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☕️ IA : les géants numériques changent discrètement leurs conditions d’utilisation

Des textes partent de trois groupes de personnes pour en faire un quatrième au-dessus d'eux.

Depuis plusieurs mois, le New-York Times relève une tendance nette à travers l’industrie : de modifications discrètes des conditions d’utilisation de divers services numériques.

En juillet 2023, Google modifiait la phrase « Nous utilisons des informations accessibles au public pour entrainer les modèles de langage de Google et créer des produits et des fonctionnalités telles que Google Translate » pour « Nous utilisons des informations accessibles au public pour entrainer les modèles d’intelligence artificielle de Google et créer des produits et des fonctionnalités telles que Google Translate, Bard et des fonctions d’IA dans le cloud ».

Parfois très courtes, ces mises à jour peuvent aussi se traduire, comme chez Snap, par l’ajout de sections complètes dans lesquels l’usage de modèles génératifs est détaillé, de même que le type de personne ayant accès aux données des internautes.

Le plus souvent ignorés, ces changements attirent un nombre croissant de critiques, notamment de la part d’artistes qui y voient une nouvelle manière, pour les plateformes, de s’approprier leur travail. 
Adobe, en particulier, a été vivement critiqué pour une évolution de sa politique qui a largement été comprise comme l’annonce d’un scraping des travaux réalisés grâce à ses outils.

En Europe, Meta a été visé par le même type de backlash, ce qui a abouti à la suspension de son projet d’entraînement de systèmes algorithmiques sur les publications de ses usagers.

Aux États-Unis, cela dit, les lois sont moins strictes, ce qui signifie que l’entreprise peut déjà réaliser ce type d’entraînement, sans avoir dû prévenir les utilisateurs.

☕️ IA : les géants numériques changent discrètement leurs conditions d’utilisation

Des textes partent de trois groupes de personnes pour en faire un quatrième au-dessus d'eux.

Depuis plusieurs mois, le New-York Times relève une tendance nette à travers l’industrie : de modifications discrètes des conditions d’utilisation de divers services numériques.

En juillet 2023, Google modifiait la phrase « Nous utilisons des informations accessibles au public pour entrainer les modèles de langage de Google et créer des produits et des fonctionnalités telles que Google Translate » pour « Nous utilisons des informations accessibles au public pour entrainer les modèles d’intelligence artificielle de Google et créer des produits et des fonctionnalités telles que Google Translate, Bard et des fonctions d’IA dans le cloud ».

Parfois très courtes, ces mises à jour peuvent aussi se traduire, comme chez Snap, par l’ajout de sections complètes dans lesquels l’usage de modèles génératifs est détaillé, de même que le type de personne ayant accès aux données des internautes.

Le plus souvent ignorés, ces changements attirent un nombre croissant de critiques, notamment de la part d’artistes qui y voient une nouvelle manière, pour les plateformes, de s’approprier leur travail. 
Adobe, en particulier, a été vivement critiqué pour une évolution de sa politique qui a largement été comprise comme l’annonce d’un scraping des travaux réalisés grâce à ses outils.

En Europe, Meta a été visé par le même type de backlash, ce qui a abouti à la suspension de son projet d’entraînement de systèmes algorithmiques sur les publications de ses usagers.

Aux États-Unis, cela dit, les lois sont moins strictes, ce qui signifie que l’entreprise peut déjà réaliser ce type d’entraînement, sans avoir dû prévenir les utilisateurs.

NVIDIA IA Décodée - Stoppez le bruit : NVIDIA Broadcast renforce le Livestreaming et le travail à distance.

Dans le blog IA Décodée de cette semaine, nous nous intéressons à la façon dont NVIDIA Broadcast exploite l'IA pour aider les utilisateurs à transformer leur station de travail PC RTX en home studio professionnel. Les outils NVIDIA RTX accélérés par l'IA ont également joué un rôle clé dans l'amélioration des jeux, de la création de contenu et de la productivité au fil des ans. L'application NVIDIA Broadcast en est un exemple : elle utilise les Tensor Cores sur un GPU RTX local pour améliorer de façon transparente la qualité audio et vidéo. […]

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Si vous avez l'envie d'une chaise Gamer ou d'un siège de type ergonomique, 1FODISCOUNT vous propose, pour les soldes, un coupon de pas moins de 30 % sur une sélection de chaises Gamer/ergonomique. Le code promo pour avoir le droit à un coupon de 30 % est 1FOSUNCHAIR. Nous avons des modèles de chez NitroConcepts, noblechairs, Thunder X3, Aerocool, Gamdias ou encore DX Racer. […]

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NVIDIA's AD102 GPU Pops Up in MSI GeForce RTX 4070 Ti Super Cards

As GPU families enter the later part of their lifecycles, we often see chip manufacturers start to offload stockpiles of salvaged chips that, for one reason or another, didn't make the grade for the tier of cards they normally are used in. These recovered chips are fairly unremarkable overall, but they are unsold silicon that still works and has economic value, leading to them being used in lower-tier cards so that they can be sold. And, judging by the appearance of a new video card design from MSI, it looks like NVIDIA's Ada Lovelace generation of chips has reached that stage, as the Taiwanese video card maker has put out a new GeForce RTX 4070 Ti Super card based on a salvaged AD102 GPU.

Typically based on NVIDIA's AD103 GPU, NVIDIA's GeForce RTX 4070 Ti Super series sits a step below the company's flagship RTX 4080/4090 cards, both of which are based on the bigger and badder AD102 chip. But with some number of AD102 chips inevitably failing to live up to RTX 4080 specifications, rather than being thrown out, these chips can instead be used to make RTX 4070 cards. Which is exactly what MSI has done with their new GeForce RTX 4070 Ti Super Ventus 3X Black OC graphics card.

The card itself is relatively unremarkable – using a binned AD102 chip doesn't come with any advantages, and it should perform just like regular AD103 cards – and for that reason, video card vendors rarely publicly note when they're doing a run of cards with a binned-down version of a bigger chip. However, these larger chips have a tell-tale PCB footprint that usually makes it obvious what's going on. Which, as first noticed by @wxnod, is exactly what's going on with MSI's card.


Ada Lovelace Lineup: MSI GeForce RTX 4070 TiS (AD103), RTX 4070 TiS (AD102), & RTX 4090 (AD102)

The tell, in this case, is the rear board shot provided by MSI. The larger AD102 GPU uses an equally larger mounting bracket, and is paired with a slightly more complex array of filtering capacitors on the back side of the board PCB. Ultimately, since these are visible in MSI's photos of their GeForce RTX 4070 Ti Super Ventus 3X Black OC, it's easy to compare it to other video cards and see that it has exactly the same capacitor layout as MSI's GeForce RTX 4090, thus confirming the use of an AD102 GPU.

Chip curiosities aside, all of NVIDIA GeForce RTX 4070 Ti Super graphics cards – no matter whether they are based on the AD102 or AD103 GPU – come with a GPU with 8,448 active CUDA cores and 16 GB of GDDR6X memory, so it doesn't (typically) matter which chip they carry. Otherwise, compared to a fully-enabled AD102 chip, the RTX 4070 Ti Super specifications are relatively modest, with fewer than half as many CUDA cores, underscoring how the AD102 chip being used in MSI's card is a pretty heavy salvage bin.

As for the rest of the card, MSI GeForce RTX 4070 Ti Super Ventus 3X Black OC is a relatively hefty card overall, with a cooling system to match. Being overclocked, the Ventus also has a slightly higher TDP than normal GeForce RTX 4070 Ti Super cards, weighing in at 295 Watts, or 10 Watts above baseline cards.

Meanwhile, MSI is apparently not the only video card manufacturer using salvaged AD102 chips for GeForce RTX 4070 Ti Super, either. @wxnod has also posted a screenshot obtained on an Inno3D GeForce RTX 4070 Ti Super based on an AD102 GPU.

Sources: MSI, @wxnod

Apple Expands Self-Service Repair Diagnostics To Europe

Apple has extended its self-service repair diagnostics tool to 32 European countries, including the UK, France, and Germany. The software, previously limited to technicians, allows customers to perform system configuration after self-repairs on iPhones, Macs, and Studio Displays. Launched in the U.S. last year, the tool is part of Apple's Self Service Repair program, which provides access to genuine parts, tools, and manuals for select models. The expansion supports 42 Apple products in 33 countries and 24 languages, furthering the company's efforts to extend product lifespan.

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Concours CORSAIR x CCL : une alimentation RMx SHIFT et un lot de ventilateurs RS120 MAX à gagner

Les beaux jours arrivent (enfin) et certains auront peut-être besoin d'un petit boost pour le refroidissement des composants. Ca tombe bien, CORSAIR et Cowcotland s'associent pour faire gagner un lot de trois ventilateurs RS120 MAX, des modèles de 30 mm d'épaisseur annoncés il y a tout juste quelques semaines. Des ventilateurs, c'est bien, mais c'est mieux quand le boitier est bien organisé du côté des câbles. Donc il y a un bloc RMx SHIFT avec les ventilateurs ! Parce que, mine de rien, les câbles qui partent du côté, c'était une excellente idée. […]

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'Great Resignation' Enters Third Year

An anonymous reader quotes a report from Reuters: The proportion of workers who expect to switch employers in the next 12 months is higher than that from the "Great Resignation" period of 2022, a PwC survey of the global workforce found. Around 28% of more than 56,000 workers surveyed by PwC said they were "very or extremely likely" to move from their current companies, compared to 19% in 2022, and 26% in 2023. PwC's 2024 "Hopes and Fears" survey also showed workers are embracing emerging technologies such as generative artificial intelligence (GenAI) and prioritizing upskilling amid rising workloads and heightened workplace uncertainty. Pete Brown, global workforce leader at PwC UK, said employees are placing an "increased premium" on organizations that invest in their skills growth, and so, businesses must prioritize upskilling and employee experience. About 45% of the workers surveyed said they have experienced rising workloads and an accelerating pace of workplace change in the last 12 months, with 62% saying they have seen more change at work in the past year than the previous 12 months. Among employees who use GenAI daily, 82% said they expect it to increase their efficiency in the next 12 months. Reflecting confidence that GenAI opportunities would support their career growth, nearly half of those surveyed by PwC expected GenAI to generate higher salaries, with almost two-thirds hoping these emerging tools will improve the quality of their work. Carol Stubbings, global markets and tax and legal services leader at PwC UK, said: "The findings suggest that job satisfaction is no longer enough." In order to retain talent and mitigate pressures, Stubbings said employers must invest in staff and tech platforms.

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Outre SoC, pensez aussi OoC, Organ-on-chip

Les OoC, cela vous dit quelques chose ? C’est l’abréviation d’organ-on-chip – ou simplement organe sur puce en français ; l’équivalent des SoC, mais en version organique. Selon les estimations du Polaris Market Research, une société spécialisée dans les rapports d'étude de marché et qui se targue de délivrer un « aperçu complet des marchés les plus rentables au monde », ce secteur va connaître une forte croissance au cours des prochaines années : il pèsera 1,388 milliards de dollars d’ici 2032, contre 131,11 millions de dollars en 2024... [Tout lire]

Atos : le consortium Onepoint retire subitement son offre, Kretinsky toujours intéressé

Billion dollar baby
Une main tenant de gros paquets de dollars

Nouveau rebondissement dans la recherche de repreneur d’Atos.

Mise à jour 15:40 : suppression de la mention erronée selon laquelle Daniel Kretinsky serait propriétaire de la division d’infogérance d’Atos (le projet a été annulé en février).

Entre éliminations de propositions, propositions limitées de l’État et délais de décision, les rebondissements ont été nombreux dans le processus qui doit mener au sauvetage financier d’Atos. Nouveau coup de théâtre ce 26 juin : l’offre formulée par le consortium de repreneurs menés par Onepoint est officiellement retirée, deux semaines après avoir été acceptée.

« Malgré le formidable engagement des collaborateurs d’Atos et la résilience des clients du groupe, le consortium Onepoint, Butler Industries et Econocom a constaté que les conditions n’étaient pas réunies pour conclure un accord ouvrant la voie à une solution pérenne de restructuration financière et de mise en œuvre du projet One Atos », a indiqué l’entreprise leader dans un communiqué.

Kretinsky reste intéressé

Pilier technologique des Jeux olympiques, en difficulté depuis plusieurs mois, Atos avait annoncé avoir besoin d’1,1 milliard d’euros de liquidité pour son activité 2024-2025 et chercher à réduire de 3,2 milliards d’euros une dette brute proche des 5 milliards. 


Si l’entreprise a reçu quatre propositions de restructuration financière en mai, elle en a rapidement écarté deux pour ne plus garder que celle du consortium Onepoint (menée par David Layani) et celle d’EPEI (avec le fonds Attester) menée par Daniel Kretinsky.

À l’annonce du retrait du consortium, le milliardaire tchèque a fait savoir qu’il restait intéressé. L’offre de Onepoint avait initialement été préférée à la sienne parce qu’elle était « mieux orientée en matière d’intérêt social de la société », selon les communications du groupe.

En attendant qu’un repreneur soit confirmé, Atos indique avoir reçu « une proposition globale de restructuration financière révisée » de ses créanciers, qui doit lui permettre de satisfaire sa « demande de liquidité à court et moyen terme ».

Maintien des activités critiques en France

Si Airbus a un temps fait savoir qu’il pourrait être intéressé par le rachat de BDS, la branche cybersécurité d’Atos, le projet a été abandonné en mars. Quelques mois plus tard, c’est Thales qui s’est déclaré non pas intéressé par l’intégralité de BDS, mais par les activités de défense et sécurité de cette branche.

Outre par sa participation dans Thales – qui n’a pas confirmé avoir été approché sur le sujet –, l’État veille. Le 30 avril, le ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté Industrielle et numérique, Bruno Le Maire, manifestait ainsi son intérêt « pour acquérir toutes les activités souveraines d’Atos ».

Dans le lot, rapportait alors l’AFP : « les supercalculateurs, les serveurs participant à l’intelligence artificielle et à l’informatique quantique ou encore des produits de cybersécurité ». Quelques jours plus tard, l’entreprise a déclaré avoir engagé des discussions avec l’Agence des participations de l’État français (APE) sur le sujet.

Sur ce dernier domaine, Dassault Aviation a lui aussi été pressenti parmi les candidats potentiels.

☕️ AirPods : Apple déploie de nouveaux firmwares pour colmater une importante faille

Le plus souvent, Apple ne donne aucun détail sur le contenu des firmwares (micrologiciels) déployés pour ses écouteurs. Cette fois, une fiche technique nous apprend qu’une faille de sécurité est colmatée, a signalé hier soir MacRumors.

Selon Apple, l’exploitation de cette faille permettrait à un individu malintentionné de prendre le contrôle du périphérique. La vulnérabilité réside dans la manière dont ce dernier cherche des appareils auxquels il s’est déjà connecté.

Les AirPods de 2ᵉ et 3ᵉ générations, Pro et Max sont concernés. La dernière révision du micrologiciel pour chacun est la suivante :

  • AirPods Pro (2e génération) avec boîtier de charge MagSafe (USB-C) : 6F8
  • AirPods Pro (2e génération) avec boîtier de charge MagSafe (Lightning) : 6F8
  • AirPods Pro (1re génération) : 6A326
  • AirPods (3e génération) : 6A326
  • AirPods (2e génération) : 6A326
  • AirPods Max : 6A326

Les Powerbeats Pro et Beats Fit Pro sont également mis à jour.

Pour rappel, on peut consulter la révision du micrologiciel en se rendant dans Réglages > Bluetooth, puis en appuyant sur le « i » à droite du périphérique dans la liste.

Il n’y a rien à faire de spécial pour déclencher la mise à jour. Apple indique simplement que les écouteurs doivent être en charge et liés en Bluetooth à un iPhone, iPad ou Mac connecté en Wi-Fi.

☕️ Teams : la Commission européenne soupçonne encore Microsoft d’abus de position dominante

La Commission maintient certains griefs contre Microsoft, lui reprochant des pratiques « potentiellement abusives de vente liée concernant Teams ».

En août 2023, l’entreprise avait pourtant annoncé la séparation de son logiciel de visioconférence de Microsoft Office 365, suite à l’ouverture le mois d’avant d’une enquête de l’institution européenne sur un potentiel abus de position dominante.

Mais, la Commission a conclu « à titre préliminaire que ces changements sont insuffisants pour répondre à ses préoccupations et que Microsoft doit apporter davantage de modifications à son comportement pour rétablir la concurrence ».

Elle craint notamment que Microsoft s’appuie sur sa « position dominante au niveau mondial sur le marché des applications de productivité SaaS à usage professionnel » en liant Teams à ses offres sur ce secteur, « restreignant ainsi la concurrence sur le marché des produits de communication et de collaboration et protégeant sa position sur le marché des logiciels de productivité et son modèle centré sur les suites contre les fournisseurs concurrents de logiciels individuels ».

Cette utilisation de sa position dominante « a pu empêcher les concurrents de Teams d’entrer en concurrence et, à leur tour, d’innover, au détriment des clients de l’Espace économique européen », explique encore la Commission.

L’institution a envoyé ses griefs à Microsoft et lui laisse le loisir de répondre, précisant que « l’envoi d’une communication des griefs ne préjuge pas de l’issue d’une enquête ».

Atos : le consortium Onepoint retire subitement son offre, Kretinsky toujours intéressé

Billion dollar baby
Une main tenant de gros paquets de dollars

Nouveau rebondissement dans la recherche de repreneur d’Atos.

Mise à jour 15:40 : suppression de la mention erronée selon laquelle Daniel Kretinsky serait propriétaire de la division d’infogérance d’Atos (le projet a été annulé en février).

Entre éliminations de propositions, propositions limitées de l’État et délais de décision, les rebondissements ont été nombreux dans le processus qui doit mener au sauvetage financier d’Atos. Nouveau coup de théâtre ce 26 juin : l’offre formulée par le consortium de repreneurs menés par Onepoint est officiellement retirée, deux semaines après avoir été acceptée.

« Malgré le formidable engagement des collaborateurs d’Atos et la résilience des clients du groupe, le consortium Onepoint, Butler Industries et Econocom a constaté que les conditions n’étaient pas réunies pour conclure un accord ouvrant la voie à une solution pérenne de restructuration financière et de mise en œuvre du projet One Atos », a indiqué l’entreprise leader dans un communiqué.

Kretinsky reste intéressé

Pilier technologique des Jeux olympiques, en difficulté depuis plusieurs mois, Atos avait annoncé avoir besoin d’1,1 milliard d’euros de liquidité pour son activité 2024-2025 et chercher à réduire de 3,2 milliards d’euros une dette brute proche des 5 milliards. 


Si l’entreprise a reçu quatre propositions de restructuration financière en mai, elle en a rapidement écarté deux pour ne plus garder que celle du consortium Onepoint (menée par David Layani) et celle d’EPEI (avec le fonds Attester) menée par Daniel Kretinsky.

À l’annonce du retrait du consortium, le milliardaire tchèque a fait savoir qu’il restait intéressé. L’offre de Onepoint avait initialement été préférée à la sienne parce qu’elle était « mieux orientée en matière d’intérêt social de la société », selon les communications du groupe.

En attendant qu’un repreneur soit confirmé, Atos indique avoir reçu « une proposition globale de restructuration financière révisée » de ses créanciers, qui doit lui permettre de satisfaire sa « demande de liquidité à court et moyen terme ».

Maintien des activités critiques en France

Si Airbus a un temps fait savoir qu’il pourrait être intéressé par le rachat de BDS, la branche cybersécurité d’Atos, le projet a été abandonné en mars. Quelques mois plus tard, c’est Thales qui s’est déclaré non pas intéressé par l’intégralité de BDS, mais par les activités de défense et sécurité de cette branche.

Outre par sa participation dans Thales – qui n’a pas confirmé avoir été approché sur le sujet –, l’État veille. Le 30 avril, le ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté Industrielle et numérique, Bruno Le Maire, manifestait ainsi son intérêt « pour acquérir toutes les activités souveraines d’Atos ».

Dans le lot, rapportait alors l’AFP : « les supercalculateurs, les serveurs participant à l’intelligence artificielle et à l’informatique quantique ou encore des produits de cybersécurité ». Quelques jours plus tard, l’entreprise a déclaré avoir engagé des discussions avec l’Agence des participations de l’État français (APE) sur le sujet.

Sur ce dernier domaine, Dassault Aviation a lui aussi été pressenti parmi les candidats potentiels.

Intel Core Ultra 200V : 9 modèles à venir chez les bleus

Lors du dernier Computex 2024, Intel a présenté sa nouvelle architecture Lunar Lake. Une architecture qui exploite des tuiles gravées dans différents process de fabrication du N3E au N6 et qui se destine à nos laptops dans un premier temps. Des processeurs qui sont attendus en intégration dans les machines des partenaires des bleus pour la rentrée.Nous retrouverons des modèles en Core Ultra 5, Core Ultra 7 et même en Core Ultra 9. Rappelons que ces processeurs embarquent de la mémoire RAM on Package, 16 ou 32 Go en LPDDR5-8333, un NPU produisant de 40 à 48 TOPs et que nous avons une puce graphique Xe2-LPG. […]

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Counter-Strike 2 se met à jour et intègre cinq nouvelles maps

Valve vient de mettre à jour son FPS multijoueur Counter-Strike 2, ce qui rime avec l'arrivée de cinq nouvelles maps et de nombreux ajouts, le jeu vous préviendra si votre écran est réglé sur un taux de rafraîchissement inférieur à son maximum, si les synchronisations ne sont pas activées...[MAPS ] Cartes communautaires - Ajout des cartes communautaires Thera et Mills aux groupes de cartes Compétitif, Casual et Deathmatch. - Ajout des cartes communautaires Memento et Assembly au groupe de cartes Wingman - Ajout de la carte communautaire Pool Day au groupe de cartes Arms Race Nuke - Correction des points de blocage de c4 Ancien - Correction des points de blocage de c4, des trous dans le monde et des non-solides causant des problèmes Vertigo - Correction de c4 points bloqués et de l'écrêtage Anubis - Correction des collisions avec les grenades et de l'écrêtage [IU ] - Mise à jour du panneau MVP dans tous les modes de jeu - Ajout de nouveaux panneaux MVP animés dans les matchs de première division - Ajout de plusieurs nouvelles conditions MVP et ajustement des règles MVP précédentes […]

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