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Sur Steam, la part de marché de Linux franchit pour la première fois les 3 %

Manchots vénères
Sur Steam, la part de marché de Linux franchit pour la première fois les 3 %

Pour la première fois, les systèmes Linux ont dépassé les 3 % de parts de marché dans les enquêtes Steam. La plateforme a des arguments de plus en plus forts, comme illustré récemment dans un remplacement de Windows 11 par Linux sur Xbox Ally.

3,05 % pour Linux ? Le chiffre peut n’avoir l’air de rien, mais il reste une étape significative dans les changements d’habitude. Comme relevé notamment par Phoronix, il s’agit d’une progression d’un point en un an. Cependant, l’évolution mensuelle est encore plus intéressante, Linux ayant gagné 0,37 point entre septembre et octobre.

SteamOS sur plus d’un quart des configurations

Une accélération nette dont la fin de support de Windows 10 est probablement l’un des principaux facteurs. Sur la même période, Windows a perdu 0,56 point :- 1,04 point pour Windows 10 et + 0,53 point pour Windows 11. Curieusement, Windows 7 a gagné 0,02 point sur le dernier mois.

Et dans ces statistiques fournies par Valve, quelle est la distribution la plus utilisée ? Sans surprise, il s’agit de Steam OS, le système fourni avec la console portable Steam Deck, avec 27,18 % sur octobre. On note toutefois que cette part est en baisse de 0,86 point, soit une différence marquée. Si le Steam Deck a clairement bousculé le monde du jeu, la configuration d’un PC sous Linux pour jouer est également devenue simple.

Parmi les autres tirant leur épingle du jeu, on note la présence d’Arch Linux avec 10,32 % et de Linux Mint (6,65 % pour la récente version 22.2 et 2,56 % pour la 22.1). Comme on peut le voir dans le tableau fourni par Valve, de nombreuses distributions affichent une croissance dans leur nombre d’utilisateurs.

Cependant, les chiffres donnés par l’entreprise ne sont pas toujours pratiques à cause de séparations assez artificielles. Par exemple, il y a deux scores séparés pour Fedora 42 selon que l’on utilise la version Workstation avec GNOME ou la mouture KDE. On trouve aussi des parts de marché pour des « Freedesktop SDK », qui est un composant et ne renvoie (a priori) vers une distribution spécifique.

Linux plus fort que Windows ?

Le score de Linux illustre cependant un sujet grandissant autour du jeu vidéo sur cette plateforme, comme nous l’avons encore vu récemment. On pourrait également parler d’une hausse de l’émulation autour de cette thématique avec l’apparition cet été d’une distribution française centrée sur le jeu vidéo, GLF OS. Elle rejoindra peut-être dans l’avenir des distributions plus anciennes sur le même créneau, surtout Bazzite (4,24 %) et CachyOS (6,01 %).

Cette orientation performances pour des distributions spécialisées a d’ailleurs été illustrée le 29 octobre par The Verge. Nos confrères se sont amusés à remplacer Windows 11 par Bazzite sur la console portable Xbox Ally. Résultats des courses : des performances en hausse de 15 à 30 % dans la plupart des tests, une différence plus que significative. La console s’est même payé le luxe d’avoir une meilleure autonomie avec Linux.

Comme toujours dans ce genre de test, ces résultats ne peuvent pas être généralisés, les différences étant apparues sur un matériel spécifique. Ils invitent cependant les utilisateurs à réfléchir à leurs usages, le jeu vidéo étant considéré comme l’un des bastions de Windows. L’enthousiasme généré par la couche Proton de Valve (basée sur Wine) est bien là et continue de se traduire dans les chiffres. Pas de quoi encore tirer la sonnette d’alarme chez Microsoft, mais l’évolution est à suivre de près.

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Sur Steam, la part de marché de Linux franchit pour la première fois les 3 %

Manchots vénères
Sur Steam, la part de marché de Linux franchit pour la première fois les 3 %

Pour la première fois, les systèmes Linux ont dépassé les 3 % de parts de marché dans les enquêtes Steam. La plateforme a des arguments de plus en plus forts, comme illustré récemment dans un remplacement de Windows 11 par Linux sur Xbox Ally.

3,05 % pour Linux ? Le chiffre peut n’avoir l’air de rien, mais il reste une étape significative dans les changements d’habitude. Comme relevé notamment par Phoronix, il s’agit d’une progression d’un point en un an. Cependant, l’évolution mensuelle est encore plus intéressante, Linux ayant gagné 0,37 point entre septembre et octobre.

SteamOS sur plus d’un quart des configurations

Une accélération nette dont la fin de support de Windows 10 est probablement l’un des principaux facteurs. Sur la même période, Windows a perdu 0,56 point :- 1,04 point pour Windows 10 et + 0,53 point pour Windows 11. Curieusement, Windows 7 a gagné 0,02 point sur le dernier mois.

Et dans ces statistiques fournies par Valve, quelle est la distribution la plus utilisée ? Sans surprise, il s’agit de Steam OS, le système fourni avec la console portable Steam Deck, avec 27,18 % sur octobre. On note toutefois que cette part est en baisse de 0,86 point, soit une différence marquée. Si le Steam Deck a clairement bousculé le monde du jeu, la configuration d’un PC sous Linux pour jouer est également devenue simple.

Parmi les autres tirant leur épingle du jeu, on note la présence d’Arch Linux avec 10,32 % et de Linux Mint (6,65 % pour la récente version 22.2 et 2,56 % pour la 22.1). Comme on peut le voir dans le tableau fourni par Valve, de nombreuses distributions affichent une croissance dans leur nombre d’utilisateurs.

Cependant, les chiffres donnés par l’entreprise ne sont pas toujours pratiques à cause de séparations assez artificielles. Par exemple, il y a deux scores séparés pour Fedora 42 selon que l’on utilise la version Workstation avec GNOME ou la mouture KDE. On trouve aussi des parts de marché pour des « Freedesktop SDK », qui est un composant et ne renvoie (a priori) vers une distribution spécifique.

Linux plus fort que Windows ?

Le score de Linux illustre cependant un sujet grandissant autour du jeu vidéo sur cette plateforme, comme nous l’avons encore vu récemment. On pourrait également parler d’une hausse de l’émulation autour de cette thématique avec l’apparition cet été d’une distribution française centrée sur le jeu vidéo, GLF OS. Elle rejoindra peut-être dans l’avenir des distributions plus anciennes sur le même créneau, surtout Bazzite (4,24 %) et CachyOS (6,01 %).

Cette orientation performances pour des distributions spécialisées a d’ailleurs été illustrée le 29 octobre par The Verge. Nos confrères se sont amusés à remplacer Windows 11 par Bazzite sur la console portable Xbox Ally. Résultats des courses : des performances en hausse de 15 à 30 % dans la plupart des tests, une différence plus que significative. La console s’est même payé le luxe d’avoir une meilleure autonomie avec Linux.

Comme toujours dans ce genre de test, ces résultats ne peuvent pas être généralisés, les différences étant apparues sur un matériel spécifique. Ils invitent cependant les utilisateurs à réfléchir à leurs usages, le jeu vidéo étant considéré comme l’un des bastions de Windows. L’enthousiasme généré par la couche Proton de Valve (basée sur Wine) est bien là et continue de se traduire dans les chiffres. Pas de quoi encore tirer la sonnette d’alarme chez Microsoft, mais l’évolution est à suivre de près.

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Linux 6.19 To Support Microsoft's ACPI Fan Extensions

A few weeks back I reported on Linux kernel patches surfacing for implementing Microsoft's AC{I Fan Extensions. This should help some HP devices and hardware from other OEMs for obtaining fan information reporting under Linux. The good news now is that the patches should be part of the upcoming Linux 6.19 kernel cycle...
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Bon Plan : STASIS offert par GOG

Bonne nouvelle, le jeu STASIS offert par GOG et qui dit GOG, dit free DRM ! L'ajout se passe ici, vous avez deux heures pour le faire. STASIS est un jeu d'aventure-horreur et de science-fiction en point-and-click, bénéficiant d'une perspective isométrique unique. STASIS mêle un scénario terrifiant à un gameplay d'aventure un brin rétro. Associez des objets, interagissez avec des ordinateurs et résolvez des énigmes dans une atmosphère réaliste. Dans un futur proche, John Maracheck se réveille d'une stase dans un vaisseau spatial visiblement abandonné. Il doit repousser ses limites physiques et émotionnelles pour résoudre les mystères qui l'entourent. […]

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Un nouveau voyage pour la team CCL !

Aujourd'hui, une partie de la team CCL, la meilleure dirait certains, est partie pour un nouveau périple, au programme de nombreux rendez-vous avec des constructeurs, pour produire du contenu exclusif (articles et vidéo) ! […]

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PHILIPS Evnia 49M2C8900 : le bureau n'était pas prêt !

Aujourd'hui, nous découvrons en vidé, un nouvel écran, un certain PHILIPS Evnia 49M2C8900 et clairement notre bureau n'était pas prêt ! Présentation du PHILIPS Evnia 49M2C8900, un écran de 49 pouces au format 32:9. Il embarque une dalle QD-OLED en 5120 x 1440 pixels, capable de monter jusqu'à 240 Hz, avec la prise en charge de l'AMD FreeSync et du G-Sync Compatible de chez NVIDIA. Il affiche 1,07 milliard de couleurs et couvre 100 % de l'espace colorimétrique sRGB, le tout calibré en usine par PHILIPS. Comme tout OLED, son taux de contraste atteint 1 500 000:1, avec un temps de réponse ultra-rapide de 0,03 ms. Sa luminosité monte à 250 cd/m² en SDR, avec des pics à 1000 cd/m², ce qui lui permet de décrocher la certification HDR 400 True Black. Cet écran Ambiglow est proposé au prix de 1250 U+20AC. […]

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Edito • Quelle Paris Games Week pour les amateurs de hardware ?

Si nous autres journaleux avons le privilège de poser nos mimines sur une bonne partie du matériel informatique (et surtout, une assez grande liberté dans le choix desdits composants), cela est loin d’être une généralité. Pour le grand public, tester du nouveau matériel ne s’effectue qu’après achat...

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☕️ Bluesky : 40 millions d’utilisateurs et un bouton « je n’aime pas » en test

Vendredi 31 octobre, Bluesky a annoncé avoir atteint la barre des 40 millions d’utilisateurs. Le réseau social dirigé par Jay Graber a multiplié par 2,5 son volume d’usagers depuis la mi-novembre 2024. À l’époque, le réseau était notamment porté par l’interdiction de X au Brésil et la réaction d’électeurs démocrates face à la victoire de Donald Trump lors des élections présidentielles aux États-Unis et le soutien d’Elon Musk, patron de X.

Logo de Bluesky

Le réseau semble vouloir drainer un public plus large encore. Dans un billet de blog publié le même jour, Bluesky affirme vouloir « des échanges amusants, authentiques et respectueux qui permettent de nouer des amitiés, et nous prenons des mesures pour y parvenir », alors que le réseau a essuyé récemment des critiques à propos de sa non-modération et de sa prise à la légère de propos anti trans.

Bluesky annonce dans ce billet qu’il va tester un bouton « dislike » (je n’aime pas) qui doit « aider le système à comprendre quels types de publications vous préférez voir moins souvent ». Beaucoup de réseaux sociaux ont déjà testé ce genre de fonctionnalités. Si l’option « je n’aime pas » peut être utilisée contre le harcèlement, on a pu voir sur YouTube des harceleurs la détourner en faisant du « dislike bombing », poussant la plateforme à cacher le nombre de pouces baissés à ses utilisateurs.

Dans ce nouveau système, Bluesky assure que les dislikes doivent « aider système à comprendre les types de publications que vous préférez voir moins souvent ». « Ils peuvent également influencer légèrement le classement des réponses, réduisant ainsi la visibilité des réponses de mauvaise qualité », explique encore la plateforme. « Les mentions « dislike » sont privées et leur signal n’est pas global : elles affectent principalement votre propre expérience et, dans une certaine mesure, celle des autres membres de votre réseau social », précise-t-elle.

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☕️ Bluesky : 40 millions d’utilisateurs et un bouton « je n’aime pas » en test

Vendredi 31 octobre, Bluesky a annoncé avoir atteint la barre des 40 millions d’utilisateurs. Le réseau social dirigé par Jay Graber a multiplié par 2,5 son volume d’usagers depuis la mi-novembre 2024. À l’époque, le réseau était notamment porté par l’interdiction de X au Brésil et la réaction d’électeurs démocrates face à la victoire de Donald Trump lors des élections présidentielles aux États-Unis et le soutien d’Elon Musk, patron de X.

Logo de Bluesky

Le réseau semble vouloir drainer un public plus large encore. Dans un billet de blog publié le même jour, Bluesky affirme vouloir « des échanges amusants, authentiques et respectueux qui permettent de nouer des amitiés, et nous prenons des mesures pour y parvenir », alors que le réseau a essuyé récemment des critiques à propos de sa non-modération et de sa prise à la légère de propos anti trans.

Bluesky annonce dans ce billet qu’il va tester un bouton « dislike » (je n’aime pas) qui doit « aider le système à comprendre quels types de publications vous préférez voir moins souvent ». Beaucoup de réseaux sociaux ont déjà testé ce genre de fonctionnalités. Si l’option « je n’aime pas » peut être utilisée contre le harcèlement, on a pu voir sur YouTube des harceleurs la détourner en faisant du « dislike bombing », poussant la plateforme à cacher le nombre de pouces baissés à ses utilisateurs.

Dans ce nouveau système, Bluesky assure que les dislikes doivent « aider système à comprendre les types de publications que vous préférez voir moins souvent ». « Ils peuvent également influencer légèrement le classement des réponses, réduisant ainsi la visibilité des réponses de mauvaise qualité », explique encore la plateforme. « Les mentions « dislike » sont privées et leur signal n’est pas global : elles affectent principalement votre propre expérience et, dans une certaine mesure, celle des autres membres de votre réseau social », précise-t-elle.

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Datacenters, IA : comprendre l’empreinte environnementale et les enjeux écologiques

Et le BOM ? Bullshit-O-Mètre
Datacenters, IA : comprendre l’empreinte environnementale et les enjeux écologiques

Dans nos précédents articles, nous avons expliqué ce qu’était un serveur, puis une baie (ou un rack) et enfin un datacenter. Nous étions restés sur des considérations purement matérielles. L’éléphant dans la pièce est bien évidemment la question environnementale, avec la consommation en eau, en électricité et les émissions carbones.

Autant les exploitants de datacenters peuvent être prolixes quand il s’agit de promettre monts et merveilles sur les avantages du cloud et de l’IA, autant le mutisme s’installe rapidement (surtout chez les géants américains) sur les consommations et émissions de gaz à effet de serre. Même quand ils communiquent, il faut se méfier du périmètre des indicateurs.

Nous allons parler du PUE (Power Usage Effectiveness, ou Indicateur d’efficacité énergétique en français) qui représente l’efficacité énergétique, mais ne donne pas d’indication sur les émissions carbone liées. Suivant les pays, un PUE identique ne signifie pas du tout la même chose ! La France par exemple utilise beaucoup de nucléaire dans son mix énergétique, alors que les États-Unis et la Pologne par exemple vont utiliser du charbon pour produire de l’électricité.

Nous parlerons ensuite de WUE (Water Usage Effectiveness, indicateur d’efficacité d’utilisation de l’eau), qui permet d’avoir un rapport entre la quantité d’eau utilisée et l’énergie électrique consommée. Comme pour l’électricité, la position géographique a son importance, notamment pour prendre en compte d’éventuelles tensions hydriques, d’autant plus avec le réchauffement climatique qui vient rebattre les cartes.

Le troisième gros morceau concerne le CUE (Carbon Usage Effectiveness, indicateur d’efficacité d’utilisation du carbone) qui mesure l’empreinte carbone du datacenter en fonction de sa consommation d’énergie. Mais là encore, rien n’est simple et pour un même datacenter le CUE peut fortement varier suivant un paramètre. Doit-on prendre en compte l’électricité réellement consommée ou bien l’électricité renouvelable virtuellement achetée à coup de contrats d’approvisionnement ?

Next vous explique tout cela en détail.

Consommation électrique et PUE

Quand on parle électricité, on saute généralement trop vite sur la consommation, en laissant de côté les sources et le mix énergétique. C’est pourtant un élément très important.


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Fuite chez MSI, une B760MPOWER mATX en préparation : BCLK OC et DDR5 musclée au programme

Une nouvelle MPOWER chez MSI a fuité. Après la Z790MPOWER puis la B850MPOWER que nous avons à la rédaction, un autre modèle sur socket LGA1700 serait en préparation : la B760MPOWER. Malheureusement, comme les autres, rien ne nous permet de penser qu'elle sortira du marché asiatique. Pour rappel, les cartes mères MPOWER de MSI disposent de tout l'attirail destiné aux overclockeurs, dont un générateur d'horloge externe (OC Engine) pour affiner le BCLK sans dépendre du CPU ou du chipset. C'est aussi pourquoi la carte ne possède que deux slots mémoire. Ce n'est pas une erreur de design, ni un moyen de faire baisser les coûts : c'est bel et bien volontaire pour optimiser l'intégrité du signal et viser les très meilleures fréquences. A priori, pas de soucis pour faire tourner des kits à 8000 MT/s. […]

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Internet suppose l'arrivée de nouveaux écrans AOC grâce à une petite fuite

Il ne faut parfois pas grand-chose pour faire une news, surtout si la fuite est intéressante. Mais dans le cas d'AOC, on serait plutôt sur une fuite digne d'un dégât des eaux. Celle-ci laisserait entendre l'arrivée de six nouveaux écrans, dont certains pourraient proposer du 1000 Hz ou encore une double définition en 5K / QHD. On parlerait ainsi de six modèles potentiels pour la gamme AGON en 2026, avec notamment un écran TN de 24 pouces qui pourrait monter jusqu'à 400 Hz, ainsi qu'un modèle UHD en 27 pouces à 160 Hz, qui serait capable d'optimiser l'image via l'IA. […]

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GTBox propose à son tour « sa version » du MiniPC Boombox

Rien de vraiment original et pour cause, le MiniPC Boombox de GTBox n’est pas l’œuvre de la marque, mais bien un clone pur et simple du modèle dont nous parlions ici le 23 octobre dernier. Vous avez été plusieurs à le signaler.

MiniPC Boombox

Toujours aussi original dans l’idée, toujours aussi peu recommandable dans la réalisation. Ce modèle de MiniPC Boombox signé GTBox sort de la même usine que le modèle précédent. La marque se sert d’ailleurs exactement du même matériel graphique fourni probablement par le véritable concepteur de l’engin. Ces usines ont leur propre département marketing qui va fournir des rendus 3D avec le logo de son choix comme ils fournissent également des étiquettes, des documentations et des emballages avec n’importe quel logo.

Un MiniPC Boombox en forme d'enceinte de la marque "Brand" :D

Un MiniPC Boombox en forme d’enceinte de la marque « Brand » :D

Mon avis ne change pas d’un poil, si c’est amusant sur le papier et si l’idée est à creuser, il ne faut pas céder à cette idée d’un PC jetable. Les composants sont toujours scellés dans la boite et la moindre intervention technique empêchera de remonter le boitier.

Le prix est en « baisse« . Les premiers tarifs autour de ce MiniPC Boombox étaient délirants avec des options entre 700 et 1000€ pour des engins sous Ryzen 7 8745HS en 16/512 Go. La version « GTBox » en 32Go / 1 To est à 549.99$ HT soit 477€ et 572€ avec 20% de TVA. Cela reste très cher face à un bon MiniPC classique équipé de la même manière et démontable.

Chuwi AuBox 8745 : Le MiniPC Ryzen 7 8745HS est dispo à 431€

Le Chuwi AuBox avec un boitier en aluminium, par exemple, est en vente à 431€ avec le même équipement

Firebat MN56, un MiniPC Ryzen 7 8745HS 16/512 Go à 330€

Un MiniPC « noname » équivalent, le Firebat MN56 sous Ryzen 7 8745HS avec le même équipement 16 Go de DDR5 et 512 Go de stockage s sous Windows 11 est à 330€ TTC en importation AliExpress.

Dans tous les cas, il s’agit d’une précommande et je doute que GTBox n’ait encore vu la couleur réelle du produit. Le vrai fabricant propose depuis plusieurs semaines son produit sur catalogue et pour le moment, il s’agit surtout d’appâter le client. Lors de sa disponibilité réelle, les prix devraient rapidement s’écrouler.

Une règle d’or sur le marché du MiniPC : ne jamais précommander un engin noname. Dès que les stocks sont réellement disponibles, les engins arrivent en masse chez des dizaines de revendeurs. Et inévitablement, les prix fondent plus vite qu’un camembert sur la plage arrière d’une voiture laissée sur un parking en plein mois d’août sur la Côte d’Azur.

GTBox propose à son tour « sa version » du MiniPC Boombox © MiniMachines.net. 2025

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☕️ « Mettre à jour et arrêter » : Microsoft répare enfin le bug du redémarrage dans Windows

Quand l’installation d’une mise à jour est terminée dans Windows, on peut choisir de l’appliquer et de redémarrer, ou de l’appliquer et d’éteindre la machine. Dans ce deuxième cas, le système n’en fait qu’à sa tête : il finalise l’installation et redémarre le PC.

C’est un vieux bug que tout le monde a sans doute expérimenté au moins une fois. Il a été introduit avec Windows 10 et Microsoft n’a jamais daigné corriger le problème, sans que l’on sache pourquoi, bien qu’il soit probablement lié à la pile de maintenance dans Windows.

Il se trouve pourtant que le bug a été rectifié dans la récente mise à jour optionnelle KB5067036. Dans la page dédiée, on peut lire tout en bas des notes de version pour Windows : « Amélioration : résolution d’un problème sous-jacent qui peut empêcher l’arrêt de votre PC après la mise à jour dans l’option Mettre à jour et arrêter ».

Malheureusement, ce problème n’est a priori réparé que dans la branche 25H2 de Windows 11. Windows 10, dont le support est maintenant terminé, le gardera. Son support est terminé, mais puisque les utilisateurs européens peuvent souscrire gratuitement à un an de correctifs de sécurité supplémentaires, le bug continuera à se manifester.

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☕️ « Mettre à jour et arrêter » : Microsoft répare enfin le bug du redémarrage dans Windows

Quand l’installation d’une mise à jour est terminée dans Windows, on peut choisir de l’appliquer et de redémarrer, ou de l’appliquer et d’éteindre la machine. Dans ce deuxième cas, le système n’en fait qu’à sa tête : il finalise l’installation et redémarre le PC.

C’est un vieux bug que tout le monde a sans doute expérimenté au moins une fois. Il a été introduit avec Windows 10 et Microsoft n’a jamais daigné corriger le problème, sans que l’on sache pourquoi, bien qu’il soit probablement lié à la pile de maintenance dans Windows.

Il se trouve pourtant que le bug a été rectifié dans la récente mise à jour optionnelle KB5067036. Dans la page dédiée, on peut lire tout en bas des notes de version pour Windows : « Amélioration : résolution d’un problème sous-jacent qui peut empêcher l’arrêt de votre PC après la mise à jour dans l’option Mettre à jour et arrêter ».

Malheureusement, ce problème n’est a priori réparé que dans la branche 25H2 de Windows 11. Windows 10, dont le support est maintenant terminé, le gardera. Son support est terminé, mais puisque les utilisateurs européens peuvent souscrire gratuitement à un an de correctifs de sécurité supplémentaires, le bug continuera à se manifester.

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Pop-corn bis : le 12 VHPWR d'une RX 9070 XT fait encore des siennes !

Notre inconscient a intégré les soucis de connecteur 12 VHPWR à certaines RTX 5090, il faut dire que la carte de NVIDIA a un TGP annoncé à 575 Watts, qui peut être dépassé par certains Bios, très OC ! Mais il n'en est rien, des RX 9070 XT sont également touchées, nous connaissions le cas d'une carte SAPPHIRE, ainsi qu'une carte ASRock, présentement, c'est à nouveau une carte SAPPHIRE qui est concernée, de la gamme Nitro, l'utilisateur a exposé son cas sur Reddit, il y affirme avoir branché l'adaptateur fourni avec la carte et disposer d'une alimentation Corsair RM 1000, ce qui aurait dû être suffisant pour assurer la stabilité de son système... […]

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