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Machine arrière : Windows Recall devient opt-in et renforce sa sécurité

« Considère ça comme un divorce »

Alors que la polémique enflait sur Recall, jugée intrusive et dangereuse, Microsoft fait machine arrière. Le choix sera clairement donné pendant la configuration de l’ordinateur. La société ajoute en outre des mécanismes de sécurité qui auraient dû être présents dès le départ.

C’est peu dire que la présentation de la fonction Recall (Retrouver) aura fait réagir. Spécifique aux PC Copilot+ et à ses « bonus » IA, elle consiste à prendre régulièrement des captures d’écran. Les images sont analysées, afin qu’une recherche permette de retrouver quand et comment une information a été utilisée. Flock y a même consacré une bande dessinée dont il a le secret.

L’idée partait d’un bon sentiment, avec l’objectif de pouvoir toujours remettre la main sur un site, un document, une discussion ou autre. Cependant, comme nous l’avions signalé, elle permettait un véritable pillage des données personnelles. Dès lors qu’une autre personne pouvait s’installer devant l’ordinateur, elle pouvait récupérer tout l’historique de l’utilisateur sur plusieurs mois.

Le problème est d’autant plus important que le mécanisme agit aussi bien sur les actions personnelles que celles reçues d’autres personnes. Vous discutez sur Signal, WhatsApp, Messenger, Telegram, par email ou sur un site de rencontre ? Recall en garde des traces. Les correspondants ne sont pas prévenus. D’autres ont signalé les ravages que peut entrainer la fonction avec des proches abusifs.

L’activation de Recall se fera par un choix

On s’en doutait devant l’ampleur des critiques : Microsoft a annoncé la bascule sur un modèle « opt in » pour Recall. L’assistant de configuration de Windows 11 pouvant être mis à jour dès la connexion internet établie, une nouvelle version sera disponible pour le lancement des PC Copilot+. On y trouvera un choix clair sur la fonction :

La capture, publiée par Microsoft, montre l’obligation de faire un choix. Nous nous étions justement interrogés sur ce point, car une bonne partie de l’assistant est consacrée à l’activation de fonctions, aucun choix n’étant sélectionné par défaut. Pourquoi Recall n’avait-il pas eu le même traitement ? L’éditeur a fini par aligner Recall sur le reste.

Le nouveau panneau a l’avantage de mieux présenter la fonction. Il explique son intérêt, mentionne que Microsoft n’accède pas aux captures et que l’on peut contrôler ce que Recall analyse.

Plusieurs mesures de sécurité supplémentaire

Outre le contrôle, Microsoft ajoute plusieurs mécanismes pour verrouiller davantage les informations enregistrées par Recall. La fonction ne brillait pas par la protection des informations très sensibles. Elle les stockait dans une simple base SQLite, enregistrée dans un sous-dossier d’AppData. L’expert en cybersécurité Kevin Beaumont avait même montré qu’on pouvait les récupérer assez facilement depuis un autre compte sur le même PC.

On trouve trois ajouts principaux. D’une part, l’activation de Windows Hello devient obligatoire pour utiliser Recall. Hello est pour rappel la fonction chapeautant tout ce qui touche à l’ouverture sécurisée de session, notamment avec la biométrie.

D’autre part, Windows Hello se manifestera lors de tout accès aux informations recueillies par Recall. Une preuve de présence donc, là où il suffisait à quelqu’un de s’assoir face à un PC Copilot+ pour plonger dans l’historique complet des activités de son utilisateur.

Enfin, plusieurs « couches supplémentaires de protection des données » ont été ajoutées. Un chiffrement à la volée d’abord, via Windows Hello ESS (Enhanced Sign-in Security). Les captures créées par Recall ne seront donc accessibles que si l’utilisateur est dument authentifié. En outre, la base de données de l’index de recherche sera, elle aussi, chiffrée.

De sérieux problèmes à la conception

Pourquoi ne pas avoir mis en place ces mécanismes dès le départ ? La question est évidente au vu des multiples scénarios problématiques apparus dans les quelques jours qui ont suivi la présentation. Elle est d’autant plus prégnante que Satya Nadella, PDG de l’entreprise, avait fait circuler un mémo auprès des employés pour réitérer l’importance de la sécurité, même si elle se faisait au détriment des fonctionnalités.

Recall ne sera techniquement proposé au départ que sous forme de préversion. Cela ne devrait cependant pas compter : obliger l’utilisateur à choisir aurait dû être un réflexe. Tout comme le chiffrement des données. Tout comme l’authentification obligatoire.

Microsoft joue gros avec ce type de mécanisme. La société veut prouver que l’IA peut rendre mille services. Avec Recall, elle a surtout prouvé que le pouvoir de l’IA peut entrainer des catastrophes quand elle n’est pas pensée avec soin. Comme le cloud, ces fonctions ne peuvent être couronnées de succès que si le public a confiance. Mieux vaut éviter qu’une telle bourde se reproduise, d’autant qu’une deuxième vague de PC Copilot+ serait en préparation pour la fin de l’été.

L’affaire servira en tout cas de leçon à Google, qui réfléchit également à intégrer ce type de fonction dans ses Chromebook.

Machine arrière : Windows Recall devient opt-in et renforce sa sécurité

« Considère ça comme un divorce »

Alors que la polémique enflait sur Recall, jugée intrusive et dangereuse, Microsoft fait machine arrière. Le choix sera clairement donné pendant la configuration de l’ordinateur. La société ajoute en outre des mécanismes de sécurité qui auraient dû être présents dès le départ.

C’est peu dire que la présentation de la fonction Recall (Retrouver) aura fait réagir. Spécifique aux PC Copilot+ et à ses « bonus » IA, elle consiste à prendre régulièrement des captures d’écran. Les images sont analysées, afin qu’une recherche permette de retrouver quand et comment une information a été utilisée. Flock y a même consacré une bande dessinée dont il a le secret.

L’idée partait d’un bon sentiment, avec l’objectif de pouvoir toujours remettre la main sur un site, un document, une discussion ou autre. Cependant, comme nous l’avions signalé, elle permettait un véritable pillage des données personnelles. Dès lors qu’une autre personne pouvait s’installer devant l’ordinateur, elle pouvait récupérer tout l’historique de l’utilisateur sur plusieurs mois.

Le problème est d’autant plus important que le mécanisme agit aussi bien sur les actions personnelles que celles reçues d’autres personnes. Vous discutez sur Signal, WhatsApp, Messenger, Telegram, par email ou sur un site de rencontre ? Recall en garde des traces. Les correspondants ne sont pas prévenus. D’autres ont signalé les ravages que peut entrainer la fonction avec des proches abusifs.

L’activation de Recall se fera par un choix

On s’en doutait devant l’ampleur des critiques : Microsoft a annoncé la bascule sur un modèle « opt in » pour Recall. L’assistant de configuration de Windows 11 pouvant être mis à jour dès la connexion internet établie, une nouvelle version sera disponible pour le lancement des PC Copilot+. On y trouvera un choix clair sur la fonction :

La capture, publiée par Microsoft, montre l’obligation de faire un choix. Nous nous étions justement interrogés sur ce point, car une bonne partie de l’assistant est consacrée à l’activation de fonctions, aucun choix n’étant sélectionné par défaut. Pourquoi Recall n’avait-il pas eu le même traitement ? L’éditeur a fini par aligner Recall sur le reste.

Le nouveau panneau a l’avantage de mieux présenter la fonction. Il explique son intérêt, mentionne que Microsoft n’accède pas aux captures et que l’on peut contrôler ce que Recall analyse.

Plusieurs mesures de sécurité supplémentaire

Outre le contrôle, Microsoft ajoute plusieurs mécanismes pour verrouiller davantage les informations enregistrées par Recall. La fonction ne brillait pas par la protection des informations très sensibles. Elle les stockait dans une simple base SQLite, enregistrée dans un sous-dossier d’AppData. L’expert en cybersécurité Kevin Beaumont avait même montré qu’on pouvait les récupérer assez facilement depuis un autre compte sur le même PC.

On trouve trois ajouts principaux. D’une part, l’activation de Windows Hello devient obligatoire pour utiliser Recall. Hello est pour rappel la fonction chapeautant tout ce qui touche à l’ouverture sécurisée de session, notamment avec la biométrie.

D’autre part, Windows Hello se manifestera lors de tout accès aux informations recueillies par Recall. Une preuve de présence donc, là où il suffisait à quelqu’un de s’assoir face à un PC Copilot+ pour plonger dans l’historique complet des activités de son utilisateur.

Enfin, plusieurs « couches supplémentaires de protection des données » ont été ajoutées. Un chiffrement à la volée d’abord, via Windows Hello ESS (Enhanced Sign-in Security). Les captures créées par Recall ne seront donc accessibles que si l’utilisateur est dument authentifié. En outre, la base de données de l’index de recherche sera, elle aussi, chiffrée.

De sérieux problèmes à la conception

Pourquoi ne pas avoir mis en place ces mécanismes dès le départ ? La question est évidente au vu des multiples scénarios problématiques apparus dans les quelques jours qui ont suivi la présentation. Elle est d’autant plus prégnante que Satya Nadella, PDG de l’entreprise, avait fait circuler un mémo auprès des employés pour réitérer l’importance de la sécurité, même si elle se faisait au détriment des fonctionnalités.

Recall ne sera techniquement proposé au départ que sous forme de préversion. Cela ne devrait cependant pas compter : obliger l’utilisateur à choisir aurait dû être un réflexe. Tout comme le chiffrement des données. Tout comme l’authentification obligatoire.

Microsoft joue gros avec ce type de mécanisme. La société veut prouver que l’IA peut rendre mille services. Avec Recall, elle a surtout prouvé que le pouvoir de l’IA peut entrainer des catastrophes quand elle n’est pas pensée avec soin. Comme le cloud, ces fonctions ne peuvent être couronnées de succès que si le public a confiance. Mieux vaut éviter qu’une telle bourde se reproduise, d’autant qu’une deuxième vague de PC Copilot+ serait en préparation pour la fin de l’été.

L’affaire servira en tout cas de leçon à Google, qui réfléchit également à intégrer ce type de fonction dans ses Chromebook.

Kit RAZER AETHER : Pour bien mettre l'ambiance dans sa pièce de jeux !

Aujourd'hui, nous nous écartons un peu de ce que nous avons l'habitude de faire avec une série de périphériques de chez RAZER, comprenant tout un kit AETHER, composé uniquement de lampes et de RGB. Nous avons donc en test la lampe RAZER AETHER LAMP Pro, une lampe RGB mais aussi blanche, affichant entre 2700 et 6500 Kelvin avec une luminance maximale de 500 lumens, une lampe à 150 €. Nous avons aussi la RAZER AETHER LIGHT STRIP à 150 €, qui n'est rien d'autre qu'une bande LED de deux mètres. Dans notre kit se trouve une RAZER AETHER MONITOR BAR, une barre de LED à poser sur l'écran. Ici, nous sommes à 130 € et nous avons une bande RGB à l'arrière et une bande blanche de 2700 à 6500 Kelvin pour l'avant. Et enfin, nous terminons par la RAZER AETHER BULB, qui n'est rien d'autre qu'une ampoule E27 affichant tout autant du RGB que de la lumière blanche de 2700 à 6500 Kelvin pour une luminance maximale de 800 lumens à un tarif de 60 €. Tout ce petit monde est gérable via l'application RAZER Synapse sur Windows, mais aussi via l'application mobile RAZER Gamer Room. Ces lampes connectées sont également prises en charge par Amazon Alexa et Google Assistant. La connexion se fait à l'aide du Wi-Fi ou du Bluetooth via Matter.

Une nouvelle vidéo pour le très attendu Indiana Jones et le Cercle Ancien

Cette nuit se tenait le Developer_Direct 2024, et le studio MachineGames en a profité pour présenter une première vidéo pour son jeu Indiana Jones et le Cercle Ancien. Et quelle vidéo ! Se déroulant en 1937, l'histoire place le héro entre Les Aventuriers de l'Arche Perdue et La Dernière Croisade, ce qui promet donc de jolis combats contre des nazis. Des énigmes ? Il y en aura forcément, avec des pièges à éviter... A coups de fouet ? […]

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Anbernic RG Cube : la console rétro avec écran carré

Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com

La console portable Anbernic RG Cube se distingue par son affichage, un écran carré en format 1:1 qui collera bien avec certaines consoles mobiles ou sédentaires… pas vraiment pour d’autres.

L’écran de 3.95 pouces sera parfait pour la GB, la GBA, la DS, la 3DS, la Gamecube mais aussi les solutions d’Arcade ou les consoles de salon qui évoluaient du temps des écrans cathodiques d’avant l’arrivée massive du 16/9. Pour tous les jeux pensés pour des écrans larges évidemment, la Anbernic RG Cube sera moins pertinente. 

Les contrôles se feront via un double Mini joysticks rétro éclairés RVB analogiques, une croix directionnelle, des boutons ABXY et des gâchettes analogiques.

Elle est équipée d’un SoC ARM UNISOC T820 assez puissant, capable d’émuler la Wii et un bon paquet de jeux PS2. Elle est accompagnée de 8 Go de mémoire vive en LPDDR4x et d’un stockage rapide de 128 Go en UFS 2.2. Elle tourne sous un Android 13 et propose d’office une trentaine d’émulateurs. La puce 8 cœurs est gravée en 6 nanomètres dans une solution composée d’un Cortex-A76 à 2,7 GHz et associée à 3 cœurs Cortex-A76 à 2,3 GHz et 4 cœurs Cortex-A55 fonctionnant à 2,1 GHz. Sa partie graphique est un ARM Mali-G57 tournant au maximum à 850 Mhz.

L’ensemble est assez puissant et performant mais oblige l’emploi d’un ventilateur actif. Un lecteur de cartes MicroSDXC permettra d’ajouter plus de stockage avec la prise en charge de cartes jusqu’à 2 To.

La partie sans fil propose du Wi-Fi5 et Bluetooth 5.0 et la Anbernic RG Cube ajoute un moteur de vibration, un gyroscope, un microphone, une paire d’enceintes stéréo, un jack audio 3.5 mm, un port USB Type-C qui  assurera le transfert de données et une sortie vidéo DisplayPort. La console propose une batterie de 5200 mAh et 7 heures d’autonomie annoncées. La console permettra le streaming de jeux PC via Moonlight.

La console est disponible dans de multiples coloris sur AliExpress à 180€ environ pour le moment. Un positionnement assez élevé puisque la console force par son affichage un type de machines précis. On pourra évidemment en profiter sur un autre écran en DisplayPort et profiter d’une connexion Bluetooth via une manette pour des usages plus larges.

Anbernic RG Cube : la console rétro avec écran carré © MiniMachines.net. 2024.

☕️ Le FBI a récupéré plus de 7 000 clefs de déchiffrement du rançongiciel LockBit

Capture d'écran de LockBit

« Grâce à notre perturbation continue de LockBit, nous disposons désormais de plus de 7 000 clés de déchiffrement et nous pouvons aider les victimes à récupérer leurs données », a déclaré Bryan Vorndran, directeur adjoint de la division Cyber du FBI, rapporte BleepingComputer.

Lors du démantèlement de l’infrastructure de LockBit, en février, les autorités avaient saisi 34 serveurs contenant alors plus de 2 500 clés de déchiffrement du rançongiciel russophone. Elles estimaient que le gang et ses affiliés avaient récolté jusqu’à 1 milliard de dollars en rançons suite à 7 000 attaques visant des organisations du monde entier entre juin 2022 et février 2024.

En dépit des efforts des forces de l’ordre pour mettre fin à ses activités, LockBit est toujours actif. L’Hôpital de Cannes Simone Veil a ainsi révélé mi-avril avoir fait l’objet d’une cyberattaque, et annoncé qu’il refusait de payer la rançon exigée par LockBit3.0, relève BleepingComputer :

« Dans le cas d’une fuite de données appartenant potentiellement à l’hôpital, nous communiquerons à nos patients et aux parties prenantes, après un examen détaillé des fichiers susceptibles d’avoir été exfiltrés, la nature des informations volées. »

Non contentes d’avoir révélé l’identité de son chef de gang, un ressortissant russe de 31 ans nommé Dmitry Yuryevich Khoroshev, les autorités ont également arrêté et inculpé plusieurs de ses membres, dont Mikhail Vasiliev en novembre 2022, Mikhail Pavlovich Matveev en mai 2023, Ruslan Magomedovich Astamirov en juin, Artur Sungatov et Ivan Gennadievich Kondratiev en février 2024.

Poster US proposant une récompense de 10M$ pour toute information sur LockBitSupp

Le département d’État américain offre désormais 10 millions de dollars pour toute information qui conduirait à l’arrestation ou à la condamnation des dirigeants de LockBit, ainsi qu’une récompense supplémentaire de 5 millions de dollars pour toute information conduisant à l’arrestation des affiliés du ransomware LockBit.

☕️ Trois nouvelles Xbox, dont une Series X sans lecteur Blu-ray

Xbox

Microsoft organisait ce week-end son Xbox Games Showcase 2024, avec une ribambelle de nouveaux jeux annoncés. On y retrouve des licences phares comme Call of Duty, Diablo, Doom, Indiana Jones, etc. Nous n’allons pas nous attarder sur la partie logicielle, détaillée dans ce billet de blog.

La société a du nouveau aussi sur la partie matérielle, avec trois consoles. La nouveauté la plus marquante est sans aucun doute une première Xbox Series X en version all-digital, c’est-à-dire sans lecteur optique, avec 1 To de SSD. Elle sera vendue « dans certains marchés » pour 499,99 euros.

Microsoft propose également une autre Xbox Series X, avec 2 To de stockage cette fois et un lecteur Blu-ray, pour 649,99 euros. Terminons avec une Xbox Series S de 1 To et un châssis blanc. Elle est vendue 349,99 euros, le même tarif que sa grande sœur (Series S, 1 To) en noir lancée l’année dernière.

☕️ Le FBI a récupéré plus de 7 000 clefs de déchiffrement du rançongiciel LockBit

Capture d'écran de LockBit

« Grâce à notre perturbation continue de LockBit, nous disposons désormais de plus de 7 000 clés de déchiffrement et nous pouvons aider les victimes à récupérer leurs données », a déclaré Bryan Vorndran, directeur adjoint de la division Cyber du FBI, rapporte BleepingComputer.

Lors du démantèlement de l’infrastructure de LockBit, en février, les autorités avaient saisi 34 serveurs contenant alors plus de 2 500 clés de déchiffrement du rançongiciel russophone. Elles estimaient que le gang et ses affiliés avaient récolté jusqu’à 1 milliard de dollars en rançons suite à 7 000 attaques visant des organisations du monde entier entre juin 2022 et février 2024.

En dépit des efforts des forces de l’ordre pour mettre fin à ses activités, LockBit est toujours actif. L’Hôpital de Cannes Simone Veil a ainsi révélé mi-avril avoir fait l’objet d’une cyberattaque, et annoncé qu’il refusait de payer la rançon exigée par LockBit3.0, relève BleepingComputer :

« Dans le cas d’une fuite de données appartenant potentiellement à l’hôpital, nous communiquerons à nos patients et aux parties prenantes, après un examen détaillé des fichiers susceptibles d’avoir été exfiltrés, la nature des informations volées. »

Non contentes d’avoir révélé l’identité de son chef de gang, un ressortissant russe de 31 ans nommé Dmitry Yuryevich Khoroshev, les autorités ont également arrêté et inculpé plusieurs de ses membres, dont Mikhail Vasiliev en novembre 2022, Mikhail Pavlovich Matveev en mai 2023, Ruslan Magomedovich Astamirov en juin, Artur Sungatov et Ivan Gennadievich Kondratiev en février 2024.

Poster US proposant une récompense de 10M$ pour toute information sur LockBitSupp

Le département d’État américain offre désormais 10 millions de dollars pour toute information qui conduirait à l’arrestation ou à la condamnation des dirigeants de LockBit, ainsi qu’une récompense supplémentaire de 5 millions de dollars pour toute information conduisant à l’arrestation des affiliés du ransomware LockBit.

Computex 2024 : de l'aircooling abordable chez FSP !

Bien que spécialiste de l'alimentation, FSP n'hésite pas à tester d'autres marchés et la marque fera prochainement son retour dans le refroidissement avec plusieurs ventirads. Oubliez les Windale, qui étaient très intéressants, FSP veut frapper encore plus fort et devrait casser les prix puisque le premier modèle sera à environ 25 U+20AC : un simple tour en 120 mm avec quatre caloducs en Direct Touch. Avec sa finition assez brute, le NE5 reste quand même travaillé avec un joli top et des caloducs nickelés. Mais pour ceux qui veulent plus, et sans RGB, le NP5 sera parfait avec sa robe noire. […]

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Computex 2024 : be quiet! renverse tout avec le Light Base 900

Après une ouverture timide et discrète au RGB, be quiet! s'attaque au boitier de type aquarium avec le Light Base 900, un modèle imposant qui a une particularité très intéressante : des pieds amovibles qui permettent de passer d'un système vertical à une configuration horizontale. S'il faudra de la place pour poser le boitier à plat, la vue sur les composants n'en sera que plus impressionnante. Et avec la possibilité d'installer jusqu'à deux radiateurs de 420 mm, le but sera évidemment de monter la configuration la plus puissante possible afin de rendre jaloux les amis de passage. […]

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VALKYRIE toujours aussi efficace au COMPUTEX 2024

Chez VALKYRIE, on vous propose de faire le tour des nouveautés avec les boitiers PC, les AIO Watercooling et les ventirads CPU. Et vous allez le voir, il y aura de quoi se faire plaisir chez la marque. En plus, la réception d'un produit de la marque est toujours une expérience dingue grâce à des packagings soignés. Une vidéo en partenariat avec 1FODISCOUNT. […]

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Computex 2024 : du thermosiphon chez Noctua, et plus encore

Chaque année, Noctua présente des prototypes qu'on espère voir arriver rapidement chez les revendeurs, et encore plus pour ce salon. Il faut dire que la marque s'essaie à des choses différentes grâce aux partenariats avec ASUS et SeaSonic, mais aussi désormais avec Calyos ! Au menu, un système de refroidissement qui s'approche d'un kit watercooling AIO, mais sans pompe grâce à un liquide qui va changer de phase et circuler de manière autonome dans la boucle. Le thermosiphon fait son grand retour avec un prototype intrigant qui devrait très largement évoluer dans le style, mais les bases sont posées. Sauf sur un point : les ventilateurs. […]

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SILVERSTONE presque en mode à la COOL au COMPUTEX 2024

SILVERSTONE était présent au COMPUTEX 2024, comme chaque année. Et cette année la marque avait un peu de produits à présenter, ce qui n'est pas un mal. Toutefois, vous allez le voir, nous allons avoir des gros gros boitiers en aluminium, comme on aime. C'est à découvrir dans cette nouvelle vidéo. Une vidéo en partenariat avec 1FODISCOUNT. […]

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Computex 2024 : HAVN HS 420, une future référence ?

Nouvelle marque, HAVN a su faire sensation avec un premier produit qui semblait très abouti tant dans ses fonctionnalités que ses finitions ou son style : le boitier HS 420, qui se décline également en HS 420 VGPU avec un châssis légèrement différent puisqu'il force l'installation de la carte graphique à 90 ° avec un déflecteur en verre dessous qui vient orienter l'air de trois éventuels ventilateurs directement vers la carte, qui est reliée à la carte mère via un riser Gen5 afin de profiter pleinement de la configuration. Compatible E-ATX et conçu pour recevoir des radiateurs de 420, le boitier se montre imposant et il profite pour proposer une gestion des câbles intéressantes avec des élastiques et de nombreux guides sur l'arrière qui viendront aider l'utilisateur grâce à des informations marquées sur des autocollants. […]

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ZOTAC GAMING met la ZONE au COMPUTEX 2024 !!!

Chez ZOTAC GAMING, le principal était la future console ZONE. Et on peut le dire, la marque a présenté un modèle qui donne envie sur le papier. Cette dernière exploite un processeur Ryzen 7 8840U qui se chargera d'animer l'écran de 7" en AMOLED. L'affichage se fait en 1080p avec un taux de rafraichissement de 120 Hz. Le prix devrait-être de 799 dollars.Une vidéo en partenariat avec 1FODISCOUNT. […]

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Computex 2024 : HYTE complète déjà son catalogue watercooling

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