US Workers Are Becoming More Stressed About Finances, BofA Survey Shows
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Doucement, mais surement, chaque acteur de l'industrie du semiconducteur se prépare, à son rythme, à l'adoption des EUV High-NA (High Numerical Aperture Extreme Ultraviolet Lithography). Ayant misé beaucoup sur cette évolution technologique, notamment pour son futur procédé 14A, Intel avait été, en...
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Que s’est-il passé dimanche avec l’avion de la présidente de la Commission européenne ? Après l’emballement autour d’un brouillage GPS et le retour à des cartes papier, les données de vol et les communications de l’équipage racontent une histoire un peu (voire très) différente.
Ce dimanche 31 août, Ursula von der Leyen prenait l’avion pour se rendre de l’aéroport de Varsovie-Chopin en Pologne à celui de Plovdiv en Bulgarie. Distance entre les deux aéroports : environ 1 200 km à vol d’oiseau.
La présidente de la Commission européenne volait à bord d’un jet Falcon 900 de Dassault, avec une vitesse de croisière aux alentours de 1 000 km/h. Si on ajoute le décollage et l’atterrissage, il faut prévoir entre 1h30 et 2 h de vol environ.
Le vol devait décoller à 13h30 de Varsovie pour se poser à 16h18 en Bulgarie. Il est arrivé à 17h34, avec certes un peu plus d’une heure de retard sur l’horaire prévu, mais il y a un « détail » important : l’avion est parti à 14h37 de Varsovie, avec donc un peu plus d’une heure de retard là aussi. « Le vol devait durer 1 heure et 48 minutes. Il a duré 1 heure et 57 minutes », résume FlighRadar24.
Pour ceux qui (comme moi) calculent la différence entre l’heure de départ et d’arrivée et qui ne comprennent pas pourquoi il y a 1 h de trop, sachez que la Bulgarie est en UTC+3 alors que la Pologne est en UTC+2. Si la différence entre l’heure locale au départ et à l’arrivée est de 2h58, le temps de vol n’est que de 1h58 avec ce décalage.
FlighRadar24 est un site proposé par la société suédoise Svenska Resenätverket permettant de suivre en direct le déplacement des avions, en se basant sur les données des transpondeurs ADS-B. La société envoie gratuitement des récepteurs aux volontaires. FlightRadar24 revendique actuellement plus de 50 000 récepteurs ADS-B au sol dans le monde. De plus amples informations sont disponibles sur cette page.
Nous sommes donc loin de l’heure à tourner autour de l’aéroport, comme l’indiquaient des « officiels » au Financial Times. Au moment de publier cette actualité, l’article de nos confrères n’a pas été mis à jour depuis lundi (nous laissons la citation en anglais pour éviter toute interprétation) : « “The whole airport area GPS went dark,” said one of the officials. After circling the airport for an hour, the plane’s pilot took the decision to land the plane manually using analogue maps, they added ».
Fait troublant, le journaliste du FT qui a signé l’article, Henry Foy, était à bord de l’avion, comme il l’a confirmé dans cette retranscription d’une interview. Sur X, un lecteur du FT affirme l’avoir contacté pour avoir des explications sur ce sujet et, comme réponse, il aurait eu : « Les politiques du FT ne me permettent pas de discuter de la provenance des articles, mais je peux dire une chose dont vous pouvez extrapoler : j’étais également dans l’avion ».
Pour auonsson, si sa déclaration « nous avons tourné en rond pendant une heure » est exacte, « l’explication la plus probable est que la trajectoire que nous avons a été manipulée. Ou que nous avons le mauvais avion ».
La seconde information douteuse vient des « analogue maps », traduites en français par des « cartes papier ». C’est un peu comme si, en voiture, on ressortait les vieilles cartes routières dépliables quand le GPS est en rade. Un changement qui laisse penser à une situation limite dangereuse, causé par des brouillages attribués à la Russie.
Qu’en pensent les experts ? Sur sa chaine YouTube, Pierre-Henri « Até » Chuet propose un « Dbrief du drama » autour du brouillage du Falcon 900 de la présidente de la Commission européenne. On ne peut d’ailleurs que vous conseiller de regarder cette vidéo en entier (elle ne dure que huit minutes).
L’aviation, il connait bien puisqu’il était à la Marine Nationale pendant près de dix ans, dont quatre ans comme chef de patrouille Rafale Marine, selon son compte LinkedIn. Il a maintenant une chaîne dédiée à l’aviation et propose des conseils aux entreprises. Récemment, il a aussi fait parler de lui suite à l’ouverture d’une enquête préliminaire « pour déterminer si les voyages de l’ex-militaire en Chine et les formations qu’il y a dispensées à des pilotes chinois relèvent de la divulgation de secrets militaires », comme l’explique Le Parisien.
Que nous explique-t-il dans sa vidéo ? Il confirme le temps de vol et un souci avec le GPS : « Non, il n’y a pas eu d’attente, il y a eu un changement dans le type d’approche à cause de soucis GPS. On entend clairement l’échange entre l’équipage et le contrôleur » sur ce sujet.
Le pilote demande une approche radar pour un guidage ILS (système d’atterrissage aux instruments), le contrôleur aérien lui propose à la place un guidage toujours aux instruments, mais en « X-ray ». Rien d’exceptionnel pour l’ancien pilote : « vous allez à Arcachon, il n’y a pas de guidage radar pour se poser ».
FlightRadar24 est sur la même longueur d’onde et affirme que, toujours selon les échanges audio avec l’ATC (service de contrôle de la circulation aérienne), « l’équipage est passé de l’approche basée sur le GPS à l’approche ILS, ce qui a nécessité un changement de trajectoire de vol ».
Même son de cloche une nouvelle fois sur le compte X de auonsson (spécialiste des sujets sur les transpondeurs et l’aviation) : « Le pilote de l’avion transportant la présidente von der Leyen a rencontré des problèmes de GPS à l’approche de l’aéroport de Plovdiv, en Bulgarie, le dimanche 31 août. Les enregistrements des communications de la tour et de l’avion sont clairs ».
Pilot of the aircraft carrying president von der Leyen experienced GPS issues as they approached Plovdiv airport, Bulgaria Sun Aug 31.
— auonsson (@auonsson) September 2, 2025
Recordings of tower and plane comms are clear.
Transponder reported good GPS-signal and is likely separate from the instrument pilots used. pic.twitter.com/STHERzcDdX
Et, encore pareil chez Feit of fake, qui se base aussi sur les communications avec le contrôle aérien (qui sont diffusées en clair et qu’il a archivées). Le site donne de plus amples détails sur le déroulement de l’approche (la Bulgarie est pour rappel en UTC+3) :
« En bref : les pilotes n’ont pas eu recours aux cartes papier. Ils ont opté pour des systèmes de navigation radio standard (VOR et ILS), qui restent des procédures de secours courantes dans le monde entier », affirme notre confrère, exactement comme Pierre-Henri Chuet. Feit of fake publie aussi des extraits des conversations.
Le Bulgaria’s Government Information Service (BGIS) confirme aussi le changement d’approche pour l’atterrissage : « l’Autorité bulgare des services de la circulation aérienne a immédiatement proposé une méthode d’atterrissage alternative utilisant des aides à la navigation au sol (atterrissage aux instruments) », comme le rapporte la Bulgarian News Agency.
Le changement d’approche ne fait pas de doute, mais qu’en est-il des causes du brouillage GPS ? C’est un autre sujet, mais qui n’est pas nouveau. Les brouillages sont monnaie courante depuis la guerre en Ukraine.
Le site GPSJAM propose d’ailleurs une carte journalière des brouillages GPS, avec trois niveaux d’intensité des interférences. À la date du 31 août, la zone de Plovdiv (en Bulgarie) était en vert, mais très proche de zones en jaune.
« Nous pouvons confirmer que c’était un brouillage GPS, mais l’avion s’est posé en toute sécurité en Bulgarie. Nous avons reçu des informations des autorités bulgares. D’après elles, ce seraient des interférences manifestes de la Russie », expliquait lundi Arianna Podesta, porte-parole d’Ursula von der Leyen.
« C’était un vol charter » (c’est-à-dire un avion affrété de manière ponctuelle), précise la porte-parole, sans plus de précision. À la question de savoir si l’avion de la présidente de la Commission était spécifiquement ciblé, elle répond simplement : « c’est une question qu’il faut poser aux Russes ». La Commission rappelle que « ces activités de brouillage sont assez fréquentes, notamment sur le plan oriental de l’Europe ».
Sur Bluesky, le compte auonsson (le même que précédemment) explique que tous les avions aux alentours de celui de la présidente, sauf un, avaient de « bonnes valeurs de positions ». Cela renforcerait donc l’idée que le « brouillage visait spécifiquement von der Leyen ». Aucune confirmation pour le moment sur ce point précis.
Pour résumer, l’avion n’a pas tourné pendant une heure et les pilotes ne sont pas revenus à l’age de pierre à devoir sortir des cartes papier pour atterrir en catastrophe ou presque. Toutes les données de vol, ainsi et les communications entre les pilotes et la circulation aérienne Bulgare, vont dans ce sens.
Pouvoir suivre à la trace des avions avec des personnalités soulève des inquiétudes chez certains, notamment en Italie qui envisagerait de « dissimuler » certains vols pour éviter ce genre de mésaventure : « l’avion du Premier ministre italien a été retiré de Flightradar24, l’une des applications les plus utilisées pour fournir des données en temps réel sur les mouvements d’avions, mais il reste visible sur des sites équivalents. Pour des raisons de sécurité, les autorités envisagent désormais de « protéger les vols transportant le Premier ministre et les ministres du cabinet de toutes ces plateformes » », explique The Guardian.
Certains se servent également des données de FlightRadar24 et autres sites du genre pour suivre les déplacements de certaines personnalités (et accessoirement milliardaires), notamment Elon Musk et Bernard Arnault pour ne citer qu’eux.
Que s’est-il passé dimanche avec l’avion de la présidente de la Commission européenne ? Après l’emballement autour d’un brouillage GPS et le retour à des cartes papier, les données de vol et les communications de l’équipage racontent une histoire un peu (voire très) différente.
Ce dimanche 31 août, Ursula von der Leyen prenait l’avion pour se rendre de l’aéroport de Varsovie-Chopin en Pologne à celui de Plovdiv en Bulgarie. Distance entre les deux aéroports : environ 1 200 km à vol d’oiseau.
La présidente de la Commission européenne volait à bord d’un jet Falcon 900 de Dassault, avec une vitesse de croisière aux alentours de 1 000 km/h. Si on ajoute le décollage et l’atterrissage, il faut prévoir entre 1h30 et 2 h de vol environ.
Le vol devait décoller à 13h30 de Varsovie pour se poser à 16h18 en Bulgarie. Il est arrivé à 17h34, avec certes un peu plus d’une heure de retard sur l’horaire prévu, mais il y a un « détail » important : l’avion est parti à 14h37 de Varsovie, avec donc un peu plus d’une heure de retard là aussi. « Le vol devait durer 1 heure et 48 minutes. Il a duré 1 heure et 57 minutes », résume FlighRadar24.
Pour ceux qui (comme moi) calculent la différence entre l’heure de départ et d’arrivée et qui ne comprennent pas pourquoi il y a 1 h de trop, sachez que la Bulgarie est en UTC+3 alors que la Pologne est en UTC+2. Si la différence entre l’heure locale au départ et à l’arrivée est de 2h58, le temps de vol n’est que de 1h58 avec ce décalage.
FlighRadar24 est un site proposé par la société suédoise Svenska Resenätverket permettant de suivre en direct le déplacement des avions, en se basant sur les données des transpondeurs ADS-B. La société envoie gratuitement des récepteurs aux volontaires. FlightRadar24 revendique actuellement plus de 50 000 récepteurs ADS-B au sol dans le monde. De plus amples informations sont disponibles sur cette page.
Nous sommes donc loin de l’heure à tourner autour de l’aéroport, comme l’indiquaient des « officiels » au Financial Times. Au moment de publier cette actualité, l’article de nos confrères n’a pas été mis à jour depuis lundi (nous laissons la citation en anglais pour éviter toute interprétation) : « “The whole airport area GPS went dark,” said one of the officials. After circling the airport for an hour, the plane’s pilot took the decision to land the plane manually using analogue maps, they added ».
Fait troublant, le journaliste du FT qui a signé l’article, Henry Foy, était à bord de l’avion, comme il l’a confirmé dans cette retranscription d’une interview. Sur X, un lecteur du FT affirme l’avoir contacté pour avoir des explications sur ce sujet et, comme réponse, il aurait eu : « Les politiques du FT ne me permettent pas de discuter de la provenance des articles, mais je peux dire une chose dont vous pouvez extrapoler : j’étais également dans l’avion ».
Pour auonsson, si sa déclaration « nous avons tourné en rond pendant une heure » est exacte, « l’explication la plus probable est que la trajectoire que nous avons a été manipulée. Ou que nous avons le mauvais avion ».
La seconde information douteuse vient des « analogue maps », traduites en français par des « cartes papier ». C’est un peu comme si, en voiture, on ressortait les vieilles cartes routières dépliables quand le GPS est en rade. Un changement qui laisse penser à une situation limite dangereuse, causé par des brouillages attribués à la Russie.
Qu’en pensent les experts ? Sur sa chaine YouTube, Pierre-Henri « Até » Chuet propose un « Dbrief du drama » autour du brouillage du Falcon 900 de la présidente de la Commission européenne. On ne peut d’ailleurs que vous conseiller de regarder cette vidéo en entier (elle ne dure que huit minutes).
L’aviation, il connait bien puisqu’il était à la Marine Nationale pendant près de dix ans, dont quatre ans comme chef de patrouille Rafale Marine, selon son compte LinkedIn. Il a maintenant une chaîne dédiée à l’aviation et propose des conseils aux entreprises. Récemment, il a aussi fait parler de lui suite à l’ouverture d’une enquête préliminaire « pour déterminer si les voyages de l’ex-militaire en Chine et les formations qu’il y a dispensées à des pilotes chinois relèvent de la divulgation de secrets militaires », comme l’explique Le Parisien.
Que nous explique-t-il dans sa vidéo ? Il confirme le temps de vol et un souci avec le GPS : « Non, il n’y a pas eu d’attente, il y a eu un changement dans le type d’approche à cause de soucis GPS. On entend clairement l’échange entre l’équipage et le contrôleur » sur ce sujet.
Le pilote demande une approche radar pour un guidage ILS (système d’atterrissage aux instruments), le contrôleur aérien lui propose à la place un guidage toujours aux instruments, mais en « X-ray ». Rien d’exceptionnel pour l’ancien pilote : « vous allez à Arcachon, il n’y a pas de guidage radar pour se poser ».
FlightRadar24 est sur la même longueur d’onde et affirme que, toujours selon les échanges audio avec l’ATC (service de contrôle de la circulation aérienne), « l’équipage est passé de l’approche basée sur le GPS à l’approche ILS, ce qui a nécessité un changement de trajectoire de vol ».
Même son de cloche une nouvelle fois sur le compte X de auonsson (spécialiste des sujets sur les transpondeurs et l’aviation) : « Le pilote de l’avion transportant la présidente von der Leyen a rencontré des problèmes de GPS à l’approche de l’aéroport de Plovdiv, en Bulgarie, le dimanche 31 août. Les enregistrements des communications de la tour et de l’avion sont clairs ».
Pilot of the aircraft carrying president von der Leyen experienced GPS issues as they approached Plovdiv airport, Bulgaria Sun Aug 31.
— auonsson (@auonsson) September 2, 2025
Recordings of tower and plane comms are clear.
Transponder reported good GPS-signal and is likely separate from the instrument pilots used. pic.twitter.com/STHERzcDdX
Et, encore pareil chez Feit of fake, qui se base aussi sur les communications avec le contrôle aérien (qui sont diffusées en clair et qu’il a archivées). Le site donne de plus amples détails sur le déroulement de l’approche (la Bulgarie est pour rappel en UTC+3) :
« En bref : les pilotes n’ont pas eu recours aux cartes papier. Ils ont opté pour des systèmes de navigation radio standard (VOR et ILS), qui restent des procédures de secours courantes dans le monde entier », affirme notre confrère, exactement comme Pierre-Henri Chuet. Feit of fake publie aussi des extraits des conversations.
Le Bulgaria’s Government Information Service (BGIS) confirme aussi le changement d’approche pour l’atterrissage : « l’Autorité bulgare des services de la circulation aérienne a immédiatement proposé une méthode d’atterrissage alternative utilisant des aides à la navigation au sol (atterrissage aux instruments) », comme le rapporte la Bulgarian News Agency.
Le changement d’approche ne fait pas de doute, mais qu’en est-il des causes du brouillage GPS ? C’est un autre sujet, mais qui n’est pas nouveau. Les brouillages sont monnaie courante depuis la guerre en Ukraine.
Le site GPSJAM propose d’ailleurs une carte journalière des brouillages GPS, avec trois niveaux d’intensité des interférences. À la date du 31 août, la zone de Plovdiv (en Bulgarie) était en vert, mais très proche de zones en jaune.
« Nous pouvons confirmer que c’était un brouillage GPS, mais l’avion s’est posé en toute sécurité en Bulgarie. Nous avons reçu des informations des autorités bulgares. D’après elles, ce seraient des interférences manifestes de la Russie », expliquait lundi Arianna Podesta, porte-parole d’Ursula von der Leyen.
« C’était un vol charter » (c’est-à-dire un avion affrété de manière ponctuelle), précise la porte-parole, sans plus de précision. À la question de savoir si l’avion de la présidente de la Commission était spécifiquement ciblé, elle répond simplement : « c’est une question qu’il faut poser aux Russes ». La Commission rappelle que « ces activités de brouillage sont assez fréquentes, notamment sur le plan oriental de l’Europe ».
Sur Bluesky, le compte auonsson (le même que précédemment) explique que tous les avions aux alentours de celui de la présidente, sauf un, avaient de « bonnes valeurs de positions ». Cela renforcerait donc l’idée que le « brouillage visait spécifiquement von der Leyen ». Aucune confirmation pour le moment sur ce point précis.
Pour résumer, l’avion n’a pas tourné pendant une heure et les pilotes ne sont pas revenus à l’age de pierre à devoir sortir des cartes papier pour atterrir en catastrophe ou presque. Toutes les données de vol, ainsi et les communications entre les pilotes et la circulation aérienne Bulgare, vont dans ce sens.
Pouvoir suivre à la trace des avions avec des personnalités soulève des inquiétudes chez certains, notamment en Italie qui envisagerait de « dissimuler » certains vols pour éviter ce genre de mésaventure : « l’avion du Premier ministre italien a été retiré de Flightradar24, l’une des applications les plus utilisées pour fournir des données en temps réel sur les mouvements d’avions, mais il reste visible sur des sites équivalents. Pour des raisons de sécurité, les autorités envisagent désormais de « protéger les vols transportant le Premier ministre et les ministres du cabinet de toutes ces plateformes » », explique The Guardian.
Certains se servent également des données de FlightRadar24 et autres sites du genre pour suivre les déplacements de certaines personnalités (et accessoirement milliardaires), notamment Elon Musk et Bernard Arnault pour ne citer qu’eux.
Hollow Knight : Silksong, le jeu le plus wishlisté sur Steam arrive demain 4 Septembre. Ça, on le savait déjà, mais maintenant on a le prix, 19.99 euros, et l'heure de lancement : 16H00 ! On ne peut que saluer le choix de Team Cherry d'avoir maintenu un prix contenu à 19,99 U+20AC, une décision qui témoigne de leur confiance dans le succès de Silksong. Plutôt que de céder à l'inflation galopante des tarifs imposés par l'industrie, le studio assume une approche qui favorise l'accessibilité. Rappelons que la Team Cherry, c'est une équipe de seulement trois personnes : Ari Gibson (game design, direction artistique), William Pellen (systèmes, ennemis, comportements) et Jack Vine (programmation) qui se sont consacré au développement de ce jeu pendant 7 ans, ce qui correspond au double du temps consacré à Hollow Knight (environ 3,5 ans). […]
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