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Élections : la France « fait face à un durcissement de la menace informationnelle »

Citoyenneté numérique critique
Élections : la France « fait face à un durcissement de la menace informationnelle »

À l’invitation du Sénat, des responsables du ministère de l’Intérieur, de VIGINUM, de l’ARCOM, de la CNIL et de la Fondation Descartes revenaient le 5 novembre sur l’état de la menace sur le paysage informationnel français en amont des prochaines élections.

« Depuis le milieu des années 2010, aucun rendez-vous électoral ou référendaire majeur n’a été épargné par des tentatives de manipulation des élections impliquant des acteurs étrangers. » C’est par ces mots que la directrice adjointe de VIGINUM Anne-Sophie Dhiver a entamé sa prise de parole, lors de la table ronde sur les manipulations numériques en période électorale organisée ce 5 novembre par la Commission de la culture et la commission des lois du Sénat (replay).

Le secrétaire général du ministère de l’Intérieur Hugues Moutouh a partagé cette évidence : les pressions sur le débat public sont fréquentes, croissantes, et toujours plus importantes lorsqu’approche un rendez-vous démocratique.

C’est notamment pour comprendre le degré de préparation des électeurs en amont des élections municipales de 2026 et de la présidentielle de 2027 que les sénatrices et sénateurs avaient convié ce mercredi des dirigeants de l’ARCOM, de la CNIL et de la Fondation Descartes aux côtés d’Anne-Sophie Dhiver et d’Hugues Moutouh.

Municipales : des sites générés par IA pour désinformer

De la loi de 1986 sur la transparence de la vie politique à la directive européenne sur la transparence et le ciblage de la publicité à caractère politique entrée en application ce 10 octobre 2025, en passant par le règlement européen sur les services numériques (DSA), la « loi influenceurs » ou encore celle sur la lutte contre les manipulations de l’information, le cadre juridique « semble pléthorique », relève en introduction le président de la Commission Culture Laurent Lafon.


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Ryzen AI MAX+ 388, un Strix Halo 8 cœurs et Radeon 8060S qui se montre sur PassMark

En plus du Ryzen 7 9700X3D, un autre processeur AMD vient de se montrer sur PassMark. Il s'agit du Ryzen AI MAX+ 388, un SoC Strix Halo 8 cœurs / 16 threads. Comme l'a repéré @realVictor_M sur X, la fiche PassMark lui attribue environ 31 702 points en multithread et 4 145 points en single thread, avec un seul échantillon testé et une “margin for error: High” puisqu'un seul processeur est apparu. Autant dire qu'il faut encore prendre ces scores avec des pincettes. […]

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Ryzen 7 9700X3D : un troisième Zen 5 X3D pour l'AM5 repéré chez PassMark ?

Un mystérieux Ryzen 7 9700X3D vient de faire son apparition dans la base de données de PassMark. Un seul sample est listé pour le moment, mais ça suffit à agiter la sphère hardware et à laisser penser qu'AMD préparerait un troisième processeur Zen 5 X3D pour le socket AM5. S'il se confirme, il deviendrait ainsi le troisième Ryzen 9000X3D, et le deuxième modèle 8 cœurs / 16 threads avec 96 Mo de cache L3. De quoi étoffer encore l'offre X3D sur le segment gaming. […]

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Geekbench nous en apprend plus sur le processeur AMD Ryzen 5 7500X3D

AMD est très actif en ce moment et les rumeurs vont bon train sur les futurs processeurs à venir des rouges. La semaine dernière, nous avons déjà évoqué les Ryzen 7 9850X3D et Ryzen 9 9950X3D2, qui devraient être annoncés au prochain CES. Ce jour, c'est un processeur plus accessible qui fait parler de lui, à savoir le Ryzen 5 7500X3D. Un modèle qui viendra se placer sous le 7600X3D, qui sera en 6 Cores et 12 Threads, avec 102 Mo de mémoire cache au total, un TDP de 65 watts et des vitesses qui seront surement un peu en dessous du 7600X3D. […]

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Modding Cafe a supprimé les ventilateurs des ASUS ROG Astral GeForce RTX 5090/5080, mais pas le style

Modding Cafe est un moddeur que l'on connaît bien à la ferme, puisque nous présentons régulièrement ses créations le dimanche. Il propose souvent des réalisations particulièrement propres, parfois même un peu folles, comme ça PS5 Pro entièrement watercoolée. Aujourd'hui, pas de tuning complet de PC, mais un focus sur une carte graphique. Et pas n'importe laquelle : une ASUS ROG Astral RTX 5080 dont le système de refroidissement a été complètement repensé. […]

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China Delays Shenzhou-20 Crew Return After Suspected Space Debris Impact

China has delayed the return of its Shenzhou-20 crewed spacecraft after it was suspected to have been struck by space debris while docked at the Tiangong space station. "The Shenzhou-20 crewed spacecraft is suspected of being struck by a small piece of space debris, and impact analysis and risk assessment are underway," the China Manned Space Engineering Office (CMSEO) statement Nov. 5 read. "To ensure the safety and health of the astronauts and the complete success of the mission, it has been decided that the Shenzhou-20 return mission, originally scheduled for Nov. 5, will be postponed." SpaceNews reports: CMSEO did not specify the location of the suspected strike, the extent of any damage, or the data that indicated an impact. No potential dates were noted for a return to Earth. The Shenzhou-20 spacecraft launched April 24, carrying three astronauts -- commander Chen Dong and crewmates Chen Zhongrui and Wang Jie -- to the Tiangong space station. The spacecraft docked at the radial port of Tiangong's Tianhe core module. The crew have completed their six-month-long mission in orbit, and had handed over control of the space station to the newly-arrived Shenzhou-21 crew Nov. 4. Checks on the Shenzhou-20 spacecraft could include telemetry and leak tests, verifying guidance and propulsion systems, and screening for impacts in accelerometer and acoustic sensor data. A key concern would be potential damage to the spacecraft's thermal protection system or parachute deployment structures, both critical for safe atmospheric reentry and landing. Tiangong features a 10-meter-long robotic arm, capable of crawling, and a smaller, more precise arm. These could be employed to position cameras and provide closeup imagery of a potential impact. Crews may be able to conduct an extravehicular activity (EVA) to assess the situation. Tiangong crews have recently added debris shields during a number of EVAs; the same procedures, tools, and arm support can be adapted for a Shenzhou inspection.

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L’arrivée de Rust dans APT provoque des débats dans la communauté Debian

L’arrivée de Rust dans APT provoque des débats dans la communauté Debian

L’un des développeurs de Debian a annoncé l’inclusion prochaine de code en Rust dans le gestionnaire APT. La décision reflète une volonté de renforcer la sécurité du composant, mais soulève de nombreuses questions et critiques.

Comme nous l’avons vu récemment à travers notre interview de Sylvestre Ledru, directeur de l’ingénierie chez Mozilla, le langage Rust s’insinue partout. Ses performances et ses mécanismes de sûreté de la mémoire en font la nouvelle coqueluche de bon nombre d’entreprises pour la programmation système.

Du Rust dans APT

Dans la sphère Linux, son arrivée provoque davantage de remous, avec des débats relatifs à son utilisation dans le noyau. Dans Debian, le développeur Julian Andres Klode a publié le soir d’Halloween un message important :

« Je prévois d’introduire des dépendances Rust et du code Rust dans APT, au plus tôt en mai 2026. Cela concernera dans un premier temps le compilateur Rust, la bibliothèque standard et l’écosystème Sequoia. Notre code d’analyse des fichiers .deb, .ar et .tar, ainsi que le code de vérification des signatures HTTP, bénéficieraient particulièrement de l’utilisation de langages sécurisés en mémoire et d’une approche plus rigoureuse des tests unitaires. Si vous maintenez un port sans chaîne d’outils Rust fonctionnelle, veuillez vous assurer qu’il en dispose dans les six prochains mois, ou supprimez le port. Il est important pour l’ensemble du projet de pouvoir aller de l’avant et de s’appuyer sur des outils et des technologies modernes, sans être freiné par la tentative d’adapter des logiciels modernes à des appareils informatiques rétro »

Dans le courant de l’année prochaine, le gestionnaire de paquet APT va donc commencer à intégrer du code en Rust. Autrement dit, Debian elle-même aura une exigence stricte sur la prise en charge du langage sur toutes les architectures.

Critiques et inquiétudes

Pour les utilisateurs de la distribution, cela ne devrait rien changer. Pour les développeurs en revanche, il y aura des travaux plus ou moins importants, car il faudra prévoir une chaine de compilation Rust fonctionnelle en plus des outils traditionnels comme GCC. En clair, la complexité va monter d’un cran, notamment sur les architectures moins courantes où le langage n’est pas bien supporté.

Pourquoi ce problème ? Parce que le compilateur Rust repose sur l’infrastructure LLVM, quand l’immense majorité des compilations dans les systèmes Linux sont effectuées avec GCC. Si LLVM présente certains avantages (comme la compilation Just-in-time), il est également supporté par un plus petit nombre d’architectures, contrairement à GCC qui est plus ancien, plus éprouvé et présent pratiquement partout.

Dans les commentaires de Phoronix, on peut lire différentes inquiétudes au sujet de cette annonce. La principale est qu’en l’absence de compilateur Rust sur une partie des architectures supportées par Debian, la distribution risque de perdre son côté « universel » à sa prochaine itération majeure. Certains commentaires mettent aussi en avant la fiabilité éprouvée de GCC, qui correspond à la philosophie de Debian de ne pas bondir sur les dernières technologies, privilégiant la plus grande stabilité possible.

Citons également le poids : le compilateur Rust et sa chaine d’outils sont plus volumineux que GCC et sa compilation est plus lente, ce qui pourrait poser problème pour les systèmes embarqués et des configurations plus anciennes. D’autres encore s’inquiètent d’une dépendance accrue envers l’écosystème Rust et ses binaires précompilés, créant des interrogations sur la sécurité et l’auditabilité du code.

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L’arrivée de Rust dans APT provoque des débats dans la communauté Debian

L’arrivée de Rust dans APT provoque des débats dans la communauté Debian

L’un des développeurs de Debian a annoncé l’inclusion prochaine de code en Rust dans le gestionnaire APT. La décision reflète une volonté de renforcer la sécurité du composant, mais soulève de nombreuses questions et critiques.

Comme nous l’avons vu récemment à travers notre interview de Sylvestre Ledru, directeur de l’ingénierie chez Mozilla, le langage Rust s’insinue partout. Ses performances et ses mécanismes de sûreté de la mémoire en font la nouvelle coqueluche de bon nombre d’entreprises pour la programmation système.

Du Rust dans APT

Dans la sphère Linux, son arrivée provoque davantage de remous, avec des débats relatifs à son utilisation dans le noyau. Dans Debian, le développeur Julian Andres Klode a publié le soir d’Halloween un message important :

« Je prévois d’introduire des dépendances Rust et du code Rust dans APT, au plus tôt en mai 2026. Cela concernera dans un premier temps le compilateur Rust, la bibliothèque standard et l’écosystème Sequoia. Notre code d’analyse des fichiers .deb, .ar et .tar, ainsi que le code de vérification des signatures HTTP, bénéficieraient particulièrement de l’utilisation de langages sécurisés en mémoire et d’une approche plus rigoureuse des tests unitaires. Si vous maintenez un port sans chaîne d’outils Rust fonctionnelle, veuillez vous assurer qu’il en dispose dans les six prochains mois, ou supprimez le port. Il est important pour l’ensemble du projet de pouvoir aller de l’avant et de s’appuyer sur des outils et des technologies modernes, sans être freiné par la tentative d’adapter des logiciels modernes à des appareils informatiques rétro »

Dans le courant de l’année prochaine, le gestionnaire de paquet APT va donc commencer à intégrer du code en Rust. Autrement dit, Debian elle-même aura une exigence stricte sur la prise en charge du langage sur toutes les architectures.

Critiques et inquiétudes

Pour les utilisateurs de la distribution, cela ne devrait rien changer. Pour les développeurs en revanche, il y aura des travaux plus ou moins importants, car il faudra prévoir une chaine de compilation Rust fonctionnelle en plus des outils traditionnels comme GCC. En clair, la complexité va monter d’un cran, notamment sur les architectures moins courantes où le langage n’est pas bien supporté.

Pourquoi ce problème ? Parce que le compilateur Rust repose sur l’infrastructure LLVM, quand l’immense majorité des compilations dans les systèmes Linux sont effectuées avec GCC. Si LLVM présente certains avantages (comme la compilation Just-in-time), il est également supporté par un plus petit nombre d’architectures, contrairement à GCC qui est plus ancien, plus éprouvé et présent pratiquement partout.

Dans les commentaires de Phoronix, on peut lire différentes inquiétudes au sujet de cette annonce. La principale est qu’en l’absence de compilateur Rust sur une partie des architectures supportées par Debian, la distribution risque de perdre son côté « universel » à sa prochaine itération majeure. Certains commentaires mettent aussi en avant la fiabilité éprouvée de GCC, qui correspond à la philosophie de Debian de ne pas bondir sur les dernières technologies, privilégiant la plus grande stabilité possible.

Citons également le poids : le compilateur Rust et sa chaine d’outils sont plus volumineux que GCC et sa compilation est plus lente, ce qui pourrait poser problème pour les systèmes embarqués et des configurations plus anciennes. D’autres encore s’inquiètent d’une dépendance accrue envers l’écosystème Rust et ses binaires précompilés, créant des interrogations sur la sécurité et l’auditabilité du code.

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AMD attaqué en justice par Adeia : Ryzen X3D et 3D V-Cache visés

Le 3 novembre dernier, au travers d'un communiqué officiel, la société ADEIA, spécialiste des licences de brevets, a annoncé l'ouverture d'une procédure pour violation de brevets visant AMD. L'entreprise affirme que certaines technologies de fabrication de semi-conducteurs utilisées par le fondeur enfreindraient plusieurs de ses brevets. Dans ce texte, Adeia explique avoir déposé une action en justice pour contrefaçon de brevets contre AMD. La société assure que, depuis des années, les produits du fondeur « intègrent et utilisent largement » ses innovations brevetées dans les semi-conducteurs, au point d'avoir « grandement contribué » au succès d'AMD en tant que leader du marché, et qu'elle n'aurait pas réussi à obtenir d'accord amiable malgré de longues discussions. Concrètement, Adeia dit viser dix brevets issus de son portefeuille dédié aux semi-conducteurs, dont sept portent sur la technologie de liaison hybride et trois sur des procédés de nœuds avancés. Officiellement, l'entreprise présente cette procédure comme le « meilleur moyen de protéger les inventions d'Adeia ainsi les intérêts de ses actionnaires et de ses clients». M. Davis ajoute cependant que la société « reste ouverte à la recherche d'un accord juste et raisonnable qui reflète la valeur de notre propriété intellectuelle ». Adeia ne donne pas de liste de références détaillée, mais selon l'agence Reuters, la plainte vise plusieurs familles de processeurs AMD, dont certaines puces orientées IA. Les modèles les plus visés seraient ceux embarquant le 3D V Cache. Adeia estimant que la méthode d'empilement 3D et les procédés de gravure utilisés par AMD reposent sur ses brevets, sans accord de licence jugé satisfaisant de son côté. […]

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Le Ryzen 5 7500X3D semble sur le point d'être lancé. Voici ses probables caractéristiques, maintenant pourrons-nous l'acheter en France ?...

Il y a dix jours de cela, Thibaut vous parlait d'un AMD Ryzen 5 7500X3D qui avait été ajouté au catalogue d'un revendeur au Royaume-Uni. Son existence semble se confirmer aujourd'hui, puisque le Ryzen 5 7500X3D serait apparu hier dans une validation Geekbench 6.5. C'est donc l'occasion pour nous d'a...

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☕️ De l’IA dans Tinder pour analyser les données et photos des utilisateurs

Match Group, géant des applications de rencontres, a expliqué aux investisseurs qu’il allait utiliser l’IA pour traiter les données de ses utilisateurs et leur proposer une nouvelle fonctionnalité. Celle-ci, nommée Chemistry, explique TechCrunch, s’appuiera sur des questions posées aux utilisateurs et sur leurs photos (avec leur permission) pour proposer des « matchs » qui se voudront plus affinés.

Chemistry est déjà testée en Nouvelle-Zélande et en Australie et doit, selon le CEO de Match Group, Spencer Rascoff, devenir le « pilier majeur de l’expérience produit de Tinder en 2026 ».

Tinder utilise déjà l’IA générative pour la modération des discussions privées : l’application demande à l’utilisateur s’il est sûr de vouloir envoyer un message étiqueté comme potentiellement offensant par le système. L’application propose aussi d’aider l’utilisateur à choisir les photos à mettre en avant.

Match Group semble vouloir relancer son application phare avec l’IA alors que le groupe a indiqué que les revenus de Tinder avaient baissé de 3 % au troisième trimestre comparé à celui de l’année dernière et qu’elle voit son nombre d’utilisateurs payants baisser de 7 %.

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☕️ De l’IA dans Tinder pour analyser les données et photos des utilisateurs

Match Group, géant des applications de rencontres, a expliqué aux investisseurs qu’il allait utiliser l’IA pour traiter les données de ses utilisateurs et leur proposer une nouvelle fonctionnalité. Celle-ci, nommée Chemistry, explique TechCrunch, s’appuiera sur des questions posées aux utilisateurs et sur leurs photos (avec leur permission) pour proposer des « matchs » qui se voudront plus affinés.

Chemistry est déjà testée en Nouvelle-Zélande et en Australie et doit, selon le CEO de Match Group, Spencer Rascoff, devenir le « pilier majeur de l’expérience produit de Tinder en 2026 ».

Tinder utilise déjà l’IA générative pour la modération des discussions privées : l’application demande à l’utilisateur s’il est sûr de vouloir envoyer un message étiqueté comme potentiellement offensant par le système. L’application propose aussi d’aider l’utilisateur à choisir les photos à mettre en avant.

Match Group semble vouloir relancer son application phare avec l’IA alors que le groupe a indiqué que les revenus de Tinder avaient baissé de 3 % au troisième trimestre comparé à celui de l’année dernière et qu’elle voit son nombre d’utilisateurs payants baisser de 7 %.

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Les datacenters colonisent les fonds marins et l’espace

Vous êtes encerclés par les datas, toute résistance est inutile
Les datacenters colonisent les fonds marins et l’espace

Microsoft puis le Chinois HiCloud immergent des datacenters dans l’eau au large des côtes. À l’opposé, HPE installe des serveurs dans la Station spatiale internationale, tandis que Google veut déployer une constellation de satellites pour des traitements liés à l’IA en profitant de l’énergie solaire. Deux approches, un même besoin : toujours plus de serveurs.

Sur notre planète Terre, la croissance galopante du numérique et, depuis quelques années, de l’intelligence artificielle générative soulève des questions sur la consommation des ressources, notamment en électricité et en eau. Comme nous l’avons expliqué dans un long dossier, il existe bien des indicateurs, mais ils sont parfois suffisamment flous pour « jouer » avec les résultats.

Depuis maintenant des années, des projets tentent des approches différentes… comprendre ailleurs que sur la terre ferme. Une première solution « évidente » et facile d’accès est de passer au niveau des mers et des océans. Ils occupent 70 % de la Terre (la planète) et proposent des avantages certains, mais aussi des contraintes.

Microsoft a immergé un datacenter pendant deux ans


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Le mod RTX Remix pour Max Payne 2 avance bien !

Darko P nous montre ses avancées dans l'intégration du mod RTX Remix dans le jeu Max Payne 2 , avec une vidéo de plus de 8 minutes, qui comprend du gameplay ! Le projet est porté par une seule personne, cela excuse les quelques bugs, comme certains reflets dans les miroirs, des éléments qui se déforment avec les mouvements... Mais cela permet un sérieux coup de polish pour jeu qui date du début des années 2000 et cela permettra de patienter jusqu'au remake officiel ! […]

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Le jeu The Outer Worlds 2 se corrige !

Le jeu The Outer Worlds 2 profite d'un hotfix 1.0.4.1, qui promet de corriger divers soucis ! Bonjour à tous les commandants ! Nous publions le correctif 1.0.4.1 pour The Outer Worlds 2. Comme toujours, nous vous remercions infiniment pour votre soutien et votre patience. Si vous rencontrez d'autres problèmes, veuillez nous contacter via notre page Issue Tracker. Le Directoire Terrestre vous remercie. Corrections critiques - Correction des sauvegardes qui plantaient à chaque chargement si des données erronées s'introduisaient dans les données des objets favoris. - Correction de plusieurs plantages rares. - (PS5 uniquement) Correction d'un plantage lorsque le jeu était lancé avec uniquement le chunk PlayGo installé et que l'utilisateur dépassait la station Horizon Point. - Le perk Plug Puller n'empêche plus les rencontres d'avancer. - Les joueurs ne verront plus leur historique de conversation réinitialisé à des moments inattendus pendant le jeu. - Les parties de la carte déjà explorées ne seront plus réinitialisées. […]

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Voilà peut-être le cube de 20 cm d'arrête le plus puissant au monde ? Abee fait très fort avec son AI Station 395 Max !

La simple lecture du titre vous oriente déjà vers la star des APU, le Ryzen AI Max+ 395, qui brille autant par ses performances que par son absence 10 mois après son annonce. Abee annonce sa machine, AI Station 395 Max de son petit nom, qui cache bien son jeu. Alors qu'on pourrait s'attendre à une é...

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Universe Expansion May Be Slowing, Not Accelerating, Study Suggests

A new study challenges the Nobel-winning theory that the universe's expansion is accelerating, suggesting instead that it may be slowing down as dark energy weakens -- potentially leading to a future "big crunch" where the cosmos collapses back in on itself. "Our study shows that the universe has already entered a phase of decelerated expansion at the present epoch and that dark energy evolves with time much more rapidly than previously thought," said Prof Young-Wook Lee, of Yonsei University in South Korea, who led the work. "If these results are confirmed, it would mark a major paradigm shift in cosmology since the discovery of dark energy 27 years ago." The Guardian reports: The latest work focuses on the reliability of observations of distant supernovae (exploding stars) that led to the discovery of dark energy, work that was awarded the 2011 Nobel prize in physics. [...] By estimating the ages of 300 host galaxies using a different method, the team concluded that there are simply variations in the properties of stars in the early universe that mean they produce, on average, fainter supernovae. Correcting for this systematic bias still results in an expanding universe, but suggests that the expansion has slowed down and that dark energy is waning, the analysis concluded. If dark energy keeps decreasing to the point where it becomes negative, the universe is theoretically predicted to end in a big crunch. The findings are published in Monthly Notices of the Royal Astronomical Society.

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A New Ion-Based Quantum Computer Makes Error Correction Simpler

An anonymous reader quotes a report from MIT Technology Review: The US- and UK-based company Quantinuum today unveiled Helios, its third-generation quantum computer, which includes expanded computing power and error correction capability. Like all other existing quantum computers, Helios is not powerful enough to execute the industry's dream money-making algorithms, such as those that would be useful for materials discovery or financial modeling. But Quantinuum's machines, which use individual ions as qubits, could be easier to scale up than quantum computers that use superconducting circuits as qubits, such as Google's and IBM's. "Helios is an important proof point in our road map about how we'll scale to larger physical systems," says Jennifer Strabley, vice president at Quantinuum, which formed in 2021 from the merger of Honeywell Quantum Solutions and Cambridge Quantum. Honeywell remains Quantinuum's majority owner. Located at Quantinuum's facility in Colorado, Helios comprises a myriad of components, including mirrors, lasers, and optical fiber. Its core is a thumbnail-size chip containing the barium ions that serve as the qubits, which perform the actual computing. Helios computes with 98 barium ions at a time; its predecessor, H2, used 56 ytterbium qubits. The barium ions are an upgrade, as they have proven easier to control than ytterbium. These components all sit within a chamber that is cooled to about 15 Kelvin (-432.67 ), on top of an optical table. Users can access the computer by logging in remotely over the cloud. [...] Helios is noteworthy for its qubits' precision, says Rajibul Islam, a physicist at the University of Waterloo in Canada, who is not affiliated with Quantinuum. The computer's qubit error rates are low to begin with, which means it doesn't need to devote as much of its hardware to error correction. Quantinuum had pairs of qubits interact in an operation known as entanglement and found that they behaved as expected 99.921% of the time. "To the best of my knowledge, no other platform is at this level," says Islam. [...] Besides increasing the number of qubits on its chip, another notable achievement for Quantinuum is that it demonstrated error correction "on the fly," says David Hayes, the company's director of computational theory and design, That's a new capability for its machines. Nvidia GPUs were used to identify errors in the qubits in parallel. Hayes thinks that GPUs are more effective for error correction than chips known as FPGAs, also used in the industry. Quantinuum has used its computers to investigate the basic physics of magnetism and superconductivity. Earlier this year, it reported simulating a magnet on H2, Quantinuum's predecessor, with the claim that it "rivals the best classical approaches in expanding our understanding of magnetism." Along with announcing the introduction of Helios, the company has used the machine to simulate the behavior of electrons in a high-temperature superconductor. Quantinuum is expanding its Helios line with a new system in Minnesota. It's also started developing its fourth-generation quantum computer, Sol, set for 2027 with 192 qubits. Then, a fifth-generation system, Apollo, is expected in 2029 with thousands of qubits and full fault tolerance.

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The Louvre's Video Surveillance Password Was 'Louvre'

A bungled October 18 heist that saw $102 million of crown jewels stolen from the Louvre in broad daylight has exposed years of lax security at the national art museum. From trivial passwords like 'LOUVRE' to decades-old, unsupported systems and easy rooftop access, the job was made surprisingly easy. PC Gamer reports: As Rogue cofounder and former Polygon arch-jester Cass Marshall notes on Bluesky, we owe a lot of videogame designers an apology. We've spent years dunking on the emptyheadedness of game characters leaving their crucial security codes and vault combinations in the open for anyone to read, all while the Louvre has been using the password "Louvre" for its video surveillance servers. That's not an exaggeration. Confidential documents reviewed by Liberation detail a long history of Louvre security vulnerabilities, dating back to a 2014 cybersecurity audit performed by the French Cybersecurity Agency (ANSSI) at the museum's request. ANSSI experts were able to infiltrate the Louvre's security network to manipulate video surveillance and modify badge access. "How did the experts manage to infiltrate the network? Primarily due to the weakness of certain passwords which the French National Cybersecurity Agency (ANSSI) politely describes as 'trivial,'" writes Liberation's Brice Le Borgne via machine translation. "Type 'LOUVRE' to access a server managing the museum's video surveillance, or 'THALES' to access one of the software programs published by... Thales." The museum sought another audit from France's National Institute for Advanced Studies in Security and Justice in 2015. Concluded two years later, the audit's 40 pages of recommendations described "serious shortcomings," "poorly managed" visitor flow, rooftops that are easily accessible during construction work, and outdated and malfunctioning security systems. Later documents indicate that, in 2025, the Louvre was still using security software purchased in 2003 that is no longer supported by its developer, running on hardware using Windows Server 2003.

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