dans la veine de The Outer Worlds, prenant place dans une sorte d’univers steampunk avec de la manipulation du temps. D’après les créateurs, il y aura de l’humour, et c’est le jeu le plus complexe qu’ils n’ont jamais réalisé. Au-delà du battage de couilles que l’on peut ressentir dans cette vidéo, le projet avait su attirer notre attention grâce à ses mécaniques de gameplay et son esthétique particulière, qui fait un peu penser à BioShock Infinite. Il n’y a plus qu’à prier pour ce que soit intéressant, contrairement au titre de Cloud Chamber.

Pour l’instant, Clockwork Revolution n’a pas encore de date de sortie, mais des rumeurs pointeraient vers une publication en 2026. Cependant, il ne faut pas oublier que c’est Xbox Game Studios à l’édition, alors on n’est pas à l’abri d’une annulation surprise pour maintenir les quotas de licenciements l’année prochaine. En attendant, vous pouvez toujours l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam s’il vous intéresse.

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Une démo pour Fracture Point, un petit extraction shooter solo pas inintéressant

Il y a quelques jours, l’unique développeur de Fracture Point, une sorte de roguelite et extraction shooter en solo, a sorti une démo de son jeu. Les précédentes présentations laissaient entrevoir un gameplay assez violent, mais parfois un peu brouillon, avec des effets visuels empêchant un peu de lire l’action. Néanmoins, il paraissait plutôt intéressant, alors on a essayé la démo.

Graphiquement, on sent que c’est un peu amateur : ce n’est pas très beau, même s’il y a plein d’effets modernes. On a quelques fois du mal à voir où l’on tire, à cause de la fumée qui sort du canon. En revanche, le feeling est assez agréable. Les armes ont de la patate et un bon sound design. Le gameplay, quant à lui, est très classique : on rentre dans un immeuble, et le niveau de difficulté augmente à chaque étage visité. Il y a également plus de chances de trouver du bon loot, qui permettra ensuite d’améliorer compétences et équipement si on ne meurt pas. Le level design est simple, mais efficace, et l’expérience est globalement sympathique. Cela fait un peu penser à Check & Clean pour la partie tactique, mais en plus profond et mieux réalisé.

Si vous voulez voir ce que Fracture Point a dans le ventre, vous pouvez tester la démo en vous rendant sur la fiche Steam du jeu, et l’ajouter à votre liste de souhaits si vous êtes convaincus.

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Un lancement difficile pour Transience, le FPS d’action/infiltration de BigfryTV

Le 4 décembre, Transience, l’aboutissement de trois ans de travail de l’influenceur BigfryTV et son équipe, est sorti sur Steam. On vous en parle maintenant depuis un moment : c’est un jeu d’action/infiltration fortement inspiré des titres solo d’il y a 15 ou 20 ans, comme Max Payne ou Splinter Cell. On nous promet des gadgets, mais également des bons gunfights, qu’on imagine qualitatifs vu le passif du créateur du projet. En effet, depuis de nombreuses années, il teste des jeux – principalement des FPS –, et ne mâche pas ses mots quand c’est nul. On suppose donc qu’il a acquis une certaine expertise en la matière, et qu’il sait ce qu’il faut faire, et surtout, ce qu’il ne faut pas faire.

Malheureusement, il semblerait que quelques problèmes majeurs soient passés entre les mailles du filet, car 24 heures après la sortie, les avis Steam sont mitigés : seulement 59 % des avis sont positifs. Les critiques pointent du doigt des incohérences dans les visuels, qui oscillent entre plutôt corrects et absolument dégueulasses. Lors des cinématiques, par exemple, on se croirait propulsé dans les années 2010, principalement à cause des visages. Du côté de la narration, beaucoup ont envie de frapper la tête de notre personnage contre tous les murs possibles pour qu’il ferme enfin sa grande gueule. C’est hélas impossible, puisque Bigfry explique qu’ils ont voulu faire une sorte de monologue à la Max Payne tout au long du jeu. La différence, c’est que dans Max Payne, il ne causait quasiment que dans les cutscenes. Un autre point très négatif remonté est l’attitude complètement débile des ennemis, en particulier sur la première heure, dans des appartements : ils viennent un à un prendre leur balle dans la tête comme des Lemmings. Dans une vidéo publiée il y a quelques heures, l’influenceur analyse ces critiques et tente d’expliquer les choses. D’après lui, il a fait l’erreur de faire une séquence d’introduction beaucoup trop calme et beaucoup trop longue, ce qui fait que la pleine expérience n’arrive qu’après les deux premières heures.

Il assure que les IA ont un comportement plus intéressant, car ils peuvent se coordonner et contourner le joueur quand les niveaux sont un peu plus ouverts. D’autre part, les développeurs du studio ont déjà publié un premier patch destiné à régler quelques problèmes, notamment le fait que les ennemis pouvaient détecter le joueur, pourtant théoriquement invisible et inaudible. Un peu gênant pour un jeu d’infliltration. Apparemment, certains rencontrent aussi des problèmes de performance, que l’on peut facilement attribuer à l’utilisation de l’Unreal Engine 5, mais qui sont en cours d’investigation au studio Resurgence. De notre côté, on a testé quelques dizaines de minutes pour constater un framerate un peu juste sur une machine d’entrée de gamme, nécessitant de baisser les options graphiques, mais aucun soucis sur un PC équipé d’une carte graphique de bourrin. Il est encore beaucoup trop tôt pour nous prononcer sur le jeu, mais il en ressort tout de même un fort sentiment d’amateurisme, principalement du côté graphique. Le feeling sur les premiers affrontements semble correct, mais il faudra qu’on essaye encore un peu. Et surtout, que l’on expérimente au-delà des niveaux tutoriaux, dans lesquels on n’a pas encore tout notre équipement.

En attendant, si vous voulez vous faire une idée, Transience est à –10 % sur Steam pour sa sortie, soit 17 € jusqu’au 18 décembre. N’hésitez pas à rusher un peu la première mission, histoire de voir si c’est mieux après et savoir si ça vaut le coup de continuer ou de vous faire rembourser !

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FEROCIOUS est sorti, mais comme on s’en doutait, ce n’était pas une bonne idée

Après avoir testé la démo de FEROCIOUS en juin dernier, on s’était dit qu’il y aurait encore quelques années de développement avant de le voir débarquer, vu son état déplorable. Apparemment, l’éditeur TinyBuild n’était pas de cet avis, et a peut-être décidé de couper le robinet à fric, puisqu’il annonçait le mois dernier que le jeu allait arriver le 4 décembre. On n’osait pas trop y croire, car l’ampleur du travail à réaliser, même pour une équipe d’une dizaine de personnes, semblait incompatible avec seulement six mois de crunch. Il faut croire qu’on avait raison, car FEROCIOUS récolte des avis mitigés depuis sa publication hier soir. Seuls 51 % sont positifs, et les joueurs sont globalement d’accord pour dire que ça fait très amateur, dans le mauvais sens du terme. On est bien loin des présentations vidéo qui faisaient penser à une sorte de Far Cry avec des dinos. L’esthétique est étrangement ratée, les animations sont risibles, les ennemis semblent bêtes à manger du foin, le système d’inventaire est apparemment mal branlé et l’interface est très moche.

On s’attendait à une sortie en accès anticipé, mais on doit avouer qu’on n’avait plus suivi le projet de manière assidue depuis la démo. En l’état, on n’a certainement pas envie de tenter l’aventure, puisque FEROCIOUS ne semble pas avoir changé d’un iota depuis qu’on l’avait testé.

Si, au contraire, vous êtes persuadé qu’il peut être intéressant, vous pouvez retrouver FEROCIOUS à –20 % sur Steam pour sa sortie, soit 20 € jusqu’au 18 décembre.

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