Apple Geofences Third-Party Browser Engine Work for EU Devices
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Les 46 États membres du Conseil de l’Europe ont adopté la Convention-cadre sur l’intelligence artificielle, premier traité international juridiquement contraignant en la matière.
Respect de l’autonomie personnelle, obligations de transparence et contrôles adaptés au contexte, obligation de rendre des comptes en cas d’impacts négatifs des systèmes d’intelligence artificielle sur les droits humains, la démocratie ou l’État de droit… Le Conseil de l’Europe a adopté ce 17 mai sa Convention-cadre « sur l’intelligence artificielle et les droits de l’homme, la démocratie et l’État de droit ».
Il s’agit, en matière d’intelligence artificielle, du premier texte d’ampleur internationale qui soit juridiquement contraignant. Le texte a été adopté pendant la réunion ministérielle annuelle du Comité des ministres du Conseil de l’Europe, qui rassemble les ministres des Affaires Étrangères des 46 États membres (parmi lesquels les 27 pays de l’Union, mais aussi des États comme la Suisse, la Norvège ou la Turquie).
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Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com
Sous le doux pseudonyme de unchecked_arrogance, un internaute partage une réalisation originale pour tous les possesseurs de lecteur K7. Si vous avez encore un de ces appareil dans votre chaine Hi-Fi et si vous n’avez plus de K7 à portée de main, sa réalisation pourrait vous intéresser.
L’idée est simple, remplacer le lecteur qui bascule habituellement pour accueillir vos cassettes par un petit écran tactile 4.3″ couleur classique. Celui-ci sera connecté à un Raspberry Pi – ici un 3B+ mais d’autres versions devraient faire l’affaire – et le tout relié à un stockage SSD 2.5″ en USB via un adaptateur SATA3.
Des connecteurs Jack et USB sont placés vers l’arrière du lecteur K7 Sony pour pouvoir y acceder facilement. Une connectique Ethernet est également apportée jusqu’au Raspberry Pi pour compenser la faiblesse du signal Wi-Fi une fois que la carte est enfermée dans le châssis du lecteur. En pratique le module Wi-Fi semble fonctionner sans problèmes mais cela semble plus stable en filaire.
Les ports USB et Ethernet en plus du jack stéréo à l’arrière du lecteur.
Un DAC USB est utilisé pour gérer un son plus propre depuis la Raspberry Pi, une solution de type HAT serait parfaitement envisageable. L’alimentation du Pi est reliée en amont de celle du lecteur Sony pour qu’il puisse fonctionner sans allumer ce dernier.
Le Raspi dans un boitier acrylique, le montage électrique un peu sauvage, les câbles et le SSD
La partie logicielle est confiée à Moode Audio qui permet à la fois de streamer des radios en ligne mais aussi de récupérer des contenus Spotify comme de profiter de streaming locaux en UPnP tout en proposant une fonction Bluetooth. Il est pilotable depuis un réseau local et peut également être manipulé avec l’écran tactile. L’objectif final serait de piloter l’interface avec les boutons du lecteur Sony via les GPIO du Raspberry Pi mais cela demandera encore un peu de temps et de formation.
L’autre jour dans les encombrants je voyais un de ces vieux lecteur cassette au look incroyable des années 90. En métal brossé avec des lampes sous les touches pour piloter un double lecteur K7. Je me disais que ce serait une super solution pour abriter un serveur audio ou vidéo avec plusieurs stockages 2.5″ en SSD. Cette intégration me fait regretter de ne pas l’avoir pris sous le bras.
Ce n’est pourtant pas la première fois qu’un lecteur K7 est hacké sur le blog :
Cassette Pi : une idée de K7 originale pour vos appareils vintage
Un lecteur K7 Sony basculé sous Raspberry Pi © MiniMachines.net. 2024.
Nouvelle mouture pour le noyau Linux, qui passe en version 6.9. Les améliorations sont nombreuses, particulièrement pour le support matériel. On note aussi un meilleur support des écrans 4K et un démarrage plus rapide dans certains.
Les noyaux Linux fournissent l’essentiel du support matériel dans les distributions. On peut bien sûr installer des pilotes dédiés (c’est même souvent le cas avec les GPU NVIDIA), mais c’est bien au « kernel » d’assurer l’exploitation du matériel dans l’immense majorité des cas. Aussi, l’arrivée d’un nouveau noyau permet souvent le support de matériels récents.
Le noyau 6.9 ne fait pas exception et ajoute de nouveaux éléments, notamment pour Intel et AMD.
L’une des principales améliorations concerne les processeurs Zen et la fonction Preferred Core. Celle-ci permet d’orienter certaines tâches vers les cœurs les plus puissants du processeur, le système communiquant avec l’ordonnanceur pour répartir la charge.
Ce support était attendu pour le noyau 6.8 mais n’avait pas eu le temps d’être finalisé. Pour en profiter, il faut que le pilote P-State d’AMD soit installé. Cet ajout est d’autant plus important qu’AMD fournit un nombre croissant de processeurs comprenant des cœurs performants (Zen4) et des cœurs efficaces (Zen4c).
Restons chez AMD avec deux autres nouveautés. D’abord, une meilleure prise en compte de SEV-SNP, l’une des fonctions dévolues à la sécurité cryptographique dans le pack SEV, qui comprend également SEV-ES. Ces fonctions sont présentes dans les puces EPYC et devraient être toutes gérées dans le noyau 6.10. Ensuite, le support du FRU Memory Poison Manager, qui permet aux informations sur les erreurs en mémoire vive de persister entre les redémarrages.
Côté Intel, on note une série de correctifs pour les processeurs Meteor Lake destinés aux ordinateurs portables. Les paramètres Energy Performance Preference ont été ajustés, avec à la clé de meilleures performances. Signalons aussi l’intégration d’Intel FRED (Flexible Return and Event Delivery), dont la mission est de permettre des transitions entre les niveaux de privilèges avec une latence faible.
Enfin, un support plus étendu des instructions x86S, lancées pour rappel il y a un an pour simplifier l’architecture x86 et supprimer le support des systèmes 16 et 32 bits.
L’un des plus gros apports du noyau Linux 6.9 est la prise en charge de polices plus grandes dans FBDEV (frame-buffer device). La largeur maximale passe à 64 et la hauteur à 128. Cela ne vous évoque peut-être rien, mais ce changement permet un bien meilleur support des écrans haute définition, notamment 4K, en cas d’utilisation de la console.
Plusieurs autres améliorations sont présentes, notamment pour le pilote i915 d’Intel, le support du tunneling DisplayPort, ou encore celui de fastboot pour les anciennes plateformes.
Comme toujours, le nouveau noyau propose des ajouts significatifs dans le support de certaines architectures ARM et autres. C’est le cas de RISC-V qui y gagne entre autres la prise en charge des routines cryptographiques à accélération vectorielle.
L’architecture LoongAarch reçoit certaines attentions, elle aussi, dont le support d’objtool, du live-patching (pour appliquer les correctifs du noyau sans redémarrer la machine) ainsi que des fonctions supplémentaires pour la configuration du noyau. Plusieurs nouveautés aussi pour ARM64, dont le support de la compilation Rust dans le noyau.
Côté stockage, signalons l’arrivée d’une grosse nouveauté : la gestion du mode FUSE passthrough. En clair, les opérations de lecture et écriture sont transmises directement par le noyau au système de fichiers de l’espace utilisateur, avec à la clé une amélioration des performances du FS, en évitant de surcharger le daemon. On note aussi des améliorations significatives dans le support de l’exFAT, dont une nette augmentation des performances quand l’option dirsync est activée.
La récupération du nouveau noyau diffère selon la distribution utilisée. Dans la plupart des cas, les distributions classiques (Ubuntu, Fedora…) attendant la version majeure suivante pour livrer une évolution importante du noyau. Dans ce genre de cas, il est conseillé d’attendre, même si des outils permettent le téléchargement et l’installation du nouveau noyau dans sa version générique.
Les autres distributions, en rolling release, proposent déjà ce noyau ou vont le faire très prochainement.
L’association a déposé ce vendredi 17 mai un référé-liberté (pdf) demandant la suspension du blocage de TikTok en Nouvelle-Calédonie décidé par le Premier ministre Gabriel Attal.
Elle estime que « le gouvernement porte un coup inédit et particulièrement grave à la liberté d’expression en ligne, que ni le contexte local ni la toxicité de la plateforme ne peuvent justifier dans un État de droit ».
Comme nous l’évoquions, le décret du 15 mai interdisant TikTok sur le territoire de la Nouvelle-Calédonie s’appuie sur la loi du 3 avril 1955 relative à l’état d’urgence. Elle prévoit que le ministre de l’Intérieur puisse « prendre toute mesure pour assurer l’interruption de tout service de communication au public en ligne provoquant à la commission d’actes de terrorisme ou en faisant l’apologie ».
Dans son communiqué, la Quadrature du Net estime que « personne n’est dupe : en réalité, le blocage de TikTok n’est absolument pas justifié par une quelconque présence sur la plateforme de contenus terroristes, mais bien par le fait qu’il s’agit d’une plateforme centrale dans l’expression en ligne des personnes qui en viennent aujourd’hui à se révolter ».
L’association précise dans son référé qu’elle « lutte de manière ancienne et constante contre le modèle incarné notamment par le service de communication au public en ligne “TikTok”, qu’elle considère comme particulièrement nocif à bien des égards, et qui s’oppose aux valeurs qu’elle entend défendre ».
La Ligue des droits de l’Homme a aussi annoncé sur Twitter attaquer « en référé-liberté l’interdiction et le blocage de TikTok sur le territoire de la Nouvelle-Calédonie pour défendre la liberté de communication des idées et des opinions ».
Nouvelle mouture pour le noyau Linux, qui passe en version 6.9. Les améliorations sont nombreuses, particulièrement pour le support matériel. On note aussi un meilleur support des écrans 4K et un démarrage plus rapide dans certains.
Les noyaux Linux fournissent l’essentiel du support matériel dans les distributions. On peut bien sûr installer des pilotes dédiés (c’est même souvent le cas avec les GPU NVIDIA), mais c’est bien au « kernel » d’assurer l’exploitation du matériel dans l’immense majorité des cas. Aussi, l’arrivée d’un nouveau noyau permet souvent le support de matériels récents.
Le noyau 6.9 ne fait pas exception et ajoute de nouveaux éléments, notamment pour Intel et AMD.
L’une des principales améliorations concerne les processeurs Zen et la fonction Preferred Core. Celle-ci permet d’orienter certaines tâches vers les cœurs les plus puissants du processeur, le système communiquant avec l’ordonnanceur pour répartir la charge.
Ce support était attendu pour le noyau 6.8 mais n’avait pas eu le temps d’être finalisé. Pour en profiter, il faut que le pilote P-State d’AMD soit installé. Cet ajout est d’autant plus important qu’AMD fournit un nombre croissant de processeurs comprenant des cœurs performants (Zen4) et des cœurs efficaces (Zen4c).
Restons chez AMD avec deux autres nouveautés. D’abord, une meilleure prise en compte de SEV-SNP, l’une des fonctions dévolues à la sécurité cryptographique dans le pack SEV, qui comprend également SEV-ES. Ces fonctions sont présentes dans les puces EPYC et devraient être toutes gérées dans le noyau 6.10. Ensuite, le support du FRU Memory Poison Manager, qui permet aux informations sur les erreurs en mémoire vive de persister entre les redémarrages.
Côté Intel, on note une série de correctifs pour les processeurs Meteor Lake destinés aux ordinateurs portables. Les paramètres Energy Performance Preference ont été ajustés, avec à la clé de meilleures performances. Signalons aussi l’intégration d’Intel FRED (Flexible Return and Event Delivery), dont la mission est de permettre des transitions entre les niveaux de privilèges avec une latence faible.
Enfin, un support plus étendu des instructions x86S, lancées pour rappel il y a un an pour simplifier l’architecture x86 et supprimer le support des systèmes 16 et 32 bits.
L’un des plus gros apports du noyau Linux 6.9 est la prise en charge de polices plus grandes dans FBDEV (frame-buffer device). La largeur maximale passe à 64 et la hauteur à 128. Cela ne vous évoque peut-être rien, mais ce changement permet un bien meilleur support des écrans haute définition, notamment 4K, en cas d’utilisation de la console.
Plusieurs autres améliorations sont présentes, notamment pour le pilote i915 d’Intel, le support du tunneling DisplayPort, ou encore celui de fastboot pour les anciennes plateformes.
Comme toujours, le nouveau noyau propose des ajouts significatifs dans le support de certaines architectures ARM et autres. C’est le cas de RISC-V qui y gagne entre autres la prise en charge des routines cryptographiques à accélération vectorielle.
L’architecture LoongAarch reçoit certaines attentions, elle aussi, dont le support d’objtool, du live-patching (pour appliquer les correctifs du noyau sans redémarrer la machine) ainsi que des fonctions supplémentaires pour la configuration du noyau. Plusieurs nouveautés aussi pour ARM64, dont le support de la compilation Rust dans le noyau.
Côté stockage, signalons l’arrivée d’une grosse nouveauté : la gestion du mode FUSE passthrough. En clair, les opérations de lecture et écriture sont transmises directement par le noyau au système de fichiers de l’espace utilisateur, avec à la clé une amélioration des performances du FS, en évitant de surcharger le daemon. On note aussi des améliorations significatives dans le support de l’exFAT, dont une nette augmentation des performances quand l’option dirsync est activée.
La récupération du nouveau noyau diffère selon la distribution utilisée. Dans la plupart des cas, les distributions classiques (Ubuntu, Fedora…) attendant la version majeure suivante pour livrer une évolution importante du noyau. Dans ce genre de cas, il est conseillé d’attendre, même si des outils permettent le téléchargement et l’installation du nouveau noyau dans sa version générique.
Les autres distributions, en rolling release, proposent déjà ce noyau ou vont le faire très prochainement.
L’association a déposé ce vendredi 17 mai un référé-liberté (pdf) demandant la suspension du blocage de TikTok en Nouvelle-Calédonie décidé par le Premier ministre Gabriel Attal.
Elle estime que « le gouvernement porte un coup inédit et particulièrement grave à la liberté d’expression en ligne, que ni le contexte local ni la toxicité de la plateforme ne peuvent justifier dans un État de droit ».
Comme nous l’évoquions, le décret du 15 mai interdisant TikTok sur le territoire de la Nouvelle-Calédonie s’appuie sur la loi du 3 avril 1955 relative à l’état d’urgence. Elle prévoit que le ministre de l’Intérieur puisse « prendre toute mesure pour assurer l’interruption de tout service de communication au public en ligne provoquant à la commission d’actes de terrorisme ou en faisant l’apologie ».
Dans son communiqué, la Quadrature du Net estime que « personne n’est dupe : en réalité, le blocage de TikTok n’est absolument pas justifié par une quelconque présence sur la plateforme de contenus terroristes, mais bien par le fait qu’il s’agit d’une plateforme centrale dans l’expression en ligne des personnes qui en viennent aujourd’hui à se révolter ».
L’association précise dans son référé qu’elle « lutte de manière ancienne et constante contre le modèle incarné notamment par le service de communication au public en ligne “TikTok”, qu’elle considère comme particulièrement nocif à bien des égards, et qui s’oppose aux valeurs qu’elle entend défendre ».
La Ligue des droits de l’Homme a aussi annoncé sur Twitter attaquer « en référé-liberté l’interdiction et le blocage de TikTok sur le territoire de la Nouvelle-Calédonie pour défendre la liberté de communication des idées et des opinions ».
En 2020, l’entreprise de Redmond planifiait une empreinte « carbone négative » à partir de 2030 et même « effacer », d’ici 2050, l’ensemble de son empreinte carbone depuis 1975. Depuis, notamment à cause de ses investissements dans l’IA, Microsoft a de fait augmenté ses émissions de CO2 de 29 %.
C’est dans le rapport sur le développement durable 2024 de Microsoft (pdf) que le chiffre de l’augmentation de 29,1 % des émissions de CO2 de l’entreprise entre 2020 et 2023 se cache parmi de nombreuses photos de champignons, d’arbres, de roches, d’éoliennes et de panneaux solaires.
S’il est répété trois fois dans le rapport, ce chiffre n’est pas mis en exergue du rapport, contrairement aux « 5 millions de tonnes de carbone éliminées pendant l’année 2023 », par exemple. Il a pourtant été repéré par Bloomberg.
Dans son rapport, Microsoft ne fait pas non plus le décompte total de ses émissions de CO2. En parcourant le rapport, The Verge calcule que « l’entreprise a rejeté 15,357 millions de tonnes de dioxyde de carbone au cours de l’exercice fiscal précédent, ce qui est comparable aux émissions d’Haïti ou de Brunei ».
L’entreprise divise ses émissions entre trois catégories de « scopes ». Le Scope 1 désigne les émissions « directes » créées par les activités internes à l’entreprise. Le Scope 2 vise les émissions « indirectes » venant de l’électricité ou du chauffage que Microsoft utilise. Et la troisième représente les émissions « indirectes » venant de toutes les autres activités « dans lesquelles nous sommes engagés », explique l’entreprise dans son rapport.
Si cette catégorisation reste assez vague, on peut voir sur le schéma ci-dessous, tiré du rapport, que ce sont les activités du Scope 3 qui représentent la plupart des émissions de CO2 de Microsoft. Pour l’année 2023, elles en représentent même 96 %.
Donc même si Microsoft explique que les émissions des catégories des scope 1 et 2 ont diminué de 6 % depuis 2020, ces efforts n’ont que peu de poids dans le bilan de l’entreprise.
D’autant que les activités du scope 3 ont augmenté, elles, de 30,9 %. Celles-ci englobent, entre autres, l’énergie de sa chaine d’approvisionnement, et les matériaux de constructions et notamment ceux de ses data centers.
Et la bascule effectuée par Microsoft vers la mise en place de plus en plus importante de l’intelligence artificielle l’a poussée à créer d’autant plus de data centers ces dernières années.
Interrogé par le média américain, le président de Microsoft, Brad Smith, explique qu’ « en 2020, nous avons dévoilé ce que nous avons appelé notre “carbon moonshot” [objectif carbone dont l’ambition est comparable à celle d’un lancement vers la lune]. C’était avant l’explosion de l’intelligence artificielle ».
Si, dans son rapport, l’entreprise insiste sur son utilisation de l’IA pour « accélérer les solutions de développement durable », Brad Smith est bien obligé d’ajouter qu’ « à bien des égards, la lune est cinq fois plus éloignée qu’elle ne l’était en 2020, si l’on pense seulement à nos propres prévisions concernant l’expansion de l’intelligence artificielle et ses besoins en électricité ».
De plus, comme l’explique le Financial Times, cette concurrence sur la création d’infrastructures de data centers pour l’IA soulève des questions sur la capacité des réseaux énergétiques nationaux à faire face à la hausse attendue de la demande d’électricité. Le média économique américain se demande également si la production d’énergies renouvelables est suffisante sur ces marchés pour répondre aux besoins de l’IA.
Tout bon passionné de matériel informatique le sait, lorsqu'il faut vendre mettre des valeurs en avant est une constante. Tous les constructeurs jouent ce jeu, même si souvent parfois cela n'a pas vraiment de sens. Dans le monde du SimRacing, ce sont sur des valeurs en newtons-mètres que les constru...
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La nouvelle mouture du navigateur est en ligne depuis hier. On y trouve plusieurs nouveautés intéressantes, comme une amélioration de la fonction « Copier sans le pistage du site », rajoutée en novembre et qui prend maintenant en compte les URL imbriquées.
Firefox 126 supporte également le standard de compression zstd et le décodage matériel de l’AV1 pour les Mac équipés de puces M3.
Mais le plus gros ajout est sans conteste la prise en charge de deux fonctions de NVIDIA : RTX Video Super Resolution et RTX Video HDR. La première fonctionne comme un DLSS pour les vidéos, pour en améliorer la qualité. L’autre retravaille les vidéos pour les convertir en HDR10.
Dans les deux cas, ce support n’est présent que sous Windows (10 ou 11). Il faut une GeForce RTX de la série 2000 ou plus récente, ainsi qu’un pilote en version 550 au moins. Les options liées à la vidéo doivent être activées dans le panneau de contrôle NVIDIA et le HDR doit être coché dans les paramètres de Windows. Il faut donc un écran compatible.
Côté sécurité, Firefox 126 colmate 17 failles, dont deux critiques.
Près de cinq ans après l’appel de Christchurch, la France et la Nouvelle-Zélande ont annoncé la création d’une Fondation dédiée à la coordination des travaux de la société civile, de l’industrie et des acteurs publics sur l’élimination des contenus extrémistes et violents en ligne.
En 2019, l’appel contre l’utilisation d’internet comme arme de propagande terroriste, ou appel de Christchurch, avait été créé deux mois après les attentats terroristes qui ont frappé la ville néo-zélandaise.
Marrainée par l’ancienne première ministre de Nouvelle-Zélande, la Fondation aura son siège dans la ville de Wellington. Elle déclare avoir déjà reçu des promesses de dons.
L’Institut national de l’information géographique et forestière explique que sa nouvelle application mobile (gratuite) permet « à tous les citoyens de découvrir le territoire, ses évolutions et de s’y repérer ». Elle se veut différente des Google Maps et Apple Plans, à qui l’IGN reproche des « représentations biaisées » et une « vision commerciale » de notre territoire.
Dans son communiqué, l’IGN explique que son application « lève ainsi le voile sur les 90 % du territoire (terres agricoles, forêts, plages…) invisibilisés par les applications des géants du numérique ». Sébastien Soriano (directeur général de l’IGN et ex-président de l’Arcep), détaille le propos sur France Culture.
Lorsque notre confrère lui demande ce qu’il reproche à Google Maps, il répond : « c’est assez simple, si vous dézoomez un petit peu (les cartes sont souvent faites pour les aires urbaines) et que vous regardez le paysage de manière générale […] on a compté que 92 % de la superficie du territoire qui est de la même couleur […] Il n’y a pas de données, c’est juste du coloriage. Ces cartes ont invisibilisé la richesse de notre territoire pour se concentrer sur des enjeux commerciaux ».
Sébastien Soriano parle d’une « économie de l’attention, comme les réseaux sociaux », pour ensuite la monétiser vis-à-vis de commerces que vous allez ensuite pouvoir visiter. « Avec Cartes IGN, il est possible de connaître le type de culture d’un champ, les essences d’une forêt ou la composition d’une plage (sable ou galets) », explique l’Institut.
Laurent Toustou, chef du service données produits et usages à l’IGN, ajoute sur France Inter que, contrairement aux Google Maps et Apple Plans, Cartes IGN permet d’accéder à davantage d’informations : « On peut cliquer sur les bâtiments, comme ici, pour avoir des informations sur la date de construction, la hauteur, le nombre d’étages ».
« Il ne s’agit pas de faire la même chose qu’eux [les géants du Net, ndlr]. Si c’est pour pomper des données personnelles et présenter où sont les fast-foods, ils le font déjà […] on ne peut pas laisser les grands acteurs décider la manière de nous présenter notre propre territoire », ajoute Sébastien Soriano.
Niveau fonctionnalités, l’application permet de calculer, enregistrer, exporter et partager un itinéraire en mode piéton et voiture, mais également de voyager dans le temps et de comparer des cartes ou des vues aériennes à différentes périodes : « comment à évoluer mon territoire en 30 ans ? en 200 ans ? qu’est-ce qu’il y a à découvrir à 15 minutes ou 1 heure autour de moi ? ».
On peut ainsi observer l’évolution du territoire à travers différents prismes, tels que la dé- ou reforestation, les effets des incendies ou des crues, le recul du trait de côte, l’émergence d’énergies nouvelles, l’évolution du bati, etc.
Elle propose aussi une sélection de plusieurs fonds carto et photographiques sur lesquels on peut superposer des données thématiques « inédites » (zones protégées, environnement et risques naturels, foncier, services publics/administratifs, hydrographie, culture, transports, etc.).
Cartes IGN permet également de contribuer à l’amélioration des données et d’effectuer un signalement sur des objets signalisés.
La provenance des données est très variée : ministères en charge de l’écologie, de l’agriculture et de la forêt, collectivités territoriales, OpenStreetMap, Services départementaux d’incendie et de secours (SDIS), Office national des forêt (ONF), Parcs régionaux et nationaux, etc.
L’application s’appuie sur Géoplateforme, lancée cette année : « cette infrastructure de référence de la donnée géographique publique héberge environ 1 Péta octet de données et répond à 300 millions de requêtes par jour », ajoute IGN. D’ailleurs, l’application IGN Cartes « vient se substituer à l’application Géoportail lancée en 2015 et téléchargée un million de fois ».
Les notes de versions sur Google Play et l’App Store expliquent les changements entre Géoportail et IGN Cartes : afficher des légendes, calculer un isochrone, isodistance, créer, enregistrer, partager, exporter des points de repère, partager votre position, calculer un itinéraire (mode piéton et motorisé), tracer un itinéraire (mode de saisie libre ou guidé), enregistrer, exporter, partager un itinéraire et enfin comparer deux cartes ou photos aériennes.
De plus amples informations sont disponibles par ici.
La nouvelle mouture du navigateur est en ligne depuis hier. On y trouve plusieurs nouveautés intéressantes, comme une amélioration de la fonction « Copier sans le pistage du site », rajoutée en novembre et qui prend maintenant en compte les URL imbriquées.
Firefox 126 supporte également le standard de compression zstd et le décodage matériel de l’AV1 pour les Mac équipés de puces M3.
Mais le plus gros ajout est sans conteste la prise en charge de deux fonctions de NVIDIA : RTX Video Super Resolution et RTX Video HDR. La première fonctionne comme un DLSS pour les vidéos, pour en améliorer la qualité. L’autre retravaille les vidéos pour les convertir en HDR10.
Dans les deux cas, ce support n’est présent que sous Windows (10 ou 11). Il faut une GeForce RTX de la série 2000 ou plus récente, ainsi qu’un pilote en version 550 au moins. Les options liées à la vidéo doivent être activées dans le panneau de contrôle NVIDIA et le HDR doit être coché dans les paramètres de Windows. Il faut donc un écran compatible.
Côté sécurité, Firefox 126 colmate 17 failles, dont deux critiques.
La société chargée de collecter la redevance au profit des ayants-droit leur avait réclamé un paiement rétroactif de 14 € par terminal reconditionné vendu depuis 2015. Le tribunal l’a condamnée à 12 000 euros d’amendes et au remboursement de 105 000 € de frais de justice.
Dans un communiqué (.pdf) en date du 7 mai, le Pôle activité économique et commerciale de la présidence du tribunal judiciaire de Paris revient sur ce pourquoi les reconditionneurs n’auront pas à payer de redevance copie privée pour les téléphones vendus avant le 1er juillet 2021, comme le réclamait initialement Copie France.
Le communiqué fait suite à trois décisions relatives à la « rémunération pour copie privée » appliquée aux téléphones reconditionnés prises la 3e chambre du tribunal judiciaire de Paris le 26 avril dernier, et révélées par L’Informé.
La société Copie France, chargée de percevoir la redevance au profit des ayants-droit via leurs organismes de gestion collective de droits d’auteur et de droits voisins (et dont Pascal Rogard, directeur général de la SACD depuis 2004, est le rapporteur général), avait en effet engagé des procès contre « un grand nombre » de vendeurs de produits reconditionnés à partir de 2020, de sorte d’obtenir le paiement de redevances « égales à celle des produits neufs », souligne le communiqué.