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Computex 2024 : Scoop, Keychron annonce des keycaps AZERTY ISO-FR en PBT Double-Shot !

Dans la série des stands de marques de claviers que nous avons visité pendant le Computex, c'est chez Keychron que nous avons entendu l'une des nouvelles qui nous a fait le plus plaisir car Nick XU, le CEO de Keychron, nous a avouer être en train de développer des keycaps en AZERTY ISO-FR en PBT Double-Shot, Youpiiii ! Calmons nous un petit peu, mais faut nous comprendre, ça fait des années que nous attendons ça, trouver des keycaps AZERTY de qualité supérieure en PBT Double-Shot, c'est rare et ça coute souvent très cher car produit en série limité via des Group Buy la plupart du temps. A ne pas confondre avec les modèles en PBT Dye-Sub, déjà un peu plus faciles à trouver. Cette fois, c'est pour une production de masse et pour accompagner les claviers de Keychron, on devrait donc s'y retrouver sur le prix. On espère évidement que Keychron a prévu plusieurs coloris car nul doute que cela fonctionnerait au vu du peu d'offre existant en France pour ce type de Keycaps. L'autre nouvelle intéressante, c'est que le tri-mode apparait enfin sur les nouveaux claviers de Keychron. Certains hésitaient à leur acheter des claviers du fait de l'absence d'un dongle RF 2.4 GHz. Les nouveaux claviers l'ont, on espère donc que cela se généralisera sur tous les modèles. […]

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Computex 2024 : CORSAIR revoit ses kits AIO et personnalise ton bureau avec CCL

Avec son prochain kit AIO iCUE LINK TITAN RX RGB, CORSAIR souhaite repartir à zéro, ou presque. Les parties iCUE et LINK sont désormais bien en place et l'écosystème ne va pas être mis de côté, mais toute la partie matérielle est désormais revue avec un développement en interne de la pompe et du maze. Un changement important pour la marque, qui s'appuyait actuellement sur plusieurs bases connues. Au passage, le style va évoluer un peu et le top de la pompe pourra recevoir plusieurs accessoires : un écran, comme on peut déjà le faire avec certains modèles, un ventilateur pour les composants autour du socket, plus de RGB avec du style, etc. Bien entendu, seul un seul accessoire pourra prendre place. […]

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SpaceX Hopes to Eventually Build One Starship Per Day at Its Texas 'Starfactory'

SpaceX's successful launch (and reentry) of Starship was just the beginning, reports Space.com: SpaceX now aims to build on the progress with its Starship program as continues work on Starfactory, a new manufacturing facility under construction at the company's Starbase site in South Texas... "When you step into this factory, it is truly inspirational. My heart jumps out of my chest," Kate Tice, manager of SpaceX Quality Systems Engineering, said [during SpaceX's livestream of the Starship flight test]. "Now this will enable us to increase our production rate significantly as we build toward our long-term goal of producing one Ship per day and coming off the production line soon, Starship Version Two." This new version of Starship is designed to be more easy to mass produce, SpaceX CEO Elon Musk said on social media. Space.com argues that the long-term expansion comes as SpaceX "looks to use Starship to eventually make humanity interplanetary."

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☕️ Meta déploie ses Communautés dans Messenger

La fonction existe dans WhatsApp depuis deux ans. Elle permet de fédérer de grands groupes de personnes autour de thématiques communes, comme les résidents d’un quartier, les parents d’élèves d’une école, etc.

Cette fois, Meta déploie la fonction sur Messenger, signale TechCrunch. Mais là où WhatsApp réclamait le numéro de téléphone, Messenger fonctionne sur la base des amis (et amis d’amis) sur Facebook. En outre, les invitations sont émises sous forme de liens partageables.

Jusqu’à 5 000 personnes peuvent rejoindre une communauté sur Messenger. Chacune est munie d’un accueil présentant l’espace de conversation. Les administrateurs du groupe peuvent également y placer des publications, mises à jour et autres informations.

Une communauté permet le rassemblement de plusieurs groupes de conversations. Les administrateurs doivent garder en mémoire que toute personne acceptée peut voir l’intégralité des échanges qu’elle rejoint. Une fois une communauté créée, il est possible de créer d’autres groupes, en fonction des thématiques spécifiques à aborder.

☕️ Meta déploie ses Communautés dans Messenger

La fonction existe dans WhatsApp depuis deux ans. Elle permet de fédérer de grands groupes de personnes autour de thématiques communes, comme les résidents d’un quartier, les parents d’élèves d’une école, etc.

Cette fois, Meta déploie la fonction sur Messenger, signale TechCrunch. Mais là où WhatsApp réclamait le numéro de téléphone, Messenger fonctionne sur la base des amis (et amis d’amis) sur Facebook. En outre, les invitations sont émises sous forme de liens partageables.

Jusqu’à 5 000 personnes peuvent rejoindre une communauté sur Messenger. Chacune est munie d’un accueil présentant l’espace de conversation. Les administrateurs du groupe peuvent également y placer des publications, mises à jour et autres informations.

Une communauté permet le rassemblement de plusieurs groupes de conversations. Les administrateurs doivent garder en mémoire que toute personne acceptée peut voir l’intégralité des échanges qu’elle rejoint. Une fois une communauté créée, il est possible de créer d’autres groupes, en fonction des thématiques spécifiques à aborder.

AMD Posts New Linux Patches For Per-Core CPU Energy Counters

After an attempt in early 2023 didn't pan out, today an AMD Linux engineer posted a new kernel patch series for enabling per-core RAPL energy counter support for AMD processors. With this patch series when using Linux's venerable perf utility it's now possible for reading the power use on a per CPU core basis using a new "power_per_core" PMU...

SZBOX G48S : un MiniPC Intel N100 fanless avec 4 ports 2.5 Gigabit

Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com

Ce n’est pas la première fois que l’on croise un MiniPC de ce type, le SZBOX1 G48S fait partie de cette galaxie de minimachines à mi chemin entre l’usage pro et les attentes de particuliers. La baisse de prix proposée par l’emploi de puces Alder Lake-N et la montée en compétences du grand public font de ces engins des solutions peut être plus populaires qu’il n’y parait.

Ce SZBOX G48S fait par exemple penser aux diverses solutions de Kingnovy comme cette version avec 6 ports Ethernet lancée en 2022 ou ce modèle avec deux ports réseau sous Intel N100. Ces MiniPC sont très intéressants à plusieurs niveau et semblent traduire une évolution des attentes du public. Il y a seulement 2 ou 3 ans, de part leurs tarifs et leur consommation, ces modèles étaient souvent réservés à des industriels ou des usages uniquement professionnels. Avec l’arrivée des puces Alder Lake-N et en particulier des Intel N100 qui proposent un excellent niveau de performances pour un petit prix, ils se sont largement démocratisés.

Tout le monde n’aura pas l’usage d’un MiniPC avec quatre ports Ethernet 2.5 GbE comme ce que propose ce G48S. Beaucoup d’utilisateurs ne verront pas l’intérêt de ce type de configuration. Mais à l’inverse de la situation passée, la personne qui serait intéressée par ce type d’installation n’aura plus a dépenser une fortune ni a supporter l’encombrement et la consommation d’un engin trop volumineux. Il est aujourd’hui possible de monter des installations de ce type sans dépenser une fortune ni transformer sa maison en une salle serveur bruyante et encombrée.

Le SZBOX G48S reprend le châssis à ailettes classique de ces gammes de machines pour dissiper passivement le processeur Intel N100 qu’il embarque. Il fonctionnera ainsi totalement en silence et garanti un usage en continu, 24H/24 et 7J/7. Vendu en barebone ou équipé de mémoire et de stockage, ce modèle sera déclinable de 8 à 16 Go de DDR5 et proposera un port M.2 2280 NVMe PCIe et SATA3. La présence de fonctions de démarrage programmé, de démarrage réseau, de redémarrage automatique après une coupure de courant et de gestion du PXE en font une solution assez robuste.

Il propose surtout quatre ports Ethernet 2.5 Gigabit pilotés par autant de chipsets Intel i226-V. De quoi monter un réseau maison assez complet facilement. Il propose également une connectique plus classique avec deux ports USB 3.0 Type-A, deux USB 2.0, des sorties vidéo HDMI et DisplayPort et une alimentation 12 volts. Un port COM au format RJ45 est visible ainsi que des  prises d’antenne et un lecteur  de cartes SIM. Il faudra équiper la carte mère d’une solution M.2 2242 adéquate pour utiliser cet élément. Un second port M.2 CNVi permettra l’ajout parrallèle d’un module Wi-Fi. Le format reste compact avec 13.6 cm de large pour 12.6 cm de profondeur et 4 cm d’épaisseur.

G48SLa carte mère du G48S

Un usage classique sera de piloter deux fournisseurs d’accès différents avec les ports réseaux 1 et 2, de relier un Switch pour distribuer le signal au port 3 et un NAS au port 4. 

Bref un engin particulier pour des usages assez larges. Il est donné comme compatible avec diverses solutions Linux comme Ubuntu ou PFSense mais devrait accepter la majorité des distributions plus ou moins spécialisées : RedHat, CasaOS, CentOS, FreeNAS, HomeAssistant, Proxmox ou Debian.

Le G48S est proposé sur AliExpress à partir de 137€ en barebone, puis ils grimpe en fonction de la mémoire et du stockage choisi. 193€ en 8/128Go et 256€ en 16/500 Go. Attention, si vous cherchez juste un MiniPC classique sous Intel N100, il y a bien moins cher sur le marché.

SZBOX G48S : un MiniPC Intel N100 fanless avec 4 ports 2.5 Gigabit © MiniMachines.net. 2024.

Copilot+ PC : Qualcomm maitre à bord pour le moment, AMD et Intel sur le banc de touche

Y’a-t-il un Copilot dans l’avion ?
Copilot+ PC

Les PC Copilot+ vont arriver dès le 18 juin avec un SoC Qualcomm. Des machines avec des processeurs AMD Strix et Intel Lunar Lake sont également au programme. Microsoft garde toutefois le silence sur la période de lancement. AMD espère fin 2024, Intel ne se prononce pas.

Il y a trois semaines, Microsoft officialisait une nouvelle gamme de produits : les PC Copilot+. Il s’agit de machines orientées intelligence artificielle (comme c’est original) et des fonctions intégrées dans Windows 11.

L’une d’entre elles – Recall – fait couler beaucoup d’encre, et on découvre de nouveaux dangers régulièrement. Microsoft vient d’ailleurs de faire machine arrière.

Mais que faut-il pour appartenir à la gamme Copilot+ et quand pourrons-nous en profiter ? Le sujet n’est pas simple puisque Microsoft n’y répond pas directement.

Microsoft ❤ Qualcomm et vice-versa

L’entreprise s’est entichée de Qualcomm pour ce lancement : « Microsoft associe la série Snapdragon X à la puissance de Copilot+ ». Il en est de même pour les trois variantes de la puce X Elite de chez Qualcomm toujours.

Alex Katouzian, (responsable mobile, compute & XR chez Qualcomm) nous promet au passage monts et merveilles : « capacités d’IA révolutionnaires qui redéfinissent l’expérience informatique personnelle, le tout avec des performances de pointe et une autonomie de plusieurs jours ». À confirmer lors de tests, d’autant que Qualcomm a déjà fait part le passé des promesses dans le monde du portable, sans grand succès jusqu’à présent.

NVIDIA veut sa part du gâteau

Dès l’annonce de Copilot+, on se demandait si des machines avec un autre CPU pourraient être « certifiées » et profiter des nouvelles fonctionnalités. La réponse est arrivée par NVIDIA lors de sa keynote du Computex. On pourrait la résumer par « oui, mais… ».

En parlant des nouveaux ordinateurs portables RTX AI, le fabricant de carte graphique l’affirme sans détours : « Ces PC Windows 11 AI recevront une mise à jour gratuite des expériences Copilot+ PC lorsqu’elle sera disponible ».

Microsoft veut du NPU, mais est-il obligatoire ?

Dans son communiqué, Microsoft explique que les « nouveaux Copilot+ PC reposent sur une architecture repensée qui tire pleinement parti de la puissance conjuguée du CPU, du GPU et désormais du NPU (Neural Processing Unit ou unité de traitement neuronal) ». Cela tombe bien, les machines dont parle NVIDIA seront équipées d’un processeur AMD Strix, avec NPU.

Rappelons que les cartes graphiques font largement mieux que les NPU, et depuis longtemps. Microsoft semble néanmoins bien plus attachée à la présence d’un NPU pour le traitement des données liées à l’intelligence artificielle, qu’à celle d’une carte graphique.

Des PC Copilot+ avec AMD « d’ici fin 2024 » ?

AMD emboite le pas à NVIDIA avec l’annonce de ses Ryzen AI 300 avec NPU intégré. Le Texan affirme que ces nouveaux processeurs « sont prêts pour Copilot+ », et même qu’ils « dépassent les exigences de Copilot+ AI PC ». À The Verge, AMD apporte une précision temporelle, du bout des lèvres : « Nous prévoyons d’avoir des expériences Copilot+ d’ici fin 2024 ».

Au détour d’un graphique, on apprend que, selon AMD, le minimum requis pour les « expériences Copilot+ » est de 40 TOPS. En mai, lors de son annonce, Microsoft expliquait que les machines Copilot+ seraient « capables d’effectuer plus de 40 TOPS », sans préciser que c’était un minimum requis.

Copilot+ PC avec Lunar Lake d’Intel : oui, mais quand ?

Toujours au Computex, c’était ensuite au tour d’Intel de présenter ses processeurs Lunar Lake, avec eux aussi un NPU pour l’IA : « Lunar Lake bénéficiera des expériences Copilot+, comme Recall, via une mise à jour lorsqu’elle sera disponible ». Aucune date n’a été précisée.

Bref, AMD, Intel et NVIDIA se positionnent sur la « marque » Copilot+, mais sans donner aucune indication précise, si ce n’est qu’il faut patienter et que « cela va arriver… ». Il ne faut pas attendre d’éclaircissement de la part de Microsoft, qui n’a pas souhaité répondre à nos questions, pas plus qu’à celles de plusieurs de nos confrères américains.

Microsoft l’affirme : des mises à jour gratuites arrivent

« Les ordinateurs Intel Lunar Lake et AMD Strix sont des PC Windows 11 AI qui répondent à nos exigences matérielles Copilot+ PC. Nous travaillons en étroite collaboration avec Intel et AMD pour offrir des expériences PC Copilot+ via des mises à jour gratuites, lorsqu’elles sont disponibles », se contente d’expliquer James Howell, directeur marketing de Microsoft.

Pourquoi un tel décalage temporel entre les Copilot+ PC avec un SoC Qualcomm et ceux avec un CPU AMD ou Intel ? À défaut d’information fiable, on peut seulement faire des suppositions : contrat d’exclusivité avec Qualcomm, adaptations nécessaires pour l’architecture x86, etc.

Il pourrait s’agir simplement de la mise à jour 24H2 pour Windows 11, qui doit arriver l’automne. Elle est présente sur les PC Copilot+, mais demande plus de préparation pour le parc x86. Elle était d’ailleurs disponible dans le canal de test Release Preview (le plus stable), mais en a été retirée. Microsoft n’a pas expliqué pourquoi, précisant uniquement qu’elle serait de retour dans quelques semaines.

Quoi qu’il en soit, les premiers Copilot+ PC sont attendus pour le 18 juin, avec un SoC Qualcomm. Il y aura évidemment les nouvelles Surface de Microsoft, mais aussi des machines chez Acer, Asus, Dell, HP, Lenovo et Samsung. D’autres suivront très certainement durant l’été, puis à la rentrée, etc.

☕️ 38 % des pages web de 2013 n’étaient plus accessibles fin 2023

illustration de voiture Peugeot 404 error edition

Une étude du Pew Research Center, repérée par Meta-Media, le service de veille numérique de France Télévisions, relève que 38 % des pages web existantes en 2013 ne sont plus accessibles dix ans plus tard, contre 8 % des pages qui existaient en 2023 :

« Un quart des pages web qui ont existé à un moment donné entre 2013 et 2023 ne sont plus accessibles depuis octobre 2023. Dans la plupart des cas, cela est dû au fait qu’une page individuelle a été supprimée ou retirée d’un site web par ailleurs fonctionnel. »

Cette analyse des « liens morts » (« link rot », en anglais), reposant sur un examen des liens apparaissant sur les sites gouvernementaux et les sites d’information, ainsi que dans la section Références des pages Wikipédia au printemps 2023, révèle en outre que :

  • 5 % des liens sur les sites d’actualités n’étaient plus accessibles, et 23 % des pages examinées contenaient au moins un lien brisé ;
  • 11 % de toutes les références liées à Wikipédia ne sont plus accessibles, et 54 % des pages de Wikipedia contenant au moins un lien dans leur section Références pointent vers une page qui n’existe plus ;
  • au moins 14 % des pages gouvernementales, et 21 % des pages web des administrations publiques, contenaient au moins un lien brisé ;
  • 23 % des pages web d’actualités contiennent au moins un lien brisé, de même que 21 % des pages web de sites gouvernementaux ;
  • 25 % de toutes les pages collectées de 2013 à 2023 n’étaient plus accessibles en octobre 2023 : 16 % des pages sont inaccessibles individuellement mais proviennent d’un domaine de niveau racine par ailleurs fonctionnel ; les 9 % restants sont inaccessibles parce que l’ensemble de leur domaine racine n’est plus fonctionnel.

L’examen d’un échantillon d’utilisateurs de Twitter indique par ailleurs que près d’un tweet sur cinq (18 %) n’est plus visible publiquement sur le site quelques mois seulement après avoir été publié. Dans 60 % de ces cas, le compte qui a publié le tweet à l’origine a été rendu privé, suspendu ou entièrement supprimé.

Dans les 40 % restants, le titulaire du compte a supprimé le tweet, mais le compte lui-même existe toujours :

  • 1 % des tweets sont supprimés en moins d’une heure
  • 3 % en l’espace d’un jour
  • 10 % en l’espace d’une semaine
  • 15 % en l’espace d’un mois

Copilot+ PC : Qualcomm maitre à bord pour le moment, AMD et Intel sur le banc de touche

Y’a-t-il un Copilot dans l’avion ?
Copilot+ PC

Les PC Copilot+ vont arriver dès le 18 juin avec un SoC Qualcomm. Des machines avec des processeurs AMD Strix et Intel Lunar Lake sont également au programme. Microsoft garde toutefois le silence sur la période de lancement. AMD espère fin 2024, Intel ne se prononce pas.

Il y a trois semaines, Microsoft officialisait une nouvelle gamme de produits : les PC Copilot+. Il s’agit de machines orientées intelligence artificielle (comme c’est original) et des fonctions intégrées dans Windows 11.

L’une d’entre elles – Recall – fait couler beaucoup d’encre, et on découvre de nouveaux dangers régulièrement. Microsoft vient d’ailleurs de faire machine arrière.

Mais que faut-il pour appartenir à la gamme Copilot+ et quand pourrons-nous en profiter ? Le sujet n’est pas simple puisque Microsoft n’y répond pas directement.

Microsoft ❤ Qualcomm et vice-versa

L’entreprise s’est entichée de Qualcomm pour ce lancement : « Microsoft associe la série Snapdragon X à la puissance de Copilot+ ». Il en est de même pour les trois variantes de la puce X Elite de chez Qualcomm toujours.

Alex Katouzian, (responsable mobile, compute & XR chez Qualcomm) nous promet au passage monts et merveilles : « capacités d’IA révolutionnaires qui redéfinissent l’expérience informatique personnelle, le tout avec des performances de pointe et une autonomie de plusieurs jours ». À confirmer lors de tests, d’autant que Qualcomm a déjà fait part le passé des promesses dans le monde du portable, sans grand succès jusqu’à présent.

NVIDIA veut sa part du gâteau

Dès l’annonce de Copilot+, on se demandait si des machines avec un autre CPU pourraient être « certifiées » et profiter des nouvelles fonctionnalités. La réponse est arrivée par NVIDIA lors de sa keynote du Computex. On pourrait la résumer par « oui, mais… ».

En parlant des nouveaux ordinateurs portables RTX AI, le fabricant de carte graphique l’affirme sans détours : « Ces PC Windows 11 AI recevront une mise à jour gratuite des expériences Copilot+ PC lorsqu’elle sera disponible ».

Microsoft veut du NPU, mais est-il obligatoire ?

Dans son communiqué, Microsoft explique que les « nouveaux Copilot+ PC reposent sur une architecture repensée qui tire pleinement parti de la puissance conjuguée du CPU, du GPU et désormais du NPU (Neural Processing Unit ou unité de traitement neuronal) ». Cela tombe bien, les machines dont parle NVIDIA seront équipées d’un processeur AMD Strix, avec NPU.

Rappelons que les cartes graphiques font largement mieux que les NPU, et depuis longtemps. Microsoft semble néanmoins bien plus attachée à la présence d’un NPU pour le traitement des données liées à l’intelligence artificielle, qu’à celle d’une carte graphique.

Des PC Copilot+ avec AMD « d’ici fin 2024 » ?

AMD emboite le pas à NVIDIA avec l’annonce de ses Ryzen AI 300 avec NPU intégré. Le Texan affirme que ces nouveaux processeurs « sont prêts pour Copilot+ », et même qu’ils « dépassent les exigences de Copilot+ AI PC ». À The Verge, AMD apporte une précision temporelle, du bout des lèvres : « Nous prévoyons d’avoir des expériences Copilot+ d’ici fin 2024 ».

Au détour d’un graphique, on apprend que, selon AMD, le minimum requis pour les « expériences Copilot+ » est de 40 TOPS. En mai, lors de son annonce, Microsoft expliquait que les machines Copilot+ seraient « capables d’effectuer plus de 40 TOPS », sans préciser que c’était un minimum requis.

Copilot+ PC avec Lunar Lake d’Intel : oui, mais quand ?

Toujours au Computex, c’était ensuite au tour d’Intel de présenter ses processeurs Lunar Lake, avec eux aussi un NPU pour l’IA : « Lunar Lake bénéficiera des expériences Copilot+, comme Recall, via une mise à jour lorsqu’elle sera disponible ». Aucune date n’a été précisée.

Bref, AMD, Intel et NVIDIA se positionnent sur la « marque » Copilot+, mais sans donner aucune indication précise, si ce n’est qu’il faut patienter et que « cela va arriver… ». Il ne faut pas attendre d’éclaircissement de la part de Microsoft, qui n’a pas souhaité répondre à nos questions, pas plus qu’à celles de plusieurs de nos confrères américains.

Microsoft l’affirme : des mises à jour gratuites arrivent

« Les ordinateurs Intel Lunar Lake et AMD Strix sont des PC Windows 11 AI qui répondent à nos exigences matérielles Copilot+ PC. Nous travaillons en étroite collaboration avec Intel et AMD pour offrir des expériences PC Copilot+ via des mises à jour gratuites, lorsqu’elles sont disponibles », se contente d’expliquer James Howell, directeur marketing de Microsoft.

Pourquoi un tel décalage temporel entre les Copilot+ PC avec un SoC Qualcomm et ceux avec un CPU AMD ou Intel ? À défaut d’information fiable, on peut seulement faire des suppositions : contrat d’exclusivité avec Qualcomm, adaptations nécessaires pour l’architecture x86, etc.

Il pourrait s’agir simplement de la mise à jour 24H2 pour Windows 11, qui doit arriver l’automne. Elle est présente sur les PC Copilot+, mais demande plus de préparation pour le parc x86. Elle était d’ailleurs disponible dans le canal de test Release Preview (le plus stable), mais en a été retirée. Microsoft n’a pas expliqué pourquoi, précisant uniquement qu’elle serait de retour dans quelques semaines.

Quoi qu’il en soit, les premiers Copilot+ PC sont attendus pour le 18 juin, avec un SoC Qualcomm. Il y aura évidemment les nouvelles Surface de Microsoft, mais aussi des machines chez Acer, Asus, Dell, HP, Lenovo et Samsung. D’autres suivront très certainement durant l’été, puis à la rentrée, etc.

☕️ 38 % des pages web de 2013 n’étaient plus accessibles fin 2023

illustration de voiture Peugeot 404 error edition

Une étude du Pew Research Center, repérée par Meta-Media, le service de veille numérique de France Télévisions, relève que 38 % des pages web existantes en 2013 ne sont plus accessibles dix ans plus tard, contre 8 % des pages qui existaient en 2023 :

« Un quart des pages web qui ont existé à un moment donné entre 2013 et 2023 ne sont plus accessibles depuis octobre 2023. Dans la plupart des cas, cela est dû au fait qu’une page individuelle a été supprimée ou retirée d’un site web par ailleurs fonctionnel. »

Cette analyse des « liens morts » (« link rot », en anglais), reposant sur un examen des liens apparaissant sur les sites gouvernementaux et les sites d’information, ainsi que dans la section Références des pages Wikipédia au printemps 2023, révèle en outre que :

  • 5 % des liens sur les sites d’actualités n’étaient plus accessibles, et 23 % des pages examinées contenaient au moins un lien brisé ;
  • 11 % de toutes les références liées à Wikipédia ne sont plus accessibles, et 54 % des pages de Wikipedia contenant au moins un lien dans leur section Références pointent vers une page qui n’existe plus ;
  • au moins 14 % des pages gouvernementales, et 21 % des pages web des administrations publiques, contenaient au moins un lien brisé ;
  • 23 % des pages web d’actualités contiennent au moins un lien brisé, de même que 21 % des pages web de sites gouvernementaux ;
  • 25 % de toutes les pages collectées de 2013 à 2023 n’étaient plus accessibles en octobre 2023 : 16 % des pages sont inaccessibles individuellement mais proviennent d’un domaine de niveau racine par ailleurs fonctionnel ; les 9 % restants sont inaccessibles parce que l’ensemble de leur domaine racine n’est plus fonctionnel.

L’examen d’un échantillon d’utilisateurs de Twitter indique par ailleurs que près d’un tweet sur cinq (18 %) n’est plus visible publiquement sur le site quelques mois seulement après avoir été publié. Dans 60 % de ces cas, le compte qui a publié le tweet à l’origine a été rendu privé, suspendu ou entièrement supprimé.

Dans les 40 % restants, le titulaire du compte a supprimé le tweet, mais le compte lui-même existe toujours :

  • 1 % des tweets sont supprimés en moins d’une heure
  • 3 % en l’espace d’un jour
  • 10 % en l’espace d’une semaine
  • 15 % en l’espace d’un mois

Computex 2024 : Linus chez NOCTUA, le stand INACCESSIBLE !!!

ZOUP, dans cette news une petite Computex Story. Nous allons parler de Linus et la façon dont il travaille. Jeudi dernier, rendez-vous à 14h30 chez Noctua, avec Jacob, pour faire notre tour des nouveautés et notre rapide vidéo. Mais voilà en arrivant sur le stand, ce dernier était inaccessible, car Linus était en plein tournage Nous parlons donc avec Jacbo des nouveautés en attendant notre tour pour une présentation des nouveautés, faire nos photos et faire nos vidéos. Mais voilà, Linus reste sur le stand, monopolisant l'espace, malgré notre rendez-vous qui était calé depuis des lustres. […]

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Computex 2024 : Wooting fait le show, et présente le nouveau 80HE 8000Hz !

Au cours du Computex 2024, le stand de Wooting était un peu à l'écart, tout au fond du second bâtiment, seuls les plus motivés ont fait la route pour aller à leur rencontre, et Cowcotland a été de ceux-là. Et on doit le dire, c'était tant mieux pour nous, car on a pu longuement discuter avec Jeroen Langelaan, le CTO et Co-fondateur de Wooting, très fier de nous présenter nous seulement le dernier bébé de Wooting : le 80HE, mais aussi sa toute nouvelle machine de torture qui permet de mesurer le polling rate des claviers. […]

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Philips Evnia 27M2N3200A et 24M2N3200A : deux nouveaux moniteurs 180 Hz

Deux nouveaux modèles s'apprêtent à rejoindre la gamme de moniteurs Philips Evnia 3000. Conçus pour les passionnés de jeux, le Philips Evnia 27M2N3200A et le Philips Evnia 24M2N3200A sont dotés d'un large éventail de fonctionnalités telles qu'une dalle Fast IPS et Full HD, un taux de rafraîchissement de 180 Hz, la norme HDR10 et le Smart Crosshair, qui garantissent aux joueurs une expérience immersive et agréable à tout moment du jeu. […]

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UP Xtreme i14 : une carte mère Meteor Lake haut de gamme

Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com

La carte UP Xtreme i14 de AAEON est une solution pro à destination de machines industrielles ou de montages embarqués dans des formats sur mesures. Sa taille particulière de 12 par 12.3 cm la rend facilement intégrable.

A bord, plusieurs puces Intel mais particulièrement deux puces Meteor Lake. Un Core Ultra 5 125H associé à 16 Go de mémoire vive LPDDR5-6400 soudée sur la carte. Ou un Core Ultra 7 155H en duo avec 32 Go de mémoire du même type. Ticket d’entrée pour cette UP Xtreme i14 ? 749$ HT pour les carte en Ultra 5, 959$ HT pour la version Ultra 7. Des tarifs qui ne sont clairement pas pour toutes les bourses et tous les usages et qui réserveront les carte à des usages pros.

Malgré tout ces solutions sont intéressante de par la somme des possibilités qu’elles offrent. Au regard de leur taille, l’intégration proposée est très impressionnante. Pas moins de quatre sorties vidéo dont disponibles, on pourra y monter quatre stockage M.2 NVMe et on retrouvera un de quoi y connecter des extensions AI, Wi-Fi  et même du SATA. La gamme UP reste en outre fidèle à ses racines avec un ensemble de 40 broches GPIO. De quoi imaginer de nombreux projets personnels même si la UP Xtreme i14 vise plutôt des laboratoires de robotiques, des usages commerciaux d’affichage ou des intégrations industrielles.

Compatible avec Windows 10 ou 11, la carte est également annoncée comme développée pour le noyau 6.5 de Linux et ses versions supérieures. Ubuntu 22.04 sera ainsi parfaitement pris en charge d’après AAEON, le fabricant de la carte.

 

UP Xtreme i14
PROCESSEUR Intel Core Ultra 5 processor 125U (12M Cache, 4.30 GHz)
Intel Core Ultra 5 processor 135U (12M Cache, 4.40 GHz)
Intel Core Ultra 7 processor 155U (12M Cache, 4.80 GHz)
Intel Core Ultra 7 processor 165U (12M Cache, 4.90 GHz)
Intel Core Ultra 5 processor 125H (18M Cache, 4.50 GHz)
Intel Core Ultra 5 processor 135H (18M Cache, 4.60 GHz)
Intel Core Ultra 7 processor 155H (24M Cache, 4.80 GHz)
Intel Core Ultra 7 processor 165H (24M Cache, 5.00 GHz)
GFX Intel Arc graphics
MEMOIRE 16 à 64 Go LPDDR5 (Dual-Channel)
STOCKAGE M.2 2280 M-Key x 2
SATA 6Gb/s x 1
CONNECTIQUE HDMI 2.1 x 2
DP 2.1 x 1
DP 1.4 via USB Type-C x 1
Audio Jack x 1 (Mic-in+Line-out)
RS-232/422/485 10-pin header x 2
CAMERA MIPI-CSI via 61-Pin FPC Connector x 1
USB USB 2.0 x 2 (from 10 pin header x 1)
USB 2.0 (Type-A) x 1
USB 3.2 Gen 2 (Type-A) x 2
USB 3.2 Gen 2 (Type-C) x 1
EXTENSIONS 40-pin GPIO x 1
M.2 2230 E-Key x 1 (PCIe Gen 3 [x1], USB 2.0)
M.2 2280 M-Key x 2 (PCIe Gen 4 [x4])
M.2 3052 B-Key x 1 (PCIe Gen 3 [x1], USB 3.2 Gen 2 [x1]) with Nano SIM slot (USB 3.0)
SATA 6Gb/s x 1
SORTIES VID2O HDMI 2.1 x 2
DP 2.1 x 1
DP 1.4 via USB Type-C x 1
ETHERNET 2.5 GbE x 1 Intel I226-IT + 1 GbE Intel I219
SECURITE TPM 2.0
RTC Oui
OS  Windows 10/11 (64bit)
Ubuntu 22.04/Kernel 6.5 up
Alimentation externe 9-36V DC-in avec connexion sécurisée
Alimentation interne AT/ATX
DIMENSIONS 120.35 mm x 122.5 mm
POIDS 0.36Kg
TEMPERATURE 0°C ~ 60°C, 0.5m/s airflow
HUMIDITY 0% ~ 90% 
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Machine arrière : Windows Recall devient opt-in et renforce sa sécurité

« Considère ça comme un divorce »

Alors que la polémique enflait sur Recall, jugée intrusive et dangereuse, Microsoft fait machine arrière. Le choix sera clairement donné pendant la configuration de l’ordinateur. La société ajoute en outre des mécanismes de sécurité qui auraient dû être présents dès le départ.

C’est peu dire que la présentation de la fonction Recall (Retrouver) aura fait réagir. Spécifique aux PC Copilot+ et à ses « bonus » IA, elle consiste à prendre régulièrement des captures d’écran. Les images sont analysées, afin qu’une recherche permette de retrouver quand et comment une information a été utilisée. Flock y a même consacré une bande dessinée dont il a le secret.

L’idée partait d’un bon sentiment, avec l’objectif de pouvoir toujours remettre la main sur un site, un document, une discussion ou autre. Cependant, comme nous l’avions signalé, elle permettait un véritable pillage des données personnelles. Dès lors qu’une autre personne pouvait s’installer devant l’ordinateur, elle pouvait récupérer tout l’historique de l’utilisateur sur plusieurs mois.

Le problème est d’autant plus important que le mécanisme agit aussi bien sur les actions personnelles que celles reçues d’autres personnes. Vous discutez sur Signal, WhatsApp, Messenger, Telegram, par email ou sur un site de rencontre ? Recall en garde des traces. Les correspondants ne sont pas prévenus. D’autres ont signalé les ravages que peut entrainer la fonction avec des proches abusifs.

L’activation de Recall se fera par un choix

On s’en doutait devant l’ampleur des critiques : Microsoft a annoncé la bascule sur un modèle « opt in » pour Recall. L’assistant de configuration de Windows 11 pouvant être mis à jour dès la connexion internet établie, une nouvelle version sera disponible pour le lancement des PC Copilot+. On y trouvera un choix clair sur la fonction :

La capture, publiée par Microsoft, montre l’obligation de faire un choix. Nous nous étions justement interrogés sur ce point, car une bonne partie de l’assistant est consacrée à l’activation de fonctions, aucun choix n’étant sélectionné par défaut. Pourquoi Recall n’avait-il pas eu le même traitement ? L’éditeur a fini par aligner Recall sur le reste.

Le nouveau panneau a l’avantage de mieux présenter la fonction. Il explique son intérêt, mentionne que Microsoft n’accède pas aux captures et que l’on peut contrôler ce que Recall analyse.

Plusieurs mesures de sécurité supplémentaire

Outre le contrôle, Microsoft ajoute plusieurs mécanismes pour verrouiller davantage les informations enregistrées par Recall. La fonction ne brillait pas par la protection des informations très sensibles. Elle les stockait dans une simple base SQLite, enregistrée dans un sous-dossier d’AppData. L’expert en cybersécurité Kevin Beaumont avait même montré qu’on pouvait les récupérer assez facilement depuis un autre compte sur le même PC.

On trouve trois ajouts principaux. D’une part, l’activation de Windows Hello devient obligatoire pour utiliser Recall. Hello est pour rappel la fonction chapeautant tout ce qui touche à l’ouverture sécurisée de session, notamment avec la biométrie.

D’autre part, Windows Hello se manifestera lors de tout accès aux informations recueillies par Recall. Une preuve de présence donc, là où il suffisait à quelqu’un de s’assoir face à un PC Copilot+ pour plonger dans l’historique complet des activités de son utilisateur.

Enfin, plusieurs « couches supplémentaires de protection des données » ont été ajoutées. Un chiffrement à la volée d’abord, via Windows Hello ESS (Enhanced Sign-in Security). Les captures créées par Recall ne seront donc accessibles que si l’utilisateur est dument authentifié. En outre, la base de données de l’index de recherche sera, elle aussi, chiffrée.

De sérieux problèmes à la conception

Pourquoi ne pas avoir mis en place ces mécanismes dès le départ ? La question est évidente au vu des multiples scénarios problématiques apparus dans les quelques jours qui ont suivi la présentation. Elle est d’autant plus prégnante que Satya Nadella, PDG de l’entreprise, avait fait circuler un mémo auprès des employés pour réitérer l’importance de la sécurité, même si elle se faisait au détriment des fonctionnalités.

Recall ne sera techniquement proposé au départ que sous forme de préversion. Cela ne devrait cependant pas compter : obliger l’utilisateur à choisir aurait dû être un réflexe. Tout comme le chiffrement des données. Tout comme l’authentification obligatoire.

Microsoft joue gros avec ce type de mécanisme. La société veut prouver que l’IA peut rendre mille services. Avec Recall, elle a surtout prouvé que le pouvoir de l’IA peut entrainer des catastrophes quand elle n’est pas pensée avec soin. Comme le cloud, ces fonctions ne peuvent être couronnées de succès que si le public a confiance. Mieux vaut éviter qu’une telle bourde se reproduise, d’autant qu’une deuxième vague de PC Copilot+ serait en préparation pour la fin de l’été.

L’affaire servira en tout cas de leçon à Google, qui réfléchit également à intégrer ce type de fonction dans ses Chromebook.

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