CEO of World's Biggest Ad Firm Targeted By Deepfake Scam
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Livrée avec une batterie de 40 Wh, la Asus ROG Ally n’est pas, au même titre que la majorité des Consoles PC, un monstre d’autonomie. L’idée de ce hack est de pallier à cette situation d’une manière un peu… extrême.
Dans un processus totalement documenté, Shahram Mokhtari qui fait partie de l’équipe de iFixit, présente une modification de la console qui remplace la batterie 40 Wh d’origine pas un modèle de portable Asus de 88 Wh. Ce qui pose un léger problème d’encombrement évidemment mais propulse l’autonomie de manière confortable.
L’idée est de remplacer la partie arrière de la console par une solution imprimée en 3D qui pourra recevoir la batterie de portable et de refermer la console avec une « légère » protubérance derrière l’appareil. Toute l’opération est parfaitement documentée et il est possible de revenir en arrière en réinstallant la batterie d’origine.
Je ne vous conseillerais pas de faire cette opération pour jouer ou tout autre usage ultramobile. La console PC y perdra beaucoup en confort du fait de son gain en poids et avec un encombrement pas très mobile. Mais pour des usages spécifiques cela peut avoir un intérêt.
Le format et l’inventivité que les Consoles PC développent pour compenser leurs lacunes m’amuse beaucoup. Il me rappelle les riches heures du monde des netbooks quand tout le monde les désossaient dans tous les sens pour leur ajouter des fonctionnalités variées. Evidemment à l’époque les netbooks étaient plus accessibles et proposaient plus d’espace pour des modifications variées. Mais l’idée est la même avec des moyens en plus. Dans les années 2008-2012, les imprimantes 3D n’étaient pas si facile a acheter et a manipuler.
Le hack de batterie ultime pour la ROG Ally © MiniMachines.net. 2024.
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Énième épisode dans la série États-Unis vs Chine. Le gouvernement américain aurait davantage fermé les vannes sur les exportations de puces vers Huawei. Les deux pays se livrent une guerre froide sur fonds de sécurité nationale depuis maintenant plusieurs années.
Pour rappel, Huawei a été placé sur liste noire par les États-Unis suite à la signature d’un décret par Donald Trump en mai 2019. Il était alors question d’interdire aux groupes américains de faire des affaires avec le chinois Huawei. Des risques sur la sécurité nationale étaient mis en avant. « Les entreprises américaines peuvent vendre leur équipement à Huawei […] Nous parlons là d’équipement qui ne pose pas de grand problème de sécurité nationale », précisait alors le président des États-Unis.
Fin 2022, la guerre froide continuait de plus belle avec l’interdiction d’exporter les produits « hautes performances » pour l’IA, la défense, les supercalculateurs, les équipements pour fabriquer des semi-conducteurs, etc. Les USA souhaitaient ainsi garder leur avance technologique. De son côté, la Chine a un plan pour se débarrasser des technologies américaines. Elle a même banni AMD, Intel et Microsoft de ses administrations.
Un jeu du chat et de la souris s’est mis en place, notamment du côté des GPU NVIDIA. Malgré l’embargo, la Chine continuait à s’en procurer en ce début d’année, tandis que des GPU spéciaux pour la Chine était proposée par NVIDIA, afin de pouvoir continuer à en vendre.
C’est dans un marché déjà bien verrouillé que le gouvernement de Biden a révoqué les licences d’exportation permettant à Intel et Qualcomm de continué à fournir certains semi-conducteurs à Huawei, révèle le Financial Times. Cette décision du ministère américain du Commerce entraverait la fourniture de puces pour les ordinateurs portables et les téléphones mobiles de Huawei, précisent des personnes au fait de la situation.
Le discours est un peu toujours le même : « Nous évaluons en permanence la manière dont nos contrôles peuvent protéger au mieux notre sécurité nationale et nos intérêts en matière de politique étrangère, en tenant compte de l’évolution constante des menaces et du paysage technologique », a déclaré un porte-parole du ministère. « Dans le cadre de ce processus, comme nous l’avons fait par le passé, nous révoquons parfois des licences d’exportation ».
Cette décision intervient alors que les États-Unis s’alarment de la capacité de Huawei à développer ses propres puces en dépit des contrôles à l’exportation mis en place depuis 2022, souligne le FT. Lorsque la secrétaire d’État au commerce, Gina Raimondo, s’est rendue en Chine l’année dernière, Huawei avait en effet présenté son smartphone Mate 60 Pro, dont les performances avaient surpris les experts.
Marco Rubio, vice-président républicain de la commission sénatoriale du renseignement, et Elise Stefanik, quatrième républicaine de la Chambre des représentants, avaient demandé le mois dernier à Mme Raimondo de révoquer les licences de Huawei après l’apparition d’informations selon lesquelles le groupe basé à Shenzhen avait construit des ordinateurs portables utilisant des puces d’Intel. C’est le cas du dernier Matebook avec un Core-i9 13900H.
Le mois dernier, le FT avait également rapporté que les États-Unis poussaient leurs alliés en Europe et en Asie à renforcer les restrictions sur les exportations de technologies liées aux puces vers la Chine, en raison des inquiétudes croissantes concernant Huawei. Là encore, c’est une rengaine qui revient régulièrement sur le devant de la scène depuis des années.
« Les États-Unis ont trop étendu le concept de sécurité intérieure, politisé les questions économiques et commerciales, abusé des mesures de contrôle à l’export et adopté à plusieurs reprises des sanctions et des mesures de répression déraisonnables contre des entreprises chinoises spécifiques », a réagi un porte-parole du ministère chinois du Commerce dans un communiqué, relève de son côté l’AFP.
Le porte-parole a aussi averti que « la Chine prendrait toutes les mesures nécessaires pour sauvegarder fermement les droits et les intérêts légitimes des entreprises chinoises ». En plus de bannir certaines entreprises américaines de ses administrations, la Chine restreint les exportations en matériaux rares indispensables à la création des puces.
L’AFP relève que les sanctions américaines ont forcé le géant chinois des télécoms à se recentrer sur des secteurs comme les logiciels, les appareils connectés, l’informatique d’entreprise, mais aussi les voitures électriques, avec sa marque Aito.
Intel et Qualcomm ont réagi à leur manière à cette nouvelle vague de restriction. Dans un document transmis à la SEC, Intel explique que « le 7 mai 2024, le département du Commerce des États-Unis a informé Intel Corporation qu’il révoquait certaines licences d’exportation d’articles de consommation à un client en Chine, avec effet immédiat. Par conséquent, la société s’attend à ce que le chiffre d’affaires du deuxième trimestre 2024 reste dans la fourchette initiale de 12,5 à 13,5 milliards de dollars, mais en dessous du point médian ».
Il y a quelques jours, Qualcomm avait pris les devants (.pdf) : « nous disposons actuellement de licences d’exportation du ministère américain du Commerce qui nous permettent de vendre à Huawei des produits, notamment pour la 4G et le Wi-Fi, mais pas pour la 5G. Des reportages récents ont indiqué que le ministère du Commerce envisageait de ne pas accorder de nouvelles licences de vente à Huawei ». La prévision semble donc s’être réalisée.
« De plus, Huawei a récemment lancé de nouveaux appareils compatibles 5G utilisant des puces maison. Même si nous avons continué à vendre des produits à Huawei sous nos licences, nous ne prévoyons pas de revenus provenant de chez Huawei au-delà de l’année civile en cours ».
La suite au prochain épisode…
Dans le procès qui oppose l’organisation américaine Authors Guild à OpenAI, des documents descellés révèle que l’entreprise de Sam Altman a affirmé à la FTC avoir détruit toutes ses copies des jeux de données contenant des milliers de livres sur lesquels elle a entrainé ses grands modèles de langage. Pour l’Authors Guild, OpenAI a détruit une preuve directe du contenu copyrighté qu’elle a utilisé pour entrainer ses modèles.
Ce sont des documents qu’OpenAI ne voulait pas qu’ils soient publiés. Mais finalement, la justice américaine n’a pas suivi l’avis de l’entreprise. Ils proviennent d’un des multiples procès intentés contre OpenAI pour violation de copyright lors de l’entrainement de ses modèles de langage. Ces documents révèlent que l’entreprise a détruit des jeux de données visés par la plainte, comme l’a découvert Business Insider.
Énième épisode dans la série États-Unis vs Chine. Le gouvernement américain aurait davantage fermé les vannes sur les exportations de puces vers Huawei. Les deux pays se livrent une guerre froide sur fonds de sécurité nationale depuis maintenant plusieurs années.
Pour rappel, Huawei a été placé sur liste noire par les États-Unis suite à la signature d’un décret par Donald Trump en mai 2019. Il était alors question d’interdire aux groupes américains de faire des affaires avec le chinois Huawei. Des risques sur la sécurité nationale étaient mis en avant. « Les entreprises américaines peuvent vendre leur équipement à Huawei […] Nous parlons là d’équipement qui ne pose pas de grand problème de sécurité nationale », précisait alors le président des États-Unis.
Fin 2022, la guerre froide continuait de plus belle avec l’interdiction d’exporter les produits « hautes performances » pour l’IA, la défense, les supercalculateurs, les équipements pour fabriquer des semi-conducteurs, etc. Les USA souhaitaient ainsi garder leur avance technologique. De son côté, la Chine a un plan pour se débarrasser des technologies américaines. Elle a même banni AMD, Intel et Microsoft de ses administrations.
Un jeu du chat et de la souris s’est mis en place, notamment du côté des GPU NVIDIA. Malgré l’embargo, la Chine continuait à s’en procurer en ce début d’année, tandis que des GPU spéciaux pour la Chine était proposée par NVIDIA, afin de pouvoir continuer à en vendre.
C’est dans un marché déjà bien verrouillé que le gouvernement de Biden a révoqué les licences d’exportation permettant à Intel et Qualcomm de continué à fournir certains semi-conducteurs à Huawei, révèle le Financial Times. Cette décision du ministère américain du Commerce entraverait la fourniture de puces pour les ordinateurs portables et les téléphones mobiles de Huawei, précisent des personnes au fait de la situation.
Le discours est un peu toujours le même : « Nous évaluons en permanence la manière dont nos contrôles peuvent protéger au mieux notre sécurité nationale et nos intérêts en matière de politique étrangère, en tenant compte de l’évolution constante des menaces et du paysage technologique », a déclaré un porte-parole du ministère. « Dans le cadre de ce processus, comme nous l’avons fait par le passé, nous révoquons parfois des licences d’exportation ».
Cette décision intervient alors que les États-Unis s’alarment de la capacité de Huawei à développer ses propres puces en dépit des contrôles à l’exportation mis en place depuis 2022, souligne le FT. Lorsque la secrétaire d’État au commerce, Gina Raimondo, s’est rendue en Chine l’année dernière, Huawei avait en effet présenté son smartphone Mate 60 Pro, dont les performances avaient surpris les experts.
Marco Rubio, vice-président républicain de la commission sénatoriale du renseignement, et Elise Stefanik, quatrième républicaine de la Chambre des représentants, avaient demandé le mois dernier à Mme Raimondo de révoquer les licences de Huawei après l’apparition d’informations selon lesquelles le groupe basé à Shenzhen avait construit des ordinateurs portables utilisant des puces d’Intel. C’est le cas du dernier Matebook avec un Core-i9 13900H.
Le mois dernier, le FT avait également rapporté que les États-Unis poussaient leurs alliés en Europe et en Asie à renforcer les restrictions sur les exportations de technologies liées aux puces vers la Chine, en raison des inquiétudes croissantes concernant Huawei. Là encore, c’est une rengaine qui revient régulièrement sur le devant de la scène depuis des années.
« Les États-Unis ont trop étendu le concept de sécurité intérieure, politisé les questions économiques et commerciales, abusé des mesures de contrôle à l’export et adopté à plusieurs reprises des sanctions et des mesures de répression déraisonnables contre des entreprises chinoises spécifiques », a réagi un porte-parole du ministère chinois du Commerce dans un communiqué, relève de son côté l’AFP.
Le porte-parole a aussi averti que « la Chine prendrait toutes les mesures nécessaires pour sauvegarder fermement les droits et les intérêts légitimes des entreprises chinoises ». En plus de bannir certaines entreprises américaines de ses administrations, la Chine restreint les exportations en matériaux rares indispensables à la création des puces.
L’AFP relève que les sanctions américaines ont forcé le géant chinois des télécoms à se recentrer sur des secteurs comme les logiciels, les appareils connectés, l’informatique d’entreprise, mais aussi les voitures électriques, avec sa marque Aito.
Intel et Qualcomm ont réagi à leur manière à cette nouvelle vague de restriction. Dans un document transmis à la SEC, Intel explique que « le 7 mai 2024, le département du Commerce des États-Unis a informé Intel Corporation qu’il révoquait certaines licences d’exportation d’articles de consommation à un client en Chine, avec effet immédiat. Par conséquent, la société s’attend à ce que le chiffre d’affaires du deuxième trimestre 2024 reste dans la fourchette initiale de 12,5 à 13,5 milliards de dollars, mais en dessous du point médian ».
Il y a quelques jours, Qualcomm avait pris les devants (.pdf) : « nous disposons actuellement de licences d’exportation du ministère américain du Commerce qui nous permettent de vendre à Huawei des produits, notamment pour la 4G et le Wi-Fi, mais pas pour la 5G. Des reportages récents ont indiqué que le ministère du Commerce envisageait de ne pas accorder de nouvelles licences de vente à Huawei ». La prévision semble donc s’être réalisée.
« De plus, Huawei a récemment lancé de nouveaux appareils compatibles 5G utilisant des puces maison. Même si nous avons continué à vendre des produits à Huawei sous nos licences, nous ne prévoyons pas de revenus provenant de chez Huawei au-delà de l’année civile en cours ».
La suite au prochain épisode…
Dans le procès qui oppose l’organisation américaine Authors Guild à OpenAI, des documents descellés révèle que l’entreprise de Sam Altman a affirmé à la FTC avoir détruit toutes ses copies des jeux de données contenant des milliers de livres sur lesquels elle a entrainé ses grands modèles de langage. Pour l’Authors Guild, OpenAI a détruit une preuve directe du contenu copyrighté qu’elle a utilisé pour entrainer ses modèles.
Ce sont des documents qu’OpenAI ne voulait pas qu’ils soient publiés. Mais finalement, la justice américaine n’a pas suivi l’avis de l’entreprise. Ils proviennent d’un des multiples procès intentés contre OpenAI pour violation de copyright lors de l’entrainement de ses modèles de langage. Ces documents révèlent que l’entreprise a détruit des jeux de données visés par la plainte, comme l’a découvert Business Insider.
For numerous generations of their desktop processor releases, Intel has made available a selection of high-performance special edition "KS" CPUs that add a little extra compared to their flagship chip. With a lot of interest, primarily from the enthusiasts looking for the fastest processors, Intel's latest Core i9-14900KS represents a super-fast addition to its 14th Generation Core lineup with out-of-the-box turbo clock speeds of up to 6.2 GHz and represents the last processor to end an era as Intel is removing the 'i' from its legendary nomenclature for future desktop chip releases.
Reaching speeds of up to 6.2 GHz, this sets up the Core i9-14900KS as the fastest desktop CPU in the world right now, at least in terms of frequencies out of the box. Building on their 'regular' flagship chip, the Core i9-14900, the Core i9-14900KS is also using their refreshed Raptor Lake (RPL-R) 8P+16E core chip design with a 200 MHz higher boost clock speed and also has a 100 MHz bump on P-Core base frequency.
This new KS series SKU shows Intel's drive to offer an even faster alternative to their desktop regular K series offerings, and with the Core i9-14900KS, they look to provide the best silicon from their Raptor Lake Refresh series with more performance available to unlock to those who can. The caveat is that achieving these ridiculously fast clock speeds of 6.2 GHz on the P-Core comes at the cost of power and heat; keeping a processor pulling upwards of 350 W is a challenge in its own right, and users need to factor this in if even contemplating a KS series SKU.
In our previous KS series review, the Core i9-13900KS reached 360 W at its peak, considerably more than the Core i9-13900K. The Core i9-14900KS, built on the same core architecture, is expected to surpass that even further than the Core i9-14900K. We aim to compare Intel's final Core i series processor to the best of what both Intel and AMD have available, and it will be interesting to see how much performance can be extrapolated from the KS compared to the regular K series SKU.
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CopprLink est une nouvelle norme lancée par le Consortium PCI-SIG pensée pour dépasser les capacités de l’OCuLink. Cette norme qui balbutie tout juste dans certains appareils est nées en 2015 et alors qu’elle va bientôt fêter ses 10 ans, elle n’a pas su trouver énormément de relais chez les constructeurs.
CopprLink se distingue avec une possibilité de connexion externe proposant un très très haut débit à destination des circuits graphiques mais pas uniquement à ceux-ci. Pensée pour les usages professionnels, cette nouvelle connectique pourrait avoir des impacts sur les machines mobiles comme sur le segment des MiniPC.
On connait déjà plusieurs formes de connexions externes de solutions graphiques. L’arrivée des format Thunderbolt 3 et 4 mais aussi de l’USB4 ont ouvert pas mal de possibilités sur ce segment/ Plus récemment l’industrie s’est intéressée à l’OCulink avec enfin un certain regard de la part de marques puissantes chez les constructeurs. Mais cela reste assez restreint en terme d’utilisation, certains constructeurs préférant même utiliser des connecteurs propriétaires plutôt que de se frotter à la concurrence.
Le PCI-SIG annonce désormais la norme CopprLink qui permettra la connexion de solutions PCIe en interne comme en externe. Une idée intéressante puisqu’elle permettrait de déplacer des composants dans des zones plus faciles a ventiler par exemple ou a les extraire totalement des machines. En interne la limitation est assez large avec une connexion sur un mètre ce qui permettrai par exemple de séparer la partie graphique de la carte mère et de l’alimentation pour concevoir un système de refroidissement indépendant. En externe le câble pourra mesurer jusqu’à 2 mètres et permettra de déporter des composants à l’extérieur d’un portable ou d’un MiniPC.
Le consortium a également pensé a la robustesse des connecteurs externes qui devraient pouvoir encaisser des mouvements mécaniques plus durs et donc offrir une plus grande durée de vie aux accessoires. Cela se traduira en revanche par un connecteur CopprLink baptisé SFF-TA-1032 sans aucune rétrocompatibilité avec d’autres ports. Compatible avec les normes PCIe 5.0 et PCIe 6.0, il devrait offrir une vitesse maximale de 32 ou 64 GT/s contre 8 GT/s pour l’actuel OCuLink.
Un format de connecteur SF-TA-1032
Bien sûr pour le moment il s’agit surtout d’une bonne nouvelle très théorique puisqu’on ne connait pas l’impact financier d’un tel déploiement sur une machine. CopprLink doit également faire son chemin jusqu’aux constructeurs et parvenir à séduire les clients. Un travail pratique qui a pris de nombreuses années avec OCuLKink et qui n’a pas pour le moment réussi a faire ses preuves auprès des acteurs les plus importants du marché PC ni, évidemment, du grand public.
Le dock Lenovo ThinkBook TGX est une super nouvelle pour OCuLink
CopprLink : une nouvelle norme PCIe pour les eGPU © MiniMachines.net. 2024.
Le BASIC est un langage de programmation que les moins jeunes connaissent certainement, voire qu’ils ont étudié à l’école pour certains (j’en fais partie, cela ne me rajeunit pas…). Ce projet universitaire, qui réunit à la fois un langage de programmation et la notion de temps partagé, vient de fêter ses 60 ans. On remonte donc soixante ans en arrière…
Il y a quelques jours, le BASIC fêtait ses 60 ans : « à 4 heures du matin, le 1er mai 1964, dans le sous-sol du College Hall, le professeur John G. Kemeny et un étudiant programmeur [Thomas E. Kurtz, ndlr] tapaient simultanément RUN sur les terminaux voisins », explique le Dartmouth College, une université privée du nord-est des États-Unis, où s’est déroulé cette première.
Pour vous resituer un peu, c’est aussi dans les années 60 que Douglas Engelbart a inventé la souris. Internet n’existait pas, et ARPANET n’est arrivé que cinq ans plus tard, en octobre 1969, avec le premier paquet de données qui transitait entre une université et une entreprise.
Alors que nous attendions l'annonce, logique, du portage de The Last of Us Part II sur nos PC, l'annonce d'un tel transfuge pourrait être à chercher du côté d'un homme barbu et en colère ! En effet, billbil-kun affirme que ses sources lui ont révélé que l'annonce du portage God of War Ragnarök serait proche, à priori pour ce mois, le fait que jeu a plus d'un an de commercialisation sur les plateformes de SONY, il est sorti en novembre 2022 sur PS4 et PS5, conjugué au fait que le portage de God of War sur PC fut un succès, étaient grandement cette thèse ! […]
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