Can Chinese-Made Buses Be Hacked? Norway Drove One Down a Mine To Find Out
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Prix de folie sur la Sapphire Radeon RX 9070 XT PULSE chez Amazon. La carte est de base à 659,99 € mais le revendeur propose une remise de 66 €, qui se fera automatiquement à la dernière page de la commande, celle permettant de valider le paiement. Cela fait donc cette excellente Sapphire Radeon RX...
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Ce 19 novembre 2025 restera à n'en pas douter comme l'un des jours les plus importants de l'histoire du Hardware avec un grand "H". Après six mois d'attente insoutenable, puisque la firme avait présenté sa nouveauté fracassante lors du Computex au mois de mai, voici qu'ID-COOLING semble sur le point...
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La Commission a annoncé avoir ouvert plusieurs enquêtes sur le marché du cloud en Europe pour déterminer si Amazon et Microsoft doivent être désignées comme contrôleurs d’accès sur le cloud et ainsi être soumises à des règles plus strictes du DMA.
Alors qu’Emmanuel Macron et le chancelier allemand Friedrich Merz organisaient un sommet sur la souveraineté numérique européenne à Berlin, la Commission européenne a annoncé l’ouverture d’enquêtes sur le marché du cloud computing en Europe. Elle veut notamment vérifier que le DMA est bien appliqué sur ce marché et envisage de modifier le statut d’AWS et d’Azure en leur attribuant l’étiquette de « contrôleurs d’accès » (ou gatekeepers), ce qui leur ajouterait des obligations légales permettant de simplifier la concurrence pour les autres acteurs.
« Soyons clairs, l’Europe ne veut pas être le client des grands entrepreneurs ou des grandes solutions proposées, que ce soit par les États-Unis ou par la Chine. Nous voulons clairement concevoir nos propres solutions », a déclaré Emmanuel Macron à Berlin, ajoutant qu’il s’agit « simplement d’un refus d’être un vassal ». Le message envoyé en parallèle par la Commission concernant le cloud se veut dans le même sens.
Il correspond à ce qu’avaient demandé plusieurs lobbys européens du milieu vendredi dernier. Dans une « déclaration commune », le Cigref et ses homologues néerlandais, belges et allemands appelaient « la Commission européenne et les autorités nationales à faire preuve d’une vigilance accrue et à mettre en œuvre rigoureusement la loi sur les marchés numériques (DMA) », en ajoutant que « les grands fournisseurs mondiaux de technologies doivent être désignés comme gardiens lorsque leur position sur le marché leur permet d’imposer des conditions commerciales déloyales, de limiter les choix industriels de leurs clients et de restreindre la libre concurrence ».
De son côté, le lobby états-unien Business Software Alliance, dont font partie AWS et Microsoft, implorait lundi l’Europe de « laisser la porte ouverte ». « À l’heure où la souveraineté est devenue l’un des thèmes politiques les plus controversés de l’UE », affirmait BSA, le lobby proposait des alternatives « aux mesures de localisation restrictives et aux stratégies « exclusivement européennes » ».
La Commission semble donc pencher dans le sens des lobbys européens en ouvrant, comme elle l’indique dans un communiqué, deux enquêtes de marché pour évaluer si « Amazon et Microsoft devraient être désignés comme contrôleurs d’accès pour leurs services de cloud computing, Amazon Web Services et Microsoft Azure, au titre du DMA, c’est-à-dire qu’ils agissent comme des passerelles importantes entre les entreprises et les consommateurs, même s’ils ne remplissent pas les critères du DMA en matière de taille, de nombre d’utilisateurs et de position sur le marché ». Elle y ajoute une troisième enquête pour estimer « si le DMA peut lutter efficacement contre les pratiques susceptibles de limiter la compétitivité et l’équité dans le secteur du cloud computing dans l’UE ».
La Commission explique que « les analyses des marchés du cloud menées ces dernières années semblent indiquer que les services de cloud computing Microsoft Azure et Amazon Web Services occupent des positions très fortes par rapport aux entreprises et aux consommateurs ». Elle ajoute qu’elle évaluera « si certaines caractéristiques du secteur du cloud computing sont susceptibles de renforcer encore la position de Microsoft Azure et d’Amazon Web Services ».
Comme nous l’indiquions dans notre article détaillé lors de l’entrée en application du DMA, les obligations que devront respecter AWS et Azure en cas de désignation seront multiples. Notamment, le texte prévoit une obligation d’interopérabilité, « avec les mêmes caractéristiques matérielles et logicielles », ainsi que la portabilité des données. Ils ne pourraient non plus inscrire d’office l’utilisateur d’un service à un autre fourni par le même contrôleur d’accès, ni utiliser les données fournies par les entreprises qui utilisent le service de plateforme pour favoriser les propres services du contrôleur d’accès.
La Commission ajoute d’ailleurs comme exemple de sujets que les enquêtes devront aborder « les obstacles à l’interopérabilité entre le cloud computing, l’accès limité ou conditionné des entreprises utilisatrices aux données, les services de vente liée et de groupage et les clauses contractuelles potentiellement déséquilibrées ».
« Les services d’informatique en nuage sont essentiels pour la compétitivité et la résilience de l’Europe. Nous voulons que ce secteur stratégique se développe à des conditions équitables, ouvertes et concurrentielles », affirme Teresa Ribera, vice-présidente exécutive chargée d’une transition propre, juste et compétitive. « C’est pourquoi nous ouvrons aujourd’hui des enquêtes pour déterminer si les principaux services de cloud computing d’Amazon et de Microsoft, Amazon Web Services et Microsoft Azure, devraient être soumis aux obligations du règlement sur les marchés numériques (DMA) ». Elle ajoute que la Commission pourrait aussi faire évoluer ce texte pour « que l’Europe puisse suivre le rythme de l’évolution rapide des pratiques » dans ce secteur.
Alors que Microsoft a déclaré à Reuters être prête à contribuer au travail d’enquête de la Commission, AWS affirmait que « désigner les fournisseurs de services cloud comme gatekeepers ne vaut pas la peine de prendre le risque d’étouffer l’innovation ou d’augmenter les coûts pour les entreprises européennes ».
La Commission a annoncé avoir ouvert plusieurs enquêtes sur le marché du cloud en Europe pour déterminer si Amazon et Microsoft doivent être désignées comme contrôleurs d’accès sur le cloud et ainsi être soumises à des règles plus strictes du DMA.
Alors qu’Emmanuel Macron et le chancelier allemand Friedrich Merz organisaient un sommet sur la souveraineté numérique européenne à Berlin, la Commission européenne a annoncé l’ouverture d’enquêtes sur le marché du cloud computing en Europe. Elle veut notamment vérifier que le DMA est bien appliqué sur ce marché et envisage de modifier le statut d’AWS et d’Azure en leur attribuant l’étiquette de « contrôleurs d’accès » (ou gatekeepers), ce qui leur ajouterait des obligations légales permettant de simplifier la concurrence pour les autres acteurs.
« Soyons clairs, l’Europe ne veut pas être le client des grands entrepreneurs ou des grandes solutions proposées, que ce soit par les États-Unis ou par la Chine. Nous voulons clairement concevoir nos propres solutions », a déclaré Emmanuel Macron à Berlin, ajoutant qu’il s’agit « simplement d’un refus d’être un vassal ». Le message envoyé en parallèle par la Commission concernant le cloud se veut dans le même sens.
Il correspond à ce qu’avaient demandé plusieurs lobbys européens du milieu vendredi dernier. Dans une « déclaration commune », le Cigref et ses homologues néerlandais, belges et allemands appelaient « la Commission européenne et les autorités nationales à faire preuve d’une vigilance accrue et à mettre en œuvre rigoureusement la loi sur les marchés numériques (DMA) », en ajoutant que « les grands fournisseurs mondiaux de technologies doivent être désignés comme gardiens lorsque leur position sur le marché leur permet d’imposer des conditions commerciales déloyales, de limiter les choix industriels de leurs clients et de restreindre la libre concurrence ».
De son côté, le lobby états-unien Business Software Alliance, dont font partie AWS et Microsoft, implorait lundi l’Europe de « laisser la porte ouverte ». « À l’heure où la souveraineté est devenue l’un des thèmes politiques les plus controversés de l’UE », affirmait BSA, le lobby proposait des alternatives « aux mesures de localisation restrictives et aux stratégies « exclusivement européennes » ».
La Commission semble donc pencher dans le sens des lobbys européens en ouvrant, comme elle l’indique dans un communiqué, deux enquêtes de marché pour évaluer si « Amazon et Microsoft devraient être désignés comme contrôleurs d’accès pour leurs services de cloud computing, Amazon Web Services et Microsoft Azure, au titre du DMA, c’est-à-dire qu’ils agissent comme des passerelles importantes entre les entreprises et les consommateurs, même s’ils ne remplissent pas les critères du DMA en matière de taille, de nombre d’utilisateurs et de position sur le marché ». Elle y ajoute une troisième enquête pour estimer « si le DMA peut lutter efficacement contre les pratiques susceptibles de limiter la compétitivité et l’équité dans le secteur du cloud computing dans l’UE ».
La Commission explique que « les analyses des marchés du cloud menées ces dernières années semblent indiquer que les services de cloud computing Microsoft Azure et Amazon Web Services occupent des positions très fortes par rapport aux entreprises et aux consommateurs ». Elle ajoute qu’elle évaluera « si certaines caractéristiques du secteur du cloud computing sont susceptibles de renforcer encore la position de Microsoft Azure et d’Amazon Web Services ».
Comme nous l’indiquions dans notre article détaillé lors de l’entrée en application du DMA, les obligations que devront respecter AWS et Azure en cas de désignation seront multiples. Notamment, le texte prévoit une obligation d’interopérabilité, « avec les mêmes caractéristiques matérielles et logicielles », ainsi que la portabilité des données. Ils ne pourraient non plus inscrire d’office l’utilisateur d’un service à un autre fourni par le même contrôleur d’accès, ni utiliser les données fournies par les entreprises qui utilisent le service de plateforme pour favoriser les propres services du contrôleur d’accès.
La Commission ajoute d’ailleurs comme exemple de sujets que les enquêtes devront aborder « les obstacles à l’interopérabilité entre le cloud computing, l’accès limité ou conditionné des entreprises utilisatrices aux données, les services de vente liée et de groupage et les clauses contractuelles potentiellement déséquilibrées ».
« Les services d’informatique en nuage sont essentiels pour la compétitivité et la résilience de l’Europe. Nous voulons que ce secteur stratégique se développe à des conditions équitables, ouvertes et concurrentielles », affirme Teresa Ribera, vice-présidente exécutive chargée d’une transition propre, juste et compétitive. « C’est pourquoi nous ouvrons aujourd’hui des enquêtes pour déterminer si les principaux services de cloud computing d’Amazon et de Microsoft, Amazon Web Services et Microsoft Azure, devraient être soumis aux obligations du règlement sur les marchés numériques (DMA) ». Elle ajoute que la Commission pourrait aussi faire évoluer ce texte pour « que l’Europe puisse suivre le rythme de l’évolution rapide des pratiques » dans ce secteur.
Alors que Microsoft a déclaré à Reuters être prête à contribuer au travail d’enquête de la Commission, AWS affirmait que « désigner les fournisseurs de services cloud comme gatekeepers ne vaut pas la peine de prendre le risque d’étouffer l’innovation ou d’augmenter les coûts pour les entreprises européennes ».
Le 18 novembre, la panne de Cloudflare a plongé une partie du web dans le noir. Comme on pouvait s’y attendre, l’entreprise a publié un billet explicatif détaillé sur les raisons ayant conduit à cette coupure d’environ trois heures. Les raisons sont complexes et non liées à une attaque ou autre incident de sécurité.
ChatGPT, X, Facebook, Spotify, Canva, Feedly, Marmiton, Doctissimo et autres sites ont été inaccessibles pendant environ trois heures le 18 novembre. Le dénominateur commun ? Ils sont tous protégés par Cloudflare, qui commercialise des services permettant de résister aux attaques distribuées par déni de service (DDoS), entre autres services.
Les solutions vendues par Cloudflare sont devenues omniprésentes, au point que l’entreprise américaine revendique aujourd’hui la gestion de 20 % du trafic web mondial. Un chiffre colossal, qui fait de l’acteur un maillon devenu essentiel du web, avec les conséquences allant de pair en cas de panne. Dans la veine du récent incident chez Amazon Web Services, la panne de Cloudflare a eu des répercussions mondiales et un post mortem détaillé était attendu pour expliquer ce qui avait bien pu provoquer une telle coupure.
La disparition soudaine de Cloudflare aurait pu faire craindre une infrastructure finalement vaincue par une énorme attaque concertée. Il n’en est rien : tout a commencé par une modification apportée aux permissions de l’un des systèmes de base de données (ClickHouse). Elle visait à améliorer la sécurité des requêtes distribuées en rendant explicites les accès aux tables sous-jacentes dans la base de données.
Depuis le début de cette semaine, des rumeurs plutôt alarmistes commencent à arriver. Elles ne concernent pas, pour une fois, les prix des barrettes de mémoire vive ni ceux des SSD, mais restent en lien avec les pénuries de DRAM et de NAND qui sont sont en train de prendre une ampleur inquiétante. N...
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Octave reprend encore les rênes d’OVHcloud et compte bien rester PDG pendant au moins cinq ans pour dérouler le nouveau plan stratégique. Il veut arriver à une croissance durable à deux chiffres et revient aussi sur le départ de Benjamin Revcolevschi.
Demain, OVHcloud tiendra sa grand-messe annuelle : son Summit. La semaine dernière, nous étions quelques journalistes chez OVHcloud pour parler de nombreux sujets, dont la vision stratégique de l’entreprise.
Il faut dire qu’un changement important a été annoncé il y a tout juste un mois : Octave Klaba reprend le poste de directeur général (et reste président du Conseil) à la place de Benjamin Revcolevschi. Ce dernier n’est donc resté qu’un an à la tête d’OVHcloud.
Une décision soudaine de la famille Klaba, qui est pour rappel très largement majoritaire puisqu’elle détient 81,3 % du capital et 82 % des droits de vote, ce qui facilite grandement des décisions sur le changement de la gouvernance… et inspire aussi Flock. À ce sujet, Octave Klaba tient à rappeler qu’il n’est pas le seul maitre à bord : « j’ai un board, j’ai des comités ». Il détaille son propos : « C’est une boîte où il y a un fondateur, une famille, des valeurs, une mission, une vision. Donc, oui, vous n’êtes pas dans une boîte de dépossédés ; mais non, ça ne veut pas dire que c’est de la dictature ».
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