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Plantage des Core i9 : Intel corrige un bug sur l’eTVB, mais l’enquête continue

Une root cause peut en cacher une autre

Intel est toujours empêtré dans les plantages des Core i9 de 13e et 14e génération (série K). Lors de l’enquête, un souci a été identifié sur une fonction permettant de booster les performances : l’(e)TVB. S’il « contribue potentiellement à l’instabilité, il n’en est pas la cause profonde », qui reste toujours à identifier.

Depuis des mois, des clients Intel font état de plantages sur les processeurs haut de gamme que sont les Core i9-13900K/KF/KS et i9-14900K/KF/KS (respectivement de 13e et 14e génération). En avril, le fondeur ouvrait officiellement une enquête.

En mai, la société publiait ses recommandations officielles, avec des paramètres à mettre en place dans les BIOS/UEFI pour atténuer les soucis. Elle affirmait au passage qu’elle ne cherchait pas à « imputer la faute » à ses partenaires que sont les fabricants de cartes mères. Une des possibilités étant que ces derniers aient la main un peu lourde sur les optimisations.

Des mises à jour étaient également proposées par certains constructeurs afin de mettre en place un retour aux paramètres « Intel baseline ». Asus expliquait que cela permettait « aux utilisateurs de revenir aux paramètres d’usine Intel par défaut pour les fonctionnalités de base, des limites de puissance inférieures et une amélioration de la stabilité dans certains jeux ». Moins de perfs, mais plus de stabilité.

L’(enhanced) Thermal Velocity Boost pointé du doigt

Dans tous les cas, l’enquête se poursuivait et la cause première des plantages n’était toujours pas connue. De nouvelles informations sont arrivées par l’intermédiaire d’Igor Wallossek, qui s’occupait auparavant de Tom’s Hardware Germany. Il a publié un document interne d’Intel, dont le fondeur en confirme au moins partiellement l’existence.

L’enhanced Thermal Velocity Boost (eTVB) est pointé du doigt. Il s’agit d’une version améliorée de la fonctionnalité Thermal Velocity Boost (TVB) introduite en 2018. Elle « qui permet de booster les performances du processeur lorsque la marge thermique et le budget de puissance turbo sont disponibles ».

Allez toujours plus vite… parfois trop

Comme l’explique Intel, cette fonctionnalité « accroît automatiquement et de manière opportune la fréquence d’horloge au-delà des fréquences de la technologie Intel Turbo Boost mono et multicœurs en fonction de la température à laquelle fonctionne le processeur ». Elle s’active lorsque la température, la consommation et d’autres paramètres sont en dessous de valeurs prédéfinies.

On imagine bien le souci en cas de mauvaise information, si le processeur est déjà au niveau de ses limites par exemple. Le document publié par notre confrère explique justement qu’un « mauvais calcul de la limite de fréquence peut permettre au processeur de fonctionner à une fréquence et une température élevées ». Le risque en pareille situation est bien connu : un plantage de la machine.

Voilà la « root cause » de la discorde

« La cause première est une valeur incorrecte dans un algorithme du microcode associé à la fonctionnalité eTVB », toujours selon notre confrère qui se base sur le document interne en sa possession. Il s’agit de la « root cause » du problème de l’eTVB, mais pas obligatoirement de la « root cause » des plantages des Core i9 série K. Vous suivez ?

Certains ont visiblement fait le raccourci, poussant Igor’s Lab à ajouter un paragraphe à son article initial : « C’est une autre pièce du puzzle [du plantage des Core i9, ndlr], mais pas la soi-disant « cause profonde ». J’ajoute ceci en note car, encore une fois, j’ai été cité de manière incomplète et parfois incorrecte ». Ambiance.

Intel aussi est sortie du bois, avec un communiqué transmis à plusieurs de nos confrères américains, dont The Verge : « Contrairement aux récents rapports des médias, Intel n’a pas confirmé la cause première et continue, avec ses partenaires, d’enquêter sur les rapports des utilisateurs concernant des problèmes d’instabilité sur les processeurs desktop Intel Core 13e et 14e générations (K/KF/KS) ».

Le problème de l’eTVB découvert en cherchant les causes de plantage

Intel confirme au passage que ce bug concernant l’eTVB a été découvert dans le cadre de l’enquête sur les plantages des Core i9. Dans le document, Intel demande à ses clients de mettre à jour le BIOS de leur machine avec « le microcode 0x125 ou une version ultérieure ».

« Bien que ce problème contribue potentiellement à l’instabilité, il n’en est pas la cause profonde », ajoute Intel auprès de nos confrères. L’enquête continue donc pour identifier la « root cause » des plantages des Core i9 série K de 13e et 14e génération.

Le temps commence dans tous les cas à être long pour Intel… Non seulement la société a mis des mois à réagir, mais en plus, elle n’a toujours pas identifié la cause première des plantages des Core i9 série K de 13e et 14e génération, malgré déjà plusieurs mois d’enquête.

Plantage des Core i9 : Intel corrige un bug sur l’eTVB, mais l’enquête continue

Une root cause peut en cacher une autre

Intel est toujours empêtré dans les plantages des Core i9 de 13e et 14e génération (série K). Lors de l’enquête, un souci a été identifié sur une fonction permettant de booster les performances : l’(e)TVB. S’il « contribue potentiellement à l’instabilité, il n’en est pas la cause profonde », qui reste toujours à identifier.

Depuis des mois, des clients Intel font état de plantages sur les processeurs haut de gamme que sont les Core i9-13900K/KF/KS et i9-14900K/KF/KS (respectivement de 13e et 14e génération). En avril, le fondeur ouvrait officiellement une enquête.

En mai, la société publiait ses recommandations officielles, avec des paramètres à mettre en place dans les BIOS/UEFI pour atténuer les soucis. Elle affirmait au passage qu’elle ne cherchait pas à « imputer la faute » à ses partenaires que sont les fabricants de cartes mères. Une des possibilités étant que ces derniers aient la main un peu lourde sur les optimisations.

Des mises à jour étaient également proposées par certains constructeurs afin de mettre en place un retour aux paramètres « Intel baseline ». Asus expliquait que cela permettait « aux utilisateurs de revenir aux paramètres d’usine Intel par défaut pour les fonctionnalités de base, des limites de puissance inférieures et une amélioration de la stabilité dans certains jeux ». Moins de perfs, mais plus de stabilité.

L’(enhanced) Thermal Velocity Boost pointé du doigt

Dans tous les cas, l’enquête se poursuivait et la cause première des plantages n’était toujours pas connue. De nouvelles informations sont arrivées par l’intermédiaire d’Igor Wallossek, qui s’occupait auparavant de Tom’s Hardware Germany. Il a publié un document interne d’Intel, dont le fondeur en confirme au moins partiellement l’existence.

L’enhanced Thermal Velocity Boost (eTVB) est pointé du doigt. Il s’agit d’une version améliorée de la fonctionnalité Thermal Velocity Boost (TVB) introduite en 2018. Elle « qui permet de booster les performances du processeur lorsque la marge thermique et le budget de puissance turbo sont disponibles ».

Allez toujours plus vite… parfois trop

Comme l’explique Intel, cette fonctionnalité « accroît automatiquement et de manière opportune la fréquence d’horloge au-delà des fréquences de la technologie Intel Turbo Boost mono et multicœurs en fonction de la température à laquelle fonctionne le processeur ». Elle s’active lorsque la température, la consommation et d’autres paramètres sont en dessous de valeurs prédéfinies.

On imagine bien le souci en cas de mauvaise information, si le processeur est déjà au niveau de ses limites par exemple. Le document publié par notre confrère explique justement qu’un « mauvais calcul de la limite de fréquence peut permettre au processeur de fonctionner à une fréquence et une température élevées ». Le risque en pareille situation est bien connu : un plantage de la machine.

Voilà la « root cause » de la discorde

« La cause première est une valeur incorrecte dans un algorithme du microcode associé à la fonctionnalité eTVB », toujours selon notre confrère qui se base sur le document interne en sa possession. Il s’agit de la « root cause » du problème de l’eTVB, mais pas obligatoirement de la « root cause » des plantages des Core i9 série K. Vous suivez ?

Certains ont visiblement fait le raccourci, poussant Igor’s Lab à ajouter un paragraphe à son article initial : « C’est une autre pièce du puzzle [du plantage des Core i9, ndlr], mais pas la soi-disant « cause profonde ». J’ajoute ceci en note car, encore une fois, j’ai été cité de manière incomplète et parfois incorrecte ». Ambiance.

Intel aussi est sortie du bois, avec un communiqué transmis à plusieurs de nos confrères américains, dont The Verge : « Contrairement aux récents rapports des médias, Intel n’a pas confirmé la cause première et continue, avec ses partenaires, d’enquêter sur les rapports des utilisateurs concernant des problèmes d’instabilité sur les processeurs desktop Intel Core 13e et 14e générations (K/KF/KS) ».

Le problème de l’eTVB découvert en cherchant les causes de plantage

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« Bien que ce problème contribue potentiellement à l’instabilité, il n’en est pas la cause profonde », ajoute Intel auprès de nos confrères. L’enquête continue donc pour identifier la « root cause » des plantages des Core i9 série K de 13e et 14e génération.

Le temps commence dans tous les cas à être long pour Intel… Non seulement la société a mis des mois à réagir, mais en plus, elle n’a toujours pas identifié la cause première des plantages des Core i9 série K de 13e et 14e génération, malgré déjà plusieurs mois d’enquête.

L'alimentation passive Cooler Master X Silent 850 W est en précommande, avec des cadeaux mais le prix pique !

Cela faisait un moment que nous ne vous avions pas parlé de la gamme d'alimentations Cooler Master X Silent. Pour rappel, il s'agit d'alimentations très haut de gamme dont les deux premières versions sont entièrement fanless : les X Silent Edge Platinum 850 et X Silent Edge Platinum 1100, tandis que...

Researchers Devise Photosynthesis-Based Energy Source With Negative Carbon Emissions

Researchers have devised a way to extract energy from the photosynthesis process of algae, according to an announcement from Concordia University. Suspended in a specialized solution, the algae forms part of a "micro photosynthetic power cell" that can actually generate enough energy to power low-power devices like Internet of Things (IoT) sensors. "Photosynthesis produces oxygen and electrons. Our model traps the electrons, which allows us to generate electricity," [says Kirankumar Kuruvinashetti, PhD 20, now a Mitacs postdoctoral associate at the University of Calgary.] "So more than being a zero-emission technology, it's a negative carbon emission technology: it absorbs carbon dioxide from the atmosphere and gives you a current. Its only byproduct is water." [...] Muthukumaran Packirisamy, professor in the Department of Mechanical, Industrial and Aerospace Engineering and the paper's corresponding author, admits the system is not yet able to compete in power generation with others like photovoltaic cells. The maximum possible terminal voltage of a single micro photosynthetic power cell is only 1.0V. But he believes that, with enough research and development, including artificial intelligence-assisted integration technologies, this technology has the potential to be a viable, affordable and clean power source in the future. It also offers significant manufacturing advantages over other systems, he says. "Our system does not use any of the hazardous gases or microfibres needed for the silicon fabrication technology that photovoltaic cells rely on. Furthermore, disposing of silicon computer chips is not easy. We use biocompatible polymers, so the whole system is easily decomposable and very cheap to manufacture." In the paper the researchers also described it as a âoemicrobial fuel cellâ...

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☕️ L‘USB4 version 2.0 se montre chez ASMedia

L’USB4 a été annoncé il y a maintenant plus de cinq ans. Apple a rapidement sauté le pas avec l’intégration de cette connectique dans ses Mac équipés de puce M1 dès 2020. Les autres fabricants prennent davantage leur temps, mais l’USB4 commence à s’installer doucement.

L’USB4 permet pour rappel des débits symétriques jusqu’à 40 Gb/s. L’USB Promoter Group (Apple, HP, Intel, Microsoft…) et l’USB-IF ont décidé de lancer l’USB4 en version 2.0 en septembre 2022, avec de nouveau des débits doublés de 80 Gb/s (symétriques).

Mais autre gros changement majeur : la possibilité de désynchroniser les débits. La bande passante totale est de 160 Gb/s : 80 Gb/s dans chaque sens, mais on peut aussi répartir sous la forme 120 Gb/s dans un sens, 40 Gb/s dans l’autre (et donc toujours un total de 160 Gb/s).

Si on reparle de l’USB4 2.0, c’est qu’ASMedia a profité du Computex pour présenter sa première puce compatible avec cette norme. Il ne s’agissait pour le moment que d’un prototype sous la forme d’un FPGA, car le contrôleur n’est pas encore disponible sous sa forme définitive.

Le but est simplement de montrer que le développement avance, mais également d’afficher de belles courbes de signal. On peut voir sur l’image ci-dessous les trois niveaux – l’USB4 2.0 utilise pour rappel le PAM-3 (modulation d’impulsions en amplitude sur trois niveaux) – avec une belle séparation entre eux. C’est aussi le cas de la GDDR7 pour ne citer que cet exemple, tandis que PCIe 6.0 et 7.0 sont en PAM-4.

Selon AnandTech, ASMedia prévoirait de lancer ses premiers contrôleurs USB4 v2 durant le second semestre 2025. Cette société est un acteur important de la connectique USB, fournissant de nombreux fabricants.

☕️ Sam Altman voudrait se débarrasser de la partie à but non lucratif d’OpenAI

Sam Altman, le CEO d’OpenAI, aurait récemment expliqué à certains actionnaires de son entreprise qu’il envisage de basculer vers une gouvernance complètement à but lucratif, selon The Information cité par Reuters.

Sam Altman aurait évoqué la possibilité qu’OpenAI reprenne le même genre de structure que ses concurrents Anthropic et xAI.

Rappelons que fin 2015, OpenAI a été créée comme un organisme à but non lucratif pour financer la recherche sur le développement d’une intelligence artificielle générale « sûre et bénéfique ».

Cette réflexion intervient alors que plusieurs salariés, dont certains membres du Conseil d’administration originel plus motivés par le projet à but non lucratif de la structure, ont démissionné. La possibilité d’alerter sur les risques des IA est par ailleurs mise à mal au sein de l’organisation :

Interrogée sur le sujet par Reuters, OpenAI a répondu : « nous restons concentrés sur la construction d’une IA qui profite à tous. L’organisation à but non lucratif est au cœur de notre mission et continuera d’exister ».

C’est quoi la sécurité informatique ?

Repasse-moi cette bouteille de lait

La sécurité informatique n’existe pas. Ou n’existe plus. Il fut un temps (lointain) où il était possible de rendre un système informatique à peu près sûr, mais ce temps-là a disparu, au gré de la complexification exponentielle de nos systèmes.

Quand on fait de la sûreté des systèmes (au sens large, pas seulement informatique, la sûreté est l’assurance qu’un système fait correctement ce qu’il doit faire, ce qui implique aussi de le faire en toute sécurité), on nous apprend très vite que la fiabilité globale d’un système est égale à celle du composant le plus faible : lorsque, dans une chaîne, un des maillons se brise, la chaîne ne remplit plus son rôle.

Tout au plus peut-on réutiliser les petits bouts encore intacts pour certains usages, mais certainement pas pour l’usage initial. Imaginez une chaîne servant à fermer une porte ou un grillage avec un cadenas de haute qualité. Si la chaîne se brise, et même si le cadenas est intact, la porte pourra être ouverte.

L’informatique contemporaine est un infâme « accumoncellement » de chaînes de plus en plus longues, composées de maillons de plus en plus fragiles, puisqu’étant eux-mêmes des chaînes complexes, etc. Au risque de passer pour un vieux con (je regrette le temps où on pouvait me traiter de jeune con), l’équivalent des premiers systèmes d’exploitation pouvaient tenir en quelques kilo-octets (si, si) et donc pouvaient quasiment être validés formellement (le Graal en sûreté informatique).

Comptez les lignes de codes pour Windows ou Linux : on navigue désormais sur des dizaines de millions de lignes. Pour un attaquant, il suffit d’une erreur, alors que le défenseur quant à lui n’a tout simplement pas droit à l’erreur : cette loi n’est encore une fois pas spécifique à l’informatique, mais la complexité croissante ne confine guère à l’optimisme.

De quoi en pousser certains à la technophobie pour lutter contre cette complexification à outrance… Oui, ça fait toujours bizarre d’entendre un spécialiste informatique dire qu’il est technophobe, n’est-ce pas Ferd ?

Plus sérieusement, faute de pouvoir prendre des mesures coercitives, douloureuses et autoritaires, il faut faire avec. Et c’est bien là tout le sujet : on ne sécurise pas un système informatique (au sens où on le rend sûr et inattaquable), car ça devient impossible. Non, on gère les risques liés à l’utilisation des systèmes informatiques.

Par ailleurs, le crime suit l’usage : plus l’informatique sert à des activités importantes ou ayant de la valeur, plus cela va intéresser les petits malins et les grands criminels. Nous voilà donc avec un cocktail explosif : des menaces à profusion (un monde plein de malfaisants) et des systèmes hypercomplexes (présentant des vulnérabilités).

Un soupçon d’ISO 27005 et de vocabulaire


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☕️ L‘USB4 version 2.0 se montre chez ASMedia

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L’USB4 permet pour rappel des débits symétriques jusqu’à 40 Gb/s. L’USB Promoter Group (Apple, HP, Intel, Microsoft…) et l’USB-IF ont décidé de lancer l’USB4 en version 2.0 en septembre 2022, avec de nouveau des débits doublés de 80 Gb/s (symétriques).

Mais autre gros changement majeur : la possibilité de désynchroniser les débits. La bande passante totale est de 160 Gb/s : 80 Gb/s dans chaque sens, mais on peut aussi répartir sous la forme 120 Gb/s dans un sens, 40 Gb/s dans l’autre (et donc toujours un total de 160 Gb/s).

Si on reparle de l’USB4 2.0, c’est qu’ASMedia a profité du Computex pour présenter sa première puce compatible avec cette norme. Il ne s’agissait pour le moment que d’un prototype sous la forme d’un FPGA, car le contrôleur n’est pas encore disponible sous sa forme définitive.

Le but est simplement de montrer que le développement avance, mais également d’afficher de belles courbes de signal. On peut voir sur l’image ci-dessous les trois niveaux – l’USB4 2.0 utilise pour rappel le PAM-3 (modulation d’impulsions en amplitude sur trois niveaux) – avec une belle séparation entre eux. C’est aussi le cas de la GDDR7 pour ne citer que cet exemple, tandis que PCIe 6.0 et 7.0 sont en PAM-4.

Selon AnandTech, ASMedia prévoirait de lancer ses premiers contrôleurs USB4 v2 durant le second semestre 2025. Cette société est un acteur important de la connectique USB, fournissant de nombreux fabricants.

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Rappelons que fin 2015, OpenAI a été créée comme un organisme à but non lucratif pour financer la recherche sur le développement d’une intelligence artificielle générale « sûre et bénéfique ».

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