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☕️ Les faux comptes d’actualités, un business à part entière sur TikTok

Utiliser l’IA pour créer des contenus à la chaîne et obtenir de l’argent de géants numériques, voilà une dynamique que nous couvrons régulièrement chez Next, en particulier du côté de Google. 
Sur TikTok, dans une dynamique similaire, des internautes s’appuient sur des images et vidéos d’illustrations et des voix-off générées par IA pour créer de faux contenus d’actualité.

Le but : faire le buzz, monétiser les clips, et ainsi obtenir des rémunérations.

Auprès de l’Agence France Presse (AFP), Victor, 29 ans, affirme par exemple gagner entre 1 500 et 4 500 euros bruts par mois.

Maxime, 19 ans, qui vient de se lancer dans ce type d’activité, a de son côté récupéré l’accès au programme de monétisation et 60 euros après le buzz d’un deepfake de la dirigeante italienne Georgia Meloni, en novembre.

Ce type de vidéos contrevient normalement aux règles du « Creator Rewards Program », qui permet aux comptes de plus de 10 000 abonnés, cumulant 100 000 vues sur les 30 derniers jours et aux vidéos de plus d’une minute d’être monétisées.

À l’AFP, TikTok assure d’ailleurs prendre des mesures « contre la désinformation ».

Mais du côté du public, les contenus présentant de faux faits divers ou évoquant de faux couvre-feux pour les mineurs après 23 h attirent énormément de commentaires, partages et réactions, autant d’indicateurs qui permettent de faire grimper les potentielles rémunérations.

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iRobot et son Roomba déposent le bilan, rachetés par leur sous-traitant chinois

Roy Lewis aurait apprécié
iRobot et son Roomba déposent le bilan, rachetés par leur sous-traitant chinois

iRobot Corporation, maison-mère des célèbres robots aspirateurs, a annoncé dimanche se placer sous la protection du chapitre 11 de la loi sur les faillites des États-Unis. Cette démarche doit donner le temps au groupe de finaliser l’acquisition de l’intégralité de son capital par le sous-traitant chinois qui fabriquait pour son compte les fameux robots Roomba.

Écrasé par ses dettes et face à des ventes en berne, iRobot a fini par capituler. Le groupe a annoncé dimanche s’être placé sous la protection du fameux Chapter 11 de la loi américaine sur les faillites. Il dispose ainsi de quelques semaines de répit pour finaliser une opération de sauvetage, qui conduira les célèbres robots aspirateurs Roomba à, demain, battre pavillon chinois.

iRobot, jusqu’ici coté à Wall Street, sortira en effet du marché, et passera sous contrôle du groupe Picea, basé à Hong Kong. Ce dernier n’est pas précisément un inconnu dans le monde de la robotique domestique : c’est en effet lui qui produit les robots de marques telles que iRobot ou Roborock via sa filiale PICEA Robotics, installée à Shenzhen.

Reprise à la barre du tribunal

La direction actuelle assure que l’activité d’iRobot sera maintenue pendant cette étape intermédiaire, nécessaire pour que le tribunal valide le plan de restructuration proposé :

« Afin de maintenir la continuité de ses activités, iRobot a déposé auprès du tribunal une série de requêtes habituelles qui permettront à la société de fonctionner normalement, notamment de respecter ses engagements envers ses employés et d’effectuer en temps voulu le paiement intégral des sommes dues aux fournisseurs et autres créanciers avant, pendant et après la procédure supervisée par le tribunal. »

L’entreprise affirme encore qu’à l’issue de cette procédure, elle sera mieux armée « pour mettre en œuvre sa stratégie d’innovation à long terme sous la direction de Picea ». Les actionnaires d’iRobot en seront cependant pour leurs frais : telle qu’elle est envisagée, la faillite ne prévoit aucune compensation, et l’entreprise n’est pas en position de négocier des contreparties.

Son dernier formulaire 10Q, déposé (PDF) le 6 novembre dernier auprès du gendarme de la bourse aux États-Unis (la SEC) montre en effet qu’iRobot était très lourdement endettée, notamment vis-à-vis de son fournisseur Picea. « Au 31 octobre 2025, nous devions à notre principal sous-traitant, Picea, 158,3 millions de dollars pour la fabrication de nos produits, dont 29,1 millions de dollars étaient en souffrance », y déclare l’entreprise.

Poids de la dette, frais de douane et ventes en berne

Pour justifier cette défaillance, l’entreprise invoque plusieurs facteurs. Elle estime par exemple à 18 millions de dollars sur l’année 2025 l’impact négatif des droits de douane décidés par Donald Trump. Elle rappelle par ailleurs qu’elle affronte des vents contraires sur son marché de prédilection, avec une activité en baisse qui s’incarne au travers de ses résultats financiers trimestriels.

Sur les trois mois clos au 27 septembre dernier, iRobot annonçait ainsi un chiffre d’affaires de 145,8 millions de dollars, à comparer aux 193,4 millions de dollars enregistrés un an plus tôt. À cette occasion, l’entreprise indiquait avoir enregistré un recul de l’activité de 33 % sur son marché domestique, les États-Unis, de 13 % sur la zone EMEA et de 9 % au Japon.

Outre ces performances commerciales en baisse qui affectent la trésorerie disponible, iRobot accuse enfin le poids d’une dette significative, contractée pendant que l’entreprise négociait les conditions de son rachat par Amazon pour 1,7 milliard de dollars. Problème : la transaction n’est pas allée à son terme, en partie à cause de l’opposition manifestée par la Commission européenne, ce qui avait conduit Amazon à jeter l’éponge début 2024.

Picea, qui produisait donc les produits iRobot dans ses usines de Chine et du Vietnam, revendique près de 7 000 employés, un portefeuille de plus de 1 600 brevets, 3 700 m² de laboratoires dédiés à la recherche et développement et 200 000 m² d’usines en activité. Fondé en 2016, cet OEM a commencé à développer des produits sous sa propre marque, 3i, à partir de 2022. Son S10 Ultra, vendu aux alentours de 800 euros en France, se présente comme une alternative directe au Roomba Max 705 Combo d’iRobot.

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☕️ Les faux comptes d’actualités, un business à part entière sur TikTok

Utiliser l’IA pour créer des contenus à la chaîne et obtenir de l’argent de géants numériques, voilà une dynamique que nous couvrons régulièrement chez Next, en particulier du côté de Google. 
Sur TikTok, dans une dynamique similaire, des internautes s’appuient sur des images et vidéos d’illustrations et des voix-off générées par IA pour créer de faux contenus d’actualité.

Le but : faire le buzz, monétiser les clips, et ainsi obtenir des rémunérations.

Auprès de l’Agence France Presse (AFP), Victor, 29 ans, affirme par exemple gagner entre 1 500 et 4 500 euros bruts par mois.

Maxime, 19 ans, qui vient de se lancer dans ce type d’activité, a de son côté récupéré l’accès au programme de monétisation et 60 euros après le buzz d’un deepfake de la dirigeante italienne Georgia Meloni, en novembre.

Ce type de vidéos contrevient normalement aux règles du « Creator Rewards Program », qui permet aux comptes de plus de 10 000 abonnés, cumulant 100 000 vues sur les 30 derniers jours et aux vidéos de plus d’une minute d’être monétisées.

À l’AFP, TikTok assure d’ailleurs prendre des mesures « contre la désinformation ».

Mais du côté du public, les contenus présentant de faux faits divers ou évoquant de faux couvre-feux pour les mineurs après 23 h attirent énormément de commentaires, partages et réactions, autant d’indicateurs qui permettent de faire grimper les potentielles rémunérations.

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iRobot et son Roomba déposent le bilan, rachetés par leur sous-traitant chinois

Roy Lewis aurait apprécié
iRobot et son Roomba déposent le bilan, rachetés par leur sous-traitant chinois

iRobot Corporation, maison-mère des célèbres robots aspirateurs, a annoncé dimanche se placer sous la protection du chapitre 11 de la loi sur les faillites des États-Unis. Cette démarche doit donner le temps au groupe de finaliser l’acquisition de l’intégralité de son capital par le sous-traitant chinois qui fabriquait pour son compte les fameux robots Roomba.

Écrasé par ses dettes et face à des ventes en berne, iRobot a fini par capituler. Le groupe a annoncé dimanche s’être placé sous la protection du fameux Chapter 11 de la loi américaine sur les faillites. Il dispose ainsi de quelques semaines de répit pour finaliser une opération de sauvetage, qui conduira les célèbres robots aspirateurs Roomba à, demain, battre pavillon chinois.

iRobot, jusqu’ici coté à Wall Street, sortira en effet du marché, et passera sous contrôle du groupe Picea, basé à Hong Kong. Ce dernier n’est pas précisément un inconnu dans le monde de la robotique domestique : c’est en effet lui qui produit les robots de marques telles que iRobot ou Roborock via sa filiale PICEA Robotics, installée à Shenzhen.

Reprise à la barre du tribunal

La direction actuelle assure que l’activité d’iRobot sera maintenue pendant cette étape intermédiaire, nécessaire pour que le tribunal valide le plan de restructuration proposé :

« Afin de maintenir la continuité de ses activités, iRobot a déposé auprès du tribunal une série de requêtes habituelles qui permettront à la société de fonctionner normalement, notamment de respecter ses engagements envers ses employés et d’effectuer en temps voulu le paiement intégral des sommes dues aux fournisseurs et autres créanciers avant, pendant et après la procédure supervisée par le tribunal. »

L’entreprise affirme encore qu’à l’issue de cette procédure, elle sera mieux armée « pour mettre en œuvre sa stratégie d’innovation à long terme sous la direction de Picea ». Les actionnaires d’iRobot en seront cependant pour leurs frais : telle qu’elle est envisagée, la faillite ne prévoit aucune compensation, et l’entreprise n’est pas en position de négocier des contreparties.

Son dernier formulaire 10Q, déposé (PDF) le 6 novembre dernier auprès du gendarme de la bourse aux États-Unis (la SEC) montre en effet qu’iRobot était très lourdement endettée, notamment vis-à-vis de son fournisseur Picea. « Au 31 octobre 2025, nous devions à notre principal sous-traitant, Picea, 158,3 millions de dollars pour la fabrication de nos produits, dont 29,1 millions de dollars étaient en souffrance », y déclare l’entreprise.

Poids de la dette, frais de douane et ventes en berne

Pour justifier cette défaillance, l’entreprise invoque plusieurs facteurs. Elle estime par exemple à 18 millions de dollars sur l’année 2025 l’impact négatif des droits de douane décidés par Donald Trump. Elle rappelle par ailleurs qu’elle affronte des vents contraires sur son marché de prédilection, avec une activité en baisse qui s’incarne au travers de ses résultats financiers trimestriels.

Sur les trois mois clos au 27 septembre dernier, iRobot annonçait ainsi un chiffre d’affaires de 145,8 millions de dollars, à comparer aux 193,4 millions de dollars enregistrés un an plus tôt. À cette occasion, l’entreprise indiquait avoir enregistré un recul de l’activité de 33 % sur son marché domestique, les États-Unis, de 13 % sur la zone EMEA et de 9 % au Japon.

Outre ces performances commerciales en baisse qui affectent la trésorerie disponible, iRobot accuse enfin le poids d’une dette significative, contractée pendant que l’entreprise négociait les conditions de son rachat par Amazon pour 1,7 milliard de dollars. Problème : la transaction n’est pas allée à son terme, en partie à cause de l’opposition manifestée par la Commission européenne, ce qui avait conduit Amazon à jeter l’éponge début 2024.

Picea, qui produisait donc les produits iRobot dans ses usines de Chine et du Vietnam, revendique près de 7 000 employés, un portefeuille de plus de 1 600 brevets, 3 700 m² de laboratoires dédiés à la recherche et développement et 200 000 m² d’usines en activité. Fondé en 2016, cet OEM a commencé à développer des produits sous sa propre marque, 3i, à partir de 2022. Son S10 Ultra, vendu aux alentours de 800 euros en France, se présente comme une alternative directe au Roomba Max 705 Combo d’iRobot.

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☕️ X : La géolocalisation des comptes attaquée devant la CNIL

En novembre, le réseau social X a affiché une nouvelle information sur le profil de ses utilisateurs : leur géolocalisation. Si elle a semé le doute à propos de l’origine de certains comptes influents, certains utilisateurs se plaignent de la divulgation d’informations qui serait contraire au RGPD.

Ainsi, comme le rapporte l’Informé, l’avocat Jérémy Roche a adressé une plainte à la CNIL. « Cette divulgation est effectuée sans consentement préalable, sans information claire et préalable, et par défaut sans possibilité de refus initial », affirme-t-il dans le document envoyé à l’autorité que notre confrère, Marc Rees, a pu consulter.

Selon l’avocat, le traitement de la géolocalisation de l’utilisateur par X serait illicite puisqu’il ne s’appuierait pas sur une des bases légales d’autorisation de traitement des données.

X n’a pas explicitement demandé le consentement de ses utilisateurs avant de mettre en place cette fonctionnalité. Si le réseau social pourrait plaider l’intérêt légitime, celui-ci doit être étudié en balance avec les droits des utilisateurs de la plateforme qui doivent être protégés. Or l’avocat met en avant « le risque pour un utilisateur d’être repéré lorsqu’il est en vacances dans un pays étranger ». Enfin, si X s’appuie sur la base légale du contrat, Jérémy Roche considère que la fonctionnalité « ne fait pas partie de la prestation contractuelle fondamentale » puisque le réseau social a fonctionné sans pendant des années.

Puisque le siège social européen de X est situé en Irlande, la CNIL devrait transmettre cette plainte à la Data Protection Commission du pays.

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☕️ X : La géolocalisation des comptes attaquée devant la CNIL

En novembre, le réseau social X a affiché une nouvelle information sur le profil de ses utilisateurs : leur géolocalisation. Si elle a semé le doute à propos de l’origine de certains comptes influents, certains utilisateurs se plaignent de la divulgation d’informations qui serait contraire au RGPD.

Ainsi, comme le rapporte l’Informé, l’avocat Jérémy Roche a adressé une plainte à la CNIL. « Cette divulgation est effectuée sans consentement préalable, sans information claire et préalable, et par défaut sans possibilité de refus initial », affirme-t-il dans le document envoyé à l’autorité que notre confrère, Marc Rees, a pu consulter.

Selon l’avocat, le traitement de la géolocalisation de l’utilisateur par X serait illicite puisqu’il ne s’appuierait pas sur une des bases légales d’autorisation de traitement des données.

X n’a pas explicitement demandé le consentement de ses utilisateurs avant de mettre en place cette fonctionnalité. Si le réseau social pourrait plaider l’intérêt légitime, celui-ci doit être étudié en balance avec les droits des utilisateurs de la plateforme qui doivent être protégés. Or l’avocat met en avant « le risque pour un utilisateur d’être repéré lorsqu’il est en vacances dans un pays étranger ». Enfin, si X s’appuie sur la base légale du contrat, Jérémy Roche considère que la fonctionnalité « ne fait pas partie de la prestation contractuelle fondamentale » puisque le réseau social a fonctionné sans pendant des années.

Puisque le siège social européen de X est situé en Irlande, la CNIL devrait transmettre cette plainte à la Data Protection Commission du pays.

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Are Warnings of Superintelligence 'Inevitability' Masking a Grab for Power?

Superintelligence has become "a quasi-political forecast" with "very little to do with any scientific consensus, emerging instead from particular corridors of power." That's the warning from James O'Sullivan, a lecturer in digital humanities from University College Cork. In a refreshing 5,600-word essay in Noema magazine, he notes the suspicious coincidence that "The loudest prophets of superintelligence are those building the very systems they warn against..." "When we accept that AGI is inevitable, we stop asking whether it should be built, and in the furor, we miss that we seem to have conceded that a small group of technologists should determine our future." (For example, OpenAI CEO Sam Altman "seems determined to position OpenAI as humanity's champion, bearing the terrible burden of creating God-like intelligence so that it might be restrained.") The superintelligence discourse functions as a sophisticated apparatus of power, transforming immediate questions about corporate accountability, worker displacement, algorithmic bias and democratic governance into abstract philosophical puzzles about consciousness and control... Media amplification plays a crucial role in this process, as every incremental improvement in large language models gets framed as a step towards AGI. ChatGPT writes poetry; surely consciousness is imminent..." Such accounts, often sourced from the very companies building these systems, create a sense of momentum that becomes self-fulfilling. Investors invest because AGI seems near, researchers join companies because that's where the future is being built and governments defer regulation because they don't want to handicap their domestic champions... We must recognize this process as political, not technical. The inevitability of superintelligence is manufactured through specific choices about funding, attention and legitimacy, and different choices would produce different futures. The fundamental question isn't whether AGI is coming, but who benefits from making us believe it is... We do not yet understand what kind of systems we are building, or what mix of breakthroughs and failures they will produce, and that uncertainty makes it reckless to funnel public money and attention into a single speculative trajectory. Some key points: "The machines are coming for us, or so we're told. Not today, but soon enough that we must seemingly reorganize civilization around their arrival..." "When we debate whether a future artificial general intelligence might eliminate humanity, we're not discussing the Amazon warehouse worker whose movements are dictated by algorithmic surveillance or the Palestinian whose neighborhood is targeted by automated weapons systems. These present realities dissolve into background noise against the rhetoric of existential risk..." "Seen clearly, the prophecy of superintelligence is less a warning about machines than a strategy for power, and that strategy needs to be recognized for what it is... " "Superintelligence discourse isn't spreading because experts broadly agree it is our most urgent problem; it spreads because a well-resourced movement has given it money and access to power..." "Academic institutions, which are meant to resist such logics, have been conscripted into this manufacture of inevitability... reinforcing industry narratives, producing papers on AGI timelines and alignment strategies, lending scholarly authority to speculative fiction..." "The prophecy becomes self-fulfilling through material concentration — as resources flow towards AGI development, alternative approaches to AI starve..." The dominance of superintelligence narratives obscures the fact that many other ways of doing AI exist, grounded in present social needs rather than hypothetical machine gods. [He lists data sovereignty movements "that treat data as a collective resource subject to collective consent," as well as organizations like Canada's First Nations Information Governance Centre and New Zealand's's Te Mana Raraunga, plus "Global South initiatives that use modest, locally governed AI systems to support healthcare, agriculture or education under tight resource constraints."] "Such examples... demonstrate how AI can be organized without defaulting to the superintelligence paradigm that demands everyone else be sacrificed because a few tech bros can see the greater good that everyone else has missed..." "These alternatives also illuminate the democratic deficit at the heart of the superintelligence narrative. Treating AI at once as an arcane technical problem that ordinary people cannot understand and as an unquestionable engine of social progress allows authority to consolidate in the hands of those who own and build the systems..." He's ultimately warning us about "politics masked as predictions..." "The real political question is not whether some artificial superintelligence will emerge, but who gets to decide what kinds of intelligence we build and sustain. And the answer cannot be left to the corporate prophets of artificial transcendence because the future of AI is a political field — it should be open to contestation. "It belongs not to those who warn most loudly of gods or monsters, but to publics that should have the moral right to democratically govern the technologies that shape their lives."

Read more of this story at Slashdot.

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La pénurie de DDR5 frappe fort : Framework annonce une hausse de prix de 50 %

Framework vient de publier un billet officiel sur son blog pour annoncer une d�cision qui va faire grincer des dents, � savoir une augmentation de 50 % du prix de la DDR5 propos�e en option sur les configurations Framework Laptop DIY Edition. La soci�t� joue la carte de la transparence et explique clairement que cette hausse est la cons�quence directe de l'explosion des co�ts impos�s par ses fournisseurs et distributeurs de m�moire. Framework pr�cise qu'elle n'est tout simplement plus en mesure d'absorber seule ces augmentations tarifaires. Une partie de la hausse doit donc �tre r�percut�e sur le consommateur final. […]

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ASUS passe ses RTX 5060 (Ti) en Dual EVO

ASUS passe ses RTX 5060 et RTX 5060 Ti � la sauce Dual EVO. Les deux gammes partagent u de design commun, sobre, exempt de leds et n'ayant recours qu'� une teinte de couleur. Les cartes disposent de deux ventilateurs, de type axial, � double roulement � bille, d'une backplate, qui propose une large d�coupe afin de faciliter le d�gagement de la chaleur via les ailettes en aluminium. Les Dual RTX 5060 et 5060 Ti EVO mesurent 225 x 120 x 42 mm, ont besoin d'un unique connecteur 8-pin (ASUS recommande une alimentation de 550 Watts), proposent des sorties vid�os HDMI 2.1b (x1) et DisplayPort 2.1b (x3). Les cartes exc�dent l�g�rement les 2 slots d'occupation et chaque gamme est propos�e en version classique et OC d'usie. ASUS Dual RTX 5060 EVO (OC) : GPU : GB206 Fr�quence : 2280 MHz Fr�quence boost : 2527 MHz (OC � 2565 Mhz) M�moire : 8 Go GDDR7 Fr�quence m�moire : 1750 MHz Bus : 128 bits Interface : PCIe 8X Gen 5 CUDA Cores : 3840 RT Cores : 30 (4th Gen) Tensor Cores : 120 (5th Gen) Rops : 48 […]

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Votre clé Windows à seulement 11 U+20AC; ! Activation officielle et support garanti par GVGMall

A l'approche des f�tes de fin d'ann�e, achetez une cl� Windows 11 Pro pour 21 U+20AC.Et donc, pourquoi pas un nouvel OS pour No�l ? En plus, vous le savez, Microsoft a officiellement mis fin au support de Windows 10. Il est donc plus que temps de passer � Windows 11. Bonne nouvelle : gr�ce � notre partenaire GVGMALL, pas besoin de vous ruiner pour obtenir une licence authentique, ni d'endurer le fameux message Windows non activ� en bas de l'�cran. Pourquoi ? Parce que GVGMALL.com propose des cl�s OEM authentiques � des tarifs ultra-avantageux : - Windows 11 d�s 21 U+20AC - Licences Office d�s 27 U+20AC Avec le code promo CCVIP, profitez en plus de -30 % de r�duction sur vos achats. Et malin : pour �conomiser quelques euros suppl�mentaires, vous pouvez aussi acheter une licence Windows 10 puis faire l'upgrade gratuit vers Windows 11. Offres sp�ciales avec le code promo CCVIP Voici les meilleurs deals disponibles chez GVGMALL : - Windows 11 Pro OEM Lifetime - 21 U+20AC - Windows 10 Pro OEM Lifetime - 16 U+20AC - Windows 11 Home OEM Lifetime - 19 U+20AC - Windows 10 Home OEM Lifetime - 13 U+20AC - Microsoft Office 2016 Lifetime - 27 U+20AC - Microsoft Office 2019 Lifetime - 52 U+20AC - Windows 10 Enterprise LTSC 2021 - 11 U+20AC - Windows 10 Pro OEM + Office 2016 - 34 U+20AC - Windows 10 Pro OEM + Office 2019 - 52 U+20AC - Windows 11 Home + Office 2021 Pro Plus - 88 U+20AC - Windows 11 Pro OEM + Office 2021 Pro Plus - 87 U+20AC […]

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La 2G vit ses derniers mois, mais 2,66 millions de terminaux l’utilisent encore

Chérie ça va couper !
La 2G vit ses derniers mois, mais 2,66 millions de terminaux l’utilisent encore

Au dernier décompte, il restait encore 2,66 millions de cartes SIM 2G seulement en service, dont 1,57 million dans des terminaux pour des services de type voix, SMS et Internet mobile. Dans trois ans, ce sera au tour de la 3G, encore utilisée par 2,99 millions de terminaux.

La 2G est en train de vivre ses derniers instants. À partir de mars 2026, elle sera progressivement éteinte par Orange. Bouygues Telecom et SFR feront de même à partir de fin 2026. Free ne communique pas officiellement sur la 2G, mais l’opérateur n’a pas de réseau en propre (il en a eu un pendant cinq mois seulement fin 2022), il passe par un contrat d’itinérance (renouvellé à plusieurs reprises) avec Orange.

Alors que la tension monte entre les usagers (santé, ascenseurs, alarmes, voitures…) d’un côté et les opérateurs de l’autre, l’Arcep a mis en place un Observatoire trimestriel des cartes SIM utilisées dans les terminaux compatibles avec la 2G et la 3G uniquement.

L’Arcep compte les cartes SIM 2G et 3G… sauf celles dans les véhicules

Le premier observatoire a été publié en septembre, sur des données de juin 2025. Il restait alors encore 5,9 millions de terminaux en circulation, dont 2,8 millions seulement en 2G et donc en fin de vie dans un an maximum. Aujourd’hui, il en reste encore respectivement 5,61 millions, soit une baisse de 4,8 % en trois mois (285 000 de moins), et 2,66 millions (140 000 de moins en trois mois).

L’Arcep distingue deux cas de figure. D’un côté les terminaux pour des usages voix, SMS et Internet mobile (en particulier des téléphones mobiles et des tablettes de clients). De l’autre, les cartes SIM pour des services Machine to Machine (MtoM)… mais à l’exception des « cartes SIM montées par les constructeurs automobiles dans les véhicules » qui ne sont donc pas comptabilisées.

Voici le bilan :

  • Cartes SIM 2G seulement (voix/SMS/internet) : 1,57 million (- 60 000 en trois mois)
  • Cartes SIM 2G/3G (voix/SMS/internet) : 1,05 million (- 20 000 en trois mois)
  • Total (voix/SMS/internet) : 2,62 millions (- 80 000 en trois mois)
  • Cartes SIM 2G (MtoM) : 1,09 million (- 130 000 en trois mois)
  • Cartes SIM 2G/3G (MtoM) : 1,90 million (- 70 000 en trois mois)
  • Total (MtoM) : 2,99 millions (- 200 000 en trois mois)

« À l’aune des calendriers annoncés d’extinction de la technologie 2G sur les réseaux des opérateurs, il est attendu que la dynamique de décroissance de ces parcs s’intensifie dans les prochains mois », explique (ou espère ?) le régulateur des télécoms.

Il ajoute qu’il sera attentif « aux actions mises en œuvre par les opérateurs pour accélérer la transition vers des terminaux compatibles avec les technologies 4G ou 5G à l’approche des échéances d’extinction des technologies 2G puis 3G ». L’Arcep propose une page dédiée à la fermeture des réseaux 2G et 3G ici.

Rendez-vous fin 2028 pour l’extinction de la 3G

L’Arcep explique que, fin septembre, « le nombre de cartes SIM dans des terminaux pour des services Machine to Machine compatibles uniquement avec les technologies 2G et 3G est de 3 millions d’unités », ce qui représente environ 12 % « du parc des cartes SIM dans ce type de terminal ».

En France, la 3G a droit à un sursis, mais son acte de décès est déjà prononcé. Orange et SFR arrêteront cette technologie à partir de fin 2028, tandis que Bouygues Telecom a pour le moment l’intention de pousser plus loin, jusqu’à fin 2029.

De son côté, Free arrête à partir d’aujourd’hui sa 3G. Comme nous l’avons déjà expliqué, l’opérateur indique désormais sur sa fiche standardisée d’information : « Service accessible en itinérance 2G/3G sur le réseau de l’opérateur historique partenaire ».

Free passe donc par Orange pour la 2G et la 3G, lui permettant ainsi de réaffecter une partie de ses fréquences de la 3G pour améliorer débits et couverture de la 4G… au grand dam de Bouygues Telecom qui était encore une fois vent debout contre la prolongation de l’itinérance de Free sur le réseau d’Orange.

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☕️ Orange signe un accord engageant pour racheter les 50 % manquants de MasOrange

Il y a un peu plus d’un mois, Orange annonçait avoir conclu un accord non engageant pour racheter au fonds britannique Lorca les 50 % qu’il détient de l’opérateur espagnol MasOrange. Orange passe la seconde, avec un accord engageant cette fois.

Les conditions financières pour récupérer les 50 % manquants du « premier opérateur sur le marché espagnol en nombre de clients » sont les mêmes, à savoir 4,25 milliards d’euros en numéraire. Pour Orange, l’Espagne est le deuxième marché en Europe, après la France.

La finalisation de cette transaction est maintenant prévue pour le premier semestre 2026. Orange deviendra alors le propriétaire exclusif de l’opérateur espagnol aux 31 millions de clients sur le mobile et 7,1 millions de clients sur le fixe.

Ce rachat s’inscrit dans la nouvelle stratégie « Lead the future » lancée il y a trois ans. Son objectif : se recentrer sur son cœur de métier en Europe, à savoir les télécoms et la cyberdéfense.

MasOrange y contribue, notamment avec l’arrivée de l’ex-patron de l’ANSSI Guillaume Poupard comme Chief Trust Officer chargé de la « confiance et souveraineté ».

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La 2G vit ses derniers mois, mais 2,66 millions de terminaux l’utilisent encore

Chérie ça va couper !
La 2G vit ses derniers mois, mais 2,66 millions de terminaux l’utilisent encore

Au dernier décompte, il restait encore 2,66 millions de cartes SIM 2G seulement en service, dont 1,57 million dans des terminaux pour des services de type voix, SMS et Internet mobile. Dans trois ans, ce sera au tour de la 3G, encore utilisée par 2,99 millions de terminaux.

La 2G est en train de vivre ses derniers instants. À partir de mars 2026, elle sera progressivement éteinte par Orange. Bouygues Telecom et SFR feront de même à partir de fin 2026. Free ne communique pas officiellement sur la 2G, mais l’opérateur n’a pas de réseau en propre (il en a eu un pendant cinq mois seulement fin 2022), il passe par un contrat d’itinérance (renouvellé à plusieurs reprises) avec Orange.

Alors que la tension monte entre les usagers (santé, ascenseurs, alarmes, voitures…) d’un côté et les opérateurs de l’autre, l’Arcep a mis en place un Observatoire trimestriel des cartes SIM utilisées dans les terminaux compatibles avec la 2G et la 3G uniquement.

L’Arcep compte les cartes SIM 2G et 3G… sauf celles dans les véhicules

Le premier observatoire a été publié en septembre, sur des données de juin 2025. Il restait alors encore 5,9 millions de terminaux en circulation, dont 2,8 millions seulement en 2G et donc en fin de vie dans un an maximum. Aujourd’hui, il en reste encore respectivement 5,61 millions, soit une baisse de 4,8 % en trois mois (285 000 de moins), et 2,66 millions (140 000 de moins en trois mois).

L’Arcep distingue deux cas de figure. D’un côté les terminaux pour des usages voix, SMS et Internet mobile (en particulier des téléphones mobiles et des tablettes de clients). De l’autre, les cartes SIM pour des services Machine to Machine (MtoM)… mais à l’exception des « cartes SIM montées par les constructeurs automobiles dans les véhicules » qui ne sont donc pas comptabilisées.

Voici le bilan :

  • Cartes SIM 2G seulement (voix/SMS/internet) : 1,57 million (- 60 000 en trois mois)
  • Cartes SIM 2G/3G (voix/SMS/internet) : 1,05 million (- 20 000 en trois mois)
  • Total (voix/SMS/internet) : 2,62 millions (- 80 000 en trois mois)
  • Cartes SIM 2G (MtoM) : 1,09 million (- 130 000 en trois mois)
  • Cartes SIM 2G/3G (MtoM) : 1,90 million (- 70 000 en trois mois)
  • Total (MtoM) : 2,99 millions (- 200 000 en trois mois)

« À l’aune des calendriers annoncés d’extinction de la technologie 2G sur les réseaux des opérateurs, il est attendu que la dynamique de décroissance de ces parcs s’intensifie dans les prochains mois », explique (ou espère ?) le régulateur des télécoms.

Il ajoute qu’il sera attentif « aux actions mises en œuvre par les opérateurs pour accélérer la transition vers des terminaux compatibles avec les technologies 4G ou 5G à l’approche des échéances d’extinction des technologies 2G puis 3G ». L’Arcep propose une page dédiée à la fermeture des réseaux 2G et 3G ici.

Rendez-vous fin 2028 pour l’extinction de la 3G

L’Arcep explique que, fin septembre, « le nombre de cartes SIM dans des terminaux pour des services Machine to Machine compatibles uniquement avec les technologies 2G et 3G est de 3 millions d’unités », ce qui représente environ 12 % « du parc des cartes SIM dans ce type de terminal ».

En France, la 3G a droit à un sursis, mais son acte de décès est déjà prononcé. Orange et SFR arrêteront cette technologie à partir de fin 2028, tandis que Bouygues Telecom a pour le moment l’intention de pousser plus loin, jusqu’à fin 2029.

De son côté, Free arrête à partir d’aujourd’hui sa 3G. Comme nous l’avons déjà expliqué, l’opérateur indique désormais sur sa fiche standardisée d’information : « Service accessible en itinérance 2G/3G sur le réseau de l’opérateur historique partenaire ».

Free passe donc par Orange pour la 2G et la 3G, lui permettant ainsi de réaffecter une partie de ses fréquences de la 3G pour améliorer débits et couverture de la 4G… au grand dam de Bouygues Telecom qui était encore une fois vent debout contre la prolongation de l’itinérance de Free sur le réseau d’Orange.

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☕️ Orange signe un accord engageant pour racheter les 50 % manquants de MasOrange

Il y a un peu plus d’un mois, Orange annonçait avoir conclu un accord non engageant pour racheter au fonds britannique Lorca les 50 % qu’il détient de l’opérateur espagnol MasOrange. Orange passe la seconde, avec un accord engageant cette fois.

Les conditions financières pour récupérer les 50 % manquants du « premier opérateur sur le marché espagnol en nombre de clients » sont les mêmes, à savoir 4,25 milliards d’euros en numéraire. Pour Orange, l’Espagne est le deuxième marché en Europe, après la France.

La finalisation de cette transaction est maintenant prévue pour le premier semestre 2026. Orange deviendra alors le propriétaire exclusif de l’opérateur espagnol aux 31 millions de clients sur le mobile et 7,1 millions de clients sur le fixe.

Ce rachat s’inscrit dans la nouvelle stratégie « Lead the future » lancée il y a trois ans. Son objectif : se recentrer sur son cœur de métier en Europe, à savoir les télécoms et la cyberdéfense.

MasOrange y contribue, notamment avec l’arrivée de l’ex-patron de l’ANSSI Guillaume Poupard comme Chief Trust Officer chargé de la « confiance et souveraineté ».

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Un tweet, depuis supprimé, confirme l'arrivée prochaine de l'Intel Arc B770

La future carte graphique des bleus, encore hypoth�tique, fait beaucoup parler d'elle ces derniers temps. En effet, nous avons d�j� vu la semaine derni�re qu'une carte graphique en 300 watts se pr�parait chez Intel. Une information qui faisait elle-m�me suite � l'apparition d'une carte bas�e sur BMG-G31, aper�ue en transit on ne sait trop o�. Mais aujourd'hui, nous avons droit au sommet de la confirmation. Et le plus int�ressant, c'est que celle-ci provient directement des bleus, m�me si la preuve a depuis disparu. […]

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AGESA 1.2.7.1 chez ASRock : de nouveaux CPU Ryzen AM5 se préparent

ASRock commence � d�ployer de nouveaux BIOS pour ses cartes m�res AM5, int�grant le firmware AGESA Combo AM5 1.2.7.1 sign� AMD. Ces mises � jour sont d�j� visibles sur les pages de support officielles de plusieurs mod�les en B650 et B850, avec une courte mention, mais � combien �vocatrice : support des futurs processeurs. Une formulation volontairement vague, mais que l'on conna�t bien. Dans le petit monde des BIOS, ce type de mention sert tr�s souvent � pr�parer l'arriv�e de processeurs qui n'ont pas encore �t� annonc�s officiellement, et ces processeurs, nous les connaissons, ce sont les Ryzen 7 9850X3D et Ryzen 9 9950X3D2 qui devraient �tre annonc�s au prochain CES de Las Vegas. […]

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Tomb Raider: Legacy of Atlantis : un éniéme remake de l'épisode initial !

Nous l'attendions et le futur de l'iconique licence Tomb Raider commence � se dessiner, deux "nouveaux" jeux sont attendus, un totalement in�dit, Tomb Raider: Catalyst, d�velopp� par Crystal Dynamics et un autre dont le nom laisse � penser que nous sommes face � un nouveau titre, mais il n'en est rien, Tomb Raider Legacy of Atlantis, d�velopp� par les studiosCrystal Dynamics et Flying Wild Hog. Car oui, il s'agit d'un nouveau remake du jeu originel Tomb Raider, sorti en 1996, qui eut le droit � un premier remake, en 2007, avec le jeu Tomb Raider: Anniversary et dans une moindre mesure dans la compilation Tomb Raider I-III Remastered, sortie en 2024. La question latente est de savoir si un tel remake �tait vraiment n�cessaire, ne va-t-on pas vers trop de redondance, m�me si Tomb Raider a marqu� notre g�n�ration ? Nous ne doutons pas que le jeu tirera parti du moteur Unreal Engine 5, Lara a des proportions plus r�alistes, l'actrice Alix Wilton Regan apportera son savoir-faire, elle a d�j� oeuvr� dans les jeux Dragon Age: Inquisition, Cyberpunk 2077 et Mass Effect 3, mais n'est-ce pas un peu trop ? […]

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☕️ Eutelsat lève 1,5 milliard d’euros et l’État devient le premier actionnaire

Comme prévu, Eutelsat a effectué une levée de fonds, mais plus importante que prévue. Alors qu’il était question de 1,35 milliard d’euros au mois de juin, elle est finalement de 1,5 milliard d’euros. L’État aussi revoit sa participation à la hausse avec 749,3 millions d’euros au lieu de 717 millions annoncés.

« La participation de l’État au capital d’Eutelsat est désormais de 29,65 %, ce qui en fait le premier actionnaire », explique le ministère de l’Économie et des Finances. Les actionnaires de référence de l’entreprise que sont Bharti Space (17,88 %), le Gouvernement britannique (10,89 %), CMA CGM (7,46 %), et le Fonds Stratégique de Participations (4,99 %) ont également participé. Le flottant est de 29,13 %.

Cette levée de fonds doit permettre le « développement d’Eutelsat dans le domaine des constellations LEO, segment stratégique pour les télécommunications de demain et dont le marché connaît un fort développement ». Un segment où Starlink de SpaceX est déjà en place et sur lequel Amazon Leo (ex-Kuiper) se prépare aussi, au grand dam des syndicats.

Le ministère explique d’ailleurs que cette manne financière servira aux « investissements dans sa constellation en orbite basse (LEO) et la future constellation européenne souveraine IRIS² », ou Infrastructure de Résilience et d’Interconnexion Sécurisée par Satellites.

IRIS² sera le « le premier réseau de satellites multi-orbitaux en Europe ». Cette constellation sera « constituée d’environ 300 satellites et devrait voir le jour en 2030 », rappelle le CNES. Elle fournira une « infrastructure de communication sécurisée aux organismes et agences gouvernementales de l’UE ».

Le gouvernement assure la promotion d’Eutelsat et rappelle que le groupe « se distingue à ce titre par sa position unique au niveau mondial : il est aujourd’hui le seul opérateur à combiner une flotte en orbite géostationnaire (GEO) et une constellation en orbite basse (LEO), lui conférant un avantage technologique et stratégique sans équivalent ».

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☕️ Eutelsat lève 1,5 milliard d’euros et l’État devient le premier actionnaire

Comme prévu, Eutelsat a effectué une levée de fonds, mais plus importante que prévue. Alors qu’il était question de 1,35 milliard d’euros au mois de juin, elle est finalement de 1,5 milliard d’euros. L’État aussi revoit sa participation à la hausse avec 749,3 millions d’euros au lieu de 717 millions annoncés.

« La participation de l’État au capital d’Eutelsat est désormais de 29,65 %, ce qui en fait le premier actionnaire », explique le ministère de l’Économie et des Finances. Les actionnaires de référence de l’entreprise que sont Bharti Space (17,88 %), le Gouvernement britannique (10,89 %), CMA CGM (7,46 %), et le Fonds Stratégique de Participations (4,99 %) ont également participé. Le flottant est de 29,13 %.

Cette levée de fonds doit permettre le « développement d’Eutelsat dans le domaine des constellations LEO, segment stratégique pour les télécommunications de demain et dont le marché connaît un fort développement ». Un segment où Starlink de SpaceX est déjà en place et sur lequel Amazon Leo (ex-Kuiper) se prépare aussi, au grand dam des syndicats.

Le ministère explique d’ailleurs que cette manne financière servira aux « investissements dans sa constellation en orbite basse (LEO) et la future constellation européenne souveraine IRIS² », ou Infrastructure de Résilience et d’Interconnexion Sécurisée par Satellites.

IRIS² sera le « le premier réseau de satellites multi-orbitaux en Europe ». Cette constellation sera « constituée d’environ 300 satellites et devrait voir le jour en 2030 », rappelle le CNES. Elle fournira une « infrastructure de communication sécurisée aux organismes et agences gouvernementales de l’UE ».

Le gouvernement assure la promotion d’Eutelsat et rappelle que le groupe « se distingue à ce titre par sa position unique au niveau mondial : il est aujourd’hui le seul opérateur à combiner une flotte en orbite géostationnaire (GEO) et une constellation en orbite basse (LEO), lui conférant un avantage technologique et stratégique sans équivalent ».

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Bon Plan : Black Desert offert par Steam

Le jeu Black Desert est offert par la plateforme d�mat�rialis�e de Valve, Steam, vous avez jusqu'au 18 d�cembre pour effectuer l'ajout ici. Le MMORPG d'action Onlmine de Pearl Abyss rencontre un certain succ�s, avec 20 millions de joueurs recens�s, vous ne deviez pas vous sentir trop seul ! […]

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