Vue lecture

Il y a de nouveaux articles disponibles, cliquez pour rafraîchir la page.

Admins Using Windows Server Update Services Up in Arms as Microsoft Deprecates Feature

Microsoft giveth and Microsoft taketh away, as administrators using Windows Server Update Services (WSUS) will soon find out. From a report: Windows Server 2025 remains in preview, but Microsoft has been busy letting users know what is set for removal and what will be deprecated in the release. WSUS fits into the latter category -- still there for now, but no longer under active development. This is a big deal for many administrators who rely on the feature to deploy and manage the distribution of updates and features in an enterprise environment. It'll even work on a network disconnected from the internet -- download the patches to a connected computer, stick them on some removable media, import the patches to a WSUS server on the disconnected network, and away you go. A tame administrator told El Reg: "We are migrating to Intune. It's a lot more complicated than WSUS, and it takes a lot longer to get set up." "Such is progress!" he sighed. Microsoft's advice is, unsurprisingly, to migrate to cloud tools. As well as the aforementioned Intune, there is also Windows Autopatch for client update management or Azure Update Manager for server update management. And there are plenty of third-party tools out there too, such as Ansible. Microsoft's announcement has attracted comment. One user said: "Congratulations, you just made centralized automated patching subject to internal politics and budget constraints. "I survived the era of Melissa, SQL Slammer, and other things that were solved when we no longer had to choose between paid patch management or trusting admins of every server to do the right thing. For those of you that did not live through that, buckle up!"

Read more of this story at Slashdot.

Intel Working To Improve Virtualization Handling For P/E-Core Hybrid CPUs

While Intel has been making steady progress around enhancing the Linux kernel handling for CPUs with a mix of P and E cores for proper task placement and power optimizations, one area that still is less than desirable for these hybrid Intel Core processors is around virtualization. But Intel engineers are now actively working on improving the Linux virtualization infrastructure for being able to convey the P/E core differences among vCPUs so that the guest VMs can better behave in such environments...

New California Law Requires One-Click Subscription Cancellations

A new law in California will make it easier for consumers to cancel their streaming subscriptions and similar products when they enroll in automatic renewal of those services. From a report: The law, passed through Assembly Bill (AB) 2863, will require companies that offer automatic subscription renewals through one-click purchases to also offer customers a way to cancel their subscriptions through the same one-click method. California already had one of the toughest subscription cancellation laws in the country, requiring companies to offer a way to cancel a recurring subscription through the Internet if they allowed customers to sign up for a service that way. The initial law was meant to prevent companies from allowing customers to purchase a subscription through the web, while forcing them to call a hotline to cancel them. Consumer advocacy groups complained that companies would often subject customers to frustrating long wait times on the phone with the hope that they would eventually hang up without cancelling their service. While the law was good in theory, it contained at least one loophole: Companies were in compliance as long as they offered a way for customers to cancel their subscriptions online, but could make them click several links or visit several webpages with opt-in requirements before a cancellation request was processed.

Read more of this story at Slashdot.

☕️ Vie privée et applications mobiles : les conseils de la CNIL, une large campagne de contrôle en 2025

La CNIL vient de publier un communiqué intitulé « applications mobiles : votre vie privée devra être mieux protégée ». D’autant que les applications peuvent avoir accès à des données très personnelles comme la géolocalisation, les contacts, les photos, le microphone, etc. Un exemple abusif : « une application de lampe de poche n’a pas besoin d’accéder à vos contacts ou à votre localisation ».

La Commission rappelle quelques éléments importants :

« Chaque fois que vous utilisez une application mobile, elle collecte des informations sur vous. Mais, contrairement au web, les applications mobiles peuvent avoir accès à des données plus variées et parfois plus intrusives (géolocalisation, données de contact, photos, microphone, etc.). Elles peuvent, par ailleurs, collecter des données même lorsque vous n’êtes pas en train de les utiliser activement ».

La CNIL formule quelques recommandations aux professionnels, notamment améliorer l’information sur l’utilisation des données et leur sécurisation. Elle doit « toujours être accessible, compréhensible et […] présentée au bon moment au sein de l’application ». Les développeurs doivent s’assurer que le consentement est éclairé et non contraint.

La CNIL va accompagner les professionnels dans les prochains mois, puis passera ensuite à l’attaque : « à partir du début du printemps 2025, la CNIL déploiera une large campagne de contrôle ».

La CNIL donne aussi des conseils aux utilisateurs : vérifiez avant de télécharger, utilisez des pseudonymes, limitez les permissions, mettez à jour les applications, faites le tri, etc.

Nintendo Japan Plans To Stop Repairing Its Classic Edition Consoles

An anonymous reader shares a report: Somehow, Nintendo's NES Classic Edition console is already almost eight years old, while the Super Nintendo Classic Edition is about to turn seven. That's apparently old enough for Nintendo to announce that the Japanese versions of the consoles -- the Nintendo Classic Mini Family Computer and the Nintendo Classic Mini Super Famicom -- will no longer be eligible for repair once Nintendo Japan's current stock of parts runs out. That doesn't mean that if you wake up tomorrow morning with a mini Famicom that won't boot you're out of luck. Nintendo Japan will continue to accept repairs but is warning users that it doesn't have a definitive timeline for how long that will be the case.

Read more of this story at Slashdot.

☕️ Vie privée et applications mobiles : les conseils de la CNIL, une large campagne de contrôle en 2025

La CNIL vient de publier un communiqué intitulé « applications mobiles : votre vie privée devra être mieux protégée ». D’autant que les applications peuvent avoir accès à des données très personnelles comme la géolocalisation, les contacts, les photos, le microphone, etc. Un exemple abusif : « une application de lampe de poche n’a pas besoin d’accéder à vos contacts ou à votre localisation ».

La Commission rappelle quelques éléments importants :

« Chaque fois que vous utilisez une application mobile, elle collecte des informations sur vous. Mais, contrairement au web, les applications mobiles peuvent avoir accès à des données plus variées et parfois plus intrusives (géolocalisation, données de contact, photos, microphone, etc.). Elles peuvent, par ailleurs, collecter des données même lorsque vous n’êtes pas en train de les utiliser activement ».

La CNIL formule quelques recommandations aux professionnels, notamment améliorer l’information sur l’utilisation des données et leur sécurisation. Elle doit « toujours être accessible, compréhensible et […] présentée au bon moment au sein de l’application ». Les développeurs doivent s’assurer que le consentement est éclairé et non contraint.

La CNIL va accompagner les professionnels dans les prochains mois, puis passera ensuite à l’attaque : « à partir du début du printemps 2025, la CNIL déploiera une large campagne de contrôle ».

La CNIL donne aussi des conseils aux utilisateurs : vérifiez avant de télécharger, utilisez des pseudonymes, limitez les permissions, mettez à jour les applications, faites le tri, etc.

Telegram pourra divulguer plus largement des adresses IP et numéros téléphone aux autorités

Jolies doublures
Telegram pourra divulguer plus largement des adresses IP et numéros téléphone aux autorités

Depuis l’arrestation et l’inculpation du patron de Telegram, les choses bougent doucement sur la messagerie. Début septembre, une première mise à jour était faite afin de permettre à tout un chacun de signaler des contenus. Désormais, Telegram annonce noir sur blanc qu’elle pourra divulguer aux autorités des adresses IP et numéros de téléphone, au-delà de la suspicion de terrorisme.

De passage à Paris, Pavel Durov (cofondateur et CEO de Telegram) avait été arrêté fin aout par les autorités françaises à la descente de son avion, et placé en garde à vue dans la foulée. Elle a été prolongée jusqu’à son maximum (96 heures), puis Pavel Durov a été mis en examen avec pas moins de douze chefs d’accusation.

Septembre, le mois du changement pour Telegram

Début septembre, après plusieurs jours de flottement, Pavel Durov sortait de son silence pour répondre aux accusations. Il voulait notamment tordre le cou aux « affirmations de certains médias selon lesquelles Telegram est une sorte de paradis anarchique ». Soufflant le chaud et le froid, il se disait à la fois prêt à quitter des pays pour rester fidèle à ses principes, tout en se fixant comme objectif d’« améliorer considérablement les choses » pour Telegram. Il parlait de « trouver le bon équilibre ».

De son côté, l’application revoyait discrètement ses règles de modération. Désormais, « toutes les applications Telegram disposent de boutons « Signaler’ » pour alerter les modérateurs. Le message était bien différent auparavant : « tous les échanges et groupes sur Telegram restent privés entre leurs participants. Nous ne traitons pas les requêtes qui y sont liées ».

D’autres changements viennent d’être mis en place, comme le rapporte The Verge. Sur la page Telegram Privacy Policy, dans le paragraphe 8.3 (Law Enforcement Authorities), il est à présent indiqué :

« Si Telegram reçoit une ordonnance valide des autorités judiciaires compétentes confirmant que vous êtes suspecté dans une affaire impliquant des activités criminelles qui violent les conditions d’utilisation de Telegram, nous analyserons la demande et pourrons divulguer votre adresse IP et votre numéro de téléphone aux autorités compétentes.

Si des données sont partagées, nous listerons ces événements dans un rapport de transparence trimestriel publié à l’adresse suivante : https://t.me/transparency ».

Jusqu’au 22 septembre au moins (via WebArchive), le paragraphe 8.3 était plus court : « Si Telegram reçoit une ordonnance du tribunal confirmant que vous êtes suspecté de terroriste, nous pouvons divulguer votre adresse IP et votre numéro de téléphone aux autorités compétentes. Jusqu’à présent, cela n’est jamais arrivé ». Là aussi, un rapport de transparence était prévu, avec une publication tous les semestres.

On passe donc d’affaires exclusivement liées au terrorisme à des « activités criminelles qui violent les conditions d’utilisation de Telegram ». Pour le moment, aucun rapport de transparence n’a été publié.

« Dissuader les criminels »

Le changement a été expliqué hier par Pavel Durov sur sa chaine Telegram. Il s’agit de « dissuader davantage les criminels » avec une mise à jour des conditions d’utilisation et de la politique de confidentialité : « Nous avons explicitement indiqué que les adresses IP et les numéros de téléphone de ceux qui enfreignent nos règles peuvent être divulgués aux autorités compétentes en réponse à des demandes légales valides ».

Le patron du réseau social affirme que la fonction de recherche sur Telegram « est destinée à trouver des amis et à découvrir des actualités, pas à promouvoir des produits illégaux ». Il ajoute que, « au cours des dernières semaines, une équipe dédiée de modérateurs, s’appuyant sur l’IA, a rendu la recherche sur Telegram beaucoup plus sûre. Tout le contenu problématique que nous avons identifié dans la recherche n’est plus accessible ».

Comme l’explique Libération, ce n’est pas parce que les contenus problématiques ne remontent plus dans la recherche qu’ils ont été supprimés de la plateforme. D’après nos confrères, « plusieurs groupes de vente de drogue demeuraient en activité » au début de la semaine.

☕️ Gmail déploie sa marque bleue de vérification dans ses applications Android et iOS

En mai de l’année dernière, Google lançait une marque bleue de vérification pour Gmail. Elle était jusqu’ici réservée à la version web. Il aura fallu plus d’un an, mais elle est maintenant déployée dans les applications Android et iOS. La diffusion va se faire sur plusieurs semaines.

Cette marque bleue indique que la source a été vérifiée et est authentique. Elle met donc en avant la confiance. Elle est basée sur une technologie de Google appelée BIMI, pour Brand Indicators for Message Identification. C’est également BIMI qui permet aux entreprises avec une marque déposée de faire valider leur logo pour que celui-ci s’affiche en médaillon dans les clients email dans les courriers émis.

« Actuellement, Gmail sur le web affiche une coche vérifiée pour les expéditeurs qui ont adopté le BIMI avec une marque déposée (VMC). Au cours des prochaines semaines, les utilisateurs verront également ces icônes de coche vérifiée lorsqu’ils utiliseront l’application Gmail sur Android et iOS », indique Gmail. La société précise que cet apport n’est valable que pour les marques déposées.

Et si l’on ne dispose pas de marque déposée, mais que l’on souhaite prouver quand même sa légitimité ? Gmail propose un autre type de certificat, nommée CMC, pour « certificat de marque commune ». Le CMC permet aussi d’utiliser BIMI pour valider le logo, mais il n’y aura pas de coche bleue.

☕️ Sur X, le bouton Bloquer ne va plus bloquer grand-chose

Sur X, le bouton Bloquer ne va plus bloquer grand-chose

Dans une réponse sur X, Elon Musk a confirmé que le bouton Bloquer – qu’il n’a jamais aimé – allait changer de comportement.

Il ne disparait pas, mais son action va radicalement évoluer. Actuellement, le bouton permet de bloquer complètement un compte, lui interdisant de voir nos publications, listes d’amis, réponses, médias et comptes suivis. Le « nouveau » bouton Bloquer ne bloquera plus qu’une seule chose : les interactions.

Ainsi, bloquer une personne ne l’empêchera pas de voir ce que vous publiez. Elle n’aura simplement pas le droit d’interagir avec vous, notamment de répondre à vos tweets. Traduction, tous les comptes bloqués pourront réapparaitre dans votre fil. Pratique pour l’onglet « Pour vous », qui pourra continuer à pousser toutes sortes de contenus.

Bluesky qualifie le changement de « fou ». « Quoi qu’il en soit, sur Bluesky, les utilisateurs ont baptisé la fonction de blocage « le blocage nucléaire » parce qu’il s’agit d’un outil très puissant pour réduire le harcèlement et le dogpiling [harcèlement sexuel, ndlr] », indique le réseau.

Microsoft Claims Its New Tool Can Correct AI Hallucinations

An anonymous reader quotes a report from TechCrunch: Microsoft today revealed Correction, a service that attempts to automatically revise AI-generated text that's factually wrong. Correction first flags text that may be erroneous -- say, a summary of a company's quarterly earnings call that possibly has misattributed quotes -- then fact-checks it by comparing the text with a source of truth (e.g. uploaded transcripts). Correction, available as part of Microsoft's Azure AI Content Safety API (in preview for now), can be used with any text-generating AI model, including Meta's Llama and OpenAI's GPT-4o. "Correction is powered by a new process of utilizing small language models and large language models to align outputs with grounding documents," a Microsoft spokesperson told TechCrunch. "We hope this new feature supports builders and users of generative AI in fields such as medicine, where application developers determine the accuracy of responses to be of significant importance." Experts caution that this tool doesn't address the root cause of hallucinations. "Microsoft's solution is a pair of cross-referencing, copy-editor-esque meta models designed to highlight and rewrite hallucinations," reports TechCrunch. "A classifier model looks for possibly incorrect, fabricated, or irrelevant snippets of AI-generated text (hallucinations). If it detects hallucinations, the classifier ropes in a second model, a language model, that tries to correct for the hallucinations in accordance with specified 'grounding documents.'" Os Keyes, a PhD candidate at the University of Washington who studies the ethical impact of emerging tech, has doubts about this. "It might reduce some problems," they said, "But it's also going to generate new ones. After all, Correction's hallucination detection library is also presumably capable of hallucinating." Mike Cook, a research fellow at Queen Mary University specializing in AI, added that the tool threatens to compound the trust and explainability issues around AI. "Microsoft, like OpenAI and Google, have created this issue where models are being relied upon in scenarios where they are frequently wrong," he said. "What Microsoft is doing now is repeating the mistake at a higher level. Let's say this takes us from 90% safety to 99% safety -- the issue was never really in that 9%. It's always going to be in the 1% of mistakes we're not yet detecting."

Read more of this story at Slashdot.

Telegram pourra divulguer plus largement des adresses IP et numéros téléphone aux autorités

Jolies doublures
Telegram pourra divulguer plus largement des adresses IP et numéros téléphone aux autorités

Depuis l’arrestation et l’inculpation du patron de Telegram, les choses bougent doucement sur la messagerie. Début septembre, une première mise à jour était faite afin de permettre à tout un chacun de signaler des contenus. Désormais, Telegram annonce noir sur blanc qu’elle pourra divulguer aux autorités des adresses IP et numéros de téléphone, au-delà de la suspicion de terrorisme.

De passage à Paris, Pavel Durov (cofondateur et CEO de Telegram) avait été arrêté fin aout par les autorités françaises à la descente de son avion, et placé en garde à vue dans la foulée. Elle a été prolongée jusqu’à son maximum (96 heures), puis Pavel Durov a été mis en examen avec pas moins de douze chefs d’accusation.

Septembre, le mois du changement pour Telegram

Début septembre, après plusieurs jours de flottement, Pavel Durov sortait de son silence pour répondre aux accusations. Il voulait notamment tordre le cou aux « affirmations de certains médias selon lesquelles Telegram est une sorte de paradis anarchique ». Soufflant le chaud et le froid, il se disait à la fois prêt à quitter des pays pour rester fidèle à ses principes, tout en se fixant comme objectif d’« améliorer considérablement les choses » pour Telegram. Il parlait de « trouver le bon équilibre ».

De son côté, l’application revoyait discrètement ses règles de modération. Désormais, « toutes les applications Telegram disposent de boutons « Signaler’ » pour alerter les modérateurs. Le message était bien différent auparavant : « tous les échanges et groupes sur Telegram restent privés entre leurs participants. Nous ne traitons pas les requêtes qui y sont liées ».

D’autres changements viennent d’être mis en place, comme le rapporte The Verge. Sur la page Telegram Privacy Policy, dans le paragraphe 8.3 (Law Enforcement Authorities), il est à présent indiqué :

« Si Telegram reçoit une ordonnance valide des autorités judiciaires compétentes confirmant que vous êtes suspecté dans une affaire impliquant des activités criminelles qui violent les conditions d’utilisation de Telegram, nous analyserons la demande et pourrons divulguer votre adresse IP et votre numéro de téléphone aux autorités compétentes.

Si des données sont partagées, nous listerons ces événements dans un rapport de transparence trimestriel publié à l’adresse suivante : https://t.me/transparency ».

Jusqu’au 22 septembre au moins (via WebArchive), le paragraphe 8.3 était plus court : « Si Telegram reçoit une ordonnance du tribunal confirmant que vous êtes suspecté de terroriste, nous pouvons divulguer votre adresse IP et votre numéro de téléphone aux autorités compétentes. Jusqu’à présent, cela n’est jamais arrivé ». Là aussi, un rapport de transparence était prévu, avec une publication tous les semestres.

On passe donc d’affaires exclusivement liées au terrorisme à des « activités criminelles qui violent les conditions d’utilisation de Telegram ». Pour le moment, aucun rapport de transparence n’a été publié.

« Dissuader les criminels »

Le changement a été expliqué hier par Pavel Durov sur sa chaine Telegram. Il s’agit de « dissuader davantage les criminels » avec une mise à jour des conditions d’utilisation et de la politique de confidentialité : « Nous avons explicitement indiqué que les adresses IP et les numéros de téléphone de ceux qui enfreignent nos règles peuvent être divulgués aux autorités compétentes en réponse à des demandes légales valides ».

Le patron du réseau social affirme que la fonction de recherche sur Telegram « est destinée à trouver des amis et à découvrir des actualités, pas à promouvoir des produits illégaux ». Il ajoute que, « au cours des dernières semaines, une équipe dédiée de modérateurs, s’appuyant sur l’IA, a rendu la recherche sur Telegram beaucoup plus sûre. Tout le contenu problématique que nous avons identifié dans la recherche n’est plus accessible ».

Comme l’explique Libération, ce n’est pas parce que les contenus problématiques ne remontent plus dans la recherche qu’ils ont été supprimés de la plateforme. D’après nos confrères, « plusieurs groupes de vente de drogue demeuraient en activité » au début de la semaine.

☕️ Gmail déploie sa marque bleue de vérification dans ses applications Android et iOS

En mai de l’année dernière, Google lançait une marque bleue de vérification pour Gmail. Elle était jusqu’ici réservée à la version web. Il aura fallu plus d’un an, mais elle est maintenant déployée dans les applications Android et iOS. La diffusion va se faire sur plusieurs semaines.

Cette marque bleue indique que la source a été vérifiée et est authentique. Elle met donc en avant la confiance. Elle est basée sur une technologie de Google appelée BIMI, pour Brand Indicators for Message Identification. C’est également BIMI qui permet aux entreprises avec une marque déposée de faire valider leur logo pour que celui-ci s’affiche en médaillon dans les clients email dans les courriers émis.

« Actuellement, Gmail sur le web affiche une coche vérifiée pour les expéditeurs qui ont adopté le BIMI avec une marque déposée (VMC). Au cours des prochaines semaines, les utilisateurs verront également ces icônes de coche vérifiée lorsqu’ils utiliseront l’application Gmail sur Android et iOS », indique Gmail. La société précise que cet apport n’est valable que pour les marques déposées.

Et si l’on ne dispose pas de marque déposée, mais que l’on souhaite prouver quand même sa légitimité ? Gmail propose un autre type de certificat, nommée CMC, pour « certificat de marque commune ». Le CMC permet aussi d’utiliser BIMI pour valider le logo, mais il n’y aura pas de coche bleue.

Nouvelle collection Cipher chez Xbox, avec de la transparence et du chromatique

L'attente est enfin terminée ! Nous sommes ravis de vous présenter la série Cipher pour la manette sans fil Xbox Elite Serie 2, disponible via Xbox Design Lab. Cette nouvelle collection fait revivre la nostalgie des designs technologiques classiques grâce à six coques transparentes uniques, permettant de pouvoir admirer l'intérieur de vos gadgets préférés, tout en ajoutant une touche moderne. En complément de la collection Cipher, nous lançons également deux nouveaux designs chromatiques pour la croix directionnelle et les palettes : Sunset Chroma et Energy Chroma, apportant une touche de fraîcheur et de style à la manette sans fil Xbox Elite Série 2. Et pour parfaire cet ensemble rétro-moderne, nous sommes fiers de vous dévoiler la manette sans fil Xbox - Édition spéciale Ghost Cipher, digne successeur de la très populaire Sky Cipher. […]

Lire la suite

Monster Hunter Wilds ? Nos machines ne sont pas prêtes !!

Toujours attendu pour le premier trimestre de l'année prochaine, le 28 février si on se fie à la fiche Steam, Monster Hunter Wilds promet une aventure épique. A condition d'avoir une configuration qui tient la route. C'est d'ailleurs assez simple, les deux configurations listées sont toutes basées sur une utilisation d'une technologie d'upscale 720p vers 1080p ! Eventuellement du Frame Generation... Bref, il faudra une grosse machine, et peut-être que certains joueurs attendront avant de sauter sur les précommandes, surtout pour récupérer quelques objets pas forcément utiles. […]

Lire la suite

Pour jouer dans la zone, les nouveaux écrans gaming M10S et MP9 II de Sony, avec de l'OLED, mais aussi du DisplayPort 2.1

Très impliqué dans le téléviseur, ça ne fait pourtant que deux ans que Sony s’est intéressé à l’écran gaming, il y a deux ans précisément avec le lancement des premiers moniteurs INZONE. Gamme à laquelle deux nouveaux modèles viennent à présent s’ajouter, le M10S et le M9 II. Ils ont quelques trucs...

Systèmes à haut risque, modèles à usage général : ce que dit l’AI Act en pratique

Assurance tous risques
Systèmes à haut risque, modèles à usage général : ce que dit l’AI Act en pratique

Entré en vigueur en août 2024, l’AI Act entrera en application à partir de février 2025. Dans ce deuxième épisode, Next détaille les dispositions relatives aux systèmes d’IA de différents niveaux de risques et aux modèles de GPAI.

Entré en vigueur en août dernier, l‘AI Act, règlement sur l’intelligence artificielle (RIA) en français, entrera en application à partir de février prochain. Dans un précédent article, nous avons détaillé les bases sur lesquelles est construit ce texte. Entrons désormais dans le détail des risques inacceptables (donc interdits), des risques acceptables les plus hauts (donc les plus régulés), mais aussi des règles spécifiques imputées aux fournisseurs de modèles d’IA à usage général (ou general purpose AI, GPAI).

L’AI Act expliqué :
Comment fonctionne l’AI Act ?
Systèmes à haut risque, modèles à usage général : ce que dit l’AI Act en pratique
(À venir) Gouvernance, sanctions : les outils de mise en conformité et de contrôle de l’AI Act


Il reste 93% de l'article à découvrir.
Vous devez être abonné•e pour lire la suite de cet article.
Déjà abonné•e ? Générez une clé RSS dans votre profil.

❌